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[RP] Le jardin secret du royaume de la princesse rose

--Furie


*****************************



[[Un chat c'est un cœur avec du poil autour...]]

Furie était parvenue à entrer dans la chambre de sa petite maitresse.
S'installant sur ses jambes la chatte ronronnait sous le flot de caresse que lui apporté celle-ci.

Plusieurs minutes se passèrent sous les paroles et caresses de Laurie quand un couinement provenant du frère de sa maitresse fit réagir l'animal, qui délaissa la fillette pour se rendre près du petit garçon qu'elle connaissait bien, il était son second maitre quelque part puisque lui non plus ne quittait jamais Laureline et Furie ou que très rarement.

Furie avait senti comme un problème, déjà dans la voix de sa maitresse mais aussi par les agissement de Cathal qui ne bougeait guère et couinait.
La chatte dans un élan de tendresse et voulant réparer l'enfant pour que sa compagne de jeu retrouve le sourire colla plusieurs coup de langue sur le visage du gamin et miaula plusieurs reprise espérant faire réagir sa maitresse sur les couinement anormal de son frère.


Miaou... Miaou...

Elle colla plusieurs coup de tête sur le bras du garçonnet pour tenter de le faire réagir mais rien son visage était toujours impassible, son corps inerte, juste son bras qui bougea un peu et attrapa inconsciemment la boule de poil.
L'animal se rebiffa un peu par un crachement et un hérissement de poil.
Elle se libéra pour fuir loin, son échappatoire fut la porte que La blondinette venait d'ouvrir en hurlant après sa mère.

Il était vraiment temps de fuir cela ne sentait pas bon et l'inquiétude pesant dans la demeure n'était en rien rassurant.
Furie reviendrai plus tard une fois sa peur calmé...
Laureline_squire



[[L'espoir est comme un phare il n'arrête pas la tourmente mais il guide toujours dans la bonne direction ...]]

La blondinette venait de sentir l'animal lui glissé sous les mains ce qui détourna son regard de ses pensées.
Le silence était devenue d'or dans la pièce, la fillette avait finit par se taire. Le seul son entendu fut le gémissement de Cathal.

Dans un murmure à son frère l'enfant fila vers la sortie de la chambre en hurlant à tout va après sa mère.


T'inquiete po 'thal je reviens, on va te sortir de la...


Sur ces mots la fillette était déjà rendu devant la porte prête à sortir, elle fit un bond dehors et hurla après à sa mère...

MAMAN MAMAN...

Y 'a 'thal qui fait des bruits avec sa bouche.

Maman maman viens vite...

Il pleure de la tête.

'man t'es ou viens...


Laurie dans l'espoir de trouver sa mère, avait dévalé les escaliers quatre à quatre et manqué de tomber plusieurs fois à cause de furie ou encore de jouet lui appartenant à elle et son frère trainant sur le sol.
Après une course folle elle finit par enfin trouver celle qu'elle cherchait enfin plutôt tomber sur celle qu'elle cherchait en bas des marches.
l'entrainant sans attendre à sa suite elle la mena dans la chambre jusqu'à son jumeau.



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Nefi


des hurlements venant de l'étage se firent entendre faisant faire une embardé à son pauvre coeur de mère déjà bien mis à mal depuis ses dernières heures.

elle se trouvait dans la cuisine pour préparer une bassine d'eau clair et mettre dans la huche à linges son fardeau ensanglanté. et revenait vers l'escalier quand sa fille les descendit en trombe l'agrippant au passage pour la tirer vers la chambre.

holà lauri et cesse de hurler ainsi, je t ai demandé du calme.

dans sa précipitation la petite lui fit renverser sa bassine d'eau lui inondant ainsi les pieds et la jupe.

arfff, lauri cesse s'il te plaît...


lui collant la bassine dans les mains.

va me rechercher de l'eau je monte voir ton frère.


laissant sa fille derrière elle, elle monta l'escalier quatre à quatre pour rejoindre son fils s'empêtrant les pieds contre furie qui totalement affolé tournicoter dans l'escalier.

