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[RP] Anoblissement de Lady_eden (27/11/1461)

Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.



Le doigt de l’impétrante de la soirée se pointa, accusateur, sur la petite vieille déguisée.
Par réflexe, Gilda se retourna pour voir si personne ne se cachait derrière elle.

Non, c’était bien elle qui voulait épouser Gondooloooooooo !

Dans l’absolu, elle n’avait rien contre ... Un mariage à son âge était inespéré, mais elle aurait aimé apprécier quelques qualités de son futur mari à savoir et dans l’ordre :
- Sa virilité, elle aimait que le matériel soit conséquent et fonctionne à la demande.
- Son âge, elle n’aimait pas les vieux et passé 30 ans, les hommes perdaient rapidement de leur saveur aux yeux de Mémé.
- Sa fortune car elle savait depuis longtemps que les écus aidaient considérablement au bonheur du couple …

Elle fit donc un pas en avant espérant qu’on lui présenta son promis.
Enjoy
    Entre ciel et terre, entre nuit et jour. Une chevauchée hâtive, une monture fourbue, une destination plus ou moins connue. L'Armagnac, le Sud et ses terres maintes fois écumées. Il y avait un air de nostalgie, de souvenirs juvéniles. Comme si le destin s'amusait à remonter la boîte du temps. Le souffle glacial de la bise embrasse son visage, s'insinue dans les moindres parcelles de ses vêtements. Sa tenue classique. Noir sur noir. Une teinte de rouge, histoire de ne pas paraître trop lugubre.

    L'invitation claque encore dans l'air. Mesquine, légèrement. L'italienne était encore pucelle des cérémonies du genre. Et les fréquentations nobliaires n'étaient pas réellement un distraction. Plutôt un chemin de croix. Les lieues se firent avaler d'une traite ou presque. Une halte ou deux, un changement de canasson, une remise en route. Bientôt le Castel pointa le bout de sa couronne de pierre, la Lionne se laissa glisser sur le flanc de l'animal. Flattant son encolure pour service rendu. Elle pénétra dans la bâtisse, sans gêne. La dernière fois qu'elle eut été conviée à un événement de sang bleu, ce fut aux côtés du Feu Roy Eusaias et de quelques pairs de France... Pas vraiment un bon souvenir quand on y songe.

    Son regard sombre scrute les forces en présence, prenant ses distances avec le reste de la cour. Un peu comme une bête sauvage se terre dans l'obscurité ou dans un recoin. Prête à grogner, à montrer les crocs si l'imprudent vient la tenter. La Bella donna se fera sociable plus tard. Pour l'instant, elle reste cloîtrer dans son expectative, dans son attente. Profondément silencieuse. Un geste, une preuve de politesse suite à une demande des plus courtoises.
Sandino
.
Complice de toujours du bohémien, Zézé fait son entrée dans la scène de famille en se faisant la protectrice de la future victime qui a entre temps reçut le soutien d’une jeune fille qui lui tient la main.

Parfaite inconnue pour Sandino, il fixe un instant la chevelure aux reflets mauve de la jeune fille pendant que sa compagne gronde, quand au moment où il va réagir à la provocation, entre en scène la personne qu’Eden pensait pouvoir se servir pour le faire dévier de son but.

Déstabilisé par l’irruption de l’invitée surprise dans l’affaire en cours, le bohémien la détaille en la regardant approcher, puis s’exclame.

- Mamma mia !! ché paura !! quelle peur !! j’ai cru à l’attaque d’une dinde géante de Boulgravie !!

De nouveau face à Zézé qui fait rempart de son corps, il lui fait remarquer que la vieille ressemble à une cardinale du BA bien connue et profite que cette dernière regarde la femme pour foncer sur Eden, la jeter sur son épaule et partir le plus vite possible avec son fardeau, tenant de sa main libre celle de la fille aux cheveux mauve laquelle n’a pas réussi à l’empêcher de se saisir de sa grande sœur.
.
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Henora_mac_artney
Italie1Ecosse1



La donne changea en une seconde puis encore et encore. Décidément c'était journée revirements de situations mais personne lui piquerait sa soeur. Non mais ils avaient crus que c'était une ado banale qui s'extasiait devant les troubadours à la mode en criant " patricccccck".

