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[RP] La grande Cathédrale de Bourgogne

Ladyphoenix, incarné par Orlane



La Miel sourit à la Mirandole, et son regard, s’il trahissait ses pensées, refléta le même amusement que le rire qui s’échappa d’entre ses lèvres. D’un ton amusé, réprimant l’hilarité devant tant de ridicule, elle répondit :

- Votre Grâce, le bonjour. Vous n’avez pas changé non plus, effectivement. Toujours aussi peu encline à garder vos humeurs ; porteriez-vous un nouveau bâtard ? La taille de vos atouts s’en expliquerait, à vrai dire. Par contre, en tant que juriste, puisque vous savez très bien que je le suis… Si vous l’avez oublié, grand bien vous fasse, d’ailleurs, je vous fais remarquer n’avoir aucun casier judiciaire où que cela soit, et que vos accusations relèvent de la diffamation pure et simple.
Gare donc à vos propos, qui, s’ils ne peuvent vous valoir un procès immédiatement, pourrait vous le valoir, plus tard. Et avant que vous ne montiez sur vos grands chevaux, il ne s’agit pas là d’une menace, mais l’énoncé d’un fait, purement et simplement.
Quant à ma dernière venue en Bourgogne, elle n’était dûe qu’à deux choses : d’une part, ma volonté de vendre les marchandises que j’avais en ma propriété à titre bénévole, puisque j’ai vendu les morceaux de viande que j’y ai fabriqué à 7 écus, pour en faire profiter les Sémurois qui manquaient de viande ; si vous êtes initiée au savant art que représentent les mathématiques, vous conviendrez que j’y ai perdu là 10 écus au bas mot, et que je n’ai rien volé, mais plutôt offert. Ensuite, je passais saluer quelques amis, et voir ma famille. Vos accusations sont pure folie. Et je suis là sous l’invitation de ma nièce, en compagnie de mes enfants et mon époux… D’ailleurs, vous avez enfin trouvé à vous caser, depuis le temps ? Si vous vouliez bien cesser de pérorer, la cérémonie a commencé, et j’aimerais pouvoir suivre le baptême de ma nièce.


Détournant le regard, dénué d’intérêt d’ailleurs, des mamelles sur pattes, elle fit un petit signe de la main à sa nièce, porta son fils cadet, Louis, dans ses bras, et sourit à son mari, lui glissant :

- Fou, ce manque d’éducation, n’est-ce pas ?

Orlane
Orlane était contente, sa tante préférée était là... Mais ce qu'elle ne s'attendait pas, c'est cette tension qui prit place dans l'atmosphère de la cathédrale. Un sourire à Lady puis au mot de sa marraine envers la jeune fille lorsque le père Jerem avait demander si les parrains/marraines avaient quelque chose à rajouter.

Cependant, Orlane avait un peu de mal à suivre la messe, en effet, l'altercation entre Lady et Angelyque lui fit manqué une partie du moins cruciale, celle où elle devait venir s’agenouiller devant le baptistère.

Mais c'est quand elle reporta son regard sur Jerem qu'elle comprit qu'il lui avait adressé la parole, du coup elle marmonna un "oups pardon" avant de venir prestement poser ses genoux sur le baptistère. Elle répéta donc après lui:


Je reconnais en Dieu du monde,
la pensés suprême et la cause efficiente et finale du monde.
Je reconnais l’Église Aristotélicienne comme mon guide dans
la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi
qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l’Être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut
de mon âme en vue de ma résurrection près de Dieu
dans la contemplation éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé
et serviteur de Dieu tout puissant.

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Angelyque
La Duchesse toisa LadyPhoenix de haut en bas et s'adressa à elle d'un ton condescendant.