grrr, mais pousse toi donc furie,...

arrivant enfin dans la chambre elle s'approcha de son fils, visiblement la fièvre faisait des siennes et la sueur perlait de son front. il faut dire que la chaleur en cette journée de début d'été était étouffante de lourd nuage avaient envahit le ciel, apportant une moiteur bien pénible laissant présager un orage pour dans peux de temps.

cathal grogna légèrement dans son sommeil remuant les doigts, elle caressa sa joue tendrement pour l'apaiser.

tout va bien mon brave petit chevalier, je suis la prés de toi, nous lutterons ensemble...

lauri revient avec la bassine d'eau et vient la déposer prés d elle.

aide moi il faut le rafraichir avec cette chaleur et la fièvre il ne faut pas qu il se déshydrate.

chacune de leur coté elle lui passèrent un linge humide et frais avec des gestes doux et lui parlant doucement.
les premier roulement de tonnerre commencèrent à vriller le ciel faisant même vibrer les murs, un premier, puis un second entraînant avec eux les éclaires, le vent et la pluie provoquant une véritable tempête au dehors dans un bruit assourdissant.

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Cathal.squire


[Le rêve, partie VI et fin]

Nous sommes à présent seul, elle et moi. L’air devient de plus en plus moite, le vent se lève. Le soleil est totalement caché par des nuages noirs. L’obscurité s’est installée. Le calme et le silence est rompu par un éclair et le tonnerre. Une pluie violente commence à s’abattre. Mon corps est à présent totalement trempé. L’électricité dans l’air et l’humidité me rend des plus fébriles. Un grondement effrayant retentit du fond de la crevasse. Le dragon apparait pendant que la foudre tombe plusieurs fois. Il plane à présent devant nous et nous dévisage. Un grognement de mécontentement est lancé en notre direction. « Un enfant, ils m’ont envoyé un enfant. En plus, il est nu ! Ils n’auraient pas pu envoyer plus inoffensif. » Il lance un rire démoniaque car il est sûr de sa victoire. « Je vais n’en faire qu’une bouchée de toi. Prépare-toi à mourir. »

« Laura, il vaut mieux que tu l’éloigne. Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose. » J’ai peur qu’elle soit blessée ou tuée par ce monstre. Dès qu’elle semble être à l’abri, je me mets en position : mon bouclier et mon épée en main prêt au combat. Soudain, une immense patte s’abat sur moi et j’ai à peine le temps d’esquiver de justesse. Je retombe sur mes fesses et je laisse échapper un « aieuh ». Il n’en faut pas moins pour voir le lutin sortir de sa cachette pour venir à mon secours. Arrivée à mon hauteur, elle me dit « Tout va bien mon brave petit chevalier, je suis la prés de toi, nous lutterons ensemble !» Balthazar remarque son déplacement et tente de l’écraser comme il a voulu faire avec moi. Sentant le piège, je me jette pour la protéger. Les griffes acérées sont arrêtées par le bouclier donner par mère nature. Mes yeux la cherchent et je suis soulagé de la voir entre mes jambes. Mon étonnement est grand de tenir autant de temps face à la formidable force de l’ennemi. Mes forces m’abandonnent petit à petit mais je ne laisse rien paraitre.

Voyant que sa force n’a que peu d’effet sur nous, il décide réchauffer l’atmosphère déjà énormément chargé par l’orage qui battait son plein. Il inspira bruyamment et souffla une énorme colonne de feu en notre direction. De l’eau qui se trouvait en suspension dans l’air s’évapora instantanément créant beaucoup de fumée. La peur de laisser sans défense mon compagnon de voyage me paralyse. La seule réaction que je peux faire est de me préparer à l’impact des flammes en me protégeant du bouclier en bois. Le choc est terrible. Nous sommes poussés en arrière. Mes yeux s’écarquillent de découvrir que le bouclier ne prenait pas feu et que les flammes étaient déviés sur les côtés. Nous sommes protégés. Mon regard cherche comment riposter face au danger.

