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[RP] Église Saint-Nicolas de Blois

Josyane
Église Saint-Nicolas de Blois


Blois possédait une magnifique et merveilleuse église. C'était sans aucun doute la plus belle du duché d'Orléans on aurait pu dire de rance mais cela faisait tout de même prétentieux L'église Saint-Nicolas Saint-Laumer est à l'origine l'église abbatiale d'un monastère construit au XIIe siècle. Elle prend le nom du fondateur de cette abbaye, Saint Laumer. Sa construction débute au XIIe siècle. Le chœur, le transept et la première travée de la nef sont construits de 1138 à 1186.

Sa date de construction avait débuté 1138.



Cette église était riche en patrimoine religieux et la curée allait tout faire pour faire perdurer ceci .



De la vue extérieur .




L'intérieur .

Autel au centre du chœur


La statue Sacré Coeur




La belle chapelle Marie .Autel privilégié dédié à la Vierge Marie. A noter une statue surplombant le tabernacle représentant son ascension au Ciel . Un tableau à droite montrant La Vierge donnant le chapelet à Saint Dominique. Le vitrail signifie sa dignité de Reine du Ciel.




Plafond de fresque de Saint-Nicolas-Saint-Lomer de Blois




Saint Nicolas .La Croix et fonds baptismaux



Les merveilleuses colonnes de Blois


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Josyane
Poème sur un ange .



Que ce rameau béni protège ta demeure !
L'ange du souvenir me l'a donné pour toi :
Toi qui n'aimes pas que l'on pleure,
Sois heureux, plus heureux que moi !

Écoute : À ce rameau j'attache une espérance :
L'ange qui me conduit sait mon cœur comme toi ;
S'il a bien compris ma souffrance,
Sois heureux, plus heureux que moi !

J'ai respiré l'encens de ce vieux sanctuaire,
Et je m'y suis assise, et j'ai prié pour toi ;
Je n'ai dit que cette prière :
Sois heureux, plus heureux que moi !

Pour passer près de toi j'ai fait un long voyage ;
Mais l'ange me rappelle et veut m'ôter à toi.
Adieu... Donne-moi du courage :
Sois heureux, plus heureux que moi !

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Laceter
Une coutume devient vite une agréable habitude. Dominical, il apprend le mot depuis peu. Levé tôt, il habitue tout autant son Epouse à ses petits festins matinaux pas toujours facile. Le réveil est dur, mais, ce qu'on peut faire, les yeux à moitié collés, est surprenant. Les enfants prêtes, tous au petit déjeuner ensemble, pour garder la forme, la joie des retrouvailles en famille. La petite troupe se déplacent vers l'église. Signe de croix, entrée dans l'église, une place bien devant, au plus au chaud, loin de la porte d'entrée. Il s'installe sur un banc, à l'écoute du déroulement de la messe. Il récite:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Un oeil paternel qui ne plaisante pas sur Jade et Maelys, alors qu'au fond de lui, il s'en amuse de son autorité parentale, il prie à haute voix:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
AMEN


Il rejoint son Epouse et les petites pour communier. Ce passage de l'offrande du corps de Dieu se fait dans le silence le plus absolu de sa part. Il retourne au banc, jusqu'à la fin de la messe. Un regard de remerciement à l'officiante, les petites dans les jambes, à courir vers la sortie, il sort en compagnie de son Epouse, de sa famille.
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Et tout ça vaut de l'Or
Josyane
Elle y dépose la prière du soir




Seigneur, ce jour s’achève et je viens vers toi pour t’offrir ma journée avec tout ce que j’ai pu y mettre de bon et de moins bon.
Pour tout ce que j’ai fait de bien aujourd’hui, je te remercie, car c’est grâce à ton aide que j’ai pu être utile aux autres.
Dans ta miséricorde, pardonne-moi mes négligences et mes fautes de ce jour.
Excuse ma médiocrité et mes oublis. Ne tiens pas compte des manques d’égard et d’attention dont j’ai pu me rendre coupable aujourd’hui.
Avec confiance, je me remets entre tes mains, je te confie mon sommeil, mes pensées,
mes joies et mes peines, sachant que tu es prêt à me pardonner mes faiblesse
et à m’assurer ton secours pour que demain je puisse me remettre à ton service
et à la disposition de tous ceux qui me sont chers.