Que nenni la violette la seule chose qu'elle crie c'est Eden en signe de protestation et d'indignation. Et le geste de la mise sur l'épaule déstabilise le bras du chardon qui se hisse sur la pointe de sa botte pour pas lacher la main de sa soeur. Mais l'accélération entraine une chute en avant irrémédiable de la mini picte.

Et la voilà qui en tombant s'accroche aux braies du parrain ce qui entraine undéséquilibre de l'ensemble.




Les regards vers eux sont médusés et Hénora espère que sa soeur lui en voudra pas. Elle avait promis pas de bêtises et voilà qu'elle se retrouvait au sol, les mains accrochées à des braies et pas n'importe lesquelles celles de son parrain, son Dieu...

Elle lacha tout et se releva rapidement pour tendre sa main vers l'homme et lui dire


Hénora, enchantée


Avec un peu de chance ça noiera le poisson...
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Lanceline
- Ma Dame.

La Balafrée tourna la tête, se détachant de la ruelle en contrebas. Elle ôta sa main du cadre de la fenêtre, avant de faire tout à fait face à Suzane.

- Une lettre vient d'arriver.

Citation:
Ma fiancée!

Ce jour ne saurait être sans toi!

Je t'attends....

Eden


Sourire de la Valdesti.

La route de Guyenne jusque l'Armagnac était longue. La servante contemplait, embêtée, sa maîtresse qui dormait en face d'elle tandis que Gabriel s'agitait dans ses bras à elle. Et pourtant elle n'osait pas la réveiller. Suzane avait été très claire : à chaque moment où la Dame dormait, nul ne devait la perturber sous peine d'avoir à faire à la gouvernante. Et elle ne plaisantait pas, la bougresse.

Toutefois, lorsqu'ils furent arrivés, il fallait bien qu'elle émerge...


- Pssst !

Et elle dormait si bien, la Blonde. Trop bien.

- Pssssst ! Vous êtes arrivée !
- Encore un peu...
- Madame ! Vous êtes en Armagnac !
- Eusaias attendra bien encore un peu...
- Eusaias ?!


Elle se redressa. Eusaias ?! Mais, il était mort et enterré, celui-là ! -Arnaut aussi, d'ailleurs.- Se rappelant que c'était pour Eden, elle acquiesça, avant de se passer une main dans les cheveux. Remettant ses mèches en place -non, non, pas sa perruque, elle n'était pas encore SI vieille- elle s'assura d'un bref coup d’œil que son fils allait bien. Sortant de la voiture, Gaspard lui ayant ouvert la porte, elle prit le temps de déplisser sa robe.
Et puis elle prit son fils contre elle, avant d'entrer, enfin. Son fils, sa dernière bouée pour lui éviter de se retrouver noyée dans cette marée humaine.

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Lady_eden
Le chamboule tout vous connaissez? oui?
Mais à la sauce Italo Écossaise je suis sure que non!

Alors pour une cérémonie réussie voir inoubliable!
Vous prenez un trait de gitan Vénitien complétement siphonné façon Spritz
Une double dose de mini Picte pur malt accrochée aux culottes du 1er
Un zeste de vieille rousse qui sent pas la rose
Et vous finissez par une tranche de Lady à vif.
Secouez le tout.

...

Plus fort!!!

Et admirez la tête des invités éberlués....

Alorssssssssssssssssssss on dit merci qui?????? Hmm????



La tête de la brunette avait glissé sous les jupes de la vioc, après le choc de l’enlèvement, la main a demi arrachée par mini bulot qui s’agrippait, la chute contre le parquet, bah oui Sandi était quand même assez haut, ouvrir les yeux et se trouver nez à mollets grêles et poilus de la béarnaise qui cherchait son Vénitien potentiel futur fiancé, ça achève.
Après les étoiles, les lapins et autres trucs imaginaires la brune en plein trip post traumatique entendait une

drôle de musique
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Marieladamnee
Marie assistait à la scène avec amusement. Finalement le premier rang avait du bon, de là bas au fond elle n'aurait rien vu du spectacle ni de l'arrivée de la plus belle des italiennes.