Au fond de la gorge qui jette les flammes, mes yeux devinent le cœur de l’animal. Avant que je puisse agir, il referme sa gueule et l’enfer cesse immédiatement. « Et bien, vous êtes encore vivant ? Cela ne durera plus longtemps. » Dès qu’il dit ces mots, il reprend une nouvelle inspiration, mais cette fois-ci elle est plus longe. Le torrent de feu nous frappe à nouveau de plein fouet et nous pousse jusqu’au bord de l’île. C’est tellement intense que le bouclier s’enflamme de manière progressive. Le temps commence à me manquer. C’est maintenant ou jamais. Mon bras propulse de toutes ses forces l’épée donnée par la fée coupant nette le souffle surchauffé du dragon en tourbillonnant dans les airs. Le supplice cesse quand l’animal avale l’épée. A ce moment, les adorateurs sortent du château portés secours leur dieu. Balthazar se tort de douleur et se gratte le ventre au niveau de son cœur. L’épée semble s’y être fixée. Sa fin est proche. Des flammèches sortent de sa gueule tandis qu’il perd de l’altitude. Ils s’approchent de trop prêt. Quand il tombe, il emporte avec lui ses adorateurs d’un coup de griffe. Ils chutent à présent dans le gouffre.

Un grand choc se fait ressentir faisant trembler le château et l’île. L’orage s’arrête et les nuages disparaissent. Phénix vient nous rejoindre tandis que le roi sort du château. « Merci de nous avoir sauvé, jeune homme. Je t’en suis éternellement reconnaissant. » Le gouffre se referme petit à petit pour disparaitre complètement. Le paysage reprend peu à peu sa normalité. « Comme signe de ma gratitude, je te fais dès aujourd’hui chevalier de mon ... » Avant qu’il puisse terminer sa phrase, une brume épaisse se lève me faisant disparaitre.

[Le réveil]

Un rayon de soleil traversait la fenêtre de la pièce et taquinait ses yeux. Sa main vint se poser devant eux pour les protéger des rayons chauds de l’astre du jour. Il émergeait doucement de son inconscience. Son corps gigotait dans le lit. La tête bougeait de gauche à droite, et inversement. Sa main frottait ses yeux encore plein de sommeil.

« Où suis-je ? », fut la première question qui lui vint. Ses paupières s’ouvrirent et la luminosité rendait sa tête encore plus douloureuse. Il se frottait à présent la tête et remarqua qu’il avait quelque chose sur son crâne. « Qu’est-ce ? » En regardant tout autour de la pièce, son regard perçu des personnes. « Qui étaient-ils ? » En continuant d’observer la pièce, sa vision croisa un miroir. Il y vit un petit garçon au cheveux blond, visage rond et des yeux bleus qui le fixent. Ce reflet doit être le sien, pensa-t-il. « Qui suis-je ? »

Plus il essayait de trouver des réponses à toutes ses questions, plus son mal de tête s’amplifiait à tel point qu’il n’était plus supportable. Ses mains prirent sa tête pour ensuite la secouer pour voir si ce mal pouvait disparaitre. « Ah ! »

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Nefi


quand le moindre murmure devient une musique céleste.

le temps avait passé, chaque minute passant étant une lutte contre la fièvre et la chaleur, le tonnerre grondait au dehors comme le refrain incessant de la colère sourde d'un coeur maternelle contre l'impuissance à réveiller ce petit corps inerte, partie d"elle même à laquelle elle tenait plus qu'a sa vie.

l'orage c'était apaisait dans la nuit, apportant le silence et le sommeil...

« Où suis-je ? », .......... « Qu’est-ce ? » ............ « Qui étaient-ils ? » .......... « Qui suis-je ? »

« Ah ! »


des murmures parvinrent à troubler son sommeil levé et elle ouvrit les yeux clignant des cils tant la clarté du soleil levant l'ébloui soudainement.
le crie qui lui vient la réveilla pour de bon et se levant précipitamment de son fauteuil elle approcha de son fils.

on mon ange tu es réveillé.... ça va ? comment te sens tu ? as tu mal quelques part ? à la tête ?