_________________
Josyane
Sont venus à la messe le 19 Novembre 1462



Dotyy
Galaad_le_pur
Shantaram

Merci à eux .


Elle enchaine sur une prière .


.
Réconcilie-moi avec moi même.
Que ta grande tristesse me rende confiance en moi,
me fasse exister à mes propres yeux !

Comment pourrais-je te rencontrer et aimer les autres,
si je ne m’aime plus et ne m’aime plus ?

Je voudrais avoir le courage de déverrouiller la parole.
Je tiens moi-même la clé !
Donne-moi la force de sortir de moi-même :
Dis-moi que je peux encore guérir.
Dans la lumière de ton regard et de ta parole.


Toi qui m’aimes tel que je suis et non tel que je rêve d’être,
aide-moi à vivre avec mes ombres et lumières,
mes douceurs et mes colères,
mes rires et mes larmes,
mon passé et mon présent.

Donne-moi de m'accueillir comme toi tu m’accueilles,
de m’aimer comme toi tu m’aimes.

Délivre-moi de la perfection que je veux donner.
Ouvre-moi à la sainteté que tu veux m’accorder.

Délivre-moi du remords de Judas qui, rentrant en lui-même,
n’a pas pu en sortir, épouvanté et désespéré devant l’immensité de son péché.

Accorde-moi le repentir de Pierre qui a su rencontrer ton regard,
appel silencieux chargé de tendresse,
et si je dois comme lui pleurer,
que ce ne soit pas sur mon orgueil humilié
mais sur ton amour offensé et blessé.

_________________
Josyane
Ils ont assisté à la dernière messe :
Galaad_le_pur


Cela donnait envie de continuer ....
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Kaherdin
L’évêque d’Orléans était de passage à Blois pour une bien triste mission. Une fois sa tâche accomplie, il alla placarder une annonce sur le tableau d’affichage de l’église.



Blois, 17 décembre 1462

Mes chers enfants,
Je démets en ce jour sœur Josyane de sa charge de curé de Blois et de toutes les autres relevant du diocèse d’Orléans.
Sœur Josyane n’étant pas en accord avec la décision du conseil diocésain a décidé de démissionner de toutes ses charges, autant temporel qu’intemporel. Mon acte d’aujourd’hui officialise donc sa décision.
Afin que tous le sachent et qu’il n’y ait point d’ambiguïté sur le sujet, notre désaccord réside dans notre refus de baptiser une Giennoise qui se revendique non croyante. Les sacrements tels que le baptême et le mariage ne sont pas qu’un bout de papier, mais un engagement personnel envers la communauté Aristotélicienne.
Je prends donc temporairement la charge de l’église de Blois et tâcherais d’y officier autant que possible. Si quelqu’un désire s’engager dans la voie du Très Haut, qu’il n’hésite pas à venir me trouver. Il y a de multiples façons d’œuvrer pour le bonheur de tous.

Mes chers enfants, je vous demande pardon pour ce remue-ménage,
Aristotéliciennement vôtre,
Monseigneur Kaherdin Lidan.

_________________
Monseigneur Kaherdin Lidan, évêque d'Orléans.
Ezze

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Garance_de_grimaud
[Messe du dimanche 11 janvier 1463]

De retour depuis quelques jours après une très longue absence de Blois, Garance pensait à la messe du matin. Elle se réveilla tôt ce jour par les petits cris de ses triplés qui avaient faim les petits monstres,elle se dépêcha de s'en occuper pour ne point réveiller leur papa qui ces temps ci passait ces nuits à ces devoirs pour devenir avocat et mettait un peu de pain a cuire.
Johsua, Adrian et Eliaz avaient eu ce qu'il fallait et se rendormirent gentillement, un doux baiser à l'homme de sa vie et elle descend prête pour prendre son petit déjeuner avant de filer à l'église.

Arrivé devant les grande portes, elle les poussent et entre en si signant, puis elle se dirige vers l'autel s'incline légèrement elle pose le petit panier rempli de pains brioché que son boulanger préférè avait fait,et va allumer les cierges,elle pose aussi le livre des Vertus sur le lutrin à la page choisie il ne restait plus qu'a sonner les cloches et attendre les fidèles.




