[RP] Le jardin secret du royaume de la princesse rose

Quelques semaines avaient passées maintenant depuis l'accident Cathal avait repris le cours de sa vie sans ses souvenirs mais en apprenant de nouveau les choses avec Laurie et César.

Il lui avait quand même fallut se rendre quelques temps au monastère pour finir les soins, César quand à lui avait été destiné à passer quelque temps dans le nouveau domaine de son père.

En quelques semaines quand à elle Laurie n'avait encore pas trouver le courage de retourner sur les lieux de l'accident ses plantes devaient être dans un état par ce temps.
La blondinette avait jusqu'à présent repoussé l'échéance trouvant le temps plutôt de jouer avec Nathy , ou encore d'autres occupations loin de sa cabane, loin de son jardin secret.

Pour la première fois et avec la peur au ventre elle retourna sur les lieux, l'étagère, la famille wiwitt, la marre de sang rien avait bougeaient dans la cabane si ce n'est peut être la poussière qui c'était amassé après une si longue absence de la fillette en ces lieux.
Avant d'entrer, d'un pas timide elle avait contourner la maison pour aller voir ses plantations bien triste et mal en point de l'absence de l'enfant.

La gamine posa son derrière squirien sur le ponton au bord de l'eau et fondit en larme comment aller t'elle faire pour réparer tout ce mal après son absence, puis les mauvais souvenir.

La première idée qui traversa sa petite caboche fut de demander à sa mère mais accepterait elle d'aider la petite à sécuriser l'endroit pour qu'elle y joue avec son frère et ses amis, s'y réfugie sans soucis, ou refuserait elle avec interdiction formelle de remettre les pieds dans ce lieu cher au cœur de Laureline malgré tout.
La blondinette avait le coeur gros par les mauvais souvenirs et la peur de ne plus jamais pouvoir revenir en ce lieu.
Les larmes dans les yeux sur les joues, elle plongea pendant plusieurs heures dans ses pensées retournant le tout dans tout les sens.
Comment revenir, comment réparer, comment oublier, comment faire ???

La fillette après plusieurs heures de pensées tortueuses avait finit par laisser tout cela pour se défouler sur l'entretiens de la cabane et l'arrosage des plantes bien malade, pour le reste elle verrait un autre jour.
La môme avait en quelques heures bannie la poussière, lessivée le sang de son frère, son sang, donnée à boire aux plantes pour tenter de les sauver.

Mais il était désormais tard et tant de rejoindre la demeure familiale.

Quelques jours plus tard Laurie avait finit par parler avec sa maman, voulant pouvoir revenir en ces lieux secrets, elle avait craquer un soir de peine, de larme, son frère toujours pas revenu de chez les moines lui manqué terriblement, elle avait dit à sa maman ce qu'elle avait sur le coeur.
Qu'elle voulait retourner dans sa cabane, mais pas sans le consentement de sa maman et qu'il fallait la réparer aussi, puis que ces jolies plante était bien malade et triste que Laurie les ai délaissées.

Suite à cette longue soirée entre la mère et la fille, Nefi avait accepter de passer du temps avec elle et la gamine en était ravi.

Sa maman ayant donc trouvé le temps de l'accompagner, pour s'occuper des réparations et de soigner les plantes bien oublié et malade.
La blondinette était fort heureuse de passer cette journée avec sa mère, elle était persuadé qu'elle lui apprendrait plein de chose sur les plantes et comment s'en servir.
La fillette était en admiration devant sa maman dans ces moment la elle adorait l'écouter et apprendre plein chose sur les plantes, cela la passionné.

Maman on y va t'es prête.

