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[RP] Le jardin secret du royaume de la princesse rose

--Cesar.




Oui oui! Oui oui! Sans rien dire, ma tête descendait et remontait en signe affirmatif impatient à toutes les paroles que disait ou pourrait dire Nefi. Si je pouvais le voir! Je ferais tout ce qu’il faut! Mes pas m’entrainèrent avec vitesse dans la chambre avant que Nefi change d’avis. Elle n’allait pas me le dire deux fois!

Au bout du lit, je restai un moment interdit. Cathal avait les cheveux plus court, toujours aussi blond comme mes propres cheveux, mais si court. Mon ami ne semblait pas reconnaitre complètement Nefi qui pourtant était sa maman quoi! J’étais interdit. Maintenant que j’étais enfin prêt de mon ami, je ne savais plus comment réagir. La sensation que j’étais minuscule dans une situation compliqué m’ampli m’étreignais le cœur. J’avais mal dans ma poitrine, ca serrais.

Mes sourcils se froncèrent pendant que je détaillais Cathal comme si je le voyais pour la toute première fois. La porte se referma et un lourd silence se fit dans la pièce. J’avais l’impression que le poids de toute la pièce venait me peser sur les épaules. Je me mis à sautiller sur place impatient et inconstamment. Je réalisais soudainement que je ne savais pas du tout quoi lui dire en faite. Je ne savais pas par ou commencer. Ni même comment lui dire. J’eu un petit rire contraint et mal à l’aise devant ma propre sensation d’incertitude. Je sautilla vers la fenêtre pour regarder l’extérieur.


Tu n’as pas envie de sortir après une semaine enfermé?
Cathal.squire


Un long soupir s’échappa de sa bouche. Le temps semblait long. Il ne savait pas combien de jours s’étaient écoulés depuis son accident. La vie avait repris un peu son cours. On lui apprenait par bribe son passé. Mais était-ce vraiment le sien ? De toute façon, il devait appréhender ce monde et s’y adapter.

Son visage se tourna vers la porte qui laissa entrer un garçon. Oh, un nouveau visage ? Il n’en était pas sûr, il n’avait plus de certitude. Le connaissait-il ? En tout cas, il était content de voir quelqu’un d’autres. Cela faisait tellement longtemps qu’il était enfermé dans cette chambre. Il n’y a pas idées d’y laisser aussi longtemps un enfant !

César a écrit:
Tu n’as pas envie de sortir après une semaine enfermé?


Il dévisageait déjà cet inconnu, mais son visage pris un air étonné par cette question. En tout cas, elle donnait une information d’une importance capitale. Cela faisait 1 semaine, 7 jours, c'est-à-dire une ÉTERNITÉ qu'il se trouvait dans cette pièce. Il était tiraillé entre divers sentiments. Celui d’accompagner cet enfant qu’il ne connaissait pas, ou de rester dans la maison en sécurité…

Oui, j’ai envie sauf que… qui es-tu ?

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--Cesar.




Je me frappa le front et un bruit claqua dans le silence de la chambre. J’ai encore oublié ce que Nefi m’avait dit! Nous devons nous présenter. Une chaleur envahie mes joues signe de mes rougeurs. Je m’approchai timidement du lit, puis sauta sur l’édredon, comme j’avais toujours l’habitude de faire. Je me penchai sur le visage de mon ami pour tenter de le reconnaitre. Avait-il changé?

Toi tu es Cathal! Mon meilleur ami! J’suis César, tu es chez moi ici. Nene me disait que tu a une grosse bosse sur la tête. Ca fait très mal? Tu crois que tu peux sortir d’ici?

Je recroquevillai mes jambes sous mon corps en m’installant mieux sur le lit. Mes paroles donnaient l’impression de sortir trop rapidement de ma bouche comme si je les avais retenus depuis une semaine. Ce qui n’était pas totalement faux.

Tu vas pouvoir prendre l’air bientôt j’espère! C’est trop tranquille dehors sans toi. Il y a rien à faire. Puis j’me suis vraiment trop trop ennuyer moi! Tu es parti longtemps! C’est beaucoup plus trop long une semaine! Peut-être qu’on pourrait sortir sans nous faire remarquez!

L’impatience se faisait sentir dans mes paroles même moi je le réalisais. C’était fou ce qu’il m’avait manqué.

Ce ne serait pas très gentil pour Nene par exemple. Elle m’a dit que tu ne te souvenais pas de nous? C’est vrai?

