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[RP] Bon t'accouches, oui ?!

Marzina
Après avoir martyrisé la porte un moment, elle doit bien se rendre à l'évidence: elle ne s'ouvrira pas. Après s'être égosillée tout aussi longtemps, elle doit également se rendre à l'évidence: Finn ne veut pas lui ouvrir.
D'une voix plaintive, elle demande alors:


"M'enfin ouvrez...j'ai mal au crâne, et je suis pas habillée!"

Pas de réponse. La plainte se mue en grognement.

"Mes affaires sont dans votre chambre, j'ai que ma chainse et une robe qui pue l'alcool..."

Et le vomi aussi. Mais ça fait pas très glamour, elle préfère le passer sous silence.
Et comme elle n'a toujours pas de réponse, elle tente maintenant de l'amadouer, et dessine des petits cercles sur le sol avec le bout de son pied nu.


"M'enfin Finn, je sais qu'on s'est disputés hier...m'enfin c'était pas grave au point que vous m'ignoriez quand même?"

Grand moment de silence.

"Si?..."
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Finn
Ah la vilaine gueule de bois. Ça ne saurait trop le surprendre. Au moins a-t-elle dégrisé, alors esquissant un pas de côté, l'Irlandais sort du bois. C'est un vrai régal que de jouer des farces mais profiter d'une jeune Princesse migraineuse et désespérée l'est davantage. Allant à sa rencontre, il se racle la gorge.

- « C'est ça que vous cherchez ? »

La clé se balance au bout de ses doigts, avant de disparaître dans sa poche. Non sans ironie, le Gaélique la reluque de bas en haut.

- « Vous devez vous les geler. »

Ouvrir la porte ? Pour quoi faire ? On est pas bien sur le palier ?
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Marzina
L'entendant se racler la gorge, elle se retourna vers lui, les yeux plissés.

"Vous êtes là depuis longtemps?"

Deux yeux noirs le scrutent.

"'Oh oui, et on dirait bien que ca vous amuse en plus!"

Croisant les bras, elle bougonne.

"Non mais allez-y, prenez votre temps. Vous savez, j'en ai rien à faire d'attraper la mort et de crever. Surtout si, avant ça, toute une auberge me voit en petite tenue."

Elle leva un sourcil.

"Enfin, si vous êtes au clair avec vous-même là dessus, tout va bien!"
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Finn
S'il est au clair avec ça ? Elle marque un point, son impudeur ne lui convient pas. Il la tolère tout juste le temps de mettre quelques petites choses au clair, justement.

- « La véritable question c'est : pourquoi êtes-vous en petite tenue ? » À son tour de jouer du sourcil. « Ou plutôt : qu'est-il arrivé à votre robe ? » C'est vrai ça, qu'en est-il ? « Aurait-elle fait les frais de vos excès de la veille ? Ou vous plaisez-vous à vous balader dans les auberges, les fesses à l'air ? En tout cas, je l'ai pas arrachée celle-là. Je m'en souviendrais... Moi. »

Cessant là son petit manège rancunier, le Gaélique se défait de sa cape et entoure les frêles épaules de l'Altesse avec. Voilà qui devrait adoucir la température du couloir.

- « Lààà... ça va mieux ? Ainsi vous ne risquez plus la mort. Mais sérieusement, quelle idée de sortir de votre chambre sans vous couvrir ? »
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Marzina
Un moment, elle s'inquiète pour la santé de Finn. Peut-être bien qu'il vieillit, il doit avoir des problèmes de mémoire immédiate. Ou bien il a peut-être des problèmes d'audition...L'Altesse penche plutôt pour la mémoire.

"Dites...vous êtes sourd ou vous le faites exprès?! Je viens de vous le dire, mes affaires sont dans VOTRE CHAMBRE!"

Et elle joint le geste à la parole, montrant de l'index la porte de la chambre. Elle accepte la cape, parce que ça caille vachement quand même, et elle jette un regard noir à l'Irlandais qui lui fait face.

