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[RP] La grande Cathédrale de Bourgogne

Hakon_
La préparation de Håkon, il se rendit en bas de la nef pour écouter l'office. Il avait longtemps attendu ce moment. Il s'était préparé autant qu'il le put mais ce genre d'instants ne se répètent pas et c'est finalement aussi innocent qu'au premier jour qu'il se présenta devant sa tante.

En remontant lentement la nef à la suite des autunois, le jeune danois-nivernais se remémora l'arrivée en Provence et sa première rencontre avec sa Tante Ingeburge. Sa fougue, son désarroi, la peur, la désaprobation de sa Tante mais aussi la tristesse retenue et le masque de froideur qui ne fonctionnait jamais réellement avec lui tant il avait été élevé en seigneur Ahlefeldt comme elle. Les intrigues de cour, la retenue, la discrétion, le respect. Toutes ces valeurs que ses parents et ses grands parents lui avaient inculqué. Il avait toujours su se maîtriser ou presque. Mais ce jour dans la Cathédrale de Bourgogne, sise à Dijon, avec les prélats et les clercs de Bourgogne, sa Tante, des fidèles, la Duchesse de Nevers et candidate à la charge royale, il se sentit ému à un point qu'il n'avait pas connu depuis la mort de ses parents. Cette fois-ci, un frisson profond parti de l'intérieur de son corps et le parcouru. Il n'était plus triste mais se sentait plain et accomplissait enfin un acte dont son père aurait sans doute été fier. Certes, il n'aurait pas d'enfants ou pas dans un futur proche mais il assurait dignement le nom de sa famille. Il était le troisième prélat de la famille et fréquentait les plus grands noms de son royaume de rattachement, d'adoption. Sa piété n'avait pas failli et le Très-Haut reconnaissait en sa Famille un groupe de serviteurs fidèles.

Il parvint au bout de la travée et s'inclina vers sa Tante plus bas que nécessaire, empreint d'un respect et d'un amour sans limites pour celle qu'elle était, sa tutrice, son chaperon, son professeur et enfin son exemple. Le jeune danois avait grandi et par cet acte, il rendait hommage à celle qui l'avait guidé dans son enfance. Avec cette intronisation, il ne serait plus jamais un enfant et aurait à son tour à guider d'autres fidèles et amis. Il sourit intensément mais avec une décence toute familiale.

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évêque démissionnaire de Nevers, seigneur du Clos Lucé, chevalier du Danemark et de Norvège
Mcmako
Père Mcmako entré dans la Cathédrale de Bourgogne à remercier le Santa Beata Liberata Giulia:
"
Dociles à l'invitation de ta voix très doux, o Beata Liberata Giulia, nous accourons à tes pieds pour indiquer aux pécheurs le chemin de la prière et de la pénitence et dispenser à toutes les grâces de ta bonté souveraine

O cadidèe vision de Paradis, éloigne de nos esprits les ténèbres de l'erreur, leve notre esprit avec le parfum de ton candeur, ravive nos coeurs arides avec le flot divin de la charité.

Fais que nous aimons et nous servons Le Très-Haut et ses Prophètes, pour mériter la félicité éternelle près de ton trône.
Amen"

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WORBAS!
Maurizio Mcmako D'Este
già Vescovo di Parma
Cappellano della Famiglia Estense
Flore
De passage en Bourgogne sous bannière croisée, Flore veut se recueillir un instant à la cathédrale.
Plus de monde de prévu aux alentours. Elle se renseigne auprès des villageois qui lui précisent qu'une intrônisation est en cours.
Raté pour la prière mais le nom du nouvel évêque de Nevers la réjouit.
Sans doute n'aura-t-elle pas l'occasion de féliciter Hakon de suite mais elle reviendra lorsque les événements en Confédération Hélvétique seront sous contrôle.
Puis elle n'a pas manqué de se tenir informée des travaux de son frère, maintenant établi à Lyon.
Ses écrits intéresseront l'Eglise, elle en est sure.
Oui c'est décidé, après la croisade, elle se concentre sur la concrétisation des idées de Miroslav et se rendra auprès des représentants locaux du clergé.