Je le regardais sans caché ma curiosité, à mes yeux il était toujours le même, avec des cheveux plus courts mais sans plus. Je parlais sans doute trop pour sa tête douloureuse, mais le temps était si long sans lui. Toutes mes paroles sortaient rapidement de ma bouche pour ensuite suivre un moment d’observation mutuel et de silence. Je n’avais jamais été mal à l’aise avec le silence, avec l’inactivité par exemple oui. Mes jambes descendirent sur le bord du lit cherchant à bouger après leurs quelques minutes d’inactivités.

Tu sais, ce n’est pas grave même si c’est vrai. Je… je…

Une boule se forma dans ma gorge, je l’aimais bien de toute façon… voila mais ses mots ne voulais pas sortir et restait coincé incapable de se libéré.

Rien ne change! Tu restes mon meilleur ami. J’vais pouvoir tout te remontrer nos cachettes secrètes!

Mes rougeurs s’accentuèrent et mes yeux se posèrent sur le sol.
Cathal.squire


Il l’écoutait et l’observait en silence. Ses mimiques et ses paroles démontraient une certaine complicité qu’ils avaient pu partager. A présent il était presque certains qu’ils avaient été ami, ou quelque chose comme ça. Dans le flot continu paroles du garçon, il retint son nom : César. Enfin, il put en placer une.

Oui, je me souviens de rien. La dame m’a dit que c’était ma maman, c’est vrai ? Et la fille, c’est ma sœur ? Je ne sais pu rien, je suis sûr de rien.

C’est vrai que c’est long et j’ai marre d’être ici. On va où tu veux tant que c’est hors de cette pièce.

Dis qu’est ce qu’il y a d’autant secret dans tes cachettes ? Et pis, ça me dérange pas qu’on sort en douce. Cela ne serait que plus drôle tu trouves pas ?

Pour lui, la chambre était devenue une prison. Son seul souhait était de s’évader et découvrir le monde. De voir autre chose que les mêmes murs et peut-être recouvré une partie de sa mémoire, qui sait. Ce n’est pas en restant immobile qu’il va se passer quelque chose !

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--Cesar.




Mes yeux toujours sur mes pieds pendouillant dur le bord du lit, j’étais perplexe mais gardais le silence sans répondre à ses questions. Au bout de quelques instant, je relevais les yeux vers ‘thal pour l’observé. Il ne se souvenait pas que Nefi était sa mère et que le monstre était sa sœur? C’était tout simplement impensable. Comme si j’avais oublié son propre père. Je réalisa soudain que Cathal semblais attendre la réponse à ses questions. Il était toujours aussi patient avec l’être lunatique que je suis. Des rougeurs montèrent sur mes joues et je baissais le regard sur l’édredon.

Tu ne te souviens vraiment de rien. Oui oui, Nefi est ta maman, celle qui est toute douce et vient de sortir.

Ma bouche forma une petite moue agacée.

Et le monstre est bien ta sœur ouais.

De la jalousie perçait dans ma voix, mais je ne m’en rendais à peine compte. À cause d’elle, je n’avais pas pu voir Cathal pendant un long moment. Je relevais les yeux pétillant de malice vers mon ami pendant la fin de ses paroles et sauta les deux pieds sur le sol. Mes pas sautillant, rempli d’énergie débordante, se dirigea vers la fenêtre. J’ouvris la fenêtre bien grande, laissant une bouffée d’air frais entrée dans la pièce renfermée.

Rien sur le mur ne nous permettait de descendre sans danger. Mon regard se porta sur mon ami d’où un énorme bandage ornait sa tête. Ce n’était peut-être pas la meilleure idée que j’aurais pu avoir. Non finalement une très mauvaise idée!


Tu te sens d’attaque pour te lever et marcher?

Ma voix frétillait d’excitation face à la future promenade que nous allons faire. Je me dirigea vers la porte et l’entrouvris. Le passage était désert, Nefi avait bien dit qu’elle se trouverait dans la pièce « à côté »… Une porte entrouverte dans la pièce ou devait certainement se trouver la mère du malade, mais pas de bruit suspecte. Je me tourna vers la pièce et fit un énorme sourire complice en murmurant a Cathal.

Alors prêt pour la sortie?

