Afficher le menu
Information and comments (1)
<<   <   1, 2, 3, ..., 16, 17, 18, ..., 22, 23, 24   >   >>

[RP] La grande Cathédrale de Bourgogne

Iustinianus
Quand la diaconesse lui dit d'aller prés le baptistère, Iustinianus s'avvicina et plia la tête. Donc il commença reciter le serment, avec dévotion et passion religieux:

Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne comme mon guida dans
La connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidêle ainsi
qu'à lor autorité, seule représentante sur la Terre de lÊtre Divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut
de mon âme en vue de ma résurrection prés de Dieu
dans la contemplation êternelle de Sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé
et serviteur de Dieu Tout Puissant.

Sic sit nunc et semper in saecula saecolorum.
Tullia
Lorsqu'il eut terminé de réciter le serment du baptisé, Tullia lui donna un cierge, symbole de son âme devenue pure, et une médaille de l'Église Aristotélicienne.





Bienvenue dans la famille aristotélicienne Iustinianus, puisse le Très Haut te guider vers le droit chemin.
Iustinianus
Iustinianus, reçu le symbole, remercia Tullia pour son aide à entrer dans l'Eglise, car maintenant il aurais pu finalement devenir prêtre, c0mme il avait toujours souhaité.

Merci beaucoup, madame. Je vais servir le Très Haut; si vous avez besoin d'aide, n'exitez pas à me contacter, car je suis sur que le Très Haut voudrait que j'aide qui m'a aidé dans ma mission.
Jerem51
Monseigneur Jerem, vêtu d'une simple bure et perché sur son âne, accompagné d'un guide et de son secrétaire particulier, vint à passer par la Grand-Place de Bourgogne qui était sur la route qu'il devait emprunter pour rentrer à Semur célébrer la St-Noël qui aurait lieu le lendemain, jour de la naissance conjointe d'Aristote, de Christos et de St-Noël.
Soudain, son petit équipage fit halte devant la cathédrale et Primat, secrétaire particulier du Recteur du Chapitre Régulier Romain, se précipita pour l'aider r à démonter: en effet, Monseigneur Jerem souhaitait se recueillir quelques instants à l'intérieur avant de reprendre son chemin.
Ayant gravi les quelques marches qui le séparaient de l'entrée, il passa sous le lourd tympan sculpté des scènes du Jugement divin, où Dieu, entouré d'Aristote et Christos, demandait à la personne qui se présentait à Lui, si elle voulait être jugée ou préférait différer celui-ci et revenir sur Terre.

La nef, assombrie par le temps maussade, était déserte et les pas du religieux romain résonnaient dans tout l'édifice. Sans l'ombre d'une hésitation, il se dirigea vers la première rangée qui menait devant l'autel, alluma un cierge et le tint ainsi allumé durant tout le temps de son oraison mentale qu'il adressa à Dieu qu'il plaçait, dans ses pensées, bien au-delà des deux prophètes, car tout devait s'effacer devant la volonté divine comme l'avait montré la destruction d'Oanylone par ce dernier.

Ayant terminé, il déposa le cierge sur le plateau où scintillaient déjà d'autres chandelles, regagna lentement l'entrée et, les marches descendues, reprit son attelage et fit route vers sa destination finale.

_________________
Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
--Rutebaf
Pour la naissance du petit Christos, Rutebaf décida de prendre son courage à son cou et apposa -discrètement- un joli placard sur le parvis de la cathédrale.

Citation:


    Au nom de Deos le Miséricordieux, le Tout-Puissant, Celui-Qui-Protège, Celui-Qui-Pourfend, Celui-Qui-Châtie, Celui-Qui-Cuisine-le-Lapin-à-la-Perfection-Qu'il-est-Lui-Même-Car-tout-Lui-revient-Puisqu'Il-est-le-Créateur ;
    Car Il est l'Omniscient, l'Omnipotent, Il sait Tout, voit Tout, entend Tout, sent Tout.
    A Lui reviennent les mystères du visible et de l'invisible, du caché et de l'évident, du présent et du passé, du connu et de l'inconnu, du noir et du blanc, du monsieur et de la dame, du oui et du non...

    Qu'éclate la joie des Croyants, que se réjouissent les dévots, car la volonté de Deos est sans appel et Il le fait savoir quand Il le veut.
    Qu'éclatent les sanglots longs, hypocrites et monotones des disciples du Sans-Nom qui sont à l'automne de leur règne.

