Sunburn
Albine la fit frissonner tant les lèvres étaient fraiches. Elle lui offrit en retour un baiser collant, un peu de sucre n'avait pas encore été nettoyé.
Bonjour Albine. Je me doutais bien que tu ne pourrais t'empêcher de venir, puis il faut bien encourager notre cheftaine n'est-ce pas ? Par contre... voici de quoi te réchauffer car je crains que tu ne bleuisses, voire que tu te statufies... Demi-tour sur elle même. Se fit servir un grand godet de vin chaud épicé. Breuvage indispensable lors des hivers rigoureux, ce qui était toujours le cas en Auvergne. Sans gêne, elle rapporta le godet et le lui mit d'office entre les mains.
A l'arrivée de Meli et d'Erandil, elle laissa entrevoir sa surprise à la vue de la jeune femme. Vêture simple mais non moins élégante pour sa collègue de la prévôté. Le chignon lui allait bien. La Blonde ne put s'empêcher de se pencher un peu sur le côté, s'attendant à voir débouler un troupeau de bestiaux derrière eux, presque traumatisée quand Meli avait osé la payer avec une vache, un mouton et un cochon, pour les remplacements effectués alors, en tant que Superviseur des douanes. Ce soir là, le portier moulinois avait une dent contre elle et les bestiaux trônant devant l'entrée, la Blonde avait faillit heurter la croupe de la vache. Heureusement, nulle séquelle face à cette histoire, quoique...
Et d'une nouvelle bise rendue à la moulinoise pétillante.
Erandil, Meli, toujours un plaisir de vous voir ou pas... vous êtes venus seuls j'espère ? Autant s'en assurer que de tomber malencontreusement sur un animal caché.
A l'entrée du Duc, paré des couleurs ducales, elle nota sans mal le creusé des traits du visage. La Blonde l'admirait toujours autant et appréciait travailler à ses côtés, sans surprise. Légère inclinaison de la tête à la salutation auquel elle répondit par une révérence. Le buste se courba devant lui, tandis qu'elle pinçait à peine l'étoffe des jupons. Quelques mèches blondes glissèrent sur ses épaules, encadrant son minois. L'oeil pétillait de malice quand elle sut avoir capté l'attention sur ses exquises rondeurs mammaires, dont le décolleté s'avérait plongeant sous la courbure du corps. Le soutien en dentelle fine rendait la gorge subtilement indécente et vertigineuse.
Ta Grâce, bien le bonjour. Redressement souple du corps qui provoqua l'oscillation prononcée de sa poitrine.
Vint l'arrivée de Malice et Taigi. Celui-ci avait su rendre le sourire à Malice et elle en était heureuse pour la thiernoise. S'apprêtait à saluer le couple mais les mots glissés lui firent plisser les lèvres. Discrètement, releva le sucre restant et s'assura qu'il ne restait plus rien. Réponse fut faite sur le même ton, avec un aplomb certain.
Oh, il m'en fait voir cet enfant. Moi je dis non, on ne touche pas et lui, sournoisement, me glisse en mon esprit qu'il faut absolument que je mange... Vois ce qu'il m'inflige alors qu'il est encore en mon sein... Il me force à un excès de gourmandise et je ne puis résister... Elle eut un mal fou à garder son sérieux mais y parvint, in-extrémis. Sitôt prononcé ceci, elle cala une bise sur la joue de Malice.
Ili était magnifique ainsi. Jeune femme qui avait accepté de l'aider lors de la dernière transaction se déroulant en Rouergue et heureusement, car les volontaires devenaient des perles rares à dénicher. Elle glissa un baiser sur sa joue. Un sourire amusé étira ses lèvres en regardant le tableau qu'offrait le père et la fille.
Et d'une deuxième mairesse de faire son apparition, une Irréductible comme toute bourbonnaise digne de ce nom. Une bise glissée sur la joue fraiche. Thib et Malice, il en manquait encore beaucoup. Malus il y aurait...
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Bonjour Albine. Je me doutais bien que tu ne pourrais t'empêcher de venir, puis il faut bien encourager notre cheftaine n'est-ce pas ? Par contre... voici de quoi te réchauffer car je crains que tu ne bleuisses, voire que tu te statufies... Demi-tour sur elle même. Se fit servir un grand godet de vin chaud épicé. Breuvage indispensable lors des hivers rigoureux, ce qui était toujours le cas en Auvergne. Sans gêne, elle rapporta le godet et le lui mit d'office entre les mains.
A l'arrivée de Meli et d'Erandil, elle laissa entrevoir sa surprise à la vue de la jeune femme. Vêture simple mais non moins élégante pour sa collègue de la prévôté. Le chignon lui allait bien. La Blonde ne put s'empêcher de se pencher un peu sur le côté, s'attendant à voir débouler un troupeau de bestiaux derrière eux, presque traumatisée quand Meli avait osé la payer avec une vache, un mouton et un cochon, pour les remplacements effectués alors, en tant que Superviseur des douanes. Ce soir là, le portier moulinois avait une dent contre elle et les bestiaux trônant devant l'entrée, la Blonde avait faillit heurter la croupe de la vache. Heureusement, nulle séquelle face à cette histoire, quoique...
Et d'une nouvelle bise rendue à la moulinoise pétillante.
Erandil, Meli, toujours un plaisir de vous voir ou pas... vous êtes venus seuls j'espère ? Autant s'en assurer que de tomber malencontreusement sur un animal caché.
A l'entrée du Duc, paré des couleurs ducales, elle nota sans mal le creusé des traits du visage. La Blonde l'admirait toujours autant et appréciait travailler à ses côtés, sans surprise. Légère inclinaison de la tête à la salutation auquel elle répondit par une révérence. Le buste se courba devant lui, tandis qu'elle pinçait à peine l'étoffe des jupons. Quelques mèches blondes glissèrent sur ses épaules, encadrant son minois. L'oeil pétillait de malice quand elle sut avoir capté l'attention sur ses exquises rondeurs mammaires, dont le décolleté s'avérait plongeant sous la courbure du corps. Le soutien en dentelle fine rendait la gorge subtilement indécente et vertigineuse.
Ta Grâce, bien le bonjour. Redressement souple du corps qui provoqua l'oscillation prononcée de sa poitrine.
Vint l'arrivée de Malice et Taigi. Celui-ci avait su rendre le sourire à Malice et elle en était heureuse pour la thiernoise. S'apprêtait à saluer le couple mais les mots glissés lui firent plisser les lèvres. Discrètement, releva le sucre restant et s'assura qu'il ne restait plus rien. Réponse fut faite sur le même ton, avec un aplomb certain.
Oh, il m'en fait voir cet enfant. Moi je dis non, on ne touche pas et lui, sournoisement, me glisse en mon esprit qu'il faut absolument que je mange... Vois ce qu'il m'inflige alors qu'il est encore en mon sein... Il me force à un excès de gourmandise et je ne puis résister... Elle eut un mal fou à garder son sérieux mais y parvint, in-extrémis. Sitôt prononcé ceci, elle cala une bise sur la joue de Malice.
Ili était magnifique ainsi. Jeune femme qui avait accepté de l'aider lors de la dernière transaction se déroulant en Rouergue et heureusement, car les volontaires devenaient des perles rares à dénicher. Elle glissa un baiser sur sa joue. Un sourire amusé étira ses lèvres en regardant le tableau qu'offrait le père et la fille.
Et d'une deuxième mairesse de faire son apparition, une Irréductible comme toute bourbonnaise digne de ce nom. Une bise glissée sur la joue fraiche. Thib et Malice, il en manquait encore beaucoup. Malus il y aurait...
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