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[RP Anim']- Ne sont pas tous chasseurs qui sonnent du cor.

Jean.de.cetzes
    Case n°5 - " Vous voici en bas et mine de rien, d'ici, on a une belle vue du château du Bazacle."

Du moulin de Bazacle on pouvait admirer la Garonne dont le niveau permettait aux hommes de traverser le fleuve, chose tout à fait remarquable et qui faisait de l'endroit un lieu de passage particulièrement important. Passage qui fut, sous le règne de Raymond V, aménagé au frais des seigneurs locaux, qui à l'époque s'acquittaient encore de leurs devoirs et qui profitèrent de l'occasion pour organiser une activité on ne peut plus lucrative en y implantant de nombreux moulins, dont certains, prouesses techniques, étaient flottants. Ainsi bardé de l'endroit était tout à fait remarquable. Une véritable zone artisanale qui faisait la fierté de Toulouse, et lui offrant un approvisionnement régulier - qu'il disait - en farine.* C'est en conscience de cette activité que le Comte longeait le gué, ô gué, ô gué, prenant soin de ne pas glisser jusqu'au bas du chemin, profitant même de la superbe vue offerte sur le château de Bazacle.

Tiens mais c'est une jolie balade tout ça. Trop facile vous avez dit ? C'était sans compter sur une fieffée salope de gueuse qui vint planter un clou - un clou nom de Dieu ! - dans le cul de sa Montebourge qui, déjà que de mauvaise composition au quotidien, n'eu pas besoin de d'avantage pour n'en plus faire qu'à sa tête, s'élançant dans un galop effréné, emportant le pauvre non-enturbanné dans une cavalcade qu'il ne maitrisait en rien.

Mais qu'adviendrait-il ? Comment allait s'en sortir le Comte ? Maitrisera-t-il la bête redevenue sauvage ? La pécore serait-elle pendue ?

La suite au prochain épisode. Rho la la le suspens quoi !



*Merci Wiki...
_________________
Athelstan


    [Cul nu face au monde - enfin ça dépend dans quel sens on regarde]

Non, Natale, on ne sent pas le cul des gens !

- « Ahhhh ! »

Le roux se retourne brusquement, une main pour tenir ses braies foireuses.
Il dévisage l'Andorran d'un air mauvais tout en sortant le scramasaxe à vue.


- « Loin de moi, espèce de... sodomite ! »

Oui. C'est dans la tendance du moment, il paraît, d'être déviant. Il y a un nain roux qui en cause presque tous les soirs au Blaireau. Et très franchement ? L'anglais ne tient pas spécialement à voir son intimité violée de la sorte par le premier inconnu en manque de chaleur humaine. Ces choses-la, c'est du sérieux, d'abord.

- « Je ne vous... Aaaaaah ! »

Il vient de se faire harponner par la vieille. Tellement qu'il blêmit et lâche prise sur le futal qui se fait une fois de plus la malle. Offrant à vue sa demi-nudité. Machinalement, l'homme se défait de l'arme tout en remontant ses braies pour tenter de les arranger, de les faire tenir. Même, il barbouille quelques mots à l'intention de Titania.

- « V... vous avez un... un mari ? »

Un vrai, genre qui te touche et tout ? Le rouquin est pris de nausées. On se demande pourquoi.
Il baisse à nouveau le nez, sauf que le regard dévie sur la Glaviotte qui n'est pas tout à fait habillée, en fait.


- « Oh my Lord... »
[Oh mon Dieu...]

La vision d'horreur décuple sa volonté de sceller ses braies. Des fois qu'une attaque imminente se prépare. À grands coups de gestes désordonnés, il parvient à les faire tenir au moyen d'un noeud. Bon, il est un peu à l'étroit du coup. Mais c'est toujours mieux que de s'exposer pleinement aux mains baladeuses de Mémé.

- « Et il ne veut pas venir vous chercher, votre Lubéron ? »

Lubéron-Obéron, même combat. Non parce que c'est pas qu'elle le colle de trop près, mais un peu quand même. On frappe peut-être pas les femmes, mais on peut tenter de les repousser sur le côté par contre. Là, genre comme ça, du bout du coude. Tu vois ?