    En cette veille de la célébration de la naissance du petit Christos, tout ce que l'Aristotélicité compte de dévots sincères peut se réjouir.
    Le Lion de Juda, bras armé de la Colère de Deos, a frappé l'Église prétendument aristotélicienne au chef. La prise de la ville de Mende a permis de mettre en procès le pape, vil caïphe de cette secte immonde, celle-là même qui a perverti depuis trop longtemps le Verbe divin qu’avaient commenté Ses trois prophètes, bénis soient-ils : Aristote, Christos, Averoes.

    Innocentius le Mal-Nommé verra ainsi étalés au grand jour les trop nombreux mensonges, délits et crimes de l'Église qu'il a couvert et encouragé par son adhésion sans réserve. Seront mis à nu toutes les superstitions que cette entité inique du Sans-Nom invoque pour couvrir ses ignominies indicibles et horribles : stupre, fornication, gourmandise, orgueil du pouvoir, envie de lucre, massacre des fraises et avant tout oubli de Deos !
    Il devra répondre de ses crimes et de ceux de son Église devant les hommes avant d'en répondre devant l'Unique!

    Que soient rejetés les faux signes, que soient renvoyés les actes de baptême qui ne servent qu'à contrôler les corps, que soient abattues les statues érigées pour porter l'ignoble message du Sans-Nom, que nous rejoignent les vrais croyants qui se désolent par milliers de l'incurie et la malhonnêteté de cette fausse Église.


    Que se gonflent les cœurs des vrais Croyants, car le glaive de Sa justice est sans appel !
    Que se rassurent les honnêtes habitants de Mende, car le Lion vient pour rendre la Justice de Deos, non pour piller une ville déjà mise à mal en ses finances laborieusement gagnées. Heureusement s’arrête aujourd'hui ces dépenses effrénées et impies pour protéger le chef de cette superstition dégénérée qu'est hélas devenue l'Église, à force de trahir la parole du Très-Haut.

    Que tombe donc Sa colère sur ce lamentable représentant du Sans-Nom, en un procès qui restera dans les mémoires. Car si Sa justice est impitoyable, Il est le Très-Magnanime et on laissera au coupable l'occasion de se repentir. Peut-être, s'il est sincère, ne sera-t-il condamné qu'à un demi-pal ?


    Le Consistoire du Lion de Juda


Jerem51
Monseigneur Jerem, qui avait été mandaté par SE Yut, le nouvel archevêque de Lyon, s'apprêtait à faire sonner les cloches pour appeler les fidèles à une messe exceptionnelle en raison des circonstances graves liées à la prise de Mende par les Lions de Juda quand il vit l'infâme placard laissé en ces lieux par ces hérétiques patentés.
Il l'arracha et le mit dans sa poche afin de le faire porter immédiatement à Son Eminence, puis il ordonna aux responsables de l'édifice saint, de faire sonner illico les cloches.

_________________
Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
Tullia
Le Pape ? Pris en otage par des hérétiques ? Les Lions de Judas ?
La nouvelle, tellement affreuse fut-elle, suffit à faire s'effondrer la jeune diaconesse. Comment pouvaient-ils oser, s'attaquer au premier représentant de Dieu ? N'avaient-ils donc pas de morale ? Bien sûr que non, c'étaient des hérétiques.
Aussi, ayant entendu à l'archidiocèse qu'une messe serait donnée afin de prier pour que le Pape s'en sorte bien, Tullia décida de partir pour Dijon, et de se rendre en la cathédrale.
Première à arriver dans l'édifice, elle s'installa sur un banc, priant avant même que la cérémonie ne commence.
Bisac
Comme tout citoyen, Bisac avait lu les nouvelles. Le Pape était prisonnier à Mende en Guyenne. Les lions de juda allaient le faire passer devant le tribunal et le juger.
Triste nouvelle pour la communauté aristotélicienne. Bien que n'ayant pas toujours eu de bons rapports avec les prélats de son comté natal, Aymé gardait encore les restes de son éducation bourgeoise dans laquelle la religion avait une place fondamentale.
Il se souvenait encore des leçons de morale de sa mère lorsqu'il ne l'accompagnait point aux offices ou aux remontrances qu'adressait cette même mère à la nourrice du petit Aymeri Bisac quand ce dernier n'avait pas prié avant de s'endormir.

