Ria
Son choix sétait porté sur cette maison pour sa proximité avec le Tengu. Il serait plus aisé de profiter des enfants pour lun comme pour lautre et Himi naurait pas à déambuler dans tout Kokura pour venir chez Ria quand elle en aurait envie.
Il avait fallut attendre quelques jours avant de pouvoir y emménager et cest non sans quelques appréhensions que Ria avait fini par prendre possession du lieu. Les tatamis avaient été changés pour du neuf et les papiers des panneaux tous réparés, de sorte que lair froid ne puisse plus circuler.
Lhabitation se composait de deux niveaux. Ancien commerce depuis longtemps abandonné, elle en avait profité pour tout réunir sur le même lieu. La pièce principale du bas servirait daccueil autant pour son commerce de saké que pour ses éventuelles visites amicales. A lextrémité gauche, une pièce aux dimensions plus modestes servirait de bureau. Celle de droite servirait de réserve. Larrière souvrait sur une terrasse fermée de panneaux coulissant, permettant laccès à la petite cour carrée ainsi quà la cuisine et la pièce deau. Luxe qui lavait convaincue lors de sa visite. Si elle était capable de se contenter de peu, pour les enfants, avoir un endroit réservé au bain était un atout non négligeable.
La cour était fermée par des palissades sur les cotés et par un petit bâtiment où avaient été réinstallé tout le nécessaire à la production du saké. De cette façon, elle pourrait travailler sur place et ne pas manquer à léducation de ses deux enfants.
Laccès à létage se faisait du coté de la cuisine, par un escalier dissimulé derrière un rideau. Un long couloir étroit courait sur toute la longueur, donnant accès à quatre pièces alignées et communicantes. Ria avait installée dans la première la petite table de travail et ses outils pour le bois. Si elle manquait de temps pour la confection de peignes et autres petits objets, elle ne comptait pas abandonner pour autant. La suivante serait sa chambre, puis celle dHimi. La dernière quant à elle ne serait certainement pas utilisée avant longtemps.
Elle navait encore pas pris le temps de décorer à son goût, il y avait eut plus urgent à traiter. Mais déjà elle imaginait les paravents et peintures qui viendraient égayer un peu lendroit à mesure de ses moyens et de ses disponibilités. Seul lautel shinto traditionnel était en place dans la pièce de réception et quelques coussins étaient empilés dans un coin, attendant de servir.
Cétait son chez elle.
Il avait fallut attendre quelques jours avant de pouvoir y emménager et cest non sans quelques appréhensions que Ria avait fini par prendre possession du lieu. Les tatamis avaient été changés pour du neuf et les papiers des panneaux tous réparés, de sorte que lair froid ne puisse plus circuler.
Lhabitation se composait de deux niveaux. Ancien commerce depuis longtemps abandonné, elle en avait profité pour tout réunir sur le même lieu. La pièce principale du bas servirait daccueil autant pour son commerce de saké que pour ses éventuelles visites amicales. A lextrémité gauche, une pièce aux dimensions plus modestes servirait de bureau. Celle de droite servirait de réserve. Larrière souvrait sur une terrasse fermée de panneaux coulissant, permettant laccès à la petite cour carrée ainsi quà la cuisine et la pièce deau. Luxe qui lavait convaincue lors de sa visite. Si elle était capable de se contenter de peu, pour les enfants, avoir un endroit réservé au bain était un atout non négligeable.
La cour était fermée par des palissades sur les cotés et par un petit bâtiment où avaient été réinstallé tout le nécessaire à la production du saké. De cette façon, elle pourrait travailler sur place et ne pas manquer à léducation de ses deux enfants.
Laccès à létage se faisait du coté de la cuisine, par un escalier dissimulé derrière un rideau. Un long couloir étroit courait sur toute la longueur, donnant accès à quatre pièces alignées et communicantes. Ria avait installée dans la première la petite table de travail et ses outils pour le bois. Si elle manquait de temps pour la confection de peignes et autres petits objets, elle ne comptait pas abandonner pour autant. La suivante serait sa chambre, puis celle dHimi. La dernière quant à elle ne serait certainement pas utilisée avant longtemps.
Elle navait encore pas pris le temps de décorer à son goût, il y avait eut plus urgent à traiter. Mais déjà elle imaginait les paravents et peintures qui viendraient égayer un peu lendroit à mesure de ses moyens et de ses disponibilités. Seul lautel shinto traditionnel était en place dans la pièce de réception et quelques coussins étaient empilés dans un coin, attendant de servir.
Cétait son chez elle.