_________________
Loarwenn
[Moulin de Bazacle]

Ouh la la... Y avait du peuple pour sûr!! Elle s'était dépêchée de se préparer quand elle avait appris qu'il y aurait une battue. Elle avait reconnu du monde parmi le groupe de chasseurs: le Coms Enturbanné (éternel et jamais, même s'il faisait croire au monde qu'il en portait pas des fois... Ouais Genre!), la femme blonde aux cheveux courts, elle se rappelait l'avoir aperçue quand le Comte était revenu de son allégeance, et la donà Grandefille, une de ses collègue opposante au conseil... Elle avait été plus qu'intriguée de voir une femme à la peau d'ébène. Elle en avait entendu parlée, mais à part dans ses lointaines souvenirs d'enfance et de sa soeur, elle n'aurait jamais pensé en croiser une à nouveau.

Une petite troupe avait l'air de vouloir suivre le comte... Oh et d'vlà zut... Elle irait par son propre chemin.


Citation:
Case 2:" Vous avancez courageusement sur le sentier qui longe le gué du Bazacle, et vous glissez sur un galet. "


Fallait bien y aller! ET hop! voilà notre Saltimbanque de Castres qui commence son aventure. Elle espère bien arriver avant le massacre des animaux de la nuit... Il fallait qu'elle sache... Elle avançait tranquillement...

OUUiiiiOOOUUUUUUUIIIIIIINNNN !

Elle se figea! Vite une personne avait un problème. Elle se précipita vers la source du cri. Le courage dans son corps, tel un prince qui... Ah bah non, c'est pas une homme... Bon, bah on va la faire courir quand même... Elle était presque arrivée quand elle se vautra lamentablement. ET BIM, cul par terre la Loa!

AÏEUH!!!!!!!!! BORDEL DE BIQUE DE SERPENT PAS CUIT!!!

Quoi ça veut rien dire??? Bah, quand on se cogne sur le derrière on peut tout dire d'abord!

Ouille ouille ouille...

Elle avait repéré Grandefille, cela devait être elle le cri. Elle se releva tant bien que mal et marcha un peu en canard. Elle allait la suivre...
Grandefille
[Au bord du Touch, enfin un peu dedans...]

Mais comment on fait pour se relever ?
Grandefille qui avait glissé sur un galet
[case 2], s'était étalée de tout son long, et là elle se dandinait, à plat ventre comme un nageur sur sa bouée. Puis d'un coup idée de génie, poussa sur ses bras pour rouler sur le côté.

OUUIIIN OOOUUUiiiiiinn...iiiiinn... Bloup bloubloubloup !

Comment ça Bloup ?
Encore les fesses dans l'eau entre les rochers elle reprenait ses esprits, éblouie par le soleil au zénith, elle avait vu 36 chandelles.

Ma ... ma ... NON pas elle !
Elle prit son instrument chéri dans ses bras, le cajola un peu ... puis le secoua de toutes ses forces parce qu'elle l'aimait beaucoup.
Bloup ! Ouiiiiin ... Glouglou bloup ! Crrrrrrrrrrrrr...

Et voilà, elle est cassée !
De colère elle jeta sa cornemuse.
Puis de suite elle eut un remors, se mit à genoux et pressa des 2 mains à plat sur le coussin, comme on lui avait bien appris à l'école la fois du cours de médecine.
1-2-3, 1-2-3 ...
Pschiouf pschiouf pschiouf !


Vous croyez qu'elle pensait aux loups là ?
Vous croyez qu'elle aurait vu que quelqu'un était arrivé ?
Miramaz
[Case 6]

Le Comte avait parlé, la foule s'était ébranlée mais pas seulement à sa suite, ou pas longtemps. Certains n'avançaient pas suffisamment vite, d'autres s'écartaient de la voie tracée par le Comte et ses proches. La battue ne s'annonçait pas simple.

N'ayant pour l'instant que des connaissances limitées de la géographie toulousaine, Mira se débrouilla pour suivre Astana, tirant sa chariotte derrière elle sans s’inquiéter des secousses risquant d'abîmer l'être enfermé dans la cage. Si la p'tiote était mal en point, elle n'en serait que plus appétissante pour les loups..si l'un d'eux croisait leur chemin.