Ding Dong....Ding Dong.... Ding Dong...!!!
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C'est de l' Or
Shantaram
Shanta mit une jolie robe pour se rendre à l'Eglise. Elle savait que son amie était revenue de son long voyage et allait reprendre du service au sein de l'Eglise. Elle en était ravie, et pour Blois et pour son amie qui suivait de longues études de théologie pour mener à bien la mission qu'elle s'était donnée.

la mairesse arriva devant l'église dont elle monta les quelques marches puis entra discrètement dans le bâtiment.

Elle fit quelques pas dans la nef, se signa et prit place sur un des côtés, attendant que l'officiante démarre la cérémonie.

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Laceter
[ Ding Dang Dong ]

Hum...Célestine, Joseph, Gustave, Adèle, y a quelqu'un à la porte! C'est qui pendant le repos dominical...

Il se frotte les yeux, cherche le corps de son Epouse pour de la chaleur à son réveil. Un bras sur le traversin vide à son côté:

Hum ?

Laceter se redresse sur les coudes, les yeux mi-clos, l'esprit embrumé de sa longue nuit aux cours et examens. Il s'était couché au chant du coq, avec un oeil sur Garance et les triplés. Et quelques allers venus pour les jumelles, à la chambre mitoyenne. Des pauses nécessaires pour lire, relire ses réponses. Avoir des éclairs de génie pour certaines plaidoiries:

Dimanche, bon sang, la messe....

Et les cloches qui résonnent à travers la demeure, il fait un bond hors du lit:

Rhaaa mais ça va, Garance, lâche-les ses cloches, à moins qu'elle soit restée accrochée par mégarde....

Courage, panique. Il courre dans tous les sens partout. Il prépare toute la famille présente à leur havre de Paix:

La messe, la messe!!!

Il habille Joshua, Adrian et Eliaz tandis que Maelys et Jade se montrent à la porte de la chambre:

Les filles, je suis à vous. Papa arrive, mettez sur vos lits, les habits que vous voulez...

Le couffin aménagé pour les trois petits gars, Laceter le porte jusqu'à la chambre à côté pour rejoindre ses deux filles, le pose sur un des lits, bisous et câlins à toute la clique:

Ca va, les filles, allez, je m'occupe de vous. Qui a besoin d'aide, qui veut...

Au bout de dix minutes, tout ce beau monde est à l'entrée, près à franchir la porte. Il vérifie bien que tous ont ce qu'il faut pour être bien au chaud, curieusement, seul lui, a de grands frissons suite à son bain rapide, encore en train, de se sécher les cheveux énergiquement:

On va rejoindre Maman à l'église....

Il enfile son mantel, un bonnet bien enfoncé, gants, bottes. Il prend le couffin, une fille à chacune de ses mains, et les voilà qui traversent les rues. Ils pénètrent dans l'église. Le tour des signes de croix sur chaque front. Un salut à Shanta, la bise. Puisqu'elle a tant hâte de découvrir les nouveaux né, il vient se glisser au banc là où elle se tient avec le couffin qu'il lui tend, le temps qu'il fasse passer les jumelles pour accéder au banc.

Une fois fait, il envoie un baiser à son Epouse, ravi d'être présent, à l'heure. Son regard ne la quitte pas.

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Et tout ça vaut de l'Or
Garance_de_grimaud
Elle vit arrivé son amie Shanta, un petit signe de la tête pour l’accueillir, d'autres personnes ariverent et sa petite famille au complet, un sourire se fit au moment ou Laceter la regarde.
L'office commença par la priére du pardon.


Bonjour a tous, et bienvenue dans la maison du seigneur. Je suis très heureuse de vous accueillir pour célébrer ensembles la messe dominicale.

elle fit une courte pause et dit ;

Disons ensemble la priére du pardon



Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Venait le temps de la lecture d'un passage du livre des Vertus, elle se dirige vers le lutrin

Je vais vous lire un texte du Livre 2.
Livre des Vertus, Livre 2. Le Duo Prophétique, Livre Ier - Dialogues, Chap. XI - Le Songe:


elle se racla la gorge et commence la lecture qu'elle avait choisi ce jour.

Citation:
« Un matin, Aristote avait une mine préoccupée. Son fidèle Sargas, qui fréquentait le lycée depuis des mois, vint à sa rencontre pour s’enquérir de son sort. Le maître lui fit cette réponse…

Aristote : "Cette nuit, mon cher disciple, j’ai fait un rêve."

