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[RP] Anoblissement de Lady_eden (27/11/1461)

Henora_mac_artney
La main dans celle du Dieu gitan elle suivit encore un peu sous le choc. Le poisson avait bien bu la tasse, mais était il bien noyé. Elle s'en tirait plutôt bien pour l'instant, sa soeur n'étant pas en état de la fesser devant tout le monde pour double crime de lèse-majesté et pour vision d'horreur. Enfin elle verrait ça plus tard pour l'instant elle se laissait entrainer vers l'épouse de Sandino dont Eden lui avait aussi déjà beaucoup parlé. L'adopter mais qu'est ce qu'ils avaient tous à vouloir l'adopter, déjà la douce Abrie voulait l'accueillir chez elle pour s'adapter à une vie de chateau mais dans le cas présent c'était somme toute assez logique la famille de l'une est la famille de l'autre. Et quand elle pense à sa famille en Ecosse elle se dit qu'après avoir changé de nom, elle peut bien changer de famille aussi.

Oui c'est bien ma soeur, par notre père même si je ne le connais pas et que nous l'avons appris il y a peu. Mais depuis qu'on se connait il y a toujours eu un truc spécial du coup ça s'explique.. Et j'en serais ravie, c'est déjà le cas par extension je suppose.

Le mélange Italo- écossais semblait plutôt reussi quand elle voyait sa soeur ou Enjoy alors l'idée la séduisait et parler italien avec son accent écossais ce serait trop fort pour courtiser les donzelles. Elle sourit à la Reyne Gitane quand il la lui présenta et tendit sa main disponible.

Enchantée de vous connaitre, Eden m'a beaucoup parlé de vous et de toutes vos qualités.

Elle en fait un peu trop ? Non si peu, puis bon c'est Hénora hein faut pas demander qu'elle fasse dans la demie mesure surtout après le spectacle offert même si le placage était plus une maladresse qu'une vraie volonté. Mais pour l'heure elle fait silence, écoutant déjà le patriarche. Hénora qui obéit comme ça ? Humm suspect... Un chardon qui ne pique pas est un chardon qui cogite... Et ça...
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Zeze5
Un moment de peur s'empare de Zézé en voyant le plaquage de son homme, c'est qu'il n'est plus très jeune son Sandino. Mais il se relève vite avec l'aide de Hénora et de Hog.
Zézé sourit au compliment de Hog et lui rend la bise qu'il lui fait, pas parce qu'elle la refusait , mais chez les gadjé fallait rendre une bise quand on t'en donnait une ... allez savoir pourquoi, les gitans eux garde tout et en donnent une autre.

- Ravie aussi de te revoir Hog !!

Puis c'est au tour des présentations de la championne de soule. Zézé regarde Hénora sans sourire, la fixe dans les yeux, fait le tour de la jeune fille en la détaillant de bas en haut et de haut en bas. Puis lui fait face.

- Hénora, tu entres ce jour dans la Kumpania ... la famille ! tu es bien jolie, tu feras le bonheur d'un homme du clan à qui tu devras soumission et respect. On va t'apprendre à cueillir des poules qui errent sur les routes, à fouiller les poches des gens sans te faire prendre ... enfin tout ce que doit savoir une fille du clan !!

Plus Zézé parlait et plus le visage de Hénora changeait, cherchant Eden d'un regard apeuré. La gitane éclate de rire.

- Je plaisante, Hénora !! être adoptée ne t'engage en rien, mais tu dois savoir que tu peux faire appel à nous à tout moment !!
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Lady_eden
La vue sur la culotte fendue était imprenable, la brune se dit tout de même qu'elle avait eu du bol que la vieille ne soit pas totalement nue sous sa robe sinon son pauvre cœur n'aurait pas résisté.
Mourir jeune aurait été la seule solution avant de finir comme ça..
Une main fripé s'agita soudain et une voix lui parvient lui causant chiffons...puis une autre plus sévère


Dame Lady_Eden?
Etes-vous prête?


La vielle était deux?? La mère de Queen était héraut???
Bon d'accord tous ses neurones ne font pas bien les connexions, le choc tout ça....le public comprendra.
Légèrement ébouriffée la future noble émergea de sous les jupes, regardant inquiète la rousse puis les gens autour.