L'enfant sauté partout, dans tout les sens, excité comme une puce à l'idée de retrouver son jardin et de passer du temps seule avec sa maman.

quand le lien mère fille résout tout les chagrins...

elle tournait en rond sa blondinette, le temps avait passé, et Cathal faisait un court séjour avec son père chez les moines, besoin de reprendre des forces, de se retrouver entre hommes, elles étaient donc resté toute les deux, césar étant avec son père en leur nouveau domaine. La maison était d'un calme inhabituel lui donnant une atmosphère propice aux confidences.
la soirée était avancé, nefi lisait un traité de médecine plissant le nez sur certain élucubration de médecine moderne, prise d'une certitude, rien ne vaut les vieilles méthode et son allié de toujours la nature.
elle gardait cependant un œil sur sa fille, la petite avait l'air soucieuse, chagrine, son frère lui manquait, elle le savait, mais il y avait autres choses.
une idées lui traversa l'esprit.

princesse !! approche j'aimerais te montrer quelque choses, une nouvelle plante envoyé par mon amie herboriste de brignoles.

la petites approcha, s'installa comme de coutume sur ses genoux et attendit.

elle lui expliqua alors les vertus de la plantes, lui en montrant le dessin, comment la reconnaitre, comment la préparer... ce genre de scène arrivait régulièrement cela faisait parti de l'apprentissage de enfant, de la transmission de son savoir dont elle était garante et qu'elle tenait de sa mère, qui le tenait de sa grand mère et ainsi de suite depuis des temps immémoriaux.

Lauri avait l'air quelques peut lointaine, quand soudain elle fondit en larme, expliquant entre deux sanglots à sa mère inquiète son chagrin depuis les derniers événements, ça cabane à l abandon, son jardinet en friche, ses appréhensions ...

la discussion fut longue, apaisante et câline, les portants tard dans la nuit mais ce concluant par la promesse d'une remise en état de ce jardin qui n'avait plus rien de secret mais qui était si important pour le cœur d'une enfant ayant toujours vécu au milieu des plantes du jardin maternelle.

d'autres liens ce tissaient entre mère et fille, des liens qui avec le temps se renforce bien au delà de l amour filiale, une complicité qui continurait bien au delà de la sortit de l enfance.

quelques jours avaient passés depuis ce moment fort, une promesse devant toujours être tenue, surtout celle faite à ses enfants, nefi était donc en train de préparer tout le matériel nécessaire à la remise en état des lieux, ainsi que quelques surprise caché dans un sac. le tout rangé dans ses fontes.

Maman on y va t'es prête.

elle sourit à la petite tornade qui entrait dans la pièce,

oui je le suis et toi tu as finit de préparer Princesse et Guizmo ?

elle acquiesça et sorti aussi vite que rentrée lui criant de se dépêcher.

sortant à sa suite elle fixa ses fontes sur l'arrière de sa selle et monta.

allons y alors la journée est belle et il faut en profiter.

elle prirent donc le chemin de la cabane chevauchant côte à côte, profitant de la fraicheur matinale.

Elles venaient toutes deux de traverser le village à dos de cheval papotant de ci de la, la sortie et l'arrivée à la cabane était désormais imminente.
La fillette était ravis de passer cette journée avec sa maman et surtout d'améliorer la cabane pour pouvoir y revenir.
Elle savait au fond d'elle aussi que sa maman sauverait ses plantes.

On y est maman.

Sans attendre Laurie sauta de sa princesse.
Puis la gamine courut derrière la maisonnette pour voir si le fait d'avoir donné a boire à ces plantes il y a quelques jours les avait fait revivre.
Mais seulement quelques une avait repris du poil de la bête, la plus part étaient encore bien mal en point.
Elle les laissa un instant une moue un peu dessus de ne pas y être arrivé seule, mais elle s'en douté au fond que l'eau ne ferais pas tout.

La blondinette réapparue se dirigeant vers sa maman, elle avait tellement hâte de commencer.
Et elle était tellement heureuse de passer cette journée avec sa mère que l'excitation l'empêcher de réfléchir.

On commence par quoi maman, par ou ???

le chemin n'était pas bien long, mais fut bien agréable, petit moment entre mère et fille à bavarder de tout et de rien. elles arrivérent bien vite ç la cabane.

