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Parladou de Prouvènço - La gargote provençale : Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Castelorazur
Les cloches retentissaient depuis quelques instants à présent, et Mateù apparut dans l’imposant édifice. L’instant était solennel au possible, et l’ambiance était d’une lourdeur incroyable.

Il se devait d’être présent, pour rien au monde il n’aurait manqué de soutenir Arwen dans un pareil moment. Il la chercha d’ailleurs immédiatement du regard, avant de s’apercevoir qu’elle partageait un moment silencieux avec Yluxe.

Il resta donc en retrait, frotta son habit noir d’un revers de la main, et s’assit sur un des nombreux bancs à disposition. Dès qu’elle aurait un moment, il en profiterait pour serres ses mains dans les siennes, et tenter de lui transmettre un peu de courage…

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Eavan
Eavan sourit légèrement, attendrit, comme à chaque fois, par l'enfant qu'avait Arwen dans ses bras. Krista. La petite Krista. L'introduction qu'Arwen lui fit auprès d'elle fit apparaitre une lumière dans son regard. Ainsi elle n'avait pas oublié ce jour. Et d'ailleurs ce jour là Eavan tacherait de bien s'en souvenir à chaque seconde de la cérémonie, car c'était surement la seule fois où Jarl lui avait témoigné de la reconnaissance. La seule fois, peut être, où elle avait aperçut quelquechose de lui qui ne lui soit pas hostile. Mais revenant à l'instant présent, la jeune femme sourit à l'enfant avec douceur, se retenant de faire un geste vers elle. Arwen avait besoin de cette présence, pleine et entière près d'elle. Il ne fallait pas interférer.

Elle la regarda s'éloigner, accordant des signes de tête polis et silencieux aux officiants puis Eavan alla s'asseoir.

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Ysabelle
Un messager leur avait annoncer la triste nouvelle et d'un commun accord Guilhem et elle avait décidé de retarder leur départ pour Draguignan de quelques jours pour assiter au service de l'époux de Dame Arwen.

Ils entrèrent et saluèrent discrètement Max et Béli ainsi que la Baronne Eavan. Elle pria Aristote pour que jamais elle est à prendre la place de Dame Arwen, elle ne pourrait pas vivre sans son doux lieutenant. Elle glissa sa main dans la sienne et resta silencieuse.

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Mariée à Guilhem de Longchamps

Rethy
La mort de Jarl n’est même pas poétique. Pas de rêve, de romantisme, de sacrifice, de folie , de courage. Une sorte de vide cosmique. Un dépucelage sans sensualité…

C’est sur ces nobles pensées que Rethy de Cianfarano entra dans la Cathédrale. Il ne se rendit même pas compte qu’il avait parlé tout haut.Il salua les uns et les autres et rejoignit Yluxe qui avait pris place auprès d’Arwen. Il ne put s’empêcher d’embrasser sa femme : il ne la voyait plus beaucoup depuis quelques temps…Et il présenta ses sincères condoléances à la Comtesse…

Je me souviens simplement que cet homme t’aimait. Et qu’il t’accompagnait dans des soirées de boulasse magistrales. Comme disait mon Oncle Julius : « Homme qui aime la boisson, est souvent polisson. » Bon, le problème, c’est que sa dernière farce n’est point amusante.

Il fit une grande accolade à son amie, se rendant compte que ses paroles étaient légèrement maladroites, fit des calins aux enfants , puis se plaça à la gauche d’Yluxe. Il murmura à celle-ci…

Je t’aime, ma loutre espiègle, ma féline des marais divins, ma coquine des plages automnales . Je suis heureux: tu es venue soutenir Wewen. En ce qui me concerne,il est clair que je suis à la recherche d' un nouvel Epoux pour elle! « Femme sans Homme est Dame ridée comme Pomme »


Puis, regardant dans tous les sens , il vit avec plaisir que Richelieu allait officier à la Cérémonie...Il chuchota à sa compagne...

Ouf, c'est mon Sang qui va tenir le crachoir! On est sauvé! On aura une messe avec de la cogne, pas de la bave à organdi !
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Damearwen
En fort contact avec son amie Arwen ne faisait plus attention à ce qu'il se passait autour, jusqu'à ce qu'elle entende quelqu'un arriver en parlant un peu fort. Elle se retourna, et c'est là qu'elle aperçut son ami Mateù, une bonne surprise aussi que de le voir présent. Elle avait pourtant eu l'impression que ces dernires temps il l'ignorait mais une fois de plus il était présent pour elle. Elle le salua de la tête en atendant de le voir de plus près pour le remercier.

