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[RP] La grande Cathédrale de Bourgogne

M4dboris
La majestueuse cathédrale de Dijon, capitale de la Bourgogne, le Coeur du Duché.

Dijon était la ville où se trouvait le palais des Ducs de Bourgogne...mais également la ville où la cathédrale la plus importante de Bourgogne se trouvait.

Ici devait se tenir les plus importantes cérémonies religieuses...les cérémonies de bénédictions de Conseil Ducal, les baptêmes de nobles, les sacrements importants...des choses qui dépassaient le cadre d'une église toute simple où se déroulaient les cérémonies ordinaires pour le citoyens lambda.
Tout ce qui se déroulait dans cette cathédrale rayonnait dans tout le duché...tous les habitants de Bourgogne finissaient par avoir vent de ce qu'il se passait à la cathédrale de Dijon.
Rien de ce qui se passait ici ne pouvait rester dans les murs de la ville...la portée était bien plus grande...

La cathédrale de Dijon était resplandissante, le soleil lui donnait parfois une beauté extraordinaire qui aurait pu convertir n'importe quel non croyant passant aux alentours...





A l'intérieur de ce lieu Saint, des chaises étaient disposées, assez pour contenir un nombre considérables de fidèles...et il fallait bien ça vu la grandeur des cérémonies pouvant être célébrées icelieu.
Bénir un conseil ducal n'était pas une chose qu'on pouvais faire dans une petite paroisse...autant à cause de la place que par la notoriété de l'endroit.



Les fidèles qui s'ammassaient dans le Saint édifice s'éblouissaient devant la beauté de l'endroit.
Les vitraux donnaient le vertige...et pourtant cette beauté n'était rien face à la perfection du Tout Puissant.



Enfin, la magnifique cathédrale ne se contentait pas de combler les yeux des fidèles...leurs oreilles étaient également en proie à la beauté.
L'Orgue du Saint édifice était imposant et pouvait distiller une musique transcendante...parfaite pour l'élévation spirituelle...






La cathédrale était un endroit unique pour les fidèles Bourguignons, ceux ci seraient toujours les bienvenus en ces lieux.



[Cathédrale nettoyée le 03/10/2010 par Atossa]
Aleen
En cette fin d'après midi, les fiers Marzyates l'Adjudant Aleen en tête parcouraient les ruelles, bannières au vent



La petite troupe martelait le pavé au rythme d'un chant guerrier

Citation:
Sur la lande flottent les gonfanons
Flottent fièrement de village en village
Sur la lande, ils marchent en formation
Les clameurs retentissent à leur passage
Les Coustiliers sont là !
Paysan, gare à toi !

L'ost bourguignon apporte la désolation
La lande est brûlée et ravagée
Partout se répandent plaintes et lamentations
Partout la peine et des gens endeuillés
Gardez vos maisonnées
Des routiers déchaînés !

Tous fuient face aux Coustiliers de Marzy
Pas de quartier aux femmes ni aux enfants
Nombreux ceux qui y ont laissé la vie
Les clameurs sont emportées par le vent
Le pays fume encore
Au pays règne la Mort !


Ils arrivèrent sur le parvis de la Grande Cathédrale, les portes étaient encore fermées, ils se mirent en rang et attendirent l'arrivée des hautes instances.....
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Loulilidy
Lou était dans les rangs derrière l'adjudant Aleen . Elle reprit avec les autres le chant guerrier :

Citation:
Sur la lande flottent les gonfanons
Flottent fièrement de village en village
Sur la lande, ils marchent en formation
Les clameurs retentissent à leur passage
Les Coustiliers sont là !
Paysan, gare à toi !

L'ost bourguignon apporte la désolation
La lande est brûlée et ravagée
Partout se répandent plaintes et lamentations
Partout la peine et des gens endeuillés
Gardez vos maisonnées
Des routiers déchaînés !

Tous fuient face aux Coustiliers de Marzy
Pas de quartier aux femmes ni aux enfants
Nombreux ceux qui y ont laissé la vie
Les clameurs sont emportées par le vent
Le pays fume encore
Au pays règne la Mort !