Ma chère, juriste ou pas, n'importe qui peut se targuer de l'être, même une dinde de bas étage, vous n'êtes qu'une brigande, rien de plus. Peu m'importe que ayiez été jugée ou pas pour cela.Vendre le fruit de vos larcins à Sémur ne vous aura permis que d'alléger votre mule. Si vous avez envie de déposer plainte, faites le donc!! je vous y encourage vivement. Vous serez très rapidement remise à la place qui est la vôtre. Les bas fonds et le purin.

Toute juriste que vous êtes, vous n'êtes pas sans ignorer donc qu'une gueuse telle que vous n'a pas à s'adresser à la haute noblesse comme vous vous êtes crue permis de le faire. Et cela ne restera pas impuni par contre. Pour une ancienne procureur il me semble que vous faites preuve d'une crasse ignorance et n'avez pas appris à rester à la place qui est la vôtre. Je vous conseille donc de fermer tout simplement votre clapet et garder votre hargne pour vous, vous n'aurez de toutes façons pas gain de cause.

Dois-je vous rappeler de plus que nous sommes dans un lieu saint? N'êtes vous donc venue ici pour que gâcher le baptème de votre nièce
?

La duchesse décida d'ignorer la blonde et se rapprocha d'Orlane,elle s'était engagée auprès de Didier et irait au bout, même si elle aurait de loin préféré vaquer à ses occupations ducales.
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Jerem51
Monseigneur Jerem sentait une atmosphère de plus en plus électrique dans l'air; en même temps, une certaine vision lui permettait d'en déceler sans doute la raison, aussi souhaitait-il se dépêcher de terminer la cérémonie, car, à lui aussi, cette présence indésirable pesait.
Prélevant de l'eau dans le baptistère, il en versa sur le front d'Orlane en prononçant la formule rituelle:


Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.

Le bedeau revint avec un cierge qu'il alluma puis le tendit à son patron, tandis que le secrétaire particulier passait un linge blanc sur le front de la nouvelle convertie.

Orlane, prenez ceci, ma fille, ce bâton est le signe de la lumière du message divin que vous venez de recevoir.
Sachez vous en montrer digne, car fortes sont les voies de la Créature sans Nom et nombreux les ennemis de Dieu qui tenteront d'éteindre cette flamme qui se trouve en votre coeur.
A vous, avec l'aide de l'Eglise et de vos parrain et marraine, de savoir la préserver.

Je vous remets aussi la médaille des nouveaux baptisés:



Elle pourra désormais vous accompagner partout et témoignera de votre foi et de votre appartenance à l'Eglise.
Code:
[img]http://img301.imageshack.us/img301/6278/croixaristotebaptisaw7.png[/img]

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Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
Orlane
Orlane sourie au vicaire qui venait tout juste de la baptisé,
il lui remit alors la médaille des nouveaux baptisé.
Ce fut alors dans une révérence respectueuse qu'elle remercia Jerem.

Je vous remercie Monseigneur et je promet de m'en montrer digne.

Puis, contente, elle se retourna vers sa famille et sa marraine,
gardant la médaille et le cierge précieusement entre ses mains.
La demoiselle s'approcha alors d'eux pour embrasser ses parents,
son parrain, sa tante, ses cousins cousines puis fit une révérence à sa marraine.


Je vous remercie tous d'avoir été présent pour moi en ce jour spécial.
Et j'espère que vous comprendrez si j'ai invité tata, se n'est pas pour lancer de quelconques hostilités
mais simplement pour réunir la famille et mettre de côté les différents qu'il y a put avoir.


Elle se tourna vers le Vicaire puis récita un passage d'un des textes qu'elle avait étudier lors de sa pastorale

"L’homme doit cultiver l’amitié au sein de la communauté aristotélicienne."
Cette phrase... Il est certain que l'on ne peut pas aimé et être aimé mais...
Ne laissez pas la colère et le rancœur noircir vos âmes.