On y est maman.

restant en scelle un moment, elle parcourut des yeux les lieux, elle était déjà venue une fois avant l accident pour voir ou sa fille s'éclipsait de si longue heure et pourquoi tant de choses disparaissaient dans la maison

On commence par quoi maman, par ou ???

hum et bien comme il fait encore frais je te propose de commencer par le jardin tes plantes supporterons mieux.
et puis ensuite la cabane nous serons plus au frais dans l aprés midi.

détachant les fontes de sa scelle elle les passa en travers de son épaule et tendit la main à sa fille.

tu me fais visiter ton royaume princesse ?

hum et bien comme il fait encore frais je te propose de commencer par le jardin tes plantes supporterons mieux.
et puis ensuite la cabane nous serons plus au frais dans l aprés midi.

tu me fais visiter ton royaume princesse ?

D'accord, vi maman on visite et après on va voir mes fleures très malade elles ont besoin d'un docteur.

Tu vas les sauver dit... Hein... Tu vas le faire.

Laurie qui quelques jour auparavant avant avait fait le nettoyage de tout avec de la tristesse en revoyant les choses,
le sang tel que cela avait été laissé, traina sa mère vers la cabane en lui tirant la main.
Une fois à l'intérieure elle lui fit tout visiter chambre, cuisine, tout vraiment tout.

T'as vue on pourrait vivre dans la petit maison c'est trop bien, je peux même faire des gâteau comme la marie elle m'a appris.
Y a de quoi dormir aussi.
Mais bon pour ça faut réparer un peu pour pu que...

La fillette se tue elle savait que le sujet était douloureux pour tout le monde et le but de la journée n'était pas d'avoir de la peine.
Pour ne pas que le sujet s'éternise et la maison peu grande, la blondinette traina donc sa mère derrière la ou se trouvé le jardin.

C'est la maman, tu vois elles ont pas l'air bien mes fleures.

D'accord, vi maman on visite et après on va voir mes fleures très malade elles ont besoin d'un docteur.

Tu vas les sauver dit... Hein... Tu vas le faire.


bien sur princesse que je vais les soigner, et je te montrerais comment le faire seul plus tard. tu seras toi aussi une docteur pour les plantes

lauri la traînait de pièce en pièce babillant d'un ton joyeux même si par moment elle sentait un peut d'émotion dans sa voie.


T'as vue on pourrait vivre dans la petit maison c'est trop bien, je peux même faire des gâteau comme la marie elle m'a appris.
Y a de quoi dormir aussi.
Mais bon pour ça faut réparer un peu pour pu que...

humm je note que tu vas me faire un gâteau comme la marie en voilà une bonne nouvelle...
nous regarderons pour aménager ta petite maison après montre moi donc tes jolies plantes avant qu'il ne fasse trop chaud.

elle riait de la voir tournoyer dans les pièces en lui montrant ce qu'elles pouvaient y faire. La maison n'était vraiment pas très grande mais un vraie paradis pour une enfant de cette âge. elle la sentit devenir tristoune et la prenant par l'épaule avec tendresse elle déposant un baisé sur son front avant que la petite ne l'entraîne vers la sorti arrière de la maison.

C'est la maman, tu vois elles ont pas l'air bien mes fleures.

s'approchant du jardinet elle l'observa un instant puis déposa au sol ses fontes qu elle portait toujours sur son épaule. s'agenouillant devant les plates bandes elle regarda l'état d'un bouquet de thym il était tout sec par endroit.

approche chaton, regarde ton thym, tu vois il a des branches toute sèche par endroit. en fait c'est normal ses branches la ont fleuries, et du coup elle fane. donc on va les tailler.