"J'allais quand même pas porter une robe qui pue! Et puis vous étiez pas censé me faire poireauter dans le couloir justement! C'est uniquement de VOTRE faute si on en est là!"

Elle tapote du pied nerveusement dans le couloir.

"Bon, et maintenant? Ça va durer encore longtemps ou je vais pouvoir mettre la main sur mes affaires? Parce que vous vous plaignez de mon accoutrement, mais vous me laissez quand même à moitié à poil dans le couloir! Faudrait quand même savoir ce que vous voulez à un moment!"
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Finn
Elle s'agace et l'Irlandais jubile, intérieurement, n'offrant qu'un maigre sourire à se mettre sous la dent. Aimable sans l'être vraiment.

- « Ce que je veux ? Mais rentrer dans ma chambre, c'te question. », finasse l'Insulaire en cherchant la clé dans sa poche. L'enfonçant dans la serrure, il tourne un regard faussement naïf sur la Bretonne : « Vous en avez une aussi, je crois ? »

Elle le lui a suffisamment répété hier qu'elle avait SA chambre, comment l'oublier...

« Vous tenez tant que ça à visiter la mienne ? J'ai une idée, et si on lançait une pièce ? Face je gagne et pile vous rentrez pas. »
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Marzina
La blonde s'agace du petit manège. Elle comprend bien qu'il essaie de la faire tourner en bourrique, et elle a froid, son ventre vide lui file la nausée, sans parler de l'horrible gueule de bois qu'elle se tape.
Alors elle pose une main sur le bras de Finn, lui offre son sourire faux diplomatique, et lui propose sur le même ton:


"Je vous propose un autre jeu...Pile je me casse, face je me barre? Allez, je vous laisse lancer une pièce, amusez-vous bien!"

Et elle repart donc en direction de sa chambre, ruminant et la cape de Finn sur le dos.
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Finn
L'air navré, l'Irlandais laisse retomber ses bras.

- « Vous n'y teniez pas tant que ça, finalement... », conclut-il d'un soupir, la suivant du regard.

Il n'en est pas à une mesquinerie près et, rentrant enfin dans la chambre, le vieux lâche sa besace sur le plumard. Deux choix s'offrent alors : faire la paix ou compter sur la maturité et l'humilité de l'Altesse pour revenir se faire pardonner son comportement d'hier. C'est là qu'une pièce intervient. Lancée en l'air puis retournée sur le dos de sa main, elle lui dicte la seconde option. Les heures passent et creusent l'écart en faveur de cette saloperie d'option. 502 lancers contre seulement 164 : la patience l'emporte. Seulement, le Grisonnant n'en a plus. Collant son oreille au mur séparant leurs chambres, il ronge son frein. Pourquoi faut-il toujours qu'elle se permette tout sans jamais avoir à répondre de quoi que ce soit ? Une question qu'il préfère se poser maintenant tandis qu'il songe à offrir le calumet de la paix qu'il était descendu chercher. Cela bien avant de la trouver devant sa porte, à l'accabler et à exiger avec tout le culot qu'on lui connaît. D'idées noires en idées noires, le Gaélique en vient à poser les yeux sur son présent. Il n'en aurait pas l'utilité sans elle, pas la peine de s'entêter. Le ramassant, Finn passe sa porte pour toquer à la sienne d'une main, l'autre dans le dos. Plus de sourire, juste une expression amère qui fixe le bois.