ça vois était douce et basse mais quelque peux pressante et angoissé.

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Laureline_squire



[[ se faire gronder et être quand même récompensée...]]

Laurie avait finit par trouver sa mère mais elle lui fit faire des bêtises que la fillette du réparer en retournant chercher de l'eau.
Ce qu'elle fit rapidement pour ne pas délaisser son jumeau mal en point trop longtemps.
De retour la gamine n'hésita pas à aider leur maman à rafraichir.


[[ Le temps passe mais les heures ne se ressemble pas...]]


Son double vint enfin à se réveiller après plusieurs heures ce qui la rendit heureuse.

Contente de le retrouver, son jumeau, son frère, son double...

Cathal posa tout plein de question qui n'échappèrent pas à sa sœur et la troublèrent même.


Maman pourquoi qu'il demande qui il est ??? et ou il est ???

La blondinette s'approcha à son tour de son frère un peu plus près.
Puis dans un murmure elle répondit à ses interrogations tristement.


J'suis laureline ta jumelles et toi t'es 'thal.

L'enfant fondit en larme de ne pas comprendre la réaction de son frère.
Elle s'éloigna dans son lit laissant sa mère et son frère parler ensemble, préférant enfouir sa tristesse dans son oreiller pour y noyer son chagrin.
Inconsciemment Laurie était blessée par la réaction de son frère mais elle comprendrait beaucoup de chose par la suite et il lui faudra être forte.

La gamine était aussi très fatigué puisqu'elle avait très peu dormi jusqu'à maintenant pour veiller son frère.




Edit pour la cohérence du temps...
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Cathal.squire


Quelqu’un s’approcha de lui pour savoir ce qu’il se passait.

on mon ange tu es réveillé.... ça va ? comment te sens tu ? as tu mal quelques part ? à la tête ?

Plusieurs questions traversèrent son jeune esprit. Qui appelait-elle mon ange ? Il sentait que c’était une expression plein d’amour et de tendresse au son de la voix de la dame. S’adressait-elle à lui ? Il ne la reconnaissait pas, mais il avait la sensation qu’il se devait au moins de répondre à la question. Sa seule réponse fut un acquiescement de la tête pour dire que son crâne le faisait horriblement souffrir.

Son regard décrit d’abord l’apparence extérieure de la femme puis plongea dans celui de celle-ci pour la sonder et y découvrir peut-être quelque chose. Il vit quelque chose de maternelle. Quand il fut interrompu par la petite fille, il détourna le regard vers celle-ci. Pendant que ses yeux la décrivent, il n’écoute pas les questions de l’enfant.

Quand elle s’approcha, il fut envahit d’une sensation étrange. Il y avait beaucoup de tristesse, mais lui n’était pas triste, il était juste perdu. Pourquoi lui aussi avait envi de pleurer après ses murmures ? Ceci fut encore plus accentué quand elle se jeta dans son lit pour déverser de grosses larmes. La migraine s’intensifia quand il enregistra les informations dites par la fille. Elle était sa sœur, et sa jumelle et il se nommait « ‘thal » ? Il ne sentait de moins en moins bien, la combinaison de sa tête et de ce qu’il ressentait le mettait de plus en plus mal. Sa posture était de plus en plus recroquevillée comme pour se protéger. Il n’en pouvait plus et donc il lança un appel à l’aide.

Qu’est-ce qui se passe ?

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Nefi


voyant son fils la détailler comme une étrangère, le regard totalement perdue, elle blêmit soudain en comprenant ce qui se passait dans sa petite tête blonde. un frisson glacé lui parcourut l'échine et elle eu soudainement la sensation désagréable de se liquéfier sur place. lauri semblait perturbé aussi et enfouie ses sanglots dans son oreiller. que faire, voir ses enfants dans cette état lui était insupportable mais il fallait prendre les choses dans l'ordre.

se ressaisissant bien vite bien que son coeur de mère venait d en prendre un coup elle prit une inspiration.

tu as eu un accident cathal, de quoi te souviens tu ? sais tu qui je suis ?


l'appréhension de la réponses lui donner une boule dans la gorges les larmes retenue a grand peine lui piquant les yeux....

aristote par pitié faites que ce ne soit que temporaire...