Cela ne pouvais pas lui faire de mal de prendre l’air…
Cathal.squire


Le petit garçon confirmait ce que sa supposée famille avait dit. Alors cela était bien vrai ? A présent, une sorte de paix intérieur l’envahit, c’était comme un soulagement mais aussi quelque chose d’effrayant. Comment pouvait-on oublier sa propre famille. Enfin, cela prouvait bien que ce qu’il avait ressenti jusqu’à présent par apport à eux était juste. Il avait ressenti un lien fort, particulièrement avec la petite fille.

Il tiqua sur le chuchotement léger de César. Un monstre ? Cela était bizarre, elle n’en avait pas l’air. Elle était très gentille avec lui. Rapidement, il fut distrait par la perspective de sortir de cette cellule qui lui servait de chambre. La fenêtre qui venait de s’ouvrir lui faisait du bien. L’air frais lui redonnait vie et hâte de sortir. Son ami regardait par la fenêtre et vers le bas, que pouvait-il bien penser ?

Tu te sens d’attaque pour te lever et marcher?

Bien sûr ! Regarde.

Il sauta du lit à pied joint ce qui fit grincer le plancher. C’était marrant. Après d’avoir bougé ses pieds pour bien lui montrer qu’il était prêt à faire les 400 coups, il sentit quelque chose lui gratter la tête. Rha, ce foutu bandage ! Hop, d’un mouvement agacé de la main fit tomber cette chose sur le sol. Cela faisait un bien fou ! Cela était génial de pouvoir sentir le vent entre ses cheveux blonds.

César a écrit:
Alors prêt pour la sortie?


Oh oui ! Quand tu veux ! On sort par la fenêtre ? Si on essaie de descendre par la porte, on va se faire prendre.

Pendant tout le temps où il y était enfermé, il avait réfléchit à comment il pouvait en sortir. Il avait imaginé s’échapper en faisant avec les draps une corde pour pouvoir descendre en toute sécurité sans se rompre le cou. En voyant que son ami n’était pas très chaud, il se mit quand même à mettre son plan à exécution le moyen de sortie commençait à se former au fur et à mesure des nœuds liant les morceaux de tissus.

On y va ?

Il était presque sûr que cela allait tenir et qu’ils pourraient sortir sans être vu et en toute sécurité.

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--Cesar.




Je le regardais se lever de manière chambranlante, c’était réellement une mauvaise idée la fenêtre. Oh bien sur il ne faisait tout pour me prouver qu’il allait bien et était ferme sur ses pieds… Mais bon… je n’étais pas aveugle. Se lever et marcher étaient différent que d’escalader un mur de pierre…

Mes sourcils se froncèrent et ma bouche forma une moue sceptique. Je le dévisageais sans un mot lorsqu’il enleva son bandage. Malgré tout ce qu’il pouvait dire cela ne me rassurait pas de voir les plaques de sang séché se mêler à ses mèches blonds. Il était vrai que j’avais souvent saigné dans ma vie et que la majorité du temps s’était beaucoup moins grave que cela ne paraissait. Cette pensée me rassura quelque peu.


cathal a écrit:
Oh oui ! Quand tu veux ! On sort par la fenêtre ? Si on essaie de descendre par la porte, on va se faire prendre.


Une grimace apparue sur mon visage. Bien sur, il fallait que Cathal utilise exactement la méthode que je n’osais pas prendre ! Mais il avait raison… C’était la méthode la plus simple et la plus sure pour ne pas se faire prendre. Je le regardais avec surprise tordre les draps en les liants par moment avec des nœuds compliqué. Il n’avait pas perdu son imagination. Je referma la porte avec un plaisir renouveler. J’adorais l’escalade donc c’était avec plaisir que je choisi la voie que mon ami voulait utiliser pour sortir.

D’accord ! Mais je descends le premier ! Je suis plus habituer que toi et je vais pouvoir vérifier que personne ne nous vois !

Je n’attendis même pas que Cathal m’es approuver pour agripper le drap et enjambé le rebord de la fenêtre. Une petite secousse pour m’assurer que tout tenait bien, que cette corde improvisé allait supporter mon poids. Je déposai le surplus de corde à l’intérieur de la pièce puis jeta un regard à Cathal puis à la corde. Il devait la surveiller, si celle-ci venait à tombé sur le sol avant que les pourtours soit libre, ils se feraient repéré immédiatement et certainement rentré par le bout des oreilles jusqu’à leurs chambres respectives. Il m'avait compris du regard j'en était certain. Je n'avais jamais aimer parler et c'était à demi-mot que nous nous étions toujours compris.