Tout avait l'air normal, enfin presque, la dame à forte poitrine semblait l'attendre, Hog voulait jouer à la soule, Héno partie avec Sandi et ça c'était dangereux connaissant la folie des deux, Aigue agitait les bras et ohhhhh beurdel....Acar reniflait la vioc????
Les autres semblaient bien rigoler, plus ou moins discrètement, même Abrie!
Pour sur cela devenait le Cirque de la lune ce truc.

Se relevant tant bien que mal, le nez bouché, la houpe de travers, la natte en bataille, la brunette s’époussetait, tentant de retrouver un semblant de dignité quand, un malheur n'arrivant jamais seul, elle vit au fond les mèches blondes de Lanceline...
A ce moment là elle aurait bien replongé dans le giron de la maquerelle.

Line... sa fiancée par erreur, sa soirée au Lapin Rose mais Borgne, les ravages de l'alcool, le vol des bottes en peau d'anguille fumée, bref elle allait devoir expliquer cela a ses parents adoptifs et là....
Sandi allait piquer une crise qu'elle eut perdu les bottes...
La Picte croisa discrètement les doigts que la blonde ne raconte rien .. à personne....

Pas loin d'elle Marie faisait du plat à Enjoy qui avait pu se libérer, au pire les deux brigandes pourrait faire diversion si la brune devait s'enfuir à toutes jambes.

Pour l'heure elle se plaça devant Blanche et après avoir marmonné un merci a la dame rousse, elle respira a fond.



Je suis prête Dame...enfin...je crois....
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Sakurahime
La pauvre future vassale n'était pas à la noce, ou l'était trop, tout était question de point de vue et de dosage.
Non pas que la borgne n'avait pas vu sa situation, mais elle avait espéré que son intervention et le lancement des hostilités lui accorderaient un peu de répit.

Finalement, elle se retrouva sur ses deux jambes face à elle, tandis que Firielle s'installait à ses côtés.
Il était donc l'heure...


Je suis prête Dame...enfin...je crois....

Elle planta sa mirette dans celles de son interlocutrice et tenta de lui insuffler un message rassurant.

Détendez-vous, je serai là pour vous aider au besoin, et vous n'êtes pas seule je crois, dit-elle d'un air taquin.

Puis prenant ses caducées, elle en frappa le sol d'un coup sec et sonore, avant de prendre la parole pour son petit discours d'introduction bien rodé et chiant à souhait.

Nous allons procéder à l'anoblissement de Dame Lady Eden, selon la volonté de la Vicomtesse de Gimoez, Firielle de Castel Vilar de la Duranxie.
Celle-ci après que sa future vassale ait ployé genou devant elle, lui demandera si elle accepte de devenir sa féale femme.
La future ennoblie devra alors répondre par l'affirmative ou par la négative.

Si elle accepte, elle devra alors prêter allégeance à sa suzeraine, en lui promettant aide armée (auxilium), fidélité (obsequium) et conseil (consilium), qui sont les devoirs du vassal. Je précise que ces trois notions sont indispensables pour la validité du serment.

Puis la suzeraine répondra en retour au serment en assurant protection, justice et subsistance à sa vassale, qui sont également les trois notions essentielles à la bonne marche de l'ennoblissement.

Il n'y aura plus qu'à sceller l’allégeance par un baiser de paix ou une accolade vassalique et l'anoblissement sera valide dès le moment où j'aurai scellé le contreseing attestant de la cérémonie.

Je précise enfin qu'il s'agit là d'un anoblissement issu de mérite, et non de mérite. La future anoblie deviendra vassale de la couronne de Gimoez, non d'Armagnac et Comminges!


Elle adressa un sourire d'encouragement à la future noble.
Être anobli n'avait jamais tué personne, et c'était bien moins pire que de se retrouver à reluquer sans le vouloir les dessous peu glorieux d'une mère maquerelle sur le retour.


Dame Lady Eden, je vous à venir ployer le genou devant la Vicomtesse de Gimoez!