Lorsqu'il quitta son dispensaire et que les cloches de la cathédrales sonnèrent à toute volée, le médicastre comprit que quelque chose d'important était en train d'avoir lieu. C'est ainsi qu'il pénétra dans le consacré batiment.

Peu de personnes présentes, bref salut de tête aux quelques fidèles et Bisac s'asseoit. Ni au premier rang, ni au fond de l'église, juste au milieu ...

_________________
Jerem51
Monseigneur Jerem ayant aperçu Tullia qui venait d'entrer et de prendre place, il lui fit signe de venir le rejoindre parmi les membres du clergé bourguignon.
Voyant qu'un certain nombre de personnes avaient pris place, il commença


Mes biens chers frères et soeurs, soyez les bienvenus dans la maison du Très-Haut qui est aussi la vôtre.
Nous allons réciter le Credo afin de purifier ces lieux souillés par des mains impures.


Monseigneur Jerem se tourna vers Tullia afin de lui demander de bien vouloir dire le Credo

_________________
Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
Tullia
La jeune femme s'avança vers le père Jerem, toujours abasourdie par la terrible nouvelle. Elle jeta un coup d'œil sur l'assemblée, puis entreprit de réciter le crédo.

Jerem51
Monseigneur Jerem remercia la jeune fille et reprit

Son Eminence Yut, notre nouvel archevêque n'ayant pas encore pu rejoindre son archevêché, il ne peut être présent parmi nous ce jour, mais sachez qu'il est de tout coeur avec nous et avec vous, mes amis, pour défendre la Foi et notre pape, injustement séquestré.

Qu'y a-t-il, en effet, de plus terrifiant - mais aussi de plus comique ! - que de voir que ses ravisseurs, les Lions de Juda, professant la prétendue religion averroïste, n'avoir que les mots de paix, de justice et de miséricorde à la bouche et être les premiers à ne pas les appliquer envers leurs prochains ?
Ce sont-là de faux prophètes qui prêchent une chose et agissent tout à l'opposé. Ils instrumentalisent la foi dans un unique but, un but matériel et non des buts spirituels. Ce qu'ils veulent, ce sont des titres, des places, des pensions et les moyens dont ils se servent: le crime, l'enlèvement, les pillages, les massacres, bref, le terrorisme ! Cela démontre bien quel est le but final qui nous désigne tout droit des suppôts de la Créature Sans Nom qui se sont laissés corrompre par elle, tel que le Livre des Vertus le laisse apparaître


Citation:

Et le faible se mit à envier le fort. La Créature Sans Nom exultait de joie, car elle sentait l’heure de sa gloire arriver. Elle murmura à l’oreille du faible et attisa son envie. La colère gronda dans le coeur du faible, qui se révoltait intérieurement contre cette injustice. Elle lui demanda pourquoi il liait ce sentiment dans son esprit et ne le laissait-il pas s’exprimer?
Livre de la Pré-histoire, chapitre IV)


La faible minorité averroïste se mit à envier la forte Eglise aristotélicienne et, sous l'influence de la Créature, elle la jalousa puis elle voulut se venger et se transforma en sicaire de la Créature, amie du vice, de la dépravation, de la débauche, du crime et de la luxure, ne respectant ni Dieu, ni âmes.

Pourtant que de bontés, que de patience l'Eglise n'a-t-elle fait preuve jusqu'à aujourd'hui envers cette minorité issue de contrées lointaines ?
Alors qu'elle est la religion majoritaire du royaume, alors qu'elle est celle de nos souverains, de l'immense majorité de la population et qu'il n'est de pouvoir, y compris religieux, qui ne vienne de Dieu, la religion aristotélicienne eut la bonté de tolérer les Averroïstes, à condition que leur culte restât privé, qu'ils agissent en paix et reconnaissent la suprématie de Notre Eglise.
C'étaient là des concessions bien hardies face à des Hommes dont l'âme est en danger de mort par l'erreur funeste dans laquelle ils sont et c'était le maximum que nous puissions faire en matière de tolérance sans mettre en danger les âmes du peuple aristotélicien.

Hélas, ces concessions ne leur suffirent pas, la grenouille voulut se faire plus grosse que le boeuf et versa dans des activités criminelles qui n'ont plus rien à voir avec le saint nom de la religion dont ils se couvrent.