Mes pieds accrochés solidement dans les espaces libres entre les pierres, je débuta ma descente prudemment avec dextérité le long du mur, accrocher à la corde par les bras, les jambes sur le mur. J’avais les mains en feu du au frottement sur le drap enroulé. Un soupir de soulagement se fit entendre lorsque mes pieds se posèrent sur le sol. Personne ne semblait au alentour. Je relevai la tête et murmura à mon compagnon.


Viens ! La voie est libre !










Cathal.squire


La corde de fortune fut attaché au lit et déjà que son ami glissa le long de celui-ci. Il était arrivé sans encombre sur le sol. Il n’y avait donc pas de risque. Une jambe et puis l’autre enjambèrent la fenêtre. Ses mains agrippèrent le drap et se laissa tomber le long de celui-ci. Le vent et l’air extérieur touchait à présent sa peau, cela faisait du bien. Ses pieds atterrirent sur la terre ferme.

Il se retourna vers son ami avec un regard de défi. Ça y est, on y va ? Mais pour aller où ? Ses yeux d’enfants se levèrent pour voir la source lumineuse qui lui donnait cette impression de chaleur sur la peau de son visage. C’était très brillant et ils se fermèrent pour se protéger. Il dévia le regard et commença à observer les alentours malgré qu’il fût encore un peu ébloui par le soleil. Sa vision s’était posé sur la bâtisse qu’il venait de quitter. Son attention fut attirée par un son répétitif. C’était un bruit d’eau diffus.

Sa tête se tourna vers la source du bruit et il remarqua que la maison n’était pas loin d’une grande étendue d’eau d’une couleur bleu. Au loin, on pouvait distinguer une sorte de brume. Le ciel était bleu mais avec des nuages blancs tel des moutons volants. L’air marin s’abattait sur son petit visage, cela ne lui était pas désagréable. Son regard se détourna de l’horizon pour voir les falaises blanches, que cela était beau. Elles étaient tel un château défiant les eaux. En continuant son observation, ses yeux arrivèrent au niveau de la ville. Cette agglomération de bâtisses de diverses tailles et de couleurs.

Après d’avoir vu la ville, c’était autour d’un champ et ensuite d’une bâtisse toute droite. Qu’est ce que cela pouvait être ? Cette question serait répondue plus tard. Il avait une envie irrépressible d’aller vers l’eau pour voir de plus près la mer. Sa main se saisit du bras de César et le tira. Viens, on va voir là bas ! C’est quoi toute cette eau ? Dis ! Dis !

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--Cesar.




Viens, on va voir là bas ! C’est quoi toute cette eau ? Dis ! Dis !

Tiens donc ou ca? Mes yeux se tournèrent dans la direction que mon ami me tirait. Je le suivais avec plaisir, il m’amenait à la plage. Mes pas finirent par courir avec Cathal, j’avais toujours adoré l’eau, normale pour un habitant si prêt de la plage mais certains n’était pas aussi friand que moi. En plus, il régnait une chaleur étouffante à Bertincourt depuis quelques jours, ampli d’humidité et de chaleur. Je l’avais à peine réaliser toute à mon angoisse de voir mon ami malade, soudainement toute cette chaleur me retombait dessus avec notre course jusqu’à la plage.

Les récifs se détachait en contrebas et se rapprochait rapidement de mes yeux jusqu’à se qu’on déboule sur les pierres installée en escalier pour mieux se rendre sur la plage. Dès que mes godasses touchèrent le sol sablonneux, je les enlevai précipitamment. Le sable était brûlant sous mes pieds. Mon ami avait relâché sa poigne qui me tirait et regardait la mer, je portais à peine attention à son expression et avança avec fébrilité vers l’eau. On pouvait voir mes vêtements s’empiler dans un chemin qui me conduisait jusqu’à la berge. Une, deux, il ne fallu pas de trois avant que je saute avec plaisir dans l’eau glacé de la mer.

La douceur de cette froideur entrait dans chacune des pores de ma peau avec délice. Je fis quelques mouvements de mes longues jambes pour avancer dans la mer verdâtre avant de me retourner pour voir Cathal étrangement se tenant toujours sur la berge. Je lui fis de grand mouvement de bras pour lui rappeler mon existence puis porta mes bras en entonnoir je pris une grande respiration et cria.