Un pont surgit devant eux qu'il fallut traverser. Au beau milieu, elle s'arrêta et entreprit de libérer son monstre personnel, une idée venant de germer dans son esprit. Récupérant la corde qui liait la cage à la chariotte, elle s'en servit pour ceindre la taille du bébé, gardant l'autre extrémité dans sa main. Et soudain:


PLOUF.. grmblrr grmblrr (cri d'une barbarette rencontrant brutalement l'eau froide)

La mini-chose avait fini à l'eau, jetée par sa mère, non pas pour la noyer -quoi que si cela arrivait elle en remercierait Deos- mais simplement pour changer son odeur, qu'elle ne sente plus trop l'homme mais plutôt la poiscaille..Le coin en était riche, Mira les avait vu du haut du pont, regrettant qu'il ne soit pas l'heure d'une partie de pêche.

Allez Bjø (Bieu).. fais trempette avec les beaux et gros poissons.. n'braille pas trop et arrange-toi pour sentir aussi bon qu'eux.. t'f'ras un appât plus intéressant..

Et la mère de sourire à la ronde d'un air rassurant.

Case 6 : Arrivée sur le pont, vous vous dites que c'est bien dommage que ces foutus loups soient là, vous apercevez des poissons à outrance dans le Touch, et vous êtes bien tentée par une partie de pêche. Dommage, ce n'est pas le moment. Leyoun et Astana sont avec vous sur cette case.
Cerdanne
Toulouse, « Home sweet Home »…

La douce chaleur d’un foyer pour commencer.
Peinarde !
Chez elle enfin !
De là à participer à la vie Toulousaine. Y a qu’un pas.
Un pas bien grand cela dit. Même cloitrée dans sa belle garçonnière, elle n’a pas de mal à entendre les appels au meurtre.

Elle a même reconnu certaines têtes au milieu de toute cette foule hurlante.
C’est donc que l’affaire promet d’être juteuse.
Du moins c’est ce qu’elle espère tout en enfilant ses bottes.

Elle hésite une minute devant l’épée qui repose contre un mur et finit par la saisir, la cale contre sa ceinture et vérifie que sa dague est toujours nichée contre sa hanche.

Elle attrape sa cape d’une main leste et gagné par l’enthousiasme de la foule, elle se presse comme la dernière des couillonnes qui se dit
« je vais rater la charriote et arriver en retard à mon travail. »

Imagine ; Gerturde galopant pour rattraper la meute et n’en voir que la queue…
La direction semble la bonne ,même si chacun y va de sa route pour rejoindre la rivière.

Un coup d’œil et l’adrénaline aidant la voilà qui dévale à toute force vers le gué.
« Je ne suis pas en retard, je ne suis pas en retard, je ne suis pas en retard ».

Si au lieu de la jouer Lapin blanc, elle avait évalué la situation, elle aurait vu, entrevu ?, deux ombres en train de prendre un bain…forcé.
Mais non !!
Les galets glissants vont par trois.
Comme les bécasses qui trempent leurs fesses dans l’eau glacé du Touch…



Citation:
Case 2:" Vous avancez courageusement sur le sentier qui longe le gué du Bazacle, et vous glissez sur un galet.


Les bottes, usées ça dérape un maximum…

Petite morale du jour…
Tant va la cruche à l'eau qu'à la fin ....

L’œil mauvais, elle lorgne vers les deux filles qui comme elle goutent les joies de la baignade et se relève, cul trempé, mains écorchées et les cheveux en bataille..


La première qui rigole ,je m’en sert comme appât ..

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Astana
    [Case 6 - « Arrivée sur le pont, vous vous dites que c'est bien dommage que ces foutus loups soient là, vous apercevez des poissons à outrance dans le Touch, et vous êtes bien tentéee par une partie de pêche. Dommage, ce n'est pas le moment. » ]

Blondeur n'a pas traîné. C'est pas tellement le genre à s'arrêter pour contempler la nature, de toutes façons. À moins qu'un truc ne lui attire l'oeil, ou l'esgourde. Pour l'instant, c'est le stratagème de Mira qui l'intrigue. Est-ce qu'elle utilise sa gosse pour pêcher ? Auquel cas si ça marche, faudra en faire un. Hein, Sa Blondeur ? *biiip, votre correspondant est indisponible pour le moment...* Le nez baissé au-dessus du pont, elle mate la gosse faire, très à l'aise au milieu de la poiscaille. C'est le moment que choisissent les entrailles pour se manifester. Coucou, t'as oublié de grailler, ça serait sympathique de penser à nous. Elle se penche un peu plus, voir comment se déroule la partie de chasse aquatique.