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Donotach
Dono était passé à la cathédrale. Il n'y allait pas aussi souvent qu'il le voulait mais il ne ce passait pas une seule journée sans qu,il prie. Avant de partir il se fit donc un de devoir d'y aller. En plus il y vie une magnifique cathédrale qui vallait le déplacement a elle seule.

Il entra donc a cette heure matinal et se signa puis alla s'agenouille à un ban tout en avant.

Comme a son habitude il vida son esprit et entreprit son credo.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Puis il se receuilla un long moment repensant à son passé et à son avenir. Il pria pour Dame Rhiana et son mari, pour leur fille et pour sa soeur en croisade.

Il pria longtemps pour sa douce, qu'elle retrouve son frère en toute sécurité. Il pria Aristote de lui permettre de la rejoindre en un seul morceau et lui demanda pardons de quitter son devoir pour son coeur cette fois.

Il ne su jamais combien de temps avait réellement passé, mais il se rendi compte qu'il devait maintenant estre en début d'après-midi maintenant. Il était temps de prendre ses affaires et de partir vers sa nouvelle vie maintenant, d'aller rejoindre celle qui avait conquérit son coeur.
Baronsengir
Avant de prendre la route, le blond avait tenu à s'assurer que les enfants qu'il exploit... qu'il payait grassement ; dix deniers chacun, pensez! ; avait mérité leur obole. Il les avait bien choisi, les bambins de ses paroissiens les plus fervents. Aussi n'avait-il inquiétude quant à voir le travail bien fait, les parents s'en seraient assuré.

Il pénétra dans la cathédrale de Dijon, majestueuse comme toujours. Ils avaient bien travaillé, les petits. Poussière enlevée, sol récuré, bancs lustrés... Les pauvres avaient trimé sous la surveillance parentale, semblait-il. Il pouvait passer le doigt sur statues d'Aristote ou de Bynarr, inspecter les porte-cierges à la recherche de taches de cire aux alentours... Rien. Parfait. L'évesque ressortit, satisfait. Un petit coup de balai avant la date prévue et il pourrait utiliser la cathédrale comme prévu. Il sortit et s'en retourna au presbytère afin de terminer ses préparatifs.

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Baronsengir
Mercredi 8 juin 1459 - Funérailles de Juliette d'Harles

La cathédrale avait été décorée sobrement pour l'occasion. Rien d'ostentatoire. Quelques cierges allumés, mais point trop. Une atmosphère sombre était de mise. L'évesque attendait la famille et les proches de celle dont il allait faire messe de funérailles. Et par dessus tout, le corps, que le mari avait fait conserver en crypte, s'il se souvenait correctement.

Attendre, il n'y avait que cela à faire. Aussi, autant commencer par ce qui annonçait chaque messe. Et en particulier celle-ci. Se rendant à l'arrière, parmi les méandres de couloirs de la grande bastisse, BaronSengir se trouva en vis à vis avec le lourde corde reliée aux grandes cloches de la cathédrale de Dijon. Ce fut un sombre appel qui résonna minutes durant dans la capitale de Bourgogne.



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Morkar
Une simple carriole, recouverte d'un drap rouge, avançait d'un rythme lent vers la Cathédrale. Un cercueil se tenait au milieu, une simple couronne de fleurs dessus. De part et d'autre, il y avait deux rangées d'hommes en tenues arborant les couleurs de Mervans et d'Evreux. En tête de cortège, Estienne et sa belle-fille, Alienor. Derrière le véhicule, gens des fiefs bourguignons, familles et amis marchaient.

Sur le parvis, la carriole fit halte. Estienne descendit de cheval, aida Aliénor à descendre aussi. Il se dirigea alors vers l'homme qui menait les rangs, son intendant, Benoit. Un signe, silencieux, car il n'était plus utile de se parler entre les deux hommes, et 6 de ces hommes prirent le coffre mortuaire, et entrèrent en suivant encore Estienne qui marchait lentement, dans la nef de l'Eglise. Les cloches sonnaient... tristement...

