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Parladou de Prouvènço - La gargote provençale : Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Al1
Beli et Al1 faisaient étape à Aix.
Aussitot arrivé, ils se rendirent à la cathédrale, la publication des bans ne pouvait plus attendre.



La cathédrale semblait se remplir, ils entrerent tous deux pour assister à l'office qui se préparait.
Ils s'installérent discretement tout en admirant le lieu ou allait se dérouler leur union.

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La mort plutot que la souillure
Hersende
Hersende se glissa dans la cathédrale, mince silhouette vêtue de noir à peine visible dans la pénombre de l'édifice, où une cérémonie s'apprêtait semblait-il. Elle ne voulait déranger personne. Elle se dirigea vers les bas-cotés, lut au passage les bans de Belissende et Al1 avec un sourire, se promettant d'assister à la célébration, et s'approcha d'une petite chapelle.

Là elle s'agenouilla et se confondit en prières. Elle prit un cierge qu'elle alluma en pensant à un ami cher dont le destin se jouait sous peu... Qu'Aristote soit avec lui!

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Hersende de Brotel, Còmtessa de Valréas, Baroùna d'Istres
Duchessesherry
Point de temps pour la prière, ni même l'envie de s'y prêter entre les murs d'une église. Pourtant, le hasard d'une rencontre la poussa, même si qu'on lui dise qu'elle devra faire pénitence et se confesser pour avoir aimé, la révolta un brin...

Sur le coup, elle pria pour les couronnés les dirigeant, que tous, croisaient trop peu, et ces fameux politiciens d'ici et d'ailleurs.... Le vent tournera un jour....


Accende lumen sensibus
Infunde amorem cordibus,
Infirma nostri corporis
Virtute firmans perpeti.

Hostem repellas longius
Pacemque dones protinius;
Ductore sic te praevio
Vitemus omne noxium.

**
Deus in adjutorium meum intende
Domine ad adiuvandum me festina

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Hersende
Décidément ses amis avaient besoin de tout le soutien nécessaire en ce moment... Hersende alluma un deuxième cierge pour un ami qui luttait contre la mort et pour lequel elle implora l'aide du très-Haut en se plongeant dans de profondes prières.
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Hersende de Brotel, Còmtessa de Valréas, Baroùna d'Istres
Richelieu1
Ludovi s'avança en direction de l'autel et enchaina :

Mes sœurs, mes frères, nous sommes tous ici réunis pour célébrer le Renouveau. Avant de vous en dire plus à ce sujet, commençons par demander pardon au créateur pour nos fautes. Être vertueux, demande d'expier nos fautes ; Aucun de nous n'est parfait, puisque seul dieu l'est, mais nous devons approcher un maximum de cette perfection si nous voulons prétendre au paradis solaire. Les fautes que nous commettons, nous devons les exposer afin de nous repentir et d'en obtenir la rémission. Cette demande de pardon est un premier pas.

L'archevêque fit signe de se lever, et tourna au ciel ses paumes de mains avant de réciter :



Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution
et la rémission de tous nos péchés.


Mes biens chers frères et sœurs. Louons le seigneur notre dieu. Chantons sa gloire, et notre attachement à lui et au chemin de la vertu.
Récitons ensemble le crédo, cette prière fédératrice, qui constitue notre unité et notre amour pour le très haut.




Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Eavan
Eavan se confessa, suivant la cérémonie à la lettre puis elle enchaina en récitant le crédo avec ferveur. Un peu déçue que si peu de monde ne vienne assister à l'office célébrant le Renouveau, qui était pourtant important.

    Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
    Créateur du Ciel et de la Terre,
    Des Enfers et du Paradis,
    Juge de notre âme à l'heure de la mort.

    Et en Aristote, son prophète,
    le fils de Nicomaque et de Phaetis,
    envoyé pour enseigner la sagesse
    et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

    Je crois aussi en Christos,
    Né de Maria et de Giosep.
    Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
    C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
    Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
    Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

    Je crois en l'Action Divine;
    En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
    En la communion des Saints;
    En la rémission des péchés
    En la Vie Eternelle.