Avant de se tourner vers Firielle...

Vicomtesse, si vous désirez prendre la parole avant cela, nous vous écouterons avec plaisir, sinon, Dame Lady Eden, vous pourrez prononcer le serment qui vous liera à la Vicomtesse, si vous acceptez l'honneur qui vous est fait, bien entendu.
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Capitaine de l'Ordre de la Dame Blanche. Mes journées n'ont que 24h et je ne peux pas me dédoubler, merci de ne pas l'oublier!
Firielle
Firielle n'en croyait pas ses yeux, qui était tout ce monde qui défilait, c'était bien la première fois qu'autant de personnes se déplaçait pour un anoblissement.

Saku la remercia de son cadeau mais ne put le conserver, ce que la blonde comprit, elle ordonna à un valet de le récupére. Après tout, elle allait avoir un enfant elle aussi, peut être qu'une fille allait pointer le bout de son nez.

Blanche fit débuter la cérémonie et invita Firielle à prononcer quelques mots.


Chère Lady Eden,

Je t'ai connu à la fin de la guerre contre Eusaias le fol, même si tu es arrivée trop tard, ton courage et ta détermination à vouloir protéger l'Armagnac et les Comminges ne sont pas passés inaperçus à mes yeux.
Puis le temps a fait tourner la roue de vie, comme l'eau celles des moulins, et nous sommes restés en contact, voyant une amitié émerger.
D'autres de tes qualités ne m'ont pas laissé indifférente, tu es serviable, loyale et honorable, mais particulièrement tu es une amie.
Ce sont pour ces raisons que nous sommes réunis aujourd'hui pour t'anoblir.

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Marggie De La Biteaubec, incarné par Gilda.



Quand elle vit Acar, l’Usurpateur, s’approcher, gigotant du pif comme un gros cochon aux naseaux enivrés par l’odeur alléchante d’une truie en rut, elle s’éloigna un peu …

Le Régent du Béarn ne viendrait pas la déranger à sa première cérémonie d’allégeance !

Non, le gros verrat ne gâcherait pas l’intérêt tout particulier, presque entomologique, que suscitait en elle ce serment d’anoblissement.

Qu’est-ce qui pouvait bien pousser une personne normalement constituée à abdiquer une partie de son libre arbitre à une autre ?
Pour la vieille catin anarchiste, l’idée de poser le genou devant quiconque était tout bonnement inconcevable !
Ni Dieu, ni maître.

Elle attendait la suite avec impatience et souffrait déjà pour la gamine qui allait, aux yeux de la vieille, perdre une partie de son âme au moment où elle prononcerait ses vœux !



Lady_eden
Détendez-vous, je serai là pour vous aider au besoin, et vous n'êtes pas seule je crois

La brune fixait obstinément l'opulente poitrine comme pour effacer la vision précédente, raide comme un piquet planté dans la tourbe.

Détendez vous...facile à dire quand on a pas humé la culotte fendue d'une vieille excitée...pensa t elle en écoutant vaguement la suite de mots.
De toute des cérémonies comme ça elle en avait fait plein, toujours pour d'autres, à croire qu'on l'invitait exprès pour la faire bisquer.
Ou alors c'est parce qu'elle venait jamais seule et qu'il se passait toujours des trucs plus ou moins de mise...
Les gens devaient se refiler l'adresse de son pigeonnier, car la brune devait se fader régulièrement mariages, baptêmes, barmitzvah, enterrements, anoblissements, allégeances et autres fêtes de villages.
Bon comme elle était super polie et qu'elle s'assurait depuis Tayabrina que personne risquait d'accoucher, elle y allait, cornemuse dans sa besace et estomac vide pour faire honneur aux buffets.

Toute à ses pensées, explorant toujours des yeux le décolleté de la Blanche, elle sursauta quand:


Dame Lady Eden, je vous à venir ployer le genou devant la Vicomtesse de Gimoez!

Hein?????

Se mettre à genoux devant sa copine blonde, nan mais quelle idée...en public en plus, c'tte honte...Héno n'avait pas fini de se foutre de sa tronche...même devant Vona elle avait pas fait ça...