- « Allez Bjø.. fais trempette avec les beaux et gros poissons.. n'braille pas trop et arrange-toi pour sentir aussi bon qu'eux.. t'f'ras un appât plus intéressant.. »

Un appât ?! Non, mais... On a compris que t'avais la dalle, c'est bon.
Redressée, elle interpelle la mèr(e)cenaire avec un sourire goguenard.


- « Hé Mira ! On s'en grille une avant de partir ? »

Qui ne tente rien n'a rien.

- « ... de truite, j'veux dire. »

Huhuhu. Trop drôle. Les sourcils se froncent après coup.

- « Ouais nan, je sais. On a pas le temps. »

Tant pis pour les crampes. Allons buter du canidé.
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Meme_glaviotte
[Toujours aux basques de mister Poil-au-cul]

Cramponnée à son amant flamboyant, l’antique souveraine ronronnait comme un chat, ou peu s’en fallait.
Elle lui aurait déjà sauté dessus si le benêt n’avait cessé de se pencher pour ramasser ses braies. Idiot ! Un puceau, sans aucun doute…


Un mari ! Et quel mari !

En vérité, mémé Glaviotte avait eu nombre de maris. Parfois même plusieurs en même temps. Et plus d’amants qu’aucun des maris n’auraient pu l’imaginer.
Certains de ces charmants messieurs étaient morts de manière on ne peut plus suspecte, qui d’envie subite de dormir avec un oreiller sur la tête, qui de goût inopportun pour la belladone. Oh ! Mémé ne les pleurait pas trop. Il se trouvait qu’avant ces déplorables accidents, chacun lui avait causé quelque tort et qu’elle leur en gardait rancune. Une claque, un papillonnage avec la jolie laitière, une remarque désobligeante sur le souper…
Obéron, en revanche…


Le Roy des fées en personne !

… N’avait pas plus d’existence que Titania.

S’il me touche ? Vous êtes bien curieux mon coquin ! (Elle prit un air taquin) Je ne vous dirai rien !

Je te montrerai tout. Niark niark niark.
Titania se pressa au plus près du rouquin.


Mais cessons de parler de mon époux. Allons voir le loup…

Non. Pas celui qu'on chasse à coup de torches et de fourches.
Natale
    ... Vous êtes arrivé sur la case n°6, 3 minutes d'arrêt.


Alors qu'il allait lui répondre une politesse fleurie du genre : "va te faire mettre" il voit surgir une Revenante qui prend le parti de se coller au rouquin telle une sangsue à la chaire détrempée.
Punition amplement méritée pour l'anglois défroqué qui a osé l'insulter. Le regard lubrique de l’insubmersible Titania
(ndlr : au-fait, a-t-on déjà essayer de la couler dans le lac de Toulouse ?) lui fait penser qu'il y a certainement des choses bien plus pires que les loups qui traînent dans cette forêt maudite.

Ni une ni deux, il se relève et fait un nœud là où il faut afin que ses braies ne lui jouent plus ce mauvais tour. Un peu pressé par cette vision d'horreur, mais le sourire aux lèvres car satisfait de sa vengeance immédiate - le Très Haut reconnait toujours les siens - il s'adresse à l'attention des deux tourtereaux avec une pointe de sarcasme en direction du gars dont il ne connait encore point le nom :

- Je vais te laisser en si charmante compagnie, je ne voudrai pas vous déranger plus longtemps.
Les rennes de son cheval dans une main, il décide d'en rajouter une couche pour la Cougar :
- Allez-y, il est à vous, faites-en votre affaire.
La parole est chaleureuse, le clin d’œil est malicieux, il tourne les talons, la conscience tranquille d'avoir laissé un appât de choix à la bête du bois de Bouconne.