La Baronne Ysabelle aussi était présente, elle n'en savait point la raison, mais trouva le geste touchant. Son couple avec Guirre lui faisait penser à Jarl et elle à leur début, sauf que Guirre ne l'abandonnerait surement jamais de la même façon, c'était un homme trop droit et heureusement pour eux et leur bébé. Qu'on apprécie ou non une personne aucune famille, aucun foyer ne mérite le malheur et d'être détruit ainsi. Elle irait la saluer elle aussi en fin de Cérémonie, espérant qu'elle serait assez bien pour cela...

Enfin Rethy arriva jusqu'à elles, elle lui rendit l'accolade et le remercia, mais ses mots la choquèrent réellement, ce n'était pas le genre de Rethy pourtant... Mais elle se reconcentra sur ses enfants et son amie, se demandant tout de même si Snake qui voulait venir allait arriver ou non.

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Hersende
Hersende qui avait été retenue à Marseille par une réunion avec les chefs de section de son armée craignait d'arriver tard à la cérémonie. Elle avait connu Jarlmorgoth à Forcalquier il y a fort longtemps et l'avait ensuite côtoyé au conseil comtal. Elle voulait lui rendre ce dernier hommage et assurer sa femme et ses enfants de son soutien dans cette épreuve.

Quand elle entra dans la cathédrale, ayant juste pris le temps de passer dans une hôtellerie de la capitale pour changer de robe noire, celle qu'elle portait depuis Marseille étant recouverte de la poussière de la route, elle s'aperçut que si nombre de personnes étaient déjà arrivées, la cérémonie n'avait heureusement apparemment pas commencé.

Elle s'avança dans l'édifice et vit qu'Arwen était bien entourée. Elle lui adressa un sourire d'encouragement mais ne voulut pas la déranger dans sa conversation.

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Hersende de Brotel, Còmtessa de Valréas, Baroùna d'Istres
Richelieu1
L'archevêque décida qu'il était temps de commencer.

Il rejoignit le parvis, où le cercueil était alors déposé. Il salua l'assemblé d'un sourire humble puis leva les bras au Ciel, et psalmodia :


Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’il puisse enfin voir le tien, Tout-Puissant.
Et l'assemblée de répondre :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami.

Après l’amitié qu’il a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’est la tienne, Tout-Puissant.
A nouveau, les présents murmurèrent :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami.

Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.
Les présents dirent alors :
Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami.

Toi qui n'est qu'Amour, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps cet l’ami qui nous est cher, Jarlmorgoth ...
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.

Amen


Le cercueil avait pénétré Saint Maximin. Le froid s'insinuait dans la cathédrale en même temps que le défunt se voyait parcourir la nef. Une fois devant l'autel, le cortège funéraire fut déposé.

Monseigneur de Sabran fit fermer les lourdes portes en chêne, et déposa une corbeille de fruit à l'entrée de l'édifice. Elle servirait à déposer d'éventuels dons pour les mendiants.

L'archevêque rejoignit ensuite le cercueil.


Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs, mes amis.

Nous sommes réunis en ce triste matin d'hiver dans notre belle cathédrale pour dire Aurevoir à l'un des nôtres.

Jarlmorgoth nous a quitté il y a quelques jours. Il est parti rencontrer le Très Haut afin que son âme soit jugée et qu'il soit envoyé au soleil ou en enfer.

Nous allons donc ce matin, saluer cet homme, sa vie, ses actes. Lui souhaiter un bon voyage par delà la vie terrestre. Nous sommes également là pour sa famille et ses proches. Sa femme, Sa Grandeur Arwen, Comtesse d'ollioules et ses 3 enfants. Nous sommes là encore pour nous tous, pour guérir la communauté des fidèles de cette blessure.


Pendant le discours, deux enfants de chœur avait disposé tout autour du cercueil de belles fleurs blanches. L'on aurait dit que la caisse était naturellement déposé dans un jardin.

Ludovi avait prononcé ces paroles avec beaucoup d'émotion, surtout qu'il condamnait les dernières années de Jarlmorgoth. Il ne le fit pas transparaître.