Elle attendit digne, que les portes s'ouvrent
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Ingeburge, incarné par Baronsengir



Cinq heures de relevée... ou presque. L'office des vêpres approchait, dans quelques minutes les cloches résonneraient et appelleraient les fidèles à venir rejoindre les bancs de la Grande cathédrale de Dijon. Il y avait bien longtemps que le lieu n'avait vu de grande messe dirigée par l'un des prélats bourguignons, qui, tour à tour, du faite d'indisponibilités ou à la faveur des retraites estivales, n'avaient pu être présents. Ainsi, Ingeburge avait passé un été caractérisé par une longue retraite ponctuée çà et là de quelques sorties dans le monde extérieur. Et puis, à la fin août, elle avait pris la route de la Franche-Comté, après avoir fait halte quelques jours à Mâcon afin de promouvoir les charges paroissiales vacantes. Un clerc à nommer à Saint-Claude et un voyage diplomatique, dans le même temps.
L'annonce de cet office vespéral avait été tardive tant l'incertitude était grande que le cardinal-Archevêque de Lyon se trouvât à temps à Dijon*, du fait des difficultés rencontrées durant le chemin du retour vers la Bourgogne. Mais Ingeburge était là, enfin, et après près d'un mois passé dans une Franche-Comté quelque peu soporifique et querelleuse, elle appréciait de pouvoir à nouveau fouler le sol de Bourgogne et de pouvoir en respirer le parfum si accrocheur que l'on ne l'oublie véritablement jamais. Annonce tardive donc, mais annonce quand même :



La porte de la sacristie grinça et un bedeau, au visage rond et débonnaire, apparut dans l'encadrement. Il indiqua que tout était prêt, les bancs ayant été lustrés, les fleurs assemblées en bouquets et les cierges allumés. Ne manquait plus qu'un signe de la responsable des lieux pour que les cloches soient actionnées et la cathédrale ouverte au public. Ingeburge glissa quelques mots tout en se levant afin de se préparer. Elle déposa un voile de dentelles noires sur sa tête, lissa le taffetas sombre de sa houppelande, enroula son chapelet autour de son poignet puis, empoigna Livre des Vertus et parchemins avant de quitter la sacristie. Parvenue jusqu'à l'autel, elle y déposa ses documents et ouvrage, avant de se retourner vers la nef et d'observer le bon ordonnancement des lieux. Ce qu'elle vit la satisfit et elle lança un appel au bedeau.

Quelques secondes plus tard, les cloches se mirent à sonner et les lourdes portes de l'imposante et majestueuse bâtisse religieuse, édifié à la gloire du Créateur de toute chose, furent ouvertes afin de laisser entrer les fidèles.


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[HRP]* Loupé, du fait de la MàJ ratée de vendredi, mon perso n'a pas bougé. Merci au joueur du bel et blond curé de Dijon de poster pour moi. [/HRP]
Baronsengir
BaronSengir s'était fait beau. Non pas qu'il ne l'était point d'habitude ; de Bourgogne aux terres du Sud l'on avait entendu parler du bel et blond. Mais là, enfin depuis qu'il était l'un des clercs locaux, il allait participer à cérémonie organisée par sa sublimissime supérieure. De blanc vestu, cape flottant au vent, bagues discrètes et chevelure lissée avec attention. Son éternelle mèche qui cachait son œil par moments ne le dérangerait en cette cérémonie.

Troupe de soldat était déjà sur le parvis à son arrivée, chantant hymnes militaires. Il n'eut le temps de prester attention aux paroles que les cloches résonnèrent et les portes du saint édifice de s'ouvrir. Le prestre marcha alors d'un bon pas et entra à l'intérieur, admirant comme toujours l'architecture des lieux tout en s'avançant vers les premiers rangs.

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Aleen
Ils n'avaient pas attendu très longtemps, les cloches se mirent à sonner, les lourdes portes s'ouvrirent, le bedeau, comme tout bedeau était tout rond, tout chauve, un éternel sourire accroché à sa face un peu rubiconde, couleur due sans doute au vin de messe, accueillait les fidèles, Aleen fit signe à ses soldats de la suivre.

Il pénétrèrent dans le magnifique édifice, sa Grâce Ingeburge était là, le soleil jouant à travers le vitrail la rendait encore plus majestueuse, il baissèrent les bannières devant elle, et la saluèrent très respectueusement. l'Adjudant se permit de lui envoyer un gentil sourire, elle se rappelait que sa Grâce lui avait dit quelques mots lors d'une autre cérémonie, puis la troupe rejoignit l'endroit qui leur était assigné.

Elle fit un tour d'horizon, des bouquets de lys et de roses étaient disséminés un peu partout, une quantité de cierges brûlait, l'organiste jouait doucement, les fidèles n'allaient pas tarder à arriver....