Les hommes déposèrent, devant l'autel, le cercueil, et s'en allèrent se placer de part et d'autre du chœur. Estienne demeura un temps devant l'autel, les yeux sur le cercueil. Il ravala une boule qui était dans sa gorge. La cérémonie ne tarderait plus.

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Armoria
Depuis le palais ducal, elle avait entendu l'appel des cloches. Elle n'avait guère envie de se rendre à la cathédrale, oh ça, non... Pas un enterrement de plus, elle n'en pouvait plus de tous les voir partir. Mais il y avait le passé. Il y avait ce lien, encore un lien entre Asterius et elle qui disparaissait.

Quand elle entra dans le lieu saint, en se signant, le corps y avait déjà été amené. Elle marcha jusqu'à se trouver devant le veuf, dont elle pressa légèrement la main. Après quoi, elle gagna les bancs de la haute noblesse, restant debout.

On le savait, Armoria ne trouvait jamais les mots, pour des funérailles. Mais une fois de plus, elle était là.

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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Alienor_de_lasteyrie
Qu'elle jour moche, oh oui! Qu'il était moche! Cela rappelait bien mille fois au moins que Juliette ne reviendrait pas, que sa chère maman n'était plus.
Voila quelques temps que la petite blonde portait le vêtement de deuil, et ce jour la ce n'était pas différent. Robe blanche, épuré pour cet enterrement affreux.

Et puis qui lui restait-il? Et voila que la petite damoiselle de Meyssac se retrouvait orpheline.
Et l'on approche du parvis avec Estienne. Le seul lien qui lui restera avec sa mère, c'est sur même.

Le duc l'aide à descendre de sa monture tandis que les cloches sonnent, affreuse cloche! La tristesse brouille le bruit des oiseaux, du vent dans les arbres. Enfin, il n'y a plus grand chose autour qui soit intéressent.
Et voila c'est finit, le cercueil avance. Ils avancent, et les yeux de la gamine deviennent humide.

Oh c'est moche elle va pleurer, ben oui c'est sa maman qui s'en va!
Elle prendrait bien la main de son beau père, car à qui d'autre se raccrocher?
Mais non, la petite orpheline s'en va rejoindre sa place apercevant quelques visages plus ou moins inconnus, espèrent que ca soit très vite terminé.

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Chouchou1804
Chou qui devait se reposer, avait eu l'autorisation de Monseigneur pour venir assister aux funérailles...
Elle entra discrètement, se signa et remonta l'allée lentement...
Elle était encore faible et ses déplacements se faisaient de façon très lente...
Chou alla saluer le beau blond...


Bonjour Monseigneur.
Je vais m'asseoir, je ne me sens pas encore en grande forme pour rester debout trop longtemps.


Chou lui sourit légèrement et alla s'asseoir comme à son habitude, sur le costé non loin de l'autel...
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Ingeburge
Connaissant l'heure du début de l'office suite aux indications données par le prévenant et organisé bel et blond évêque d'Autun, la duchesse d'Auxerre – elle n'était pas là à un autre titre – avait arrangé ses affaires de façon à se présenter peu de temps après le début de la cérémonie. Confortablement installée sur la banquette de son carrosse, elle attendait que l'un de ses gardes vienne à elle et lui indique que le convoi funéraire était arrivé. Le moment vint et, après avoir replacé sa huve de mollequin noir sur sa tête, elle mit pied à terre, traversa la place, puis le parvis, avant de s'engouffrer dans la fraîcheur de la cathédrale. D'instinct, elle resserra sa mante de couleur sombre autour de son corps frileux et si, comme à son ordinaire, elle était entièrement vêtue couleur de nuit profonde, elle tenait à la main, en signe de deuil, un petit bouquet d'iris blancs.

La nef fut remontée, avec lenteur et alors que le cercueil venait d'être installé, elle-même alla prendre place là où son rang le commandait, aux côtés d'Armoria. Elle salua celle-ci de quelques mots murmurés et son regard alla ensuite se poser sur Etienne qu'elle avait vu quelques jours plus tôt, en vue de définitivement solder la succession de Juliette et sur Alienor dont elle avait aussi connu le père, Milamber de Lasteyrie... elle avait d'ailleurs assisté, à Limoges, aux funérailles de celui-ci. Dieu que le temps a l'art détestable d'arracher les vivants à leurs proches.