Beurdel comment elle fait pour avoir des seins pareils....se demandait l'écossaise toujours captivée.

Mais Fifi se lança dans un discours plus ou moins véridique ce qui la fit de nouveau sursauter.

Blablbla Je t'ai connu à la fin de la guerre contre Eusaias le fol, même si tu es arrivée trop tard

Heinnnnnnnnnnnnn Ahhhhh mais non je proteste!!!!!!! je n'étais pas en retard mais retenue!!!!!! Tout ça a cause de ce stupide petit Prince namaycruche!!!!!!!!
Il nous faut rétablir les faits!
La vérité historique na saurait être galvaudée!!!!!
Alors que je vous raconte.....nous sommes partis de Calais, oui de Calais, donc en bateau alors que vous avez une vigie Blond! oui madame blond! et un second Irlandais qui va plus vite à pied qu'a cheval hein bahhhhhhhhh forcement forcement ça prend du temps!
Et le temps était brumeux!
Ca aide pas donc on s'est perdus!
Maiiiiiis nous sommes arrivés à Bayonne!
Et là l'autre idiot a voulu nous prendre pour des jambons!


Là se souvenant de l'épisode la brune commençait a s’échauffer sérieusement prenant la vieille à témoin qui semblait jouer à cache cache avec le régent et arpentant la salle a grands pas en agitant les bras.

Déjà qu'on avait du voyager avec une Rozenn enceinte jusqu'au yeux! Menaçant d'accoucher à chaque vague!
Alors non c'est un le Pontoise qui allait nous casser les cornemuses çaaaaaaaaa NON!
Nous étions partis à 16 oui parce que de toute il n'y avait pas plus de places sur une cogue marchande hein, mais arrivant au port nous nous vîmes heu 500!!!!
Bon ok juste 22....m'enfin c'était un bon début!


Ajustant une mèche elle reprit devant une auditoire qu'elle imaginait suspendu à ses lèvres:

C'est là! oui là! qu'on nous dit faut protéger Bayonne, mais que le Béarn voulait pas nous agréer du fait que la Coms couchait avec le Carminpinpin qui lui voulait aps de nous alors qu'on était du même coté!
Je vous laisse apprecier l'intelligence du type...
Bref nous vaillants, pas super rassurés mais vaillants! on protège!
Notez entre temps que je recevais des lettres de dame Melian ici présente, qui peut donc confirmer mes dires, pour nous informer qu'on devait aller a Auch urgemment!
Oui mais traverser le Béarn, avec une armée Guyennoise sur les talons et un Namay enragé avouez que c'est point simple.


Effet de manches ....ménager le suspens...

Concertation, discutions et nous voila en chemin après avoir été forcés d'avaler moult moult tartes au citron de la capitaine Béarnaise afin de pouvoir la soudoyer qu'elle nous donne quand même le fameux macaron...
Voyez comment on était prêts a tous les sacrifices, même au péril de nos estomacs qui furent brulés au 12eme degré.....
Fort heureusement au cours de notre avancée discrète, Messer Varden récupéra le trône et nous une relative sécurité.
Et nous arrivâmes à Auch!!!!!! toujours 22...


Petit sourire en coin écossais.

Enfin du coup 21....le type que j'avais épousé à Bayonne à choisi de prendre ses jambes à son cou, juste après qu'on nous ai coulé le bateau à quai.
Et sans doute paniqués par l'arrivée de l'armée la plus folle du royaume, les royalistes se sont enfuis sans attaquer.....
Voila....donc on était pas en retard...picetout....


Levant la tête façon "et toc" la brune sourit a la blonde.

Bon on fait quoi maintenant??
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Nikita.
Quelques jours plus tôt... quelque part, ailleurs

Loin du relatif confort d’auberges quelconques, assise dans la paille d’une grange assiégée depuis l’aube, le Petite Perle soignait ses bobos… Son escapade en solitaire, plutôt tranquille jusqu’à la nuit précédente, connut une première déconvenue qu’elle savait ne pas être la dernière, sans doute. Reposée et repue d’une miche de pain, elle s’enquit du message reçu au matin et signé de son Chardon effronté. La surprise, des nouvelles annoncées, passée, son esprit vagabonda aux terres ancêstrales avec un soupçon de mélancolie avant qu'elle libère son faucon messager...