Avant toute chose il fit un signe afin que l'orgue résonne.


Nous allons maintenant procéder à la disposition des quatre signe de notre foi. Je vous demanderais de vous lever et de respecter un moment de silence.

Il regarda les enfants. Approchez, leur chuchota il.

En attendant leur venue, il fit circuler une corbeille dans l'assistance afin que des fruits, ou d'autres présents y soient déposés.

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Damearwen
Une dernière personne entra avant que Ludovi n'entame la Cérémonie... Hersende... Elle répondit à son salut avec un léger sourire, pas joyeux mais reconnaissant surtout... Sa présence était un apaisement de plus et puis elle était une des rares à avoir connu Jarl depuis si longtemps présente ici, c'était bien pour lui aussi.

Elle prévint les enfants de rester bien silencieux juste avant que cela débute, puis elle écouta religieusement les paroles de son ami, répétant comme il se doit...


"Seigneur ne détourne pas ton regard de notre ami."

Elle regardait sans cesse ses enfants, pour surveiller que cela se passe bien pour eux, peut-être aussi pour s'empêcher de craquer elle-même en se laissant submerger par l'émotion.

Lorsque que le cercueil avança elle sentit un frisson la parcourir et son coeur se serrer, avant d'être dans cette cathédrale elle n'avait pas réellement réalisé cette mort, elle avait juste oublié les bons comme les mauvais moments afin de tenir le coup pour les petits après cet abandon. Aujourd'hui une réalité faisait face, une triste réalité mais une réalité libératrice aussi. La musique n'aidait en rien à l'oppression du moment, elle n'avait ressenti tout cela aussi fort aux dernières cérémonies où elle était allés, surement justement car elle avait laissé la peine prendre le dessus et n'entendait plus rien autour.

Ludovi demanda aux enfants de venir, Krista ne voulait pas vraiment y aller et se blottit contre Arwen immédiatement en signe de refus. Elle lui dit alors quelques mots rassurant, qu'elle devait dire au revoir à son Papa que son frère et sa soeur étaient là avec elle. Melvina la prit alors par la main, puis ils suivirent tous les trois Ludovi, sans trop savoir ce qui allait se passer.

C'est en suivant ses enfants des yeux qu'elle finit par poser le regard sur ce cercueil, sur cette dépouille qu'elle avait évité de regarder jusqu'à maintenant. Elle serra la mâchoire, elle pensait aux petits, voir leur père ainsi... ce souvenir de lui qui allait rester en eux... Elle se sentit légèrement défaillir à toutes ces pensées et se retint au banc avant de se repositionner comme il faut. Quelques larmes coulèrent alors que ses enfants s'éloignaient, jamais elle n'aurait cru qu'elle leur offrirait cette vie, elle aurait voulu tellement mieux pour eux.

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Snake84
En retard comme à son habitude, le vicomte de Lantosque arriva tant bien que mal sur le parvis de la cathédrale, réajustant sa tenue de velours émeraude, aux couleurs de Lantosque, il poussa la lourde porte de l'édifice pour pénétrer à l'intérieur de celui-ci.

Bien qu'en tant qu'ancien guerrier il arrivait à dissimuler ses sentiments, il éprouvait du mal à réfréner ce sentiment de tristesse qui le hantait depuis qu'il avait appris la nouvelle.

Son ami et ancien vassal, Jarlmorgoth gisait là inanimé, lui qui fut l'un des fers de lance de l'ost provençal lors de la bonne époque s'était éteint ...

Se mêlant à la foule, il tenait à assister au départ religieux de son ami afin de lui dire un dernier aurevoir, avant d'entamer une période qui au final le ramènerait vers ses chers disparus, afin de déguster un bon pastis dans l'autre monde.

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Richelieu1
Les 3 jeunes enfants s'avancèrent. Ludovi s'accroupit devant eux et leur parla.

Bonjour les enfants. Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi. Comme vous l'avez vu, c'est moi qui officie pour enterrer votre papa. Vous savez, de là haut, il nous regarde. L'archevêque montra la grande rosace qui laissait pénétrer la lumière.

Maintenant il va falloir apposer quatre signe autour du cercueil. Vous voulez m'aider ?

Il va falloir placer une bougie, une croix, la corbeille de fruit, et un petit discours pour rappeler qui était votre papa.