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PC qui a crashé = joueuse en mode craquage = FPC!
Angelyque
La Duchesse du Charolais avait fait le déplacement pour assister à l'enterrement de celle qui lui avait tant appris. Celle qui avait en grande partie organisé la reprise du château de Dijon en 1455 et qui lui avait appris en un temps record les premiers rudiments concernant la sécurité. Lui donnant le goût de s'investir à la douane.

De nombreux souvenirs affluaient, dont un grand nombre étaient reliés au baron Stam, le grand amour d'Angelyque. Elle luttait pour ne pas pleurer, l'émotion était trop forte. La dernière fois qu'elle avait vu Juliette...ou plutôt entendue puisque celle-ci était furieuse après elle qui avait encouragé une bourguignonne joutant sous les couleurs orléannaises plutôt qu'un normand joutant sous les couleurs bourguignonnes. En réalité la duchesse avait inversé les couleurs et avait commis une -énième- boulette- dont elle s'était tirée en s'enfonçant davantage, enrageant encore plus Juliette.

Celle n'était plus là à présent.

Encore une grande figure de Bourgogne qui s'était éteinte.

Arrivée dans la Cathédrale, la charolaise se rendit auprès du mari et de la fille de Juliette, elle inclina sa tête devant eux. Un noeud lui enserrant la gorge l'empêchait de parler. Elle bafouilla quelques paroles de réconfort puis prit place, un peu à l'écart afin de suivre la cérémonie.

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Wolfar
Lorsqu'on apprit à Wolfar que la Baronne de Mervans n'était plus, il ne put y croire. C'était encore une grande perte pour la Bourgogne et la moindre des choses était d'etre présent en ces pénibles moments.
Le Baron avait fait la route jusqu'à Dijon en carrosse dont les fenetres avaient été fermées avec de lourds morceaux d'étoffe.
Il pénétra dans la grande cahédrale de Dijon, remonta l'allée centrale, puis, après avoir salué le veuf , prit place sur une des bancs.

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Elicas
Etant également en deuil, le Cadet breton prit la décision de venir se recueillir au sein de la cathédrale de Bourgogne. Des croisés avaient péri lors de différents assauts ces derniers temps, ils méritaient amplement une prière. Par respect pour le Très Haut, Elicas déposa un baiser sur sa médaille Aristotélicienne et prit place là où il n’embêterait personne. La main sur le pommeau de son arme d'estoc qu'il pouvait introduire dans un lieu Saint étant l'un de ses défenseurs, il récita le credo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.


Une fois le credo récité, Elicas s'inclina légèrement et ne resta pas plus longtemps pour ne point déranger les bourguignons.
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Aspirant-Lieutenant des Saintes Armées Bretonnes.
Baronsengir
Le blond évesque revint vers l'autel et constata que la défunte était lors présente en la cathédrale. Il adressa un signe de teste à a princesse et au veuf qu'il avait croisé un certain temps auparavant afin de régler les détails des dites funérailles. Il énonça, d'une voix forte et sobre en intonations :

Mes amis, nous sommes réunis en ce douloureux jour afin de rendre un dernier hommage à une disparue, une grande de Bourgogne. Mnémosyne. Dame d'Etroyes. Baronne de Mervans. Juliette Lambelin. Bien des noms, mais nous n'userons que d'un seul. Juliette d'Harles.

Un silence .

Avant que de communier avec le Divin, je souhaiterais que tous ici entendent ce qu'était cette femme, au delà des titres et des charges. Aussi, en l'ordre qui leur siérait, j'appelle le veuf et la fille de la disparu. Venez donc à l'autel vous exprimer.

Il s'agit de d'écrire la défunte, au delà d'un simple rappel des charges qu'elle a pu occupées. Aussi, mon fils, ma fille, prenez parole et dites qui était vraiment Juliette, ce qu'elle réprésentait dans votre vie.

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