Une nouvelle aventure en perspective.

L'Armagnac

La route fut longue pour la jouvencelle. Les courbatures plus présentes des chevauchées, les hématomes aux teintes violettes... elle serait raccord avec son amie ! Un fin sourire, pour le moins douloureux à la lèvre enflée, et de trouver chambrette pour le séjour.
Discrète, elle passa la veille du jour J à diverses emplettes et, surtout, retrouver visage humain... ou ce qui s'en approchait.

Le Chateau, sa salle du trône... sa foule!

Vêtue d'une jolie toilette sans prétention, la chevelure aurifère remontée en chignon et légèrement parfumée, le petit Caméléon espérait passer inaperçu dans la marée humaine... Moins par timidité que par la gêne occasionnée de la lippe redessinée, malgré elle -des siècles plus tard, certaines useront d'artifices afin d'arborer des charnues démesurées, si l'icone valait*- et qu'elle devait à un couple bigarré, mais qu'importe.
Devant la porte, les mordorées contemplèrent longuement les lourdes tentures ainsi que la nuée d'invités afin d'y discerner une tête connue... et reconnue. Sauf qu'Hénora semblait bien occupée, l'Etoile du jour tout autant et, d'ailleurs, le Flocon s'aperçut qu'elle arrivait à point puisque la cérémonie débutait.

Pile à l'heure, si c'est pas la classe ça!


*Silicon Valley - c'est absolument nul, je suis morte de honte

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Bea06
Bea écouta Eden et sourit elle avait toujours le même franc parlé et la voyant prête à prêter allégeance elle espéra qu'elle n'aura pas le fameux baiser d’allégeance.

Elle regarda les gens présent et fut surpris par autant de monde. Elle sourit à son amour et lui dit


Amour j’espère pas que un jaloux soit la pendant le baiser et qu’il ne fasse la même remarque que la tienne...

Elle mit sa main dans la sienne la sera en le regardant dans les yeux

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Henora_mac_artney
Héno écouta les paroles de Zézé et passa par toutes les couleurs du rainbow flag. C'est vous dire si c'était raccord avec sa couleur de cheveux. Et les mots " soumission a un homme du clan " tournaient en boucle dans sa tête comme elle se demandait dans quoi elle était tombée, cherchant sa soeur du regard ainsi qu'une éventuelle sortie de secours maintenant qu'elle a récupéré sa main et qu'elle peut s'enfuir à toute jambes. Dans sa tête ce fait " comme si j'allais me soumettre à un gars non mais halo quoi moi les gars j'les butes, j'leur confie pas ma vie. "

Et là elle bénit la femme a forte poitrine, c'est pas moi qui le dit c'est sa soeur, qui veut lancer la cérémonie. Elle sourit gentiment à Zézé en la remerciant après qu'elle lui ait avoué que c'était pas vrai mais se recule un peu quand même au cas ou.

Et là cérémonie débute par un discours erroné de la suzeraine qui oblige sa soeur à rétablir la vérité dans un grand show dont elle a le secret. L'est trop douée sa soeur pour raconter des histoires, elle adore quand elle lui en raconte. La quittant des yeux un instant elle voit un minois connu franchir la porte, Nikiii. Elle attend que sa soeur ait fini et profitant du moment de flottement file pour rejoindre sa poupée russe préférée.

Elle lui saute au cou et l'embrasse en faisant gaffe de pas lui faire mal, une barbare oui une sauvage non. Et taquine elle lui dit


J'aime ton maquillage, sympa de t'harmoniser avec mes cheveux.

Puis plus bas


Contente de te voir, tu m'as manquée

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Pazapa
Paz était comme hypnotisé par ce ballet de robes, de couleurs et de parfums. Il finit par secouer la tête afin de reprendre ses esprits. Il avait la gorge sèche. Il chercha du regard un verre , une pinte, une écuelle de quelque chose afin d'étancher sa soif.
Il se fraya un chemin parmi les invités en esquissant des sourires de ci de là. Ses vêtements crottés à cause de son escapade dans les champs provoquaient quelques regards désapprobateurs et quelques froncements de sourcils.