    AMEN

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Drak
Drak hésita. Cette prière, il la connaissait; il l'avait étudiée en pastorale, mais bien qu'il eut finit et réussi l'examen, il n'était pas encore baptisé. Il aurait préféré réciter le credo pour la première fois à son baptême.
Mais être baptisé est une chose; être croyant en est une autre.
Il se décida donc et ouvrant la bouche il proclama avec force et conviction:




Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Il s'arresta est espéra que celle-ci ne survint pas trop vite. Il avait encore des progrès à faire en vertu avant de se présenter dignement devant le Juge Divin.



Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

égarés ? C'est le mot qui convient. C'est pourquoi il ne voulait pas perdre la parole d'Aristote de vue: afin de ne pas s'égarer définitivement.
Puis il reprit:



Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

En récitant ce paragraphe, il ne put qu'être rempli de gratitude envers Christos.



Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN !


Il proclama l'Amen final avec force, comme s'il projetait toute sa vie en Dieu en disant: OUI, JE CROIS EN TOI Ô TRES-HAUT !
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Maxom


Maxom arriva en retard a la Cathédrale, il se mit discretement sur le banc et recita ce que tous était en train de reciter:

Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Adjudant de la Garnison de Forcalquier,
Richelieu1
Après que la foule eut reprit les 2 prières dans une union spirituelle parfaite, l'archevêque enchaîna :

Mes amis, Mes frères et mes Sœurs,

Il y a 40 jours de cela nous étions réunis ici, pour entamer une période maigre, une période de receuillement et de privation. Je vous rappelle ce qui fût dit :


Il ouvrit son livre des vertus Livre III, Les Archanges et le Saints Aristotéliciens ; Les Anciens ; Saint A. Mhour premier Saint de l'histoire



La destruction d’Oanylone qui eut lieu le jour de Mercurii, ne fut que le début de notre punition. Nous l’avons appelé le « Mercurii des cendres ».
Il y avait sept groupes parlant maintenant des langues différentes et se méfiant les uns des autres, mais très peu de nourriture... Notre groupe prit la direction du couchant et marcha quarante jours.
Pendant les quarante jours nous n’avions que très peu pour nous nourrir, juste cette plante étrangement nourrissante alors qu’elle servait en principe uniquement à nourrir les cochon du maître Mayhis, et du pain trouvé sur un des navires qui avaient fui la ville et quelques poissons qui furent réservés aux enfants avant notre départ.
Nous remplacions donc la nourriture par la prière, et les plaisirs par les pénitences. Le peuple se maudissait d’avoir préféré le plaisir à la prière et à la contemplation.


Il est temps pour nous d'achever cette période d'humilité. Il est temps car comme le rappelle le Livre des Vertus, voila ce qu'eut dit Oane lors d'une de ces apparitions :



Mhour, ton fils est le premier né depuis le jour des cendres, tu as guidé ta tribu quarante jours durant dans la privation et la prière sans jamais rien demander pour toi, sache que tes prières ont été entendues et que demain sera un jour gras pour les tiens. Vous arrêterez de vous lamenter sur les fautes des anciens, car Notre Créateur m’a dit « Je le jugerai, en fonction de la vie qu’il a menée » et non pour les fautes de ses pères.

Vous devez vivre l’avenir et non pleurer le passé, sois le guide de ton peuple, et instruis ton fils pour qu’il ouvre la voie qui conduira aux prophètes.
Dieu ne demande que votre amour et vous ne pouvez le lui donner que si vous vous aimez vous-mêmes, que le pardon des fautes soit donné au repentis, mais bannissez celui qui récidive contre la parole donnée.
Demain est un cadeau de dieu, faites la fête car ça sera le jour du renouveau, que les quarante jours passés ne soient pas l’image de votre vie, ne cherchez pas Dieu dans la souffrance, mais souvenez vous d’avoir souffert pour ne pas le perdre. Je vais vous laisser poursuivre votre vie, reposez-vous et faites la fête avec tout ce qui vous reste de nourriture et de vin, car demain sera le jour du renouveau.


Il nous est facile de faire un parallèle avec les 40 Jours que Christos passa dans le désert, à combattre la Créature Sans Nom. Voici quelques échanges entre Christos et la Créature Sans Nom.



[...]

"Arrête-toi, Christos, fils de Giosep, car tu es fatigué. Si tu voulais, tu pourrais rebrousser chemin et rentrer chez toi sans t’épuiser."

[...]

Christos répondit, sans se mettre en colère : " Va t’en, toi qui veux me perdre dans la paresse, je continuerai car le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt ! "

[...]

