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Du sable à perte de vue, une langue plus que familière, des visages semblables au sien. C'est bâton à la main qu'il faisait quelques passes avec son père, sous les yeux d'autres futurs guerriers, ayant encore, tout comme lui, beaucoup à apprendre. Un coup porté par son père lui fit trébucher, et c'est sur une grande gueulade que l'entrainement se finit.
Les enfants se dispersent, heureux de pouvoir jouer ensemble pour la plupart, tandis que les hommes se retrouvaient pour des discussions plus sérieuses avant le repas.
Savâr ! Savâr ! Artesh !
Le pere d'Erestie se diriga en courant avec les autres hommes à la sortie de la modeste cité, essayant de voir d'où provenaient les cris. Ils ne tardèrent pas à reconnaitre Farshad, mais ces cris restaient inaudible...
Savâr ! Savâr ! Artesh !
Savâr ! Savâr ! Artesh !
Tous le village s'agitait, femmes et jeunes enfants rentrèrent s'abriter tandis que hommes ou jeunes hommes se pressèrent à retrouver leurs armes, pour la plupart, trop peu de fois utilisées.
...
Le rêve presque récurant du Perse fut troubler par des bruits qui ne trompaient pas. Soit Argael ou Phelim avait le gosier sec ou soit un intrus était à quelques mètres voir centimètres d'eux. Ne laissant, comme à son habitude, rien au hasard, c'est dague à la main qu'il se releva brusquement pour se rendre compte de la situation.
Une jeune femme devant lui, recula à quatre patte, sous la peur. Le Perse se précipita vers elle et attrapa d'une main son bras droit avant de le tordre. C'est sous un assez brouillant "Craaaacccccc" que la femme se retrouva immobilisée et dague sous la gorge.
Khodâvand Argael ! Khodâvand Argael !
Erestie attendit le réveil de son Seigneur tout en exerçant une certaine pression sur le bras de la jeune femme...
Les enfants se dispersent, heureux de pouvoir jouer ensemble pour la plupart, tandis que les hommes se retrouvaient pour des discussions plus sérieuses avant le repas.
Savâr ! Savâr ! Artesh !
Le pere d'Erestie se diriga en courant avec les autres hommes à la sortie de la modeste cité, essayant de voir d'où provenaient les cris. Ils ne tardèrent pas à reconnaitre Farshad, mais ces cris restaient inaudible...
Savâr ! Savâr ! Artesh !
Savâr ! Savâr ! Artesh !
Tous le village s'agitait, femmes et jeunes enfants rentrèrent s'abriter tandis que hommes ou jeunes hommes se pressèrent à retrouver leurs armes, pour la plupart, trop peu de fois utilisées.
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Le rêve presque récurant du Perse fut troubler par des bruits qui ne trompaient pas. Soit Argael ou Phelim avait le gosier sec ou soit un intrus était à quelques mètres voir centimètres d'eux. Ne laissant, comme à son habitude, rien au hasard, c'est dague à la main qu'il se releva brusquement pour se rendre compte de la situation.
Une jeune femme devant lui, recula à quatre patte, sous la peur. Le Perse se précipita vers elle et attrapa d'une main son bras droit avant de le tordre. C'est sous un assez brouillant "Craaaacccccc" que la femme se retrouva immobilisée et dague sous la gorge.
Khodâvand Argael ! Khodâvand Argael !
Erestie attendit le réveil de son Seigneur tout en exerçant une certaine pression sur le bras de la jeune femme...