Leur dernier forfait les dénonce tout à fait aux yeux de tous, l'enlèvement du Pape par ces tigres assoiffés de vengeance, cette idée de le juger, les discréditent à jamais. A qui feront-ils croire désormais qu'ils sont une minorité paisible ne faisant que se défendre contre de prétendus "crimes aristotéliciens" ? Est-ce en persécutant l'Eglise qu'ils comptent s'y prendre pour prouver leurs intentions pieuses et pacifiques ?
Mieux, en enlevant le Pape, c'est un immense service qu'ils rendent à la cause de l'Eglise qui, soudain, devient une victime, reconnue par tous, et ils ne pourront le nier ! Autant dire que leur but est raté. Ils se sont aliénés ainsi le peu de sympathie qu'ils pouvaient encore susciter ici ou là. Aujourd'hui, il n'est même plus besoin de les combattre, les dénoncer suffit. Leur faute les punira elle-même !
En attendant, prions pour que le Pape ne soit pas la victime de leur bêtise et de leur suffisance inspirées par la Créature.

Prions mes biens chers Frères et Soeurs, prions mes amis, pour le Très-Vénérable Innocent VIII, notre Pape, injustement accusé et emprisonné par des gens sans Foi, prions pour que Dieu le protège afin que ces chiens de Juda ne puissent porter la main sur Lui


Monseigneur Jerem fit une brève pause afin de reprendre son souffle
_________________
Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
Angelyque
La duchesse entendant les cloches de la Cathédrale résonner, posa les divers dossiers qu'elle avait en main sur son bureau, au Palais des Ducs de Bourgogne et s'empressa de rejoindre la Cathédrale.

Une fois à l'interieur, elle salua d'un signe de tête toutes les personnes présentes, écouta le père Jérem avec grande ferveur, regrettant l'absence de son éminence Yut qu'elle avait hâte de rencontrer, entendant le plus grand bien à son sujet et récita tout doucement le Credo
.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________
Pere.synesios
De la voisine Savoie, l'archidiacre de Chambéry était venu passer les fêtes en Bourgogne pour apprendre la terrible nouvelle. Lui qui s'était si souvent juré de garder tempérance et mesure se sentait comme un orphelin dont on prive un père. Aujourd'hui, il se sentait comme bouillonnant de la colère divine.

Il s'exécuta à l'invite de Monseigneur le recteur et récita le Crédo, non sans trembler.




Puis, les paroles justes et aiguisées de la vérité firent leur travail de justice et de réconfort dans le cœur du Savoyard. Pressé par le temps, il se dirigea rapidement vers la sortie où on l'attendait, sans avoir eu le temps de saluer le prélat thomiste.
_________________
Jerem51
Récitez avec moi, mes biens chers frères et soeurs

Citation:
Nous nous tournons vers Toi, Dieu, créateur des cieux, de la terre et de toute chose, le visage plein d'anxiété et d'affliction, car des mécréants se sont emparés du digne successeur de l'apôtre Titus, Ton serviteur Innocent VIII.
Nous Te prions pour sa sauvegarde, pour que ses traitres ravisseurs soient confondus aux yeux de tous et que nos frères et soeurs de Mende retrouvent la liberté.
Protège-les, ne permet pas aux créatures du Sans-Nom de leur faire le moindre mal, fais que notre Pape, Innocent VIII ne soit pas souillé par des mains impures et par leur justice inique.
Nous te prions, Toi, Verbe divin, afin que tu nous pardonnes nos péchés qui ont pu être la cause de ce grand malheur et que le Pape retrouve la liberté par le secours de nos prières.

Amen.

_________________
Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
Angelyque
La duchesse, à la demande de monseigneur Jerem, récita après lui.

Nous nous tournons vers Toi, Dieu, créateur des cieux, de la terre et de toute chose, le visage plein d'anxiété et d'affliction, car des mécréants se sont emparés du digne successeur de l'apôtre Titus, Ton serviteur Innocent VIII.
Nous Te prions pour sa sauvegarde, pour que ses traitres ravisseurs soient confondus aux yeux de tous et que nos frères et soeurs de Mende retrouvent la liberté.
Protège-les, ne permet pas aux créatures du Sans-Nom de leur faire le moindre mal, fais que notre Pape, Innocent VIII ne soit pas souillé par des mains impures et par leur justice inique.
Nous te prions, Toi, Verbe divin, afin que tu nous pardonnes nos péchés qui ont pu être la cause de ce grand malheur et que le Pape retrouve la liberté par le secours de nos prières.

Amen.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 16, 17, 18, ..., 22, 23, 24   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)