Il pressa le pas vers une porte qui semblait être celle des cuisines.
Pazapa
Il poussa la porte et se retrouva dans les cuisines. Il y faisait sombre. Au fond de la pièce des volailles rôtissaient dans une immense cheminée aux côtés de marmites gigantesques. Des gens s'affairaient dans tous les sens.
Il héla un garçon qui coupait des trucs en quatre.


Hé petit!! Tu sais pas où j'pourrai trouver de quoi m'arroser le gosier?

L'autre continuait consciencieusement son découpage sans lever les yeux.

Hé!! Petit!!!

Paz s'approcha de lui et posa sa main sur son épaule. Le garçon sursauta et lâcha un malheureux couinement....
Riwenn


Beaucoup de monde, bien trop de monde. Les Castel Vilar estaient habitué. Riwenn lui-mesme avait anobli avec une foule bien plus dense qu'icelle.

Beaucoup de bruits, bien trop de bruit. Des propos qui se disaient, se murmuraient, se soufflaient.

Et une cérémonie que son amie Sakurahime lança. Firielle fit un petit discours à l'attention de la future anoblie. Et cette dernière entama un monologue comme il aimait les faire lui aussi.


Bon on fait quoi maintenant??

Il s'approcha d'Eden et respondit à sa question.

Maintenant, vous prestez allégeance à ma douce épousée en lui promettant tout ce que le héraut a dicté auparavant.

Un sourire du vieil homme et un simple signe du chef qui ne pouvait signifier qu'une chose : c'est à vous.

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Héraldique européenne
Acar
Oui... Il estait sur de lui... Cette vieille estait Sa vieille.

Néanmoins, en homme courtois, il feignit de ne point la reconnaitre et poursuivit son cheminement.

En son retour en Béarn, il aurait bien le temps de la questionner plus avant...

Amusé, il se retourna et se rendit auprès de sa mesnie, pour assister à l'anoblissement de son amie.

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Aphykit
Elle écoutait, toujours en retrait. Dans les discours des uns et des autres, elle retrouvait ses illusions perdues, le Sud flamboyant que l'orgueil de certains avait détruit. L'infernal engrenage qui conduit à la médiocrité est enclenché. Il semble que le Sud soit aspiré dans ce tourbillon destructeur, l'absence d'idées, de projets, d'envie, de vie.

Ses yeux caressaient la foule chamarrée, c'était le glas de ses désirs qui s'offrait à elle en cette heure. Une sorte de marche funèbre après une lente agonie.

Elle soupira, écouta encore, son corps vibrait encore des tensions estivales, sa tête fourmillait de projets, mais ces derniers étaient lointains, peu dans le temps, davantage dans le lieu.
Un affamé assoiffé, il en existe des comme ça, attaqua un pauvre commis. Elle réalisa qu'elle aurait bien bu, elle aussi. Elle surprit un regard échangé entre le Régent et Mémé, cela lui arracha un vrai sourire.
N'étaient-ils pas amoureux ces deux-là, à se chamailler sans cesse... l'idée était à creuser.

Elle fit quelques pas en direction de Gilda, qui, tout à coup, semblait plongée dans d'intenses réflexions. Elle aurait bien fait un BOUH tonitruant, pour la surprendre, elle se contenta de poser une main sur son bras, feignit de lui présenter à nouveau ses hommage, comme il sied de le faire à une grande dame et de lui murmurer tout en l'entraînant vers un banc pour s'installer non loin du buffet. Elle connaissait l'appétit insatiable de la viande pour la chair fraîche, et ici... le terrain de chasse était des plus fourni. En quelques minutes n'avait-elle pas trouvé un bel italien à épouser ?


Alors Gilda, z'êtes ici en mission de repérage ? d'infiltration ? Ya des fuites ? Plutôt pas mal, le buffet... d'ici on voit tout.


Elle désigne d'un geste lent, non pas les tables du buffet qui s'emplissent de mets appétissants mais la noble assemblée.

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