Argael
[Lyon mars 1457]
Le temps sécouler lentement à Lyon loin de ses montagnes aux sommets éternellement enneigés. La cohue de la capitale, de la rugissante tranchait singulièrement avec la vie plus âpre des montagnards. Ici, le marché ne ressemblait pas à celui de Briançon, point de foire dempoigne, et bien plus de culs propres et pédant, ce qui amusé notre homme.
Lhomme avait donc commencé son hôtel, et celui-ci avancé de manière satisfaisante. Il eu besoin pour commencer dembaucher 40 ouvriers afin de creuser et de réaliser les fondations du futur édifice.
Lon pouvait reprocher nombre de choses aux hommes et femmes de la capitale, mais pour peu que largent soit au bout, ils travaillaient et bien convenablement. Les fondations furent finies dans le délai prévu ce qui était pour réjouir notre Vicomte.
Le soir de lachèvement des fondations, il organisa à ses frais un banquet en plein air invitant chacun des ouvriers ayant uvrer et contribué a construire ce qui serait une merveille à nen pas douter.
Durant le creusement des fondations, Argael de Monestier de Briançon, fit venir bois de Briançon le plus solide et acheta au commissaire au commerce de la pierre en vu de lélévation future de lédifice.
Bientôt sur le chantier, les bruits changèrent pour laisser place aux charpentiers, taillant, coupant, élaguant le bois, en un mot le travaillant afin de réaliser la charpente. Des hommes admirables alliant force et précision dans leurs mouvement succitant ladmiration du propriétaire des lieux.
De tous les quartiers de Lyon, on venait assister a cette première succitant lhilarité, ou lémerveillement cétait selon.
Alors que la charpente se terminer, nécessitant pas moins de 30 charpentiers, un des artisans se présenta au « fier » porteur dune nouvelle de son homme de main le perse Erestie.
Erestie est de retour dis tu, très bien je vais le saluer de ce pas, contremaître je vous laisse au commande du chantier, il me faut me rendre à un rendez vous, fin des travaux pour le coucher du soleil. Assure toi quils ne manquent pas deau, ce soir je veux que lon inspecte les outils utilisé et direction la forge si les lames sont émoussées.
Quittant le chantier, il se dirigea vers la taverne, les plans de lhôtel sur un vélin roulé dans sa main. Sur la route, tout sourire, il salua quiconque sincliner sur le chemin de notre ancien Gouverneur.
Entrant dans la taverne, sa vue mit quelques instants pour repérer le montagnard dadoption bien évidement dans un coin dos au mur.
Sapprochant du perse, il laccueilli tout sourire.
Bienvenue à Lyon Erestie, as-tu fait bon voyage ?
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Le temps sécouler lentement à Lyon loin de ses montagnes aux sommets éternellement enneigés. La cohue de la capitale, de la rugissante tranchait singulièrement avec la vie plus âpre des montagnards. Ici, le marché ne ressemblait pas à celui de Briançon, point de foire dempoigne, et bien plus de culs propres et pédant, ce qui amusé notre homme.
Lhomme avait donc commencé son hôtel, et celui-ci avancé de manière satisfaisante. Il eu besoin pour commencer dembaucher 40 ouvriers afin de creuser et de réaliser les fondations du futur édifice.
Lon pouvait reprocher nombre de choses aux hommes et femmes de la capitale, mais pour peu que largent soit au bout, ils travaillaient et bien convenablement. Les fondations furent finies dans le délai prévu ce qui était pour réjouir notre Vicomte.
Le soir de lachèvement des fondations, il organisa à ses frais un banquet en plein air invitant chacun des ouvriers ayant uvrer et contribué a construire ce qui serait une merveille à nen pas douter.
Durant le creusement des fondations, Argael de Monestier de Briançon, fit venir bois de Briançon le plus solide et acheta au commissaire au commerce de la pierre en vu de lélévation future de lédifice.
Bientôt sur le chantier, les bruits changèrent pour laisser place aux charpentiers, taillant, coupant, élaguant le bois, en un mot le travaillant afin de réaliser la charpente. Des hommes admirables alliant force et précision dans leurs mouvement succitant ladmiration du propriétaire des lieux.
De tous les quartiers de Lyon, on venait assister a cette première succitant lhilarité, ou lémerveillement cétait selon.
Alors que la charpente se terminer, nécessitant pas moins de 30 charpentiers, un des artisans se présenta au « fier » porteur dune nouvelle de son homme de main le perse Erestie.
Erestie est de retour dis tu, très bien je vais le saluer de ce pas, contremaître je vous laisse au commande du chantier, il me faut me rendre à un rendez vous, fin des travaux pour le coucher du soleil. Assure toi quils ne manquent pas deau, ce soir je veux que lon inspecte les outils utilisé et direction la forge si les lames sont émoussées.
Quittant le chantier, il se dirigea vers la taverne, les plans de lhôtel sur un vélin roulé dans sa main. Sur la route, tout sourire, il salua quiconque sincliner sur le chemin de notre ancien Gouverneur.
Entrant dans la taverne, sa vue mit quelques instants pour repérer le montagnard dadoption bien évidement dans un coin dos au mur.
Sapprochant du perse, il laccueilli tout sourire.
Bienvenue à Lyon Erestie, as-tu fait bon voyage ?
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