Mais finissons avec la comédie d'abord. Des cris, de la fureur, un placage comme elle n'en avait plus vu depuis des années et vu la taille d'Hénora c'était spectaculaire. Elle avait envie de se lever et d'applaudir, c'était frais, divertissant... mais vu la tête des invités elle s'abstient. Se contentant de garder son sourire aux lèvres.

Elle se leva pour rejoindre la 3 ème écossaise. Elle ébouriffa les cheveux violets en passant en lui murmurant un " bien joué ", grimaça en voyant la Lady à l'ouest et pria pour que quelqu'un enlève la vieille chose pour que ce ne soit pas la première vision d'Eden à son réveil. Elle aimait les femmes mais là ça dépassait tout, c'était juste pas possible et puis argument imparable elle avait promis fidélité alors non elle ne pouvait pas toucher la vieille même pour la décaler de quelques mètres. Qui a dit qu'elle était de mauvaise foi. Elle pensa au corps gracile de sa byzantine et sourit plus fort puis revint sur terre le regard toujours porté sur l'ancètre et pris la fuite jusqu'à l'endroit d'ou Enjoy regardait le monde.


Une Star était invitée et on ne me l'a pas dit..

Elle sourit taquine à la brune avant de rajouter

Heureuse de te revoir. Je pense qu'Eden te dirait la même chose si elle était en état.
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Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.



Alors qu’elle attendait, salive aux lèvres et entrejambe humide, l’arrivée de son futur amant italien, ses jupes se mirent à voler …

Stupeur !
Etonnement !


Voilà bien longtemps, trop longtemps, que quiconque n’était allé fouiller sous ses jupes ! Et plus longtemps encore qu’une femme n’avait joué l’exploratrice…

En toutes circonstances garder un air altier.
Ne jamais donner l’air d’être surprise.
Telles étaient les règles d’or d’une femme du monde.

Et si beaucoup en doutaient, Gilda était une femme du monde ! Du sien tout au moins …

Elle baissa la tête vers la jeune femme qui gisait entre ses jambes et lui tendit la main.


Promis, jeune fille … Je vous donnerai l’adresse de mon fabriquant de lingerie.



Mince, pensa-t-elle … Si j’avais su j’aurais mis une culotte propre !
Sakurahime
Ce fut un sourire quelque peu gêné qui naquit sur les lèvres de la Blanche en réponse au cadeau tendu.
La comtesse l'avait surprise, à ça oui, car elles ne se connaissaient que peu, même pas du tout, sauf ce que Riwenn pouvait dire de l'une ou de l'autre à l'une ou à l'autre.


Et bien en vérité, ce n'est pas tout à fait cela...
Je n'ai pas eu de fille, mais un garçon et ... il n'était pas seul.
J'ai eu des jumeaux qui dorment comme des bienheureux à l'Auberge du Château.


Un nouveau sourire, plus détendu.


Je vous remercie pour cette délicate attention Votre Grandeur, cela me touche énormément, même si je crains que l'un ou l'autre ne s'intéressent à l'objet que je ne puis donc accepter.
Votre sollicitude me va droit au coeur et je ne saurai l'oublier de sitôt.


Et c'était on ne peut plus sincère!!

Et vint alors une nouvelle, une de celles qui donnent toujours le sourire.


Et bien toutes mes félicitations! j'espère que votre grossesse se passera aussi bien que la mienne.
Comment vous portez-vous? point trop nauséeuse?


Et quant on parle maternité, le futur père fini toujours par se pointer, et Riri ne faisait pas exception.

Votre Grandeur!

Elle allait ajouter que les félicitations s'imposaient mais n'en eu pas le temps.

Plus qu'une bataille... vous n'avez pas idée... non difficile d'imaginer un truc pareil... mais merci beaucoup, je vous avoue avoir hâte d'aller les retrouver!

Elle n'eut pas le coeur de lui dire ouvertement qu'elle était déjà au courant de la nouvelle de sa future paternité.

Je vous l'espère, tant pour elle que pour vous! ajouta-t-elle d'un air malicieux.

Une femme entra, enfin plutôt deux.
A priori, elle le compris plus tard, la future ennoblie.

