Stain.
...est comme un beefsteak sans moutarde. Proverbe italien
[Béarn, 1462]
L'océan. Voila ce qu'il l'avait attiré dans le sud. Cette mer sauvage, indomptable et meurtrière lui manquait. Oh il aurait bien put la trouvé dans le nord cette mer iméptueuse, mais dans le sud, le soleil réchauffé l'âme et la peau des jeunes dames...
Il avait fait une longue marche. Ses traits étaient tirés et son visage fatigué. Il en était sur à présent, il n'avait pas le pied terrestre ! Il lui restait cependant quelque jours de marche pour arrivéer face à cette étendu d'eau si convoité, mais pour le moment Stain se dit qu'il meritait bien se de reposer, de boire de bonne chope fraiche, et de profiter du corps de ces jolies demoiselles au sang chaud.
Ses yeux sombres se tournèrent vers le ciel. Un ciel d'hiver grisonnant mais dégagé de tout nuage. Un ciel qui le fit frissonné. Ses yeux devinrent vague tandis que les souvenirs rejaillir en lui.
Il chassa de son esprit ce souvenir douloureux. A present l'équipage n'était plus, seul les souvenirs restait... Il ne comprenait pas lui-meme pourquoi il avait survécu a ses compagnons. Le très-haut avait peu etre le sens de l'humour ?
Reprenant sa route, il entra dans le village le plus proche et se mit en quête d'une taverne accueillante, ou peu être il pourrait passer la nuit aux bras d'une jolie brune à la peau halé par le soleil.
De se côté la, le marin n'avait pas changé. Il n'utilisait cependant plus son surnom de Cigogne à qu'il ne trouvait plus drôle sans ses comparses, et qui le rendait mélancolique de son passé. Il avait repris son nom de naissance. Stain.
Apres avoir parcouru quelques centaines de mettre une taverne apparut dans son champ de vision, avec un noms qui lui plus tout de suite : au "Poney qui tousse".
Voila un nom de taverne qui en jete ! Pour sur il trouvera de la bonne boisson, et de quoi se mettre quelque chose sous la dent ! Pourquoi pas même une jolie dame ou deux !
Il poussa donc la lourde porte de la taverne, un sourire au lèvre, et parcourant rapidement la salle du regard, il choisit une bonne table face à la porte, par laquel il aurait tout loisirs de guettait les aller et venu des passants.
De sa voix grave il demanda une chope bien fraiche et un peu du mouton qui tournait sur le feu pour faire passer tout ça, sans faire attention à qui il s'adressait.
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[Béarn, 1462]
L'océan. Voila ce qu'il l'avait attiré dans le sud. Cette mer sauvage, indomptable et meurtrière lui manquait. Oh il aurait bien put la trouvé dans le nord cette mer iméptueuse, mais dans le sud, le soleil réchauffé l'âme et la peau des jeunes dames...
Il avait fait une longue marche. Ses traits étaient tirés et son visage fatigué. Il en était sur à présent, il n'avait pas le pied terrestre ! Il lui restait cependant quelque jours de marche pour arrivéer face à cette étendu d'eau si convoité, mais pour le moment Stain se dit qu'il meritait bien se de reposer, de boire de bonne chope fraiche, et de profiter du corps de ces jolies demoiselles au sang chaud.
Ses yeux sombres se tournèrent vers le ciel. Un ciel d'hiver grisonnant mais dégagé de tout nuage. Un ciel qui le fit frissonné. Ses yeux devinrent vague tandis que les souvenirs rejaillir en lui.
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C'était une belle journée. Le genre de journée dont rêve tous les marins. Ciel dégagé, soleil haut dans le ciel, et le bateau qui filait à vive allure sur le sommets des vagues. Il n'avait cependant pas le temps de rêver, occuper à répondre au demande du maitre d'équipage.
La Cigogne, voila le nom dont l'équipage lui avait affublé. Et bien qu'il avait protester par principe, il devait avouer que cela lui allait plutôt bien. M'enfin ce n'était pas de sa faute si il aimait autant les femmes, et qu'il ne resistait pas bien longtemps à leur charme... Et puis quand on risque sa vie sur un bateau pourquoi se préoccuper de quelques batards dont il était le géniteur ? Leur nombres, il n'en était pas sur, ce qu'il savait en revanche c'est qu'il en avait beaucoup. Beaucoup trop. Heureusement que leurs mères le détestait bien trop pour lui réclamait une pension !
Son esprit qui s'était égaré un instant sous le jupon des femmes, revint vers la cordes qu'il tirait avec acharnement pour ramener un peu la voilure. En effet le vent c'était à présent levée et le ciel devenait menaçant.
La cigogne leva les yeux vers Corbeau, son Capitaine qu'il avait tres vite respecter. Tenant la barre fermement il donner d'une voix forte les instruction à son second, Moineau. Celui-ci était plus jeune marin que lui, mais qui était-il pour juger le choix de son capitaine ?
Il passa d'une voilure à l'autre aider par les autres membres de l'équipages afin de ralentir le bateau qui se dirigeait droit vers une tempête.
Le coeur de Stain se serra legerment et l'adréaline envahit ses membres. Un sourire de satisfaction franchement masochiste vint pondre sur ses lèvres.
Il chassa de son esprit ce souvenir douloureux. A present l'équipage n'était plus, seul les souvenirs restait... Il ne comprenait pas lui-meme pourquoi il avait survécu a ses compagnons. Le très-haut avait peu etre le sens de l'humour ?
Reprenant sa route, il entra dans le village le plus proche et se mit en quête d'une taverne accueillante, ou peu être il pourrait passer la nuit aux bras d'une jolie brune à la peau halé par le soleil.
De se côté la, le marin n'avait pas changé. Il n'utilisait cependant plus son surnom de Cigogne à qu'il ne trouvait plus drôle sans ses comparses, et qui le rendait mélancolique de son passé. Il avait repris son nom de naissance. Stain.
Apres avoir parcouru quelques centaines de mettre une taverne apparut dans son champ de vision, avec un noms qui lui plus tout de suite : au "Poney qui tousse".
Voila un nom de taverne qui en jete ! Pour sur il trouvera de la bonne boisson, et de quoi se mettre quelque chose sous la dent ! Pourquoi pas même une jolie dame ou deux !
Il poussa donc la lourde porte de la taverne, un sourire au lèvre, et parcourant rapidement la salle du regard, il choisit une bonne table face à la porte, par laquel il aurait tout loisirs de guettait les aller et venu des passants.
De sa voix grave il demanda une chope bien fraiche et un peu du mouton qui tournait sur le feu pour faire passer tout ça, sans faire attention à qui il s'adressait.
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