De sa phrase, elle regarda tour à tour sa tante, sa marraine et le reste de sa famille.
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Natasha, incarné par Arambour


Nièce… baptême… Bourgogne…
Voilà à peu près les seuls mots qu’elle retint quand la miel lui parla de son départ… trois petits mots qui lui suffirent à prendre la route avec son amie ; il lui était insupportable de l’imaginer seule dans l’arène, car ne nous y trompons pas, si la Reyne Beatritz reposait en terres bourguignonnes, les sorcier(ère)s, malveillant(e)s et jaloux(ses) en tout genre ne manquaient pourtant pas et la platine ne doutait de l’audace mensongère dont ils étaient capables.
Au grand jour, elle accompagna Lady jusqu’au parvis de la cathédrale dijonnaise. Un sourire encourageant comme elle entrait, et la slave de s’appuyer à l’huisserie de sorte qu’on ne la remarqua pas afin de suivre la cérémonie de l’extérieur… Les édifices religieux ont cet avantage d’offrir une sonorité sans égale qui permettaient d’écouter sans y être totalement ; la blonde refusant tout net de pénétrer le moindre lieu « saint ».
Elle observait donc l’assemblée, écoutant distraitement l’officiant, quand une voix se permit de l’interrompre pour apostropher son amie ; l’attention se fit plus distincte afin d’en trouver la source. Stupéfaction en découvrant que le fiel provenait d’une figure noble et non des moindres puisque l’agressive n’était autre que la Duchesse en poste ; les propos bavés ne grandissaient pas les têtes couronnées et l’oxygénée de ricaner devant telle bouffonnerie. Aux sons de la diffamation pure et simple dont Lady faisait l’objet, l’irascible se demanda si c’était le pouvoir qui rendait l’âme putride ou si celle-là était déjà faisandée… Cette pensée l’amusa tant qu’elle dû étouffer un fou rire pour ne pas renouveler les manquements de ladite Duchesse.


Ladyphoenix, incarné par Orlane


Ladyphoenix sourit, franchement amusée par la Duchesse ; maintint bien son tout petit contre elle, posa un baiser sur le front de celui-ci, puis s’écarta pour suivre le reste de la cérémonie. Elle attendit que celle-ci fut achevée, ce qui ne tarda pas, avant de répondre :

Votre Grâce, porter de telles accusations sans preuves, en public, devant ma famille, est une franche erreur. Il semble que vous n’ayez pas entendu mes éclaircissements, et que vous tiriez vos propres conclusions - qui sont erronées, est-il besoin de le préciser ? Je ne vous ai en rien manqué de respect, j’ai, au contraire, bien fait attention à respecter l’étiquette ; je le sais fort bien, en juriste que je suis et demeure.

Je n’ai, et je le répète, aucun casier judiciaire, où que cela soit, j’ai vendu l’inventaire de ma propriété car je n’ai pas besoin de viande, et que je déménageais. Vos accusations sans preuves relèvent du scandale. Encore une fois, vous vous êtes permis de tenir de tels propos devant mes époux et enfants, et ce comportement est indigne de votre rang. Quant à l’ignorance en matière de droit, je me permets, du bas de la place sociale qui est la mienne, de vous encourager à relire le codex de Bourgogne, qui, si nous sommes passés à la Coutume, est toujours d’actualité.

Je vous invite également à revoir les traités de coopération judiciaire, qui vous seront fort utiles dans le présent cas. En ce qui concerne une quelconque hargne, je crois que vous vous méprenez, et que c’est vous qui vous emportez. C’est vous qui m’avez presque sauté dessus à mon arrivée, alors que je vous avais saluée d’un signe de tête et d’un sourire poli


( Merci de ne pas faire jouer ma poupée en lui donnant une quelconque expression de regard, ni d’interpréter ses pensées, c’est anti-jeu).


