--Dacien2
Cette nuit-là fut courte. Enfin même courte était un grand mot. Le Narcissique navait pas dormi. Dabord, quelques clients à occuper pour quelques heures. Cela, cétait facile. Dacien avait lhabitude. Mais, ce qui lavait taraudé toute la soirée au point de ne pas sintéresser plus que ça à ses victimes dun soir, était la réaction du barman à son encontre. Des plus curieuses puisque chaque question posée amenait toujours à une autre question de sa part et ramenait toujours à la même personne aussi. Alphonse. A croire quil avait le grappin sur tout le monde celui-là. Dailleurs, le Brun aurait pu en être presque jaloux.
Oui, jaloux de cette infime attache quil percevait lorsquil observait Adryan. Le barman avait la fâcheuse tendance à esquiver toute curiosité de lArrogant, ce qui le mettait farouchement en colère. Son envie maladive de savoir ce qui pouvait se tramer entre ces deux bruns lui résonnait dans la caboche comme lorsque lon vous répète inlassablement que vous avez tord ou que vous en devriez pas vous en mêler. Le Nobliau pouvait penser ce quil voulait mais le Fier savait quil navait pas tord. Dailleurs, il voulait en avoir le cur net et de toute façon, il lavait spécifié au barman.
Passant par la porte de derrière la Maison Haute, le voilà qui traversa la cour pour se rendre au bureau du Comptable. Il observa furtivement la seule silhouette présente du Flamand et se retrouva devant la porte de la pièce. Prenant une grand inspiration pour paraitre calme face à son patron, il ouvrit le battant pour le faire claquer derrière lui. Son pas était lourd en se déplaçant jusquau fauteuil se trouvant devant son interlocuteur. Dacien prit place dans le siège de cuir et dun air froid, livide et tellement emplie de rage, un ton sec retentit dans la pièce.
Cest quoi ce bordel?
Le minois complètement fermé pour éviter toute grimace déplacée, il affronta le regard de Alphonse sans aucune retenue.
Oui, jaloux de cette infime attache quil percevait lorsquil observait Adryan. Le barman avait la fâcheuse tendance à esquiver toute curiosité de lArrogant, ce qui le mettait farouchement en colère. Son envie maladive de savoir ce qui pouvait se tramer entre ces deux bruns lui résonnait dans la caboche comme lorsque lon vous répète inlassablement que vous avez tord ou que vous en devriez pas vous en mêler. Le Nobliau pouvait penser ce quil voulait mais le Fier savait quil navait pas tord. Dailleurs, il voulait en avoir le cur net et de toute façon, il lavait spécifié au barman.
Passant par la porte de derrière la Maison Haute, le voilà qui traversa la cour pour se rendre au bureau du Comptable. Il observa furtivement la seule silhouette présente du Flamand et se retrouva devant la porte de la pièce. Prenant une grand inspiration pour paraitre calme face à son patron, il ouvrit le battant pour le faire claquer derrière lui. Son pas était lourd en se déplaçant jusquau fauteuil se trouvant devant son interlocuteur. Dacien prit place dans le siège de cuir et dun air froid, livide et tellement emplie de rage, un ton sec retentit dans la pièce.
Cest quoi ce bordel?
Le minois complètement fermé pour éviter toute grimace déplacée, il affronta le regard de Alphonse sans aucune retenue.