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Cathal.squire


Son appel à l’aide semble avoir été entendu. Une voix transperça le silence et ce qu’il ressentait à ce moment précis.

tu as eu un accident cathal, de quoi te souviens tu ?

Une information capitale fut dite. Il avait eu un accident, c’était donc cela la source de cette douleur physique et morale ? En plus, il semblerait que son nom ne soit pas ‘thal mais Cathal. La question était dure… On lui demandait de se souvenir mais de quoi ? Il fouillait sa petite tête et ne trouvait rien. Plus il cherchait plus cela lui faisait mal.

Ce qu’il put répondre, c’était qu’un faible « rien ». Après d’avoir eut juste le temps de le faire, une deuxième interrogation fusa.

sais tu qui je suis ?

S’il ne se souvient de rien, il ne le sait pas. Il avait beau chercher de toutes ses forces dans les méandres de son esprit, mais sans résultat. Cela l’énervait de plus en plus. Il souffrait beaucoup de son crâne, il sondait son cerveau aussi loin qu’il pouvait, et il n’arrivait pas à savoir. Il n’en pouvait plus, pourquoi le faisait-on subir tout ça ? Pourquoi ne cessait-on pas de l’interroger ?

JE NE SAIS PAS ! , cria-t-il frustré. La coupe était pleine pour le garçon.

Ses mains étaient devant ses yeux tenant sa tête, et il sentit que celles-ci commençaient à être mouillées. En regardant de plus près, la source de cette eau venait de ses yeux. Il pleurait car il était à bout de nerf, à bout de force. Beaucoup de choses à enregistrer et à avaler en si peu de temps.

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Nefi


un crie déchirant de détresse et de frustration sorti d'un coup coupant l'air comme une lame tranchante laissant dans son sillage passer toute les souffrance morale et physique comme un écho au sentiment de son propre coeur.

JE NE SAIS PAS !

s'approchant et le prenant doucement dans ses bras elle attira sa tête contre elle le berçant doucement.

ce n'est rien, ne t'inquiète pas petit ange, tu auras tout le temps de te souvenir, repose toi et ne pense à rien, nous veillons sur toi.

lauri mon ange tu veux bien m'aider et préparer une infusion de saule blanc pour calmer la douleur de sa tête. surtout ne fait pas trop de bruit.

elle parlait presque tout bas d'une voix douce et calme mes son coeur lui battait à tout rompre, elle essayait de ne point céder à la panique de ce qu'elle entrevoyait, comment faire, comment faire comprendre à lauri, et comment ne pas bousculer son fils, l'accepterait il encore comme ça maman ? es que leurs complicité squirienne serait encore la malgré tout ? et son époux comment réagirait il ? lui si proche de son fils !!! toute leur vie allait être bouleversé mais comment faire pour que cathal se sentent chez lui en famille si il ne retrouvait pas la mémoire... elle avait vu des cas, non, non, ne pas penser à cela, surtout ne pas penser à cela, c'était impossible jamais elle ne laisserait faire....

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Laureline_squire



[[Une mission pour apaiser les esprits anxieux et un mal de tête...]]

lauri mon ange tu veux bien m'aider et préparer une infusion de saule blanc pour calmer la douleur de sa tête. surtout ne fait pas trop de bruit.

Laurie avait les yeux tout rouge et boursouflés de ses larmes, mais sans répondre à sa mère, ni même dire un mot elle s'éclipsa de la chambre.
Puis descendant les escaliers un à un la blondinette se dirigea vers la cuisine.

Là, la fillette mit une bouilloire d'eau à chauffer sur le feu de la cheminée, de quoi faire trois tasses.
Puis dans le placard de plante de sa mère la gamine chercha le pot contenant le saule blanc et celui avec le tilleul.
Une fois ceux-ci trouvés et l'eau bien bouillante, Laurie glissa dans un récipient un peu d'eau et une cuillère à dessert d'écorce de saule pour faire la tasse de cathal puis dans un autre elle glissa le reste d'eau et deux cuillères à soupe de fleure pour sa tasse et celle de sa maman.
Puis la môme attendit 10 bonnes minutes que les plantes infusent avant de remplir les tasses du liquide et de remonter avec un plateau et les boissons.