Lorsqu’Orlane s’avança, elle lui sourit, tendrement, et posa un baiser affectueux sur son front. Elle l’écouta parler, sourit à nouveau d’approbation devant sa façon de penser, et s’adressa à elle, lui tendant un petit paquet, dans lequel se trouvait un petit collier, orné d’une perle discrète mais délicate :

- Et je te remercie d’avoir invité ta tante, ma chérie. Je n’aurais râté ce grand jour pour rien au monde. Tu trouveras dans cette petite boîte un bijou qui me vient de ta grand-mère maternelle, je pense qu’une jolie jeune femme telle que toi trouvera occasion où le porter avec grâce et dignité. Tu pourras même y ajouter ta jolie médaille de baptême, tu verras. Merci, également, d’avoir pensé à ton oncle pour te tenir lieu de parrain.

Elle posa une nouvelle bise sur sa joue, aussi tendre et bienveillante qu’habituellement à son égard, et songea qu’il faudrait maintenant songer à quitter l’édifice, après un salut adéquat à chacun des présents. Elle sourit à la Platine, toujours appuyée au chambranle de la lourde porte, et lui fit un petit signe : elle ne tarderait pas.

Jd Natasha tient à souligner une erreur dans son post et la corriger : Il s’agit bien de « l’ex-Duchesse », et non pas « la Duchesse en poste », puisqu’elle pensé à Angelyque.
.

Jerem51
"Que vos femmes fassent silence à l'Eglise" avait écrit, avant la Réforme, St-Paul dont la pensée était, depuis, devenue hétérodoxe. Et pourtant, se dit Monseigneur, on ne pouvait lui donner entièrement tort. L'ancienne Eglise n'avait pas que du mauvais.
D'ailleurs, s'il ne s'était retenu, il eût bien demandé à son secrétaire particulier et à son bedeau de flanquer à la porte de la cathédrale celle qui semait ainsi la zizanie dans la Maison de Dieu.


Récitons à présent le Credo qu'on en finisse, pensa-t-il.


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Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
Orlane
Orlane reprit sa place auprès de son père et sa mère puis récita le credo avec le Vicaire, joignant les mains sur le cierge.
Elle avait un petit pincement au cœur, car elle voyait bien que l'animosité de chacun ne ferait qu'empirer, et s'était bien dommage.
Maintenant elle n'avait qu'une seule hâte, que la messe se finisse pour partir et se réfugier dans un endroit où elle n'entendrait plus cette haine.
Elle n'avait même plus envie de faire la fête, c'est pour dire!

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Angelyque
La duchesse continuait à suivre la cérémonie, se désinteressant totalement du reste, ne se concentrant que ce pour quoi elle était venue. Le baptème de la fille de Didier de Sars.

Elle suivit les paroles de l'officiant, et la voix chargée d'émotion, entama le crédo d'une voix claire et sereine
.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Julien1
Julien se contenta de ne garder que les images positives de cette…cérémonie.

Il ne se souviendrait que de la joie d’Orlane à revoir sa tante, de sa propre joie à devenir parrain de la petite, du plaisir de voir tout le monde réuni.

Pour une fois il se sentait en phase avec le prêtre et ne regrettait pas que ce baptême eut été expédié, Orlane comprendrait sans doutes.

Pour le reste, il décida de tout occulter, baissant les yeux, il récita le credo, en lui-même, se concentrant afin de ne pas se laisser submerger par l’émotion, les souvenirs.
Ne pas penser qu’il allait falloir repartir, seuls, et expliquer aux enfants pourquoi leur maman ne viendrait pas…eux aussi comprendront, un jour………..

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Jerem51
Voila, le baptême est fini. Chacun est libre de reprendre ses occupations, enfin, une fois sorti de la Maison de Dieu

Amen.