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Demonangel
Dena, nouvelle recrue d'Epervans arriva dans l'église et fit le signe de la croix avant d'aller s'assoir et de commencer à prier
Charles
    Tout juste venait-il de quitter le char qui l'amenait de Condé en Dijon; qu'il eut droit à sa sortie de l'engin, au cri d'une annonce. Ce jour était dédié aux soldats de l'Ost et de n'importe quelle manière, mais par la prière en la cathédrale bourguignonne.

    Sympathique idée que pensa le baron, le Très-Haut ne pourrait que bien mener ses oies dans le droit chemin de la sagesse s'il les abjure avant leurs faits. Et c'est avec un certain détachement de ses diverses obligations qu'il s'était donc décidé lui aussi à rallier le son des cloches pour assister à la cérémonie en l'honneur de ces hommes et de ces femmes combattants au nom du duché.

    Il n'avait malheureusement que trop peu d'habits sur lui, juste une robe, soutenue d'un mantel et encore moins de couronne pour prouver son sang en cas de litige. Enfin peu lui importait, on était dans la maison de Dieu et la présence du curé de la capitale ne ferait surement pas défaut pour le soutenir. C'est donc amoindri de ses habituels beaux vêtements qu'il se rendit en la cathédrale, une première pour lui !

    Sur le parvis, des soldats qui scandaient leurs hymnes. C'était donc eux ? Et bien, il fallait espérer qu'il puisse tout autant s'extasier lors de leur prochain combat et pour cela nul doute que cette messe les y aideraient. Dépassant l'attroupement devant les grandes portes, le barbu pénétra dans l'immense édifice ouvert depuis peu. Sans trop chercher à comprendre, il s'avança jusqu'aux premiers bancs habituellement réservés aux sangs bleus et prit place sans qu'on lui demande son reste.
Melisende
Pour sa première messe après sa nomination en tant que diaconesse, Mélisende se sentait gâtée : Aller jusqu'à Dijon, en la grande cathédrale de Bourgogne, cela n'était guère usuel. Elle s'était un peu préparée pour l'occasion et, passant les lourdes portes de la cathédrale, serra fortement le pendentif que lui avait remis son évêque, à l'effigie de la croix d'Aristote, symbole de son nouveau rôle au sein de l'église Aristotélicienne.

La profondeur de la nef ne la rassura guère : il y aurait sûrement foule à l'office. Elle s'avança d'un pas lent et peu assuré vers les premiers rangs et fut heureuse de retrouver une tête connue en la personne du curé de Dijon. Elle le salua poliment.

Bonjour mon père, ravie de vous voir ici.

Plus loin, vers l'autel, elle reconnut son éminence Ingeburge : ne la connaissant pas personnellement, il n'était cependant pas bien dur de part ses apparats et son aura de l'identifier. Elle alla à sa rencontre pour se présenter :
Bonjour votre Eminence, je suis Mélisende, diaconesse à Joinville, pour vous servir.

N'attendant que quelques instants, ne voulant la déranger plus longtemps dans sa préparation, Mélisende repartit vers la nef, pour accueillir les fidèles.
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Nolweenmonnier
Nol rentra en silence dans la cathédrale ça fessait longtemps qu'elle n'y était plus rentrer et vu melisende et alla vite la saluer

Salut ma mélisende comment va tu?Qu'elle sont les nouvelle?
Chouchou1804
Chou avait revestue sa plus belle tenue... Elle se dépécha de se rendre à la cathédrale...
Elle entra et se signa puis se rendit auprès des autres officiants...

Bonsoir Eminence! Bonsoir mon père! Bonsoir ma soeur!
Vous allez-bien?


Chou sourit à son beau et blond curé qu'elle trouva aussi beau que d'habitude...
Chou était un peu stressée... c'était la première fois qu'elle allait officiait avec son Eminence...
Elle espérait ne pas faire de faut pas...
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Teia
Comme tous ses compagnons, Teia avait reçu un message. Ils étaient tous attendus en la Cathédrale pour un office qui serait l'occasion d'une Bénédiction donnée en l'honneur des soldats de l'Ost. Elle entendit les cloches sonnaient, il était l'heure de se presser.

Elle n'était pas venue ici depuis un grand moment. La tristesse qui l'avait envahie à la mort de son tendre époux était toujours trop présente et elle évitait les lieux ou ils allaient tous les deux.