- « C'est moi, ouvrez. J'ai quelque chose pour vous. »
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Marzina
L'humeur de la blonde faisait des bonds et des rebonds, accompagnée de son amie la migraine. Emportée par la colère, elle était rentrée dans sa chambre. Et une fois rentrée dans sa chambre, à tourner en rond, les larmes lui étaient montées aux yeux. Vrai qu'elle était devenue une véritable madeleine depuis la Bourgogne! Pour lutter contre la déprime qui gagnait, elle ne trouva aucune autre idée meilleure que celle de trouver à manger. Mais pas juste du pain, quelque chose de mieux. Elle dût donc ré-enfiler la fameuse robe de la veille dont l'odeur la révulsait, ce qui n'améliora pas son humeur, et se recouvrit de la cape. La fameuse cape qu'elle avait offerte à Finn à l'adoubement...Une fois qu'elle eût acheté autant de nourriture que ses bras pouvaient en porter, elle était retournée dans sa chambre et s'était à nouveau débarrassée de la robe pour trainer en chainse, avant de s'enfiler toutes les pâtisseries qu'elle avait pu trouver en ville.
Et étrangement, elle se sentait carrément mieux. La nourriture avait pris une importance particulière aussi, tantôt parce qu'elle ne pouvait plus en entendre parler, tantôt parce que ça devenait sa priorité.
Elle n'avait plus aucun contrôle sur son estomac.
Après avoir avalé une chouquette de plus, elle entend Finn et se rue vers la porte qu'elle ouvre à la volée.


"Chui décholée, j'me chouviens paaaas!"

Et le tout en se jetant dans ses bras, toute collante de sucre et de larmes, avant de lui tendre la chouquette tremblante qu'elle a dans la main et qui était sur le point de subir le même sort que ses congénères.

"Vous voulez une chouquette?"
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Finn
Contre toute attente, la réponse est plutôt rapide. Le Gaélique écarquille les yeux sur la créature collante qui le percute et... qui se fend d'un mot d'excuse ? Carrément scié, il la dévisage un moment avant de repousser gentiment l'offrande.

- « Non... merci. »

Difficile à croire en voyant l'Altesse dans cet état de détresse sucrée, mais l'attitude le séduit. Elle lui ôte un poids qu'il ne soupçonnait pas jusqu'ici. De là à ce qu'il s'écorche la tronche d'un sourire...

- « Vous savez quel jour on est ? », demande-t-il, bien mystérieux. « Ça fait très exactement cinq mois que vous avez escaladé mes genoux. »

À quelques vaches près, du moins. Le quatorze ne doit pas se trouver bien loin et puis l'initiative de fêter l'événement ne lui est pas venue naturellement. Pas son genre. L'annonce de la veille a grandement aidé, tout comme ses reproches.

- « Joyeux anniversaire, donc. », fait-il, un peu raide, tandis que le bras sort de sa cachette et dévoile une bouteille de rouge. « C'est du vin au miel et aux épices, pour que vous constatiez que je sais partager, en fin de compte. »

Le vieux grigou manque de lui avouer que l'hypocras lui a coûté un bras, mais il paraît que vanter le prix ne se fait pas lorsqu'on pratique le cadeau.

- « Le chouchen se fait rare par ici, mais ça s'en rapproche, non ? », hasarde-t-il au bout d'un moment, en guettant une réaction, un brin nerveux.
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Marzina
Puisqu'il n'en veut pas, elle s'engouffre la chouquette. Faudrait pas gâcher! La suite cependant passe moins bien...Entendre Finn parler de "quel jour on est hein?!" d'une voix mièvre, avant d'embrayer sur une histoire d'anniversaire, ça la rend franchement suspicieuse. L'interrogation se transforme finalement en gêne devant la bouteille qu'il sort de derrière son dos. Décidément, il avait un don pour choisir les cadeaux les plus mal appropriés. Alors elle esquisse un sourire gêné.

"Ahem euh, c'est fantastique! On va tester ça ce soir...ou demain. Ou quand on rentrera en Bretagne!"

La vérité c'est qu'avec la gueule de bois qu'elle se tapait, il lui paraissait inconcevable de boire quelque alcool que ce soit.

"Enfin vous savez que dans mon état, je peux pas trop toucher à l'alcool...n'est-ce pas?"

Avant d'ajouter précipitamment:

"M'enfin j'apprécie le geste, vraiment!"

Et elle ponctue le tout d'un baiser sucré, sans trop savoir que faire pour éviter de le vexer.
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Finn
Silencieux, trop, l'Irlandais acquiesce sans vraiment saisir l'excuse.