Mais viens!!! Elle est trop bonne!

Mes pieds ne cessait de s’agité en ce dandinant dans l’eau. Surtout ne pas être immobile dans une eau aussi glaciale.
Cathal.squire


Son bras tirait avec vigueur son ami pendant leur course vers l’immense étendue bleue. Après quelques pas dans le sable, il s’arrêta net. C’était trop beau ! Toutes ces couleurs. La mer changeait de couleur selon les vagues. Parfois elle était bleue, parfois verte. Les tons se modifiaient selon le courant. Rajoutant à la magnificence du paysage, il y avait ce ciel qui s’étendait à l’infini. On pouvait distinguer l’horizon. Celui-ci était d’un bleu clair parsemé de point blanc et moutonneux. C’était rigolo, on dirait qu’il y avait un troupeau de moutons tout là haut. Mais où était le berger ? Ses pensées furent interrompues par l’appel de César.

César a écrit:
Mais viens!!! Elle est trop bonne!


Il le chercha d’abord tout près de lui où il l’avait laissé. Sur place, il n’y avait que la trace de vêtements. De ses yeux, il la suivit pour arriver à la mer. César barbotait allègrement entrain de l’inviter à venir jouer avec lui. Celui-ci devrait être nu vu ce qu’il avait comme trace sur son passage. Lui aussi devait se déshabiller complètement ? Cette question fut rapidement écartée par la curiosité. Le petit garçon semblait s’amuser dans l’eau. Cela semblait rigolo.

Au contraire de son petit camarade, il enleva ses vêtements de manière plus ordonnée mais aussi hâtive. Il avait hâte de le rejoindre et de jouer. Ce qu’il avait sur le dos, s’empila se transformant en une montagne de tissus. Dès qu’il fut dévêtu, il lança un regard à César. Qu’allait-il penser de le voir comme ça ? Enfin, cela ne le dérangeait pas de se montrer comme ceci, pourquoi devait-il se préoccuper. Il s’avança vers la mer. Son regard regardait ses pieds nus s’enfoncer dans le sable et en ressortir. Cette sensation le chatouillait, mais c’était aussi très intéressant de voir ces grains glisser sur le sol et briller sous l’effet du soleil.

Bien vite, l’eau vint lui chatouiller les orteils. C’était froid ! Brrr ! Les appels l’encourageaient à s’enfoncer. Il était toujours concentrer sur ce qu’il se passait autour de lui et observait son corps disparaitre dans les eaux et voir que dans un sens l’eau était transparente. Mais que pouvait-il donner les couleurs qu’il voyait ? La froideur avançait sur sa peau ce qui créa une réaction de chair de poule sur ton son corps. Ses pas étaient lents pour que son corps s’habitue.

Il stoppa quand il remarqua un phénomène. Les gouttelettes projeter par les mouvements de César faisait apparaitre diverses couleurs. Comment le faisait-il ? La curiosité le gagnait de plus en plus et sauta sur lui ce qui les fit plonger dans l’eau glaciale. Il devait connaitre le secret pour faire apparaitre toutes ces couleurs !

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Laureline_squire


Quelques jour auparavant Laurie avait eut une grande conversation sur l'état de son jumeau, sur le pourquoi de l'oublie de celui-ci.
L'enfant n'avait pas tout bien compris mais ferait tout pour l'aider.

La blondinette ne sortait plus trop pour rester auprès de son frère, une fois les taches ménagères à sa porté terminées elle fila dans la chambre pour retrouver les garçons mais qu'elle ne fut pas sa surprise de voir qu'ils avaient tout deux disparus un drap pendant à la fenêtre la fillette compris bien vite que César avait entrainé son double dehors.

Ah c'est comme ça pensa t'elle ... bien ils vont voir...

Laureline fut furieuse et sortie de la maison à leur recherche, mais ou pouvait donc t'il bien être elle fit le tour du village et du peu de cachette qu'elle connaissait des garçons celle qu'ils avaient bien voulut lui montrer mais ne les connaissant pas toute la tache se montra ardu.
Elle venait de faire le tour des tavernes, puis elle enchaina vers plusieurs lieu ou elle pensée qu'il pourrait se trouver mais en vint.
Après des heures de recherche dans le village Laurie se dirigea vers la plage seul endroit qu'elle n'avait pas encore fait mais ou la fillette adorait se réfugier.