Sargas : "Ah oui, maître ? Racontez-moi."

Aristote : "Certes oui. J’ai songé qu’en orient existait une cité merveilleuse."

Sargas : "Quel genre de cité ?"

Aristote : "Une cité idéale, parfaite, où tous vivaient en une fabuleuse harmonie. L’équilibre y était si solide que nul n’aurait pu le rompre, pas même la venue d’un étranger comme je l’étais dans mon imaginaire. J’y ai fait intrusion, y ait importé mes mœurs, que je dirais à présent corrompues, mais j’y ai été accueilli comme un frère."

Sargas : "Quels étaient ses principes, maîtres ?"

Aristote : "Cette cité est organisée selon le principe de trois cercles concentriques, ou trois classes de citoyens si tu préfères.

Je commencerai par te décrire ce qui constitue la plus basse de ces classes, à savoir celle des producteurs, la classe d’airain. Ils constituent la majorité, et vivent paisiblement de la culture de leurs champs et de l’élevage de leurs bêtes. Ils prennent ce qui est nécessaire à leur subsistance, et à celle de leurs familles, dans leur propre production, et donnent le reste aux classes supérieures. Si ces hommes constituent la base de la cité, leur sort est cependant enviable. Ils connaissent les joies de la tranquillité, d’une existence simple au service de la collectivité. Ils s’adonnent à l’activité physique qu’exige un travail régulier, et qui maintient leur corps en condition, meublent leur temps libre par la contemplation des choses de la nature, par l’éducation des enfants que ces gens là placent en très haute considération, et par la prière, adressant leurs louanges à Dieu qui leur a donné les plaisirs dont ils sont bénéficiaires.

La seconde classe de citoyens, la classe d’argent, est celle des gardiens, des soldats. Ceux là sont autorisés à l’oisiveté, et profitent, en temps de paix, d’une subsistance gratuite qui leur est fournie par les producteurs. Ils philosophent, admirent eux aussi les bienfaits de la nature, s’instruisent quel que soit leur age, s’entraînent au maniement des armes. En temps de guerre, ils se font les plus fervents défenseurs de la cité. Leur courage n’a pas d’égal, et ils donneraient leur vie, sans hésitation, pour la conservation de la communauté, ou pour défendre leur foy qu’ils placent en très haute estime. Et au retour des combats, ils sont accueillis comme des héros. On dépose sur leurs têtes des couronnes de lauriers, on les traite comme des princes, et de fabuleux festins sont tenus en leur honneur. Ils sont portés en triomphe par le peuple, et aimés par les femmes.

La troisième classe de citoyens est celle des philosophes rois, la classe d’or. Ceux là sont les plus anciens, recrutés parmi les gardiens qui se sont montrés les plus braves, les plus aptes au commandement, et les plus doués en matière de philosophie. Leur seul bien est la raison, car ils sont délivrés de leurs possessions terrestres. Leur foy en Dieu est leur seule arme. Ils s’illustrent par la pratique des vertus de la manière la plus parfaite. Ils sont un exemple pour tous, et le peuple est heureux de sacrifier un peu de sa propriété pour assurer la survie de ses maîtres. Les philosophes rois constituent le gouvernement de la cité. Ils décident collégialement de ses destinées. Ils sont également les ministres du culte rendu au Tout-Puissant, et là réside leur légitimité. On tient leur pouvoir comme inspiré par le Très-Haut, de part leur condition de prêtres. Ils organisent l’ensemble de la cité, planifient la production, rendent la justice, et légifèrent."

Sargas : "Par ma foi, voilà une formidable cité que vous me décrivez."

Aristote : "Certes, c’est vrai. Et j’ai la conviction intime qu’elle doit exister, quelque part."

Sargas : "Croyez-vous, maître ? N’est-ce pas là un simple songe ?"

Aristote : "Non, je crois plutôt qu’il s’agit d’une prémonition. Et je veux m’en assurer par moi même. J’ai fait mon temps ici, et de ta condition de disciple, tu vas passer maître. Le lycée t’appartient."

Sargas : "Comment, maître ? Mais j’ai encore beaucoup à apprendre."

Aristote : "De moi, non, mon cher ami."