Non content de s'être sauvé une première fois au péril de sa vie, et ainsi d'avoir échappé à d’inénarrables supplices (pensez aux gosses bordel !), notre Blond poursuit donc son aventure dans cette forêt mystérieuse.
Mais quelle est la surprise qui l'attend au prochain tournant !?
Va-t-il tomber sur la tribu des lapins malins ? Ou bien directement nez à nez avec un loup ? A chaque pas ils risquent leur vie. Là un galet-banane ! Attention !
Qui sait, peut-être qu'un seul, sortira vivant de cette chasse.

Son regard observateur remarque qu'à priori des gens sont déjà passés par là. Et à bien y réfléchir il y a beaucoup de poissons dans cette rivière...
Hein ? Notre guide touristique nous informe que cette rivière s'appelle le Touch.
Non, non, Natale, tu ne peu pas pécher, ce n'est pas du tout le moment et puis d'abord je ne t'ai pas apporté de canne à pèche et la barque que tu porte sur le dos depuis tant d'années ne te sera d'aucune utilité. Non, non, non, pas la peine d'insister, remets-toi en route !

- C'est bien dommage que ces foutus loups soient là !
Et oui, la vie est dûre pour nos aventuriers de l'extrême soumis à des conditions de survie inimaginable pour le commun des mortels. D'un geste de dépit l'Andorran envoi valser une pierre de la pointe de son pied, ne remarquant même pas au passage les psilos qui supplient sur le bord du sentier.
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Eikorc
Tout le gratin de Toulouse se retrouve pour chasser le vil Lupin. Il les voit tous, là, autour de lui et il n’en voit pas un seul qui a la tronche de l’emploi. Surtout pas la vieille dans le coin qui semble plus attirée par un rouquin perdant ses braies que par le pistage des bestioles. La caboche est secouée et le mercenaire s’engage à son tour en suivant les traces de pas qu’il a déniché… Quitte à faire les choses, autant les faire bien.
Alors que le regard remonte l’horizon pour aller vérifier qu’il n’y a rien sur son passage, il pose les yeux sur le fleuve que tout le monde tente de traverser, à sa façon… Le pont, les galets… Un sourire s’esquisse quand il voit les trois femmes tomber les unes après les autres sur les galets.

La montagne se détend pour s’approcher et la pogne glisse l’air de rien à la ceinture pour vérifier l’emplacement de sa ha… Merde. Les yeux descendent et il n’aperçoit que le fourreau de son épée… Forcément, vu le climat ambiant, fallait bien qu’une couille lui arrive. Un grognement sourd lui échappe et il tourne les talons en grommelant. Première fois de sa vie qu’il oublie son arme…


[Case 4 - Vous voyez le bas du chemin, et vous vous sentez fort et fier. Sauf que vous avez oublié votre arme. Retournez à la case départ petit boulet ! ]

Et pour le coup, maintenant qu’il sait pourquoi il est venu, le de Nerra pousse le vice à rentrer jusque chez lui, histoire de remplacer l’épée par la hache. Quitte à chasser le loup, autant être équipé correctement. C’est donc avec un sourire carnassier et son immense arme posée sur l’épaule qu’il rejoint le groupe, dépassant les flaneurs en train de chasser le poisson d’un pas vif. Le regard se posant à peine sur les deux crânes chauves qu’il connait bien, il préfère allonger le pas pour les distancer… Il cherche les loups, pas l’amusement.
En parlant de loup… La piste l’entraîne vers la forêt, étonnant n’est-ce pas ? L’azur pétille alors qu’il traque, comme lorsqu’il était gamin, qu’il chassait les chiens de la caserne pour empêcher les saillies non prévues. Les doigts glissent sur la garde de sa hache alors qu’il s’engage sous les arbres, les oreilles se tendent, voilà le colosse à l’affut.

Les ombres qui l’entourent ne sont pas animales, apparemment, il n’est pas le seul à être sur cette trace, mais c’est lui qui s’élance le premier en levant sa hache au-dessus de sa tête : Il l’a vu, le loup. Là, juste au-dessus d’eux et il se déploie de toute son envergure pour envoyer la lame percuter le crâne de la bête avant que les autres ne le touche.


« Il est à moi ! »

Qui a dit que les colosses n’avaient pas le sens de la compétition ?