C'est la qu'elle les aperçus à barboter dans l'eau, elle courut à leur rencontre furieuse et hurlant après eux.


Vous étiez ou??? J'ai eue peur.

Cesar t'es inconscient ou quoi il a perdu la tête, il sait plus rien et toi tu l'entraine n'importe ou.

J'vais le dire à maman.

Laurie fut très fâché et se dirigea à nouveau vers la maison à grande vitesse.

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Nefi


les garçons ensemble Néfi en profita pour allez s'occuper un peu de ses taches ménagères. Revenant au bout d'un certain temps, elle avait pris soin de prendre un plateau avec deux verres de lait et des brioches encore chaude sortit de sa boulangerie.

Poussant la porte du pied elle entra et tomba en arrêt sur le pas de la porte laissant le plateau se fracasser au sol dans un grand bruit de chope cassé et de bois. Le lait ayant éclaboussé généreusement le bas de sa houppelande verte.

Revenue de sa stupeur elle inspecta la pièce, voyant la corde de draps accroché au bois du lit et passant par la fenêtre ouverte.

S’approchant de celle ci elle se pencha sur la balustrade regardant le jardinet en contrebas puis les alentours. Entendant des échos de voix sur la plage elle leva le nez plissant les yeux qu'elle protégea de sa main pour empêcher le soleil de l'éblouir.

ohhhh les diables, non de non ils vont m'entendre... ils sont inconscient out les deux... pouvaient pas demander non ???


descendant quatre à quatre les marches relevant ses jupes jusqu'aux genoux et pestant une fois de plus contre cette longueur d'étoffe qu'on imposait aux femmes elle partit en courant à la recherche de ses monstres qui décidément la feraient vieillir avant l'âge. La distance était fort courte jusqu'à la plage et il ne lui fallut pas bien longtemps pour la rejoindre sous le regard éberlué des pêcheurs qui remonter avec leurs paniers pleins de poissons sous le bras.

Ses pieds foulaient à peine le sable qu'elle croisa Lauri remontant vers la maison en courant l'air fort contrarié.

oooh mais en plus tu étais au courant toi ??? Tu ne sais pas que ton frère est encore fragile pour allez ainsi se baigner ?

La d&passant sans attendre elle arriva sur le bord de l'eau toute rouge et échevelé par sa courses.

sortez de l'eau tout les deux et vite !!! César enfin es tu perdu la tête d'entrainer ainsi cathal. Je t ai pourtant expliqué qu'il ne fallait pas le fatiguer !!! Et puis c'est quoi ces façon de sortir par les fenêtres ?? ni a t'il pas de porte pour cela et n'as tu point de langue pour demander l’autorisation ?

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Laureline_squire



En remontant la plage elle croisa sa mère qu'il l'alpagua en lui criant dessus alors qu'elle n'avait strictement rien fait.

oooh mais en plus tu étais au courant toi ??? Tu ne sais pas que ton frère est encore fragile pour allez ainsi se baigner ?


Sa maman fila vers l'océan ou se trouvait les deux garçons, sans même attendre de réponse de sa pars.
Laurie fut encore plus furieuse et courut s'enfermer dans sa chambre.
Se faire gronder ainsi injustement.

La blondinette se planqua pour ruminer c'est eux qui faisaient les bêtises et c'est elle qu'on grondé comme à chaque fois d'ailleurs.
Non elle n'en savait rien de ce que les garçons avaient bien pu faire ils étaient parti sans rien lui dire en la laissant.
Elle les avait trouvé à force de recherche et venait prévenir sa mère de la bêtises des garçons.


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--Cesar.