- « Oui.. oui, bien sûr. Vous devez avoir la tirelire en palissandre, vu tout ce que vous sifflé hier. » Quelle idée à la con, il aurait dû y penser. Et de la rassurer : « Ça peut attendre. »

Le silence reprend ses droits, et s'éternise, cousin de l'embarras, tandis qu'il réfléchit à la façon d'aborder la suite. Car le présent n'est qu'un avant-goût de ce qui attend l'Altesse, une mise en bouche. Sauf qu'il ne peut désormais plus compter sur la saouler afin de lui annoncer ce qu'il mijote. Ce qui en soit, n'est peut-être pas plus mal. On ne peut pas dire que l'ivresse la rende plus coopérative, ou même plus attentive. Un soupir achève ses réflexions et, lui flanquant soudain la clé de sa chambre dans la paume, le Gaélique s'écarte.

- « Habillez-vous – prenez votre temps – et retrouvez-moi à la clairière qu'on a traversée avant d'arriver aux portes de la ville. Vous savez, là où vous aviez aperçu ce gros rocher en forme de chausson aux pommes. »

Débitant ses consignes à toute allure, le vieux cabaleur disparaît dans les escaliers.
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Marzina
La blonde a déjà prévu son programme de la journée: aujourd'hui ils ne partiront pas, aujourd'hui elle va rester en chainse à zoner dans sa chambre, ou celle de Finn, et bouloter tout ce qu'elle va trouver qui se mange. Mais apparemment, l'Irlandais avait d'autres plans. Elle attrape donc la clé en lui lançant un regard décontenancé.

"Vous voulez dire que vous voulez...sortir?"

Finalement, elle sa dû se rendre à l'évidence: elle n'avait pas le choix. Après s'être trainée vers la chambre du Gaélique avec une motivation aussi haute qu'une fourmilière, elle finit par s'habiller et se coiffer, et le rejoindre mollement à l'endroit convenu. Ou pas. Affalée sur son cheval avec la tête de celle qui a passé une nuit blanche, elle tourne en rond autour de la ville, demandant de temps à autre à un gueux qui traîne dans le coin:

"Vous auriez pas vu une clairière avec un gros rocher super appétissant façon chausson aux pommes, et un grand balaise à côté, avec un air peu engageant et qui semble attendre? Non?...Bon ben je vais me débrouiller alors..."

Si si je vous jure, on dirait que l'Irlandais compte sur le sens de l'orientation légendaire -ou plutôt inexistant- de la blonde...C'te blague.
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Finn
La forêt limousine s'étend de part et d'autre du coin de terre nue où le Gaélique a jeté son dévolu. Non loin des murailles chatouillant un ciel gris d'hiver, l'air vivifiant d'une clairière avec pour seule particularité, cet étrange rocher qui tape dans l'œil de l'Altesse à leur arrivée. Un cadre bucolique qui lui rappelle ces agréables soirées passées en compagnie de la Montfort sur les routes bretonnes. Cette période où ils mettaient à profit chaque instant volé pour se bécoter dans les coins sombres, à l'abri des regards. Bref, c'était le bon vieux temps.

Adossé contre son gros caillou, l'Irlandais cogite sa mise en scène. Elle a son importance. Il n'a peut-être pas pu s'entourer de chandelles parfumées, ni semer de rouges pétales sur le chemin, mais il a un feu et un par-terre naturel de fleurs à moité congelées. Que demande le peuple ? Puis qui sait si la Prinsez n'aurait pas pris ses jambes à son cou en se demandant ce qu'il avait fait du rustre qu'elle avait vu lui arracher ses robes et déglinguer des mâchoires pour ses beaux yeux. Ce Chevalier qui, en ce moment même, mène une croisade acharnée contre un essaim de fourmis en s'amusant à les cramer du bout de son bâton. Pas de veine pour elles, le zig est d'humeur festive, bien que nerveux lorsqu'il songe à ce qui l'attend. Et elle se fait désirer, la blonde Altesse.