" Ouvre ton sac, Christos, fils de Giosep, car tu as faim. Mange donc cette viande et ce pain qui t’attendent… tu pourras toujours te réserver les sauterelles pour plus tard. "

Christos répondit, sans se mettre en colère : " Va t’en, toi, qui veux me perdre dans la gourmandise. Je n’ouvrirai pas mon sac car le monde appartient à ceux qui savent endurer la faim. "

[...]

" Qu’attends-tu, Christos, fils de Giosep, pour les rejoindre ? Ne les entends-tu pas ? ces belles femmes qui t’appellent ? Elles sont toutes à toi ! et belles, en plus, mazette ! "

Christos répondit, sans se mettre en colère : " Va t’en, toi, esprit du vice, qui veux me perdre dans la luxure. Je ne détournerai point ma route, car aussi vrai que je te le dis, cette oasis et ces femmes vont disparaître de ma vue. "

[...]

" Vois cette belle ville, et contemple sa richesse ! Si tu voulais, tu pourrais en devenir le maire, avec les talents que tu possèdes. Car en vérité, tu as été capable de jeûner durant toutes ces journées, ainsi que de résister à la fatigue et aux femmes ; ta force de caractère pourrait t’emmener très haut ! "

Alors Christos lui répondit, sans se mettre en colère :
" Va t’en, Esprit malin, qui veux me perdre dans l’orgueil, l’envie et l’avarice. Je résisterai aussi à ces péchés là, car il est petit, celui qui cède à ses pulsions. "


Alors la créature sans nom dit : " Dieu nous a faits ses enfants car nous sommes les plus fortes de ses créatures. Parmi nous, je suis sa préférée, car je suis le plus fort de nous tous. J’ai compris que le fort devait dominer le faible, comme vous les hommes, dominez les vaches, les cochons et les moutons. Dieu nous a donné Sa création pour nous apporter les mille plaisirs du corps et de l’esprit que nous méritons. Y a-t-il un meilleur moyen de Lui rendre hommage autrement qu’en sachant apprécier les plaisirs de Sa création? "

Mais Christos lui rétorqua : "Va-t’en, tentatrice! Ta présence parmi la création est une injure faite à Dieu. Sache que tu n’es pas Sa préférée. Il t’a reléguée dans l’ombre, car tu t’es détournée de Sa lumière. Il ne t’a laissé la parole qu’afin d’éprouver la foi des humains. "

et il ajouta: “Dieu nous a fait ses enfants car nous sommes les seuls à savoir aimer sans rien attendre en retour. Il ne t’a pas donné ce titre, vile créature, car tu n’as pas de cœur, car ton âme est noire comme le jais. Certes, le monde, créé par Dieu, est source de mille plaisirs. Certes, c’est lui rendre hommage que de savoir les apprécier à leur juste valeur. Mais ces plaisirs doivent être dégustés et non dévorés. Seule la vertu, telle que nous l’a enseignée le prophète Aristote nous permet d’apprécier les plaisirs du monde sans tomber dans le vice et le péché.”

Il conclut enfin: “Car le péché est la négation de la perfection divine. L’abandon total aux mille plaisirs s’accompagne du détournement de l’amour de Dieu, alors que le goût simple et mesuré de la création divine ne peut se faire que dans l’amour de son créateur. Alors va t'en!"


Aussitôt, la créature sans nom, qui rampait à ses côtés, disparut, le laissant aux portes du désert. Il avait traversé ce pays de tentations durant quarante jours.


L'archevêque fit ensuite la place, pour que le Sermon soit fait par Monseigneur Uterpendragon.
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Uterpendragon
S’avançant d’un pas léger, Aymé prit place, face à l’assemblée. Il rassembla sa verve, chercha du regard quelques figures connues, et finit par commencer son sermon.