Il était étrange, Cathal depuis un moment. Il ne faisait qu’observer l’eau, comme complètement fasciner par quelque chose que je ne voyais pas. Je suivi le regard de mon ami sur l’eau miroitant devant moi, quand sans le voir arrivé, il me sauta dessus. Mon corps s’enfonça dans l’eau peu profonde. Essayant stupidement de prendre un peu d’air, j’aspirai l’eau plus que mon corps trouvait de l’air tant désirer. Mes bras le repoussèrent, mes jambes s’agita, je me relevai étouffé, toussant pour reprendre mon souffle. La toux ne s’arrêtèrent pas avant un bon moment et je lui lançai un regard mauvais pour le bouillon qu’il venait de me faire prendre. Voyant son regard désolé, je ne pu m’empêcher de lui rendre son coup, l’arrosant par grande rasade d’eau pris a grand bras. La toux fit place au rire étouffé par l’eau qui m’arrosait par moment. Je perçu à peine la voix, rempli d’accusation à mon égard, de la jumelle Squires et continuant dans mon jeu. J’étais heureux de retrouver l’ami espiègle que j’aimais tant.
Nos rires se calma quelqu’un peu dans un soulagement, reprenant notre souffle mutuel, je reconnu la voix apeurant de la chef des Squires. Son ton ferme était reconnaissable entre tous. Celle-ci semblait en colère. Qu’avait-il fait encore? Les filles sont tel toujours aussi étranges? Mais qu’avaient-elles toute à la fin a s’énervée pour une rien, d’abord la jumelle puis la mère… pff mais c’est vraiment pas mon jour aujourd’hui… mon regard se posa sur Cathal qui s’était retourné vers la berge d’où portait les voix. J’avançais dans l’eau vers la berge en rampant le plus lentement possible, prévoyant ce que je pourrais bien raconté à cette femme visiblement en colère.


Viens ‘thal, on ferait mieux de l’écouter.

Je n’aurais jamais avoué mais le ton de cette femme me donnait la chair de poule. Qu’allait-elle nous faire vivre? Comment allait-elle me punir d’avoir entrainé encore Cathal dans une situation rocambolesque? Humm, mon esprit se mis à rouler a une vitesse folle, imaginant toute les punitions les plus terribles qui pourrait m’arrive. L’eau se décollait mon corps nu pour me retrouver dans la fraicheur de l’air. Peut-être allait t’elle me privée de repas? Ou m’envoyer dans la chambre à ruminer une erreur que je semblais avoir fait… La honte pour un garçon de neuf ans…
J’arrivais sur la berge, nu comme au jour de ma naissance, regardant le sol ou se trouvait mes braies à quelque pas de la dame en colère. Je balançai mes pieds mal à l’aise, poussant le sable du pied d’un air penaud.
Cathal.squire


Son ami et lui jouaient dans l’eau allègrement. Que cela était drôle de s’amuser à se jeter de l’eau ! Il en recevait sur son visage et sur son corps, les goutes perlaient pour retourner dans l’immensité marine. Ces mains repoussaient de la masse liquide en direction de son adversaire. Il riait de bon cœur.

Quand Laureline apparu, elle les gronda. Une grande impression d’inquiétude l’envahit. Ses bras cessèrent les mouvements dans l’eau mais il recevait toujours l’eau jeté par César. Il tentait d’écouter ce qu’elle avait à dire. Il ne put que percevoir qu’elle allait tout raconter à celle qu’elle appelait leur mère.

Cela ne lui faisait presque rien, il n’était pas même sûr que Nefi fût sa mère même si on l’avait confirmé. Juste après cette pensée, elle fit son arrivée à la plage et commença à les gronder. Qu’avaient-ils fait de mal ? Pff, déjà qu’on l’avait empêché de s’amuser pendant une semaine, on ne voulait vraiment pas qu’il puisse se divertir.

Il se laissa glisser un peu plus dans l’eau jusque que seulement sa tête était hors de l’eau. Son visage pris un air boudeur quand César sortit de l’eau. Lâcheur ! Dès que le corps du petit garçon était hors de l’eau, c’est la curiosité qui prit le dessus. Son regard détaillait ce corps pour savoir s’il avait la même chose ou s’il y avait des différences. On dirait que tous les petits garçons ont la même chose, se dit-il.

Il se décida enfin à sortir des eaux. L’eau glissait sur sa peau au fur et à mesure qu’il sortait de la mer. Il se dirigeait vers la dame. Passant près de son ami, il le bouscula innocemment. Il ne perdait rien pour attendre. Son corps dévêtu s’arrêta net devant la dame et la regarda directement dans les yeux.

Cé… César, « Je crois que c’est ça », pensa-t-il, et Laureline n’ont rien fait. C’est moi qui ai voulu sortir et il m’a accompagné. Elle n’était pas au courant. On m’a laissé rien faire pendant une semaine ! C’est po juste ! Alors c’était sûr qu’on allait me dire non !

Il fut prendre ses vêtements puis pris son ami par le bras. A présent ils se dirigeaient vers la maison sans attendre la réponse de sa mère. A présent son intention était de s’excuser auprès de sa sœur et de lui dire qu’il a dit la vérité à leur maman.

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