La blondinette fut bien pensive pendant tout ce temps.

Un bon quart d'heure plus tard elle réapparut dans la chambre qu'elle avait laissé ouverte pour ne pas être embêtée et n'embêter personne.

Le calme étant revenue dans la maison et furie étant moins paniqué celle-ci arriva au coté de l'enfant et grimpa sur le lit , pendant que Laureline trouvait un endroit pour poser les trois tasses.
Puis dans un murmure elle donna les instructions à sa maman pour qu'il n'y est pas d'erreur dans les boissons.


La tasse toute seule elle est pour 'thal, 'man, et les deux autres c'est pour nous.


Sans rien ajouter de plus la fillette se posa sur son lit jambe croisé la tête baissé, triturant un bout de tissu qu'elle venait d'attraper.
Laurie ne comprenait pas ce qui arrivait à son frère et avait mal qu'il ne la reconnaisse pas.

Furie elle de son coté avait bien senti que quelque chose n'allait pas dans le cœur de sa petite maitresse.
Celle-ci s'approcha de Laureline et après quelques coup de tête pour obtenir des caresses et un ou deux faibles miaulement, elle se glissa sur ses jambes.
Machinalement la fillette se mit à caresser le chat qui lui avait l'intention de détendre et de faire oublier sa peine à sa petite maitresse.
Furie sous la tendresse de Laureline se mit a ronronner doucement



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Cathal.squire


La femme qui était tout près de lui tentait de le rassurer. Il était frustré et paniqué par cette situation. Aucun souvenir ne se trouvait dans sa petite tête. Tout était vide. Malgré tous ces sentiments, sa présence était rassurante. La voix douce avait un effet apaisant. Il se calma un petit peu, mais ne disait mot.

Le temps passait, quelques instants s’étaient écoulés et la petite fille rentra avec des tasses. Apparemment, il fallait qu’il en boit une. Cela l’aiderait à calmer la douleur parait-il. Il regarda le liquide fumant se demandant si c’était quelque chose de bon ou de néfaste pour lui. L’hésitation ne dura pas bien longtemps. Il prit le récipient et en vida le contenu aussi vite qu’il le pouvait. Il avait hâte de se débarrasser de cette horrible douleur qui lui déchire le crâne.

Quelques minutes plus tard, il sentait ses paupières s’alourdir. La tisane faisait effet. Son corps se laissa glisser tout doucement. Finalement, il s’endormit calmé et apaisé. Le lendemain sera dur.

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Nefi


le temps avait passé ainsi en attendant le retour de lauri, cathal dans ses bras s'apaisait doucement et le calme envahit la pièce.

lauri revient avec un plateau chargé de tasses, sa petite bouille défaite lui faisait bien de la peine et elle pourrait bientôt s'occuper d'elle, lui expliquer, la rassurer, ...

elle donna la tasse à cathal qui après un temps d'hésitation fini par la boire d'un trait. et bien vite s'endormir. c'était encore le meilleur remède dans l'immédiat.

après s'être assuré qu il était bien installé, elle tendit la main à sa fille.

vient princesse, il va dormir un long moment et tu n'as pas encore déjeuné, il aura besoin de nous bien en forme à son réveille, mais laissons le pour le moment.

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--Cesar.




[Une semaine plus tard... l'impatience à son paroxysme]

C’était quoi ca? Depuis leurs retours, il y avait de cela quelques jours, j’avais l’impression de tourné en rond. Comme un animal sauvage en cage. Je me sentais des plus mal. Que ce passait-il la haut? On lui avait interdit de voir son ami. Prétextant qu’il avait besoin de repos. Bon ce n’était peut-être pas un prétexte mais tout de même, la situation était des plus frustrantes.