Vous devez vivre dans l’avenir, et non pleurer le passé ! Voici ce que nous dit Dieu, par l’intermédiaire de Mhour. Quoi de plus clair et de plus simple à comprendre, mes Enfants, que cette phrase ? Si nous sommes ce jour rassemblés, ce n’est pas pour se lamenter sur notre sort, bien au contraire. En ce jour, il est nécessaire que chacun de vous comprenne que la vie est tel un bon vin, elle est douce à consommer, parfois froide au toucher, et vous mène à l’ivresse, si vous n’y prêtez pas gare. Mais là est un débat qui n’a pas lieu d’être…

Il y a quarante jours, nous avons fêté le mercredi des cendres. C’était un jour de repentir, où chacun devait bien saisir quelles étaient les fautes de l’humanité, qui avaient été commises à l’époque d’Oanylone. Aujourd’hui, ce n’est plus cela que nous honorons . Cette fête du Gras Renouveau – qui porte finalement bien son nom – représente l’aboutissement d’un travail de longue haleine, de sacrifices. Elle représente la joie et l’allégresse ! Mais, chers Amis… Avez-vous, comme Christos, marché dans le désert, résistant aux tourments de la Créature Sans Nom ? Vous êtes vous battus pour survivre, comme les rescapés d’Oanylone ? Méritez-vous de fêter ce renouveau ? La réponse est oui ! Dieu ne vous demande pas de ne pas pécher, car cette perfection ne nous est pas réservée. Dieu nous demande de l’Aimer… Et d’Aimer son prochain. C’est cela qu’il nous faut comprendre, et c’est pour cela que vous festoierez, comme chacun ici ! Et au nom de cette Amitié que je prône, je vous supplie de continuer sur cette voie, et de ne jamais l’abandonner.



Puis, il se recula et laissa la place pour la communion... Espérant qu'au moins, on aurait le droit à des petits pains... Bah, l'espoir fait vivre !
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Thrandhuil
Un étrange et lancinant grincement allait s'amplifiant, en provenance du Parvis.
Après le sermon d'Uterpendragon, le silence était souillé par ce bruit des plus énervants.

Sriii scruii

Sriii scruii

Sriii scruii

SCRIIII SCRUUiiii



Puis un curé, en nage, poussiéreux, poussa les portes de la cathédrale.


Ouf, juste à temps.

Essouflé, il s'adressa doucement mais fermement à quelques rudes gaillards endormis au fond.

Toi, et toi, là, et puis toi aussi! Venez avec moi, j'ai besoin d'un coup de main.

Rangée près du tas de bois à coté du presbytère, une chariotte, lourdement chargée, provenant directement des mines de Marseille, attendait que l'on décharge son précieux chargement.


Vite, les gars, apportez moi ça près de l'autel. C'est le moment.

Doucement, n'allez point me le gâter, c'est du très bon!



Puis le Père Thrandhuil rentra dans la cathédrale, et, s'époussettant, vint rejoindre Uterpendragon.

C'est bon, je peux y aller?
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curé de Marseille
Thrandhuil
Enchainant sur un signe de tête d'Uter, le père Thrand s'avança et s'adressa aux nombreux fidèles venus assister à l'évènement.
L'heure du renouveau a sonné, aussi je vous invite à vous approcher et à communier avec nous, en partageant le pain et le vin.

Que Sainte Boulasse nous garde des excès, tout en nous accompagnant dans le partage des bonnes choses.



Comme nous disait si bien Sainte Boulasse, «C’est pas parce que la communion est gratuite, qu’il faut se moquer des fidèles et distribuer du picrate» ! Je vous invite donc à venir célébrer l'amitié aristotélicienne autour de ce vin de l'Abbaye de Flavigny, vieilli dans les min, euh, dans les caves de Marseille, sous la vigilence d'une spécialiste en qui l'Eglise a su placer sa confiance.



Allez en paix, mes enfants.



Et n'oubliez pas! Samedi, je vous attends nombreux ici même pour une grande occasion!..

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curé de Marseille
Richelieu1


Ayant bu une gorgée de ce vin délicieux et après que chacun eût eu son pain Ludovi prit la parole.

Chers Amis, je vous remercie d'être venus si nombreux assister à cet office. En espérant que cette année continue bien et que le renouveau soit dans vos vies pour longtemps ...

Ludovi inclina la tête, et déclara, d'une voix forte :

Allez en Paix !

Il traversa la nef et se rendit sur le parvis, tandis que les cloches tintaient afin de saluer les fidèles présents.

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Thrandhuil


Mariage de Beli et d'Al1







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curé de Marseille
Thrandhuil
Le père Thrandhuil vint, la veille du mariage de ses amis de Forclaquier, pour préparer un peu la cathédrale.










Quand il s'estima satisfait du résultat, il ouvrit grandes les portes, afin que les invités commencent à arriver et à s'installer. A l'entrée, le père Thrandhuil les attendait.
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curé de Marseille
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