Il vit la mine des enfants et cela lui brisa le cœur. Vous n'êtes pas obligé, je veux juste savoir si vous le voulez. Je ferai le 4ème signe.

Six grands cierges étaient disposés autour du cercueil. Chacun reposait sur un bougeoir en or. L'archevêque se munit d'une flamme et la tendit aux enfants afin de voir si l'un deux allumerait les cierges. Commençons par la lumière.

[Je te laisse gérer les enfants LJD Arwen]
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--Melvin
Le petit garçon avait laissé sa mère pour s'approcher de la dépouille de son père avec ses soeurs. Son regard était assez froid, comme si il n'était pas peiné, il restait fier, du même orgueil que son père probablement. Alors que ses soeurs, elles, pleuraient, lui écouta l'Archevêque, il avait compris depuis longtemps ce qui le liait à sa mère et au lieu de la haïr comme un fils aurait pu le faire, il lui faisait confiance car il sentait qu'il était un homme bon.

Alors que l'homme tendit le cierge la petite Krista se tourna en larmes vers Arwen, appelent "Maman", d'un air presque désespéré. Melvin s'approcha immédiatement d'elle et passa un bras autour de la petite. Il lui dit doucement : "Viens... enfin venez... On va le faire ensemble"

Son regard vers ses soeurs était décidé, il prit le cierge, puis la main de Krista qu'il déposa dessus et invita sa jumelle à en faire autant. C'est donc à trois qu'ils allumèrent le cierge et le déposèrent auprès de leur père. Le petit, d'un courage énorme tentait de consoler ses soeurs et regarda l'Archevêque en levant la tête vers lui et disant de sa voix d'enfant des mots qu'il n'aurait pas du avoir à dire à son âge


"Je parlerai, c'est moi l'homme de la famille désormais"

A cet instant on put voir leur maman qui avait tout observé le coeur serré, s'effondrer en larmes face au spectacle des plus émouvants qu'offraient ses enfants et surtout son fils.

Le petit resta debout face à l'homme, attendant la suite
Richelieu1
Ludovi aperçut le désarroi des enfants mais surtout le courage de Melvin.

Il prit la tête des la fraterie, et la dirigea tel un père.
Les bougies s'allumèrent et l'Archevêque de psalmodier :




L'amitié est la lumière du monde. C'est la flamme qui réchauffe notre cœur. Qu'elle éclaire maintenant la route de Jarlmorgoth qui le conduit maintenant au royaume du Très Haut notre Dieu.


"Je parlerai, c'est moi l'homme de la famille désormais"

Au fond de lui, Ludovi eut envi de s'éclater de rire comme a une plaisanterie d'enfant. Mais il n'en fit rien. Le courage de cet enfant lui imposait respect, et peine.

Ludovi désigna du regard la grande Croix posé au pied du Sarcophage, afin que les enfants la dépose sur celui ci.

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--Melvin
Melvin écoutait toujours les directives de l'homme d'Eglise, guidant ses sœurs avec lui.

Il prit la croix seul mais restait entre ses sœurs pour la déposer à l'endroit indiqué. Après avoir déposée la croix il regarda fixement en cette direction, on aurait pu croire qu'il allait craquer à chaque instant, mais non, il restait de marbre. Il n'avait déjà plus un comportement d'enfant, peut-être que tous ces évènements le changerait à jamais.
Richelieu1


Jarlmorgoth, nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui relie Aristote et Christos, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle
.


La corbeille de l'amitié avait circulé et était revenue au premier rang. En effet elle avait circuler dans l'assistance afin que chacun puisse y mettre quelque chose si il le souhaitait. Que ce soit un fruit ou encore un objet plus personnel. Il fit signe à Melvin de prendre la corbeille et de la déposer auprès de la croix.

Ludovi repensa à sa mère. Elle l'avait quitté, et il se rappelait fort bien cette corbeille. Ce signe l'avait terriblement marqué à l'époque. Il avait mit une matinée entière à choisir les plus beaux fruits possibles.

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--Melvin
Le petit garçon continua d'obéir à l'homme, il prit la corbeille et mit à l'intérieur une pièce que sa mère lui avait donné lui expliquant pourquoi. Ce geste ne représentait pas grand chose pour lui encore, il était trop jeune et pensait plus à son père qu'à cela.

Il laissa ses sœurs faire de même et déposa la corbeille comme indiqué, attendant les nouvelles indications.
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