Depuis le retour accidenté de Cathal, je tournais en rond. Un sentiment oppressant me serrait la poitrine, malaise ce que je détestais cette situation. Je bourgeonnais tous et tout le monde. Oui! J’avais une humeur de chien, mais elles n’ont qu’à me laisse le voir!

Cela faisait presque une semaine que mon humeur ne faisait que se détérioré. Mes pas ne faisait que tourné autour de ma maison, mon visage clairement inquiet se posait continuellement vers la pièce ou était alité mon ami. Je n’en pouvais plus! L’émotion était trop forte, cette sensation d’oppression, je devais, à tout pris, le voir ou me calmer d’une quelconque façon. Mais comment? Mes poings se raffermir de rage devant mon impuissance. Tout était trop présent dans mon coeur, une rage résultat de mes moments d’inquiétude inavoué. D’un mouvement impulsif, mon poing frappa le mur de la cuisine avec violence. J’étais à peine soulagée que la douleur fulgurante se fit sentir dans mes jointures, pourtant je n’avais même pas fait une égratignure à ce mur de malheur.

Aie! Imbécile!

Je porta mes jointures à mes lèvres pour calmer la douleur. Pourquoi je n’avais pas le droit de le voir? Alors que la blondinette, elle, le pouvait? La vie était drôlement injuste… Je n’avais pas encore tenté ma chance auprès de Nefi aujourd’hui. Je ne désespérais pas. Mes pas me conduisirent à la course devant la porte de la chambre du malade. Un bruit du tonnerre résonnait dans le couloir chaque fois que je m’y rendais, mais je ne portais jamais attention à ce détail. Mon poing s’abatti avec une douceur appliqué sur la porte de la chambre. J’avais bien conscience que mes pieds démontraient clairement mon malaise par leur mouvement mais cela ne me dérangeais plus. Ma voix s’éleva intimidé et clairement inquiète.

Je peux le voir aujourd’hui, Nefi???
Nefi


quand une semaine d angoisse font venir les premiers cheveux blanc...

les jours avaient passés avec leur lot de craintes, d'angoisse, de réflexion, de soins...

les premiers instants de surprise passés il avait bien fallu se faire à l'idée de l'amnésie de son fils et surtout la gérer au mieux pour ne point trop le bousculer. Par chance la plaie cicatrisait sans problème, cependant des maux de tête terrible accablait son blondinet l'obligeant à chercher dans ses grimoires des remèdes plus ciblé plus fort et que ce frêle petit homme pourrait supporter.

il avait aussi fallut s'occuper de sa princesse qui totalement perturbé par la douleur de son double ne savait plus trop ou elle en était. elles avaient donc longuement discuté de la meilleur manière de se comporter avec cathal mais aussi la rassurer sur son état.

le sommeil l'avait quitté depuis un moment et c'est un visage blême aux yeux cernés qu'elle affichait désormais une mèche de ses cheveux brun avait subitement blanchit mais elle ne s'en était même pas aperçu

elle venait de finir les soins de son fils quand elle entendit toquer à la porte et entendit la petit voix intimidé de cesar le fils de pegas appeler derrière la porte.

Je peux le voir aujourd’hui, Nefi???

le pauvre enfant trépignait depuis l'accident pour voir son ami et nefi avait du, après lui avoir expliqué ce qui se passait lui interdire l'accès à la chambre. d'ailleurs seul elle est lauri en avait eu l'accès pour limiter les bruits et les risque d'infection.

elle alla lui ouvrir la porte et lui sourit avec tendresse, et murmura.

oui tu vas pouvoir le voir aujourd'hui, mais il ne faudra pas trop faire de bruit. et te présenter à lui, tu le sais je t ai expliqué qu'il ne se souvient pas de nous donc soit patient c'est comme si vous vous rencontriez pour la première fois d'accord ?.

elle le laissa passer et retourna prés de son fils.

cathal, tu as de la visite,... je te laisse un peu mais je suis juste dans la pièce voisine.

elle déposa un baisé sur son front et sortit de la chambre.


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