Au bout d'un moment, et alors que par un heureux hasard, il lève le museau en direction des murs de la cité, il la voit au loin. Un grand signe du bras indique sa position, ce qui semble avoir autant d'effet que les nuages de fumée qu'il provoqua un peu plus tôt en agitant sa cape près des flammes. Heureusement qu'il a prévu le coup, le Grisonnant s'époumone dans un cor de laiton. On croirait entendre le départ de la chasse, mais non, c'est juste l'Irlandais qui s'impatiente.

Son canasson la traîne jusqu'à lui, tandis qu'il repose l'instrument et se prépare à faire preuve de pédagogie. Ça n'a jamais été son fort et il ne peut pas non plus s'appuyer sur le savoir-faire acquis auprès de son ex-page manchot en la rouant de coups pour qu'elle comprenne où il veut en venir. Posant un regard attentif sur la demoiselle, l'Irlandais s'éclaircit la voix.


- « Hum... Auriez-vous, par chance, quelques souvenirs d'hier ? »

C'est le moment de tout déballer, on fera le tri après.
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Marzina
Aucun des pégus du coin ne sait donner une information fiable pour pouvoir se repérer dans cette cambrousse! La blonde s'énerve et s'agace, il faut dire qu'elle n'a pas les nerfs très solides dernièrement.

"M'enfin c'est pas possible! Vous ne SAVEZ PAS ce qu'est un CHAUSSON AUX POMMES?! Quoi? Vous êtes quoi? Ah oui, pauvre...Oui enfin ca n'excuse pas tout vous savez, ce serait trop facile! Vous savez pas vous repérer c'est tout, avouez donc!"

Le principe de l'aveugle qui se fout du borgne voyez vous. Et là où le Gaélique sent un air "vivifiant", l'Altesse distingue surtout des rafales glacées, alors elle aimerait bien retrouver l'Irlandais rapidement pour le convaincre de revenir dans un lieu clos.

"Bon, ne perdons pas plus de temps. Auriez-vous quelque "ami" à même de me guider?
- Dame, je crois qu'il y a quelqu'un qui vous fait signe là-bas!
- C'est Altesse, et n'essayez pas de détourner mon attention.
- Mais non mais je vous jure..."

Un grand bruit qui résonne attire finalement l'attention de la blonde.

"Hmm...c'est la musique traditionnelle de chez vous?
- Non, c'est encore le même là, avec ses grands signes de bras, maintenant on dirait qu'il essaie un autre moyen pour qu'on le repère.
-Hmm, vous êtes sûr qu'il n'y a pas de chasse à courre d'organisée aujourd'hui?
- JE VOUS DIS QUE C'EST VOTRE GUS!
- Oui bon, c'est pas la peine de s'énerver non plus! Trugarez pour votre amabilité, je m'en souviendrai!"

Et avec mauvaise humeur, elle finit par se diriger vers l'endroit d'où vient le bruit. Par chance, il y a un feu, ce qui réchauffe son humeur en même temps que ses mains congelées. Mettant pied à terre elle se dépêche de se rapprocher du feu sans prendre garde plus que ça au soin mis à choisir l'endroit. Parce qu'elle n'a pas l'habitude de ça avec lui, alors ça ne lui vient pas à l'esprit qu'il aurait pu s'échiner à trouver un lieu plus sympathique visuellement qu'un autre.
Rapprochant ses mains du feu au risque de se faire cramer la peau, elle râle à l'énonce de la question.


"Raaah, vous n'allez pas remettre cette dispute sur le tapis! C'est bon je me suis excusée, que voulez-vous de plus?!"

S'emmitouflant un peu plus dans sa cape cette fois, elle rend au chevalier la sienne.

"On était vraiment obligés de sortir comme ça? Il faisait plus chaud à l'intérieur, et de toute façon, l'auberge était déjà payée, on pouvait rester un peu plus..."
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