Puis les invités arrivèrent...
Elle pensait avoir ouvert des portes, mais en fait de portes, c'était des vannes qu'elle avait laissé béantes!
Les invités se succédaient sans discontinuer, en un flot impressionnant. Et c'était vrai que ça l'était, elle avait rarement vu autant d'invités pour une seule cérémonie!
Son oeil aguerri lui permit de reconnaitre Aigue, et une pointe de nostalgie qu'elle repoussa avec volonté l'étreignit à l'idée que dans quelques jours le BA serait loin derrière elle et pour de bon.
Il était bon de la revoir même si elles ne se connaissaient pas intimement.

Un autre visage connu apparu quelques minutes plus tard, celui de Zézé, la gitane, dont elle avait pu apprécier les contes et le talent.
Tout la ramenait au BA décidément, mais après tout, c'était logique.
Elle la salua d'un sourire appuyé et d'un signe de tête.

Erasme, enfin le Comte régnant, et son épouse, Abrie, avaient également fait le déplacement.

Elle répondit à son salut comme il se devait, d'une révérence courtoise - elle le pouvait à nouveau, et les laissa prendre place.
Les invités continuaient à entrer, et elle eu la pensée étrange que la prochaine fois, elle ferait prévoir plus de fauteuils.

Puis la situation lui échappa, si tant est qu'elle eu à un moment maitrisé les choses.
La borgne ne pu qu'assistée, médusée, à de drôles d'échanges, et autres glissades entrainant sans conteste une vue imparable et peut-être impayable - c'était à souhaiter - sur les dessous d'une vieille peau.
Laquelle aida la future noble à se relever.

Peut-être était-il temps de commencer, et tant pis pour les retardataires?


Dame Lady_Eden?
Etes-vous prête?

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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!
Aphykit
Tohu-bohu en salle du trône, la situation était surréaliste, drôle, elle se mordit les lèvres pour ne pas éclater de rire, elle en aurait dansé tant elle trouvait la scène cocasse.
Elle dut se violenter pour rester concentrée, et garder son sérieux, paraître digne.
La tête de Mémé valait de l'or, elle paradait, resplendissait, brillait de mille feux. Un maître portraitiste aurait pu y découvrir toutes les facettes de la jubilation.

On assistait à l'avènement de Madame Sans-Gêne, au triomphe de la gouaille.
Enfin, elle continuait à se demander ce que Gilda faisait là, et pourquoi venir incognito.
Il faudrait qu'elle s'entretienne avec Mémé, un peu plus tard. Pour l'heure, elle se devait de faire bonne figure.

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Aiguemarine
Qui a dit qu'avec Eden, la vie était fade ?! Pas Aiguemarine en tous les cas.
Malheureusement ou heureusement, avant – tout dépend de quel côté l'on se place - qu'elle n'aie pu répondre à Zeze, le Sandino avait recouvré la parole.
& en grand « Comédian Del Arte » menaçait l'Ecossaise des pires sévices corporels.
Bon, bien qu'elle l'ai aussi un peu cherché hein en ne précisant rien au couple de gitans, il était hors de question de laisser le Vieil Italien lui faire sa fête en public.

Zeze l'avait bien compris, & s'était naturellement mise entre Sandino & Eden, hurlant à son tour contre son compagnon.

La Brune Italienne souriait, amusée par la situation.
Sauf qu'elle était très loin d'imaginer que Sandino veuille enlever sa filleule !
Nandidiou, mais keskilfaitlà ?!
Relevant légèrement le bas de sa splendide toilette & faisant signe à Zeze de la suivre, Aiguemarine se lança à la poursuite du vieux schnock en pestant comme toute bonne Italienne qui se respecte :


«* Sandiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinoooooooooooooooooooo !!! Stoooooooooooooooooop !!
Ma dove contavo tu andata vecchio mascalzone ?
Questo non è né un matrimonio, né una riunione di vecchi, ma un annoblissement di cui tua figlioccia è la principale attrice. Allora, riposi là per favore ! »


Quoi ?! L'es déjà à terre la Lady ?!
Ah ...ouais...
Léger moment de flottement.
Allez, on se reprend.