[Case 10 - De l'autre côté du Touch, dans un terrain arboré : Loup derrière un rocher en surplomb. Leyoun, Simeon & Tigist se trouvent aussi sur cette case.]
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"Pour toujours... Et à jamais."

Zoko & Fablitos
Mangarofw
Case 13 - Les branches d'un buisson bougent avec énergie, vous empoignez votre arme avec assurance et .. C'est une canne qui sort de là, suivie par ses petits. Ah il est beau le chasseur !

Manga avait du nourrir la vache un bon moment pour la déloger du pont. Enfin, elle put traverser et passer l'orée de la forêt. Arbres et buissons. Elle vérifia que tout était en ordre du côté de son équipement. Sa lanterne, car il fait sombre souvent en forêt. Son épée et un couteau à tuer le cochon. Elle se saisit de son couteau à tuer le cochon et avance doucement, tentant de ne pas faire de bruit.

Quoi que peut être faudrait il mieux en faire ? Quoi qu'il en soit, c'est sur cette question interne qu'elle vit un buisson bouger. Elle s'arrête net ! Puis hésite à fuir ! Oui, l'est courageuse mais pas téméraire la manga.

C'est sur cette hésitation quelle voit sortir du dit buisson..... Une canne et ses petits... Soupire de soulagement puis rire nerveux.

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MangaRofW, dicte Manga.
Nulle en orthographe, grammaire et histoire géo et.... Depuis toujours en plus, dsl.
Mais je fais des efforts.
Grandefille
Mais peuh allez là, ma cornemuse toute neuve !
Grandefille marchait tête baissée, ça commençait mal, d'ailleurs l'instrument qui refusait de donner le moindre son, elle l'avait mis dans son dos et il gouttait, ploc ! ploc ! au rythme de ses pas.
C'était des semaines d'économies, le temps de faire un concert à peine, bon un concert de 8 jours soit...
C'était surtout l'arme sur laquelle elle comptait pour effrayer un loup, un brigand, un soldat furtif, enfin qui sortirait du coin du bois en roulant des mécaniques mais en fait ne supporterait pas cette violente musicalité.

Oui de l'autre côté dans le bois il y aurait du danger peut-être, mais aussi la gloire du Comté à gagner. Et d'ici-là il fallait marcher, ce qu'elle faisait tête baissée et en roumignant donc, tout en suivant la rive jusqu'au pont qu'elle avait vu. Là-bas le pont.

BOOOOONG !
Sa tête heurta violemment quelque chose.
La chose répondit d'un meuglement, elle bouchait toute la largeur du pont.

Heu pardon, bonjour madame.

Case 7 - Une vache a décidé que s'installer de tout son long sur le pont était une bonne idée, vous n'avez plus qu'à la convaincre de vous laisser passer.

GF se redressa, et écarta ses cheveux mouillés de sur ses yeux, et en deux parties de part et d'autre de son front.
Non elle n'avait pas reconnu et pourtant, c'était pas ... C'était le bruit d'une vache.

Une vache ?

Voilà qu'elle recula de quelques pas, posa à terre son bouclier rond, se mit tout droite tendue, sur la pointe des pieds, les bras levés hauts.
Hey ! Hey ! La vaca, la vaca !
Mais l'animal ne bougeait pas d'un pouce.
Elle y rajouta un frappé de talon comme elle avait vu à une course de village dans ses belles Pyrénées, se cambra et reprit ses appels plus fort :

Hey ! Hey !
Mais rien du tout, nada, déception, soupir.

Sa cornemuse étant hors d'usage (le temps qu'elle s'égoutte peut-être), GF ne vit plus que deux solutions , passer dessus ou passer dessous.
Dessus il fallait être gonflée quand même, la vache curieuse s'était levée maintenant, elle la regardait fixement et brandissait une paire de cornes pouvant décourager toute tentative d'escalade.
Dessous, à quatre pattes, mais bien sûr, elle qui était légère et équipée léger c'est comme ça qu'elle allait passer, entre les hautes pattes et sans faire de bruit, sans trop la déranger.

Grandefille se mit vite sur ses genoux et entreprit la périlleuse traversée, sans encombres au début...