Et le maître, toujours aussi grave, laissa Sargas décontenancé, pour s’intéresser aux préparatifs de son voyage en orient… »


Elle resta silencieuse un court instant, le temps pour elle de rassembler ses idées en vue du commentaire....

«Dans un monde ou tout semble s’acheter, même les valeurs morale et éthiques pour acquérir un pouvoir illusoire , il est difficile d’imaginer ce Songe comme étant une possibilité.
Ou que cette Cité si fabuleuse doit exister autre part que dans un lieu lointain.
Pourtant, Aristote nous donne les principes nécessaires à l'accomplissement d’une telle Cité ici-même. »
« Comme nous l’explique Aristote, la société est divisée en trois cercles concentriques, ces cercles sont de dimensions différentes mais étroitement liés. Chacun à sa place et ses responsabilité.
Tous partagent la même foi, les mêmes valeurs et les mêmes buts. Mais ils accueillent les étrangers sans crainte, car soudés et confiants.
De part leurs exemples, ils montrent et partage leurs valeurs et de ce fait, exporte leur harmonie.

Ce qui n’est pas mentionnés mais sous entendus est que l’appartenance à chacun de ces cercles est un choix.
Un choix qui doit être fait pour le bien-être de toute la Cité et non à sa personne.
Ce choix est ainsi respecté par tous. Le lien invisible qui unis tous ces cercles reste la foy, l‘amitié et la confiance.
Sans cela, ce lien si fragile et pourtant si fort ...Est affaiblit»

« Nous sommes encore très loin de cette Cité parfaite, mais en tant qu’Aristotéliciens nous avons toutes ses qualités et ses principes pour réussir a bâtir cette Cité.
Si nous partageons tous ensemble et semons la graine de ces principes dans l’esprit de tous, nous avancerons vers ce but .
Pour cela, il faut de la patience et du courage. À nous de donner l’exemple pour démontrer que ces principes fonctionnent et qu’il est possible de construire ici-même cette Harmonie.
Que ce soit pour un village, un Comté, Un Royaume ou un Ordre. »


La jeune femme laissa passer quelques instants, le temps de laisser tout le monde a réfléchir a l importance de son sermon.
Elle repris lentement et silencieusement le chemin de l autel.

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C'est de l' Or
Laceter
Concentré comme il peut avec tous les enfants, il récite:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Mains croisées devant lui, il se perd dans la lecture du Jour. Que dire ? Comme à chaque fois, le choix du texte et les paroles de son Epouse sont si simples, pures et réalistes. Il est touché à chacune de ses messes. Il prend conscience de beaucoup de choses en silence, bien en méditation. Le sermon a un impact irrémédiable en lui. Il redresse la tête pour suivre Garance remontée vers l'autel.
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Et tout ça vaut de l'Or
Shantaram
Shanta sourit en voyant arriver Laceter qui lui confit un des trois couffins. Puis salue son amie diaconesse.

La cérémonie démarre... la jeune mairesse récite la demande de pardon à l'unisson


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


puis elle écoute le texte et le sermon. Quelle justesse dans les propos tenus ! Ces paroles raisonnent au plus profond d 'elle-même. Mais combien est-il difficile de mettre en actes ce qui est dit...
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Garance_de_grimaud
Elle reprit la parole, pour réciter le credo




Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
AMEN



Elle prit le pain et le vin, les bénit,Elle prit le pain et le morcela en plusieurs morceaux. Se retournant vers l'assemblée



--Venez communier mes freres et soeurs, partageons ce maigre repas, mais si réconfortant, symbole de notre amitié et de l'Amour de Dieu.

Les communiants ayant reprit leur place, elle prit quelques minutes de priéres en fermant ses yeux , puis regarde de nouveau l'assemblée

-Que la Lumière de Dieu soit votre guide et vos amis, votre bâton de marche... La route est longue, mais ô combien douce et belle. Et ce chaud Soleil au bout du chemin où attendent Dieu, Aristote, Christos , qu'il soit votre unique et ultime but! Allez en paix mes frères et sœurs!

-Merci à tous d'être venu rendre grâce au Très-Haut en ce dimanche et prenez chacun un petit pain brioché avant de quitter ce lieu

Garance rejoins la sacristie pour enlever la tenue d’officiante et elle va retrouver sa famille.
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C'est de l' Or
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