….

Oh, tiens une Lanceline qui pousse la porte de la salle du trône.
Un sourire & un léger signe de tête envers la Bordelaise.
Décidément, cet annoblissement était plein de surprises.
& Saku, enfin le Héraut qui lance les hostilités en s'enquerrant de savoir si la Lady était prête.
Assez cocasse tout ça.
Il devenait urgent de l'extirper de ses songes à la semi-Ecossaise.
Contre toute attente, ce fût la vieille peau qui semblait s'en charger.
A demi soulagée, Aiguemarine attendit de voir la suite des évènements.
Pour sûr, cet Annoblissement resterait parmi les meilleurs qu'il lui eût été permis d'assister.





* « Mais où comptais tu aller vieux chenapan ?
Ce n'est ni un mariage, ni une réunion de vieux, mais un annoblissement dont ta filleule est la principale actrice. Alors, reposes là s'il te plaît ! »

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"Non, mais allo quoi !! T'es noble & t'arbores pas ton blason ?"
"Ca vienttttttttttt bientôt !"
Acar
Une odeur familiesre... Un fumet qui lui en rappelle un autre.. Ailleurs...

Son nez s'ouvre, tout en desgageant la teste vers la dextre pour faire un signe à son aimée...
"Je reviens".

Ainsi le tarin aesrien, la persistance se faisait. Forte, capricieuse, tendue.
Assuresment, ce fumet lui estait familier...

Saluant vivement de la main senestre ou d'une accolade, il avanscait de long en large pour se diriger... Iscelieu esmanait l'arosme, plus fortement... Une odeur de soupe.

Il pivota les espaulées et chercha le porteur de l'esffluve. Point elle... Point lui... Ni elle, ni lui.

Puis, plus la peine de chercher. Il venait de trouver, grasce à son nez... Et ses yeux n'en revenaient pas.

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Abriellyn
Elles se comptent sur les doigts d'une main les cérémonies en salle du trône où Abrie s'était rendue par envie. Et miracle, cette fois elle était même excitée à l'idée de s'y rendre. D'une parce que c'était encore une allégeance à Fifi, et par prolongement Riri. Et elle savait qu'avec eux l'action était au rendez vous. De deux parce qu'elle adorait Eden, cette jeune femme explosive l'avait conquise. D'ailleurs ne partageait-elles pas la place de tavernière ensemble? Et de ce fait le proprio? Abrie avait compris derechef qu'Eden voulait son moustachu et elle était prête à partager, vous dire si elle appréciait la jeune femme! Et de trois, parce qu'elle connaissait les buffets des Castel Vilar, c'était toujours une tuerie la bouffe chez eux. Et son mari vous dira qu'en ce moment la bouffe était limite ce qui la préoccupait le plus. Ils n'avaient point fait d'annonce, même au vioc et pourtant Eden avait deviné, à croire qu'elle avait des antennes pour voir au dedans des gens la vilaine.

Descendue du carrosse, elle réajusta sa coiffe et sa robe malmenées quelque peu par le voyage. Une main dans ses cheveux pour replacer ses boucles et la voilà qui cramponne le bras de son époux. Connaissant le castel comme leur poche, en moins de deux les voilà devant la salle du trône. Main dans celle de son mari, elle le suit. Plus à l'aise qu'elle dans ce genre d'événement. Elle sourit à la vu du monde déjà présent. Pratiquement que des têtes connues.

Bonjorn à tous. Heureuse de vous voir.

Abrie salua d'un signe de tête tout le monde, sauf la star du jour et sa soeurette qui furent gratifiées d'une bise affectueuse. Quand Era ouvrit la bouche, elle manqua de perdre une de ses machoires. La mariée? Etait-il devenu fou? Elle secoua discrètement Era, peut être que Riri s'était glissé dans ce corps et qu'il allait sortir. Puis amusée, elle décida de répondre.

Elle est devant toi chéri, on ne t'a pas prévenu que tu changeais d'épouse? Mais si on en a parlé l'autre soir tu te souviens?