Oh non, si maintenant le temps aussi s'y met !
Elle pestait contre ces averses d'automne.
Manquait plus que ça, voilà qu'il pleut comme vache qui p...
Adalasie
[En bas du Moulin, sifflotant d'un air enjoué]

    « Et un p'tit Comte de moins ! Et un p'tit Comte parti bien loin ! »

    Sourire jusqu'aux oreilles, la gueuse avait réussi son coup, le canasson avait bien détalé en emmenant le damoiseau en détresse ainsi que ces barjots de toulousains loin d'elle. Quel plan merveilleusement machiavélique... Enfin... Si on oubliait un détail. Non négligeable en plus... Le Comte l'avait peut être grillée... Et si jamais il la recroisait et piiire, s'il la reconnaissait, elle aurait probablement de gros ennuis du genre corde + arbre ou épée + cou... Tututut, pas le moment de penser à ce genre de choses ! Parce que là maintenant, elle avait la voie libre pour rentrer tranquillement au village. Mais faudrait qu'elle retrouve sa Mémé d'abord, histoire de lui tirer les vers du nez et dégoter l'adresse de sa frangine.
    Aller hop ! On remonte la pente au milieu des boulets qui ont oublié leurs armes au sommet. Oui oui, elle a son épée à la hanche mais elle a oublié son euh... arbalète ! Voilà, ce serait ça son excuse si on lui demandait.

    Et là, c'est le choc. Une mémé, à moitié à poil qui roucoule dans les bras d'un roux ! Un roux quoi ! L'expérience voulait qu'on ne dérangeait jamais l'ancêtre pendant ses parades amoureuses et ce, même quand le mâle couinait comme un porc qu'on égorge.
    Maintenant elle savait avec qui se trouvait l'autoproclamée Reyne des Fées et la gueuse arriverait sûrement à la retrouver sans trop de difficultés.

    Se frottant mollement le ventre, elle laissa échapper un bâillement bruyant quand elle se dirigea vers les bois les plus proches pour aller y cueillir quelques baies. Quelle idée d'avoir pensé aux cuisines du château, maintenant elle avait la dalle...


[Promenons nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas.]

    Alors, le regard aux aguets, elle emprunta un petit sentier qui zigzaguait dans tous les sens tout en ayant l'espoir qu'il la ramènerait au village par la même occasion. Elle en aurait presque oublié les horribles créatures mangeuses d'Hommes qui rodaient dans cette végétation inconnue... Mais le destin est parfois cruel.

    Bllluuuuuurrrrgghhhblllurgrrrrr !!

    Un bruit terrifiant se fait entendre. La gueuse, sur ses jambes tremblantes, déglutit bruyamment tout regardant autour d'elle avec appréhension. Ça y est ! Les loups étaient là. Alerte générale ! Panique à bord ! Ils la guettaient derrière les buissons. Ils l'avaient trouvée et elle allait finir comme l'autre môme dont parlaient les villageois.
    Mais ça, c'était sans compter son instinct de survie digne des plus grands lâches du royaume : « Courage, fuyons ! ».

    Il court, il court le furet !

    Sans même réfléchir plus d'un demi dixième de seconde, la bougresse s'élance comme une dératée à travers buissons, branchages et troncs morts. C'est beau la lâcheté !
    Et, au premier arbre qui lui semble solide, elle y grimpe aussi vite qu'un chat paniqué pour se réfugier à bonne distance du sol. Le visage éraflé, les cheveux coiffés de brindilles et de feuilles, la nymphe des bois improvisée respire enfin.

    Coups d’œils inquiets vers le bas : Personne. Impossible, elle n'avait pas rêvé. Où étaient-ils passés ?


    Buurrrllghhbrruurggg...

    Bruit plus timide cette fois. Regard vers son ventre. Coupable localisé.
    Adalasie lève les yeux au ciel. Heureusement qu'il n'y avait personne... Le peu de crédibilité qu'elle possédait aurait été anéanti en quelques secondes.


    Bon bein, tant que j'y suis, j'vais me faire une petite sieste.

    Ada, sur son arbre perchée, roupillait protégée de la pluie qui commençait à tomber.


Case 11 - "Vous entrez courageusement dans une petite forêt en terrain escarpé, et vous entendez un bruit effrayant. Ce n'est que votre estomac, détendez-vous !" 

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