Sortant une petite serpette de ses fontes elle commença à tailler en montrant à lauri ou couper et surtout quoi.

tu vois en taillant comme ça la sève de ton thym iras uniquement dans les branches saines et pourras faire d'autres pouces il sera plus fort.

ainsi passa la matinée passant de plantes en plantes, taillant, bouturant, rempotant,... les conseils pleuvaient les questions aussi le tout dans une atmosphère étonnement concentré... qui fut bientôt rompu par la cloche de l'église du village annonçant le midi, relayé par l'estomac de lauri qui fit un jolie gargouilli.

La fillette avait passé la mâtiné à écouter les conseils et regarder soin prodigué aux plantes par sa maman.
Elle avait bien pris en note ou il fallait couper comment il fallait agir avec certaine en les rempotant.
Les heures de la matinée avait filé à une vitesse, tel que seul le ventre de Laurie s'en était rendu compte et affamé qu'il était ce petit estomac l'exprima d'un grognement bien sonore.

Je crois bien que j'ai faim.

Dit moman on va manger quand ? Quand est ce qu'on mange ? J'ai faim.

La blondinette regarda sa maman dépité par le bruit que son ventre venait à nouveau de faire, espérant que la réponse serait dans pas trop longtemps.

Désolé je crois bien qu'il a vraiment très faim mon z'estomac.

Malgré cela la gamine finissait quand même de tailler les dernières plantes à tailler comme sa maman le lui avait montré juste avant.
Un coup de serpette par ci, un coup de serpette par la et hop le tour était joué, simple comme un jeu d'enfant.
Enfin façon de dire parce que des fois le manque d'attention de la môme lui faisait faire des bêtises et couper un peu trop de plante.
Mais sa mère y veillé au grain et rattrapé les âneries de Laurie à tout les coups.

Au final aucunes plantes n'avait mourut comme le croyait Laureline seulement un peu usé par l'absence de celle-ci et le temps chaleureux des jours aoutien.

Laureline passa le début d'après midi posé sous le saule assise avec sa mère au bord de l'eau.
Toute deux discutèrent sans fin de tout et de rien, des plantes qu'elles venaient de soigner et de replanter au cours de la matinée mais aussi de la famille.

L'après midi était déjà bien entamé quand les filles décidèrent de reprendre le travail.
L'après midi étant réservé au rangement de la cabane et à la réparation de celle-ci. De manière à ce que les enfants puissent revenir jouer sans qu'auncun autres accidents ne surviennent à nouveau.

La blondinette tenait à cette endroit mais s'en voulait énormément de ce que qui était arrivé à son frère.
Tout au fond d'elle, la fillette ne souhaité qu'une chose que cela ne se reproduise pas, jamais.
Et ce serait chose faite en fin de journée quand la cabane serait aux normes et sans risque.

Laurie toujours pensive à cet instant regardé sa mère s'activer et faire les choses, une fixation par la, une par ci.

T'es trop forte maman, tu fais çà bien.

Laurie poussa un grand soupire bien profond quand sa mère lui répondit qu'une dame se devait de savoir tout faire et surtout pour ses enfants.

Pfff !!!

Mouai ben moi j'vais rester p'tite fille toute ma vie c'est bien moins compliqué.

Chouette alors j'aurai le droit de revenir ici avec Cathal ?

La blondinette sortie de la maison en sautillant, heureuse que tout soit réparé et qu'elle puisse enfin y revenir sans danger.
Sur le chemin du retour la fillette et sa mère ne cessèrent de babiller de tout et de rien.
La gamine avait hâte que son frère rentre du couvant pour lui annoncer la nouvelle et lui dire qu'il pourrait venir jouer avec elle dans le jardin secret.

[[ Un été indien,un après midi d'automne, une hallucination, une vision, une amitié imaginaire naissante...]]

Un après midi de beau temps, c'était si rare depuis quelques jours. La blondinette n'hésita pas une seconde, elle avait bien l'intention d'en profiter et de s'accorder un peu de bon temps.