Et la pas le temps de répondre que tout parti dans un bordel incommensurable. Les arrivées se firent limite par troupeau. Eden ensevelie sous les saluts, les accolades.. Elle allait tirer Erasme sur une chaise, c'est qu'elle commençait à avoir les jambes lourdes, pas facile d'être deux dans le même corps, quand un ouragan souleva Eden pour l'emmener vers d'autres cieux... Enfin en théorie parce qu'en pratique en moins de deux en plein milieu de la salle du trône il restait plus qu'un tas de bras et de jambes. Abrie pencha la tête essayant de savoir quelle partie de corps allait avec telle ou telle personne.. sans succès avant qu'Henora ne se relève.

Entendre parler en italien lui rappela nostalgique Octave et sa famille.. Parlaient-ils ainsi? Saku comme d'habitude remit tout le monde au pas. La situation était cocasse, demander si Eden était prête alors qu'elle avait la tête sous les jupons d'une dame, hum hum. Un sourire amusé sur les lèvres, elle se pencha vers son époux pour lui souffler:

Je crois que le couple de vioc va encore nous offrir une allégeance pleine de promesses. Si on allait s'asseoir je veux pas être dans le fond on verra rien du spectacle. Promis on repart avec Eden à Aussat après, t'auras tes deux femmes.

Taquine? Non si peu pas du tout le genre de la maison. Elle ponctua sa phrase d'un doux baiser sur ses lèvres. Après tout l'assemblée n'était pas particulièrement coincée bien au contraire, alors pourquoi se priver?

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Hog
L'agitation se faisait de plus en plus forte et hog du se résoudre a cesser un moment ses roucoulade avec sa brune. Remontant ses manches et le bas de ses braies pour se préparer a foncer dans la mêlée l'irlandais tel un taureau chargeant un troupeau de sorcières en furie se précipite vers le ce qui semblait être l’œil du cyclone.

Stoppé net par la vision les gesticulation transalpines de sandi et les écossaises les quatre fers en l'air, il ne pu réprimer un léger fou rire en voyant la scène et pensant a son arrivé quasi grand-guignolesque.

Et bien alors on s'amuse sans moi?

Saluer Sandi quand même et une bise a sa tendre

Comment va dieu ces temps ci?
Madame sa femme est resplendissante en tout les cas.
Heureux de vous revoir.


Un léger sourire narquois en direction de l'attroupement et faisant mine de prendre son élan...

Bon c'est celui qui en fait le plus tomber qui gagne?
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Un homme de caractère n'a pas bon caractère.
Sandino
Un peu sonné, étalé de tout son long, face contre terre, Sandino riait et grimaçait à la fois. Rapidement il avait pris la main que lui tendait l’adolescente à la chevelure mauve.

- piacere Hénora, moi c’est Sandino, on peut dire que c’est la chute de l’histoire cette fois, tu peux m’aider à me relever, c’est plus de mon âge ces jeux là.

Arrivé à la rescousse, Hog prête main forte à Hénora pour relever le bohémien qui grimace en se mettant sur ses jambes avant de faire une accolade chaleureuse à son ami.

- ha !! votre sainteté vous arrivez à point nommé, que serait un dieu sans l'aide de ses saints, merci d'aider le sacré à retrouver sa place dans cette mascarade, daï allons voir notre sainte patronne.

La main d’Hénora toujours dans la sienne le bohémien l’entraîne en direction de Zézé tout en lui parlant.

- Vieni con me picolina, on va laisser Eden faire face à ses engagements dont je pense avoir compris la nature, je suis le patriarche du clan gitan des Romané Chavé, nous sommes une grande famille et ta sœur Eden est des nôtres vu que bon nous sommes comme ses parents Zézé et moi, c’est bien ta sœur au fait ?… oui, ben dans ce cas tu es des nôtres aussi, enfin si tu le veux.

Arrivés devant Zézé, le bohémien la lui présente.

-fleur de bruyère voilà Zézé, la chef de la famille étant donné que moi je suis pas assez sérieux pour ças’adressant cette fois à la bohémienneQuérida voilà Hénora la sorella d’Eden que je nous propose d’adopter.


Présentations faites, il leur fait signe qu’il faut maintenant faire silence et laisser la cérémonie se dérouler.
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