Monseigneur prit alors sa plume et écrivit dans les registres de la paroisse de Semur, afin que la mémoire de ce baptême fût conservé ce qui suit:

Citation:
Baptême d'Orlane
L'an 1460, le premier jour de février, a été baptisée par moi, Jerem51, en la Grande cathédrale de Bourgogne, avec l'autorisation de Son Eminence Yut, archevêque de Lyon, Orlane, fille de Didier de Sars. Le parrain a été Julien1 et la marraine, Angélyque de la Mirandole, ex-duchesse de Bourgogne. En foi de que, moi, Jerem51, prêtre-vicaire de Semur, théologue du Saint-Office, ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain, j'ai signé.

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Recteur de la Congrégation de Saint-Thomas
Ex-Recteur du Chapitre Régulier Romain,
vicaire de Semur, théologue du St-Office,
Conseiller semurois
Cybellia.
Cybellia avait attendu sagement la fin de la cérémonie au fond de la Cathédrale. Elle avait ouïe dire que des membres présumés de sa famille se trouveraient là. Elle était venue, spectatrice muette de cette célébration pour le moins étrange... Seuls sortaient de sa bouche les locutions d'usage dans un lieu saint.

Emmitouflée dans son châle, tant le froid de la pierre la saisissait, elle attendit que procession fût terminée. Elle jetait de ça de là de légers regards afin de tenter de reconnaître quelques traits qui lui étaient similaires, en vain, tant l'atmosphère de ces lieux avait semblé pesante. Elle ne voulait importuner quiconque, ni dévisager l'assemblée de peur d'attiser d'avantage la colère dont elle avait été témoin.

La foule ayant quittée les lieux, elle se dirigea vers l'autel et s'agenouilla pour prier. Le silence avait repris possession des lieux. Quelque chose d'apaisant après tout ce remue-ménage. Elle ferma les yeux et se laissa aller au plus profond de ses songes, tournés vers l'enfant qu'elle portait, suppliant le Très Haut de lui donner sa Grâce.



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Didier.de.sars
l ours grognait , pour une fois qu il venait a l'eglise c'etais le souk !!!!, une de ses belle soeur fesait de l'esclande !! et allez savoir pourquoi !? ,se tournant vers sont epouse , il lui chuchotas ...

heu tu l'assome , ou je doit m'en charger ?? , c'est toi qui la invitée ???
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Heribert
Ce qui compte c'est s'éclater dans la vie! Et Heri, c'est un discret, un furtif, six heures, qu'il tient la planque, la patrouille est passée, c'est le bon moment pour s'éclater. La nuit est propice à la malice et autre esquisse. Six heures et soixante six minutes au calendrier choupi! C'est parti!

Vif il pose un crucifix ornée d'une jeune pousse, la tête en bas. Puis avec une application et amour il pose quelques lettres tribales et le divin pentagraphe, ah la rose et ses divines proportions, panthéon, hi, hi, hi. Il le pose exactement à la gauche de la nef.

Il observe son oeuvre, c'est beau l'art quand même, ça va couiner dans les chaumières, sourit il ravit, six jours de la nouvelle lune, parfait, parfait. Il fait un bisou nounours à la jeune pousse, qui s'agite, c'est magnifique, juste quelques bulles et plus quelques autres gargouillis et autre borborygmes s'échappent, comme c'est choux. Je sais tu voudrais exprimer ton bonheur, mais la gorge au vitriol n'est pas la meilleurs chose pour lui chuchote t'il; Allez ce n'est qu'un bon moment à passer, hi, hi, hi! Puis méthodique il signe

Avec les remerciement d'Aryanha en grecque Ancien, un coup à vous amener l'inquisition, avec le liquide carmin qui s'échappe de la jeune pousse. Puis hop un dernier coup de travers au coeur, rien de meilleurs que d'avoir du coeur. Allez pas que je m'ennuie de toi, mais deux minutes je ne peux pas donner plus, Tchao bello!

Il disparaît, le début ne fait que commencer, qu'il aime voir du rouge, et quand il voit rouge, il est généreux, il en fait profiter tout le monde. Au suivant... Nécromancia tir la dada....
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Lu et approuvé

Héribert
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