Après avoir prit quelques affaires, la gamine fonça vers la sortie du village, la ou se trouvé son antre, son jardin secret. Laurie s'y rendait assez régulièrement pour que son jardin ne se meurt pas.
Une arrivée au pas de course pour découvrir une surprise sur le perron de la cabane.
Là, une louve couleur crème, pourvue de deux ailes roses, d'un regard perlé de rose, et autour du cou de l'animal un ruban de couleur rose. Le Rose couleur que la fillette affectionne particulièrement.

Après quelques minutes passé à bloquer, à dévisager l'animal, Laureline s'approcha de celui-ci doucement pour ne pas l'effrayer. La louve ne bougea pas d'un poil et se laissa approcher et même caresser.

Bonjour toi. Fit la môme.

Bonjour Laureline

La bête venait de répondre à l'enfant en l'appelant par son prénom.
La blondinette fixa l'animal, la bouche béante de stupeur, elle avait cessée tout geste, prise de surprise par la bestiole.

Tu parle, et tu sais comment j'm'appelle. Mais... Mais...

La fillette continua de fixer l'animal étonné qu'il parle. Celui-ci lui expliqua plusieurs chose .
Le pourquoi de sa présence, qui il était, ce qu'il faisait ici même, ce qu'il allait apporter à l'enfant.
Laureline écoutée attentivement la louve, répétant certain mots derrière l'animal, un ange, me protéger...

Fronçant du sourcil, et plissant du nez peu convaincu par ce que la bête était entrain de lui dire la fillette lui posa une question toute autre.

Et tu t'appelle comment, faut que je te donne un nom.

La louve répondit à Laury, je répondrais au nom que tu voudras me donner.

Après cette réponse la fillette se mit à réfléchir, elle posa son petit derrière squirien à coté de l'animal, le regardant de tant à autres pour trouver la réponse dans son regard.
Laurie était ravis d'avoir un nouveau compagnon de jeu mais pour l'instant il fallait à la blondinette lui trouver un nom à cet ami.

[[Toujours avec son hallucination, son ami imaginaire, après une longue réflexion...]]

La blondinette après plusieurs heures passées à réfléchir se tourna de nouveau vers l'animal.

Tu t'appellera Lylouve la rose.

La fillette continué de fixer l'animal perplexe. Le nez plissé, les sourcils froncé, le regard interrogateur.

Comme ça, t'es un ange, mon ange, tu vas me protéger, mais tu vole ???
Elles servent à quoi tes ailes ???
Tu vas faire comment pour me protéger ???
Tu sera toujours avec moi ???
Et pourquoi je t'avais pas vue avant ???
Y a que moi qui peut te voir ou les autres aussi ???

Laurie ne cessé de poser des questions, ne laissant même pas le temps à l'animal qui parle de lui répondre.

Après la rafal de question de l'enfant, l'animal pris le temps de lui répondre à chacune d'elle sans n'en oublier aucune.

Disons que je disparait et apparait plutôt que voler vraiment au gré de tes envies, tu ne me verra que si tu pense à moi et que tu as besoin de moi.

Elles ne servent à rien, elle font jolies et montre que je suis un ange confirmé.

Pour te protéger tout dépendra comment tu aura besoin de ma protection.

Si c'est ton souhait oui, sinon je disparaitrais.

Oui tu es la seule qui puisse me voir puisque je sort de ton imagination.

Les anges apparaisse comme le désire les gens et plus particulièrement les enfants.

Entre chacune de ses réponses la louve avait bien pris soin de laisser un court silence pour que la gamine puisse assimilé tout ce que celle-ci lui raconté.

La fillette adoré les animaux, il était donc logique que son ami imaginaire en ai la forme.
L'animal et l'enfant avait passé le reste de l'après midi à jouer et à discuter.
En fin de journée Laurie avait ordonné à son nouvel ami de rester caché ici il y avait tout, la blondinette avait même laissé sortie de quoi se sustenter pour la louve, avant de partir et de rentrer en la demeure familiale.

Laureline avait promis de revenir très vite avec furie.