Elle entra, se signa et se glissa sur un banc. Elle allait prier pour sa famille, son amour parti et tous ses amis.......

Elle aperçut son éminence Ingeburge et le nouveau père de Dijon. Celui-là était très blond et pas mal de sa personne pensa Teia. Il y avait aussi Chouchou, l'amie de sa filleule Aloe. Elle était vraiment jolie dans sa tenue.

La messe devrait être vraiment agréable....... Elle se demandait ou était passé l'ancien bedeau qui aimait tant le vin de messe et qui se pendait aux cloches avec tant de vigueur que son aube parfois s'envolait ce qui faisait bien rire les passants qui ne manquaient pas de lever la tête dès que le premier son s'élevait.


Elle eut une pensée pour leur ancien père et ami Bender qui avait quitté la ville voici déjà quelques temps. Il faudrait d'ailleurs qu'elle lui envoie un message. Etait-il au courant du décès de son époux Ericlebon, elle en doutait vu qu'aucune messe n'avait été dite en aucun lieu......Une larme roula sur sa joue et glissa sur son costume militaire.
Ganon_44
Ganon n'aimait pas aller à l'église. Cela lui rappelait bien trop de frustrations et de colères. Bien entendu, ce n'est pas ce qui allait l'empêcher de défendre la sainte Église Aristotélicienne en ces heures sombres.
Aujourd'hui, sa présence était requise dans la Cathédrale de Bourgogne. Manifestement mal à l'aise, il tenta quand même d'enfouir ce sentiment et de sourire aux invités déjà présents.
C'est avec ce sourire crispé des grandes occasions qu'il se présenta aux invités de marque en ce jour.

Cependant, la vue d'une personne en particulier changea de sourire de façade en un franc sourire. Ganon tapota l'épaule de l'Adjudant Nolweenmonnier, alors en grande conversation avec Méli.


Bonjour mon Adjudant. Bonjour Méli Comment vous allez, aujourd'hui ?
Jeannedereal
Jeanne aux cotés de sa garnison chanta

Sur la lande flottent les gonfanons
Flottent fièrement de village en village
Sur la lande, ils marchent en formation
Les clameurs retentissent à leur passage
Les Coustiliers sont là !
Paysan, gare à toi !

L'ost bourguignon apporte la désolation
La lande est brûlée et ravagée
Partout se répandent plaintes et lamentations
Partout la peine et des gens endeuillés
Gardez vos maisonnées
Des routiers déchaînés !

Tous fuient face aux Coustiliers de Marzy
Pas de quartier aux femmes ni aux enfants
Nombreux ceux qui y ont laissé la vie
Les clameurs sont emportées par le vent
Le pays fume encore
Au pays règne la Mort !


Puis attendit ...
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Aelith
Elle s'était faite à l'idée qu'elle ne serait jamais soldat quelques années plus tôt, quand sa physionomie avait révélé qu'elle était plus qu'incapable de supporter, ne fut-ce que quelques instants, la lourde armure qui se révélait être salvatrice sur le terrain. Certes, elle avait à l'époque revêtue celle de son oncle, dans le plus grand secret - ou presque, Stephan étant toujours l'accompagnateur de ces étonnants projets -, et elle imaginait que les armateurs de l'Ost Bourguignon étaient en parfaite capacité d'adapter leurs modèles aux silhouettes plus féminines.

Mais tout de même, sa carrure de moineau n'était pas des plus propices à l'exercice d'une fonction militaire.

Aelith s'était donc résignée à ne manier qu'une légère rapière, grâce à quelques cours d'escrime donnés par son cousin, et à ne revêtir qu'une tenue de cuir souple qui ne protégeait pas grand chose, mais qui au moins n'entraînait pas une suffocation immédiate et/ou une chute sonore et peu gracieuse.

Néanmoins, elle admirait les hommes et femmes qui avaient fait des armes leur métier, et qui recevraient aujourd'hui une bénédiction dans la cathédrale de Dijon. C'est entre autres raisons celle pourquoi elle se rendit à l'office, s'avançant dans l'allée centrale jusqu'à atteindre un banc qui permettait une vision satisfaisante du chœur, sans pour autant la propulser tout au-devant.

A son cou, les deux médailles aristotéliciennes - celle de feu son père, et la sienne propre - se balançaient au rythme de ses pas, tintant parfois en s'égratignant l'une à l'autre. Il ne lui en fallait guère plus pour lui mettre aux lèvres un chant religieux qu'elle fredonna en gagnant sa place.

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