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[RP] Reims ne sert de Courir, il faut partir à point.

Mytia


Mytia lanca un regard de defi quand il se permis de lui dire que celui qu'elle allait rencontré etait son duc. Jamais au grand jamais elle ne le reconnaitrait comme tel. Elle avait beau devoir envisager un retour pacifique a la normal, l'nstinct de rejeté ceux qui avait baffoués le desir du peuple qui s'etait exprimé etait plus fort qu'elle ne l'aurai cru. Quand il lui demanda de le suivre sans sa garde, elle tourna la tete en arriere pour les regarder un a un et surtout se laisser le temps d'en prendre la decision.

Aucun mal ne lui serai fait avait il assuré, mais comment accorder confiance a un homme qui venait d'en tuer d'autre pour sa simple soif et son plaisir ? Il lui restait le choix de refuser dans quel cas elle ne pourrai aller au bout de son geste ou d'acceder a son ordre et mettre sa vie entre leur main. Elle avait beau etre encore jeune, elle n'avait pas peur, Aristote etait aupres d'elle dans cette entreprise et confiance lui etait accordé a lui et non au brigand qui lui faisait face.

Armée de sa foi et d'un regard hautain pour le garde, elle fit signe a sa garde de rester en position por lui repondre d'une voix froide:


Bien, je vous suivrez donc, je crois inutile de faire quelque menace que ce soit quant la reaction de l'eglise si vous touchez a un de ses ambassadeurs.

Du haut de ses 14 ans et pleine de son courage, elle suivi l'homme, penetrant dans ce lieu devenu saudain si hostile qu'elle senti une certaine angoise l'envahir mais luttant pour n'en rien montrer, gardant un port altier a la face de ceux qu'elle croisait.

_________________
--Roucoule
..Un pigeon survole la Champagne vers Reims un message s'échappe de sa patte



Voleurs !!!!!!Brigands.. Vous qui avait prit notre château, par mon épée, vous périrez.. vous les assoiffés de sang et de haine ... jusqu’au bout je vous poursuivrais..Pour Notre Roy notre duché ....Voleurs ... vous agissez dans les nuits comme des bêtes ..... Fluiez ... je vous poursuivrais jusqu’au fin fond du Royaume ...Voleurs Brigands ... vous serez écrasez ... vous trônez ?? voleurs, brigands tremblez maintenant..
--Le_revolutionnaire
--Cimaya
Cimaya un petit creux au ventre rentrait dans la petite maison qu'elle avait investi sans bruit. Un volatile passa au desus de sa tête.
Elle sorti sa petite fronde et visa

L'animal tomba raide à ses pieds elle lui tordit le cou et vu qu'il avait un message à la patte elle le deroula...


Voleurs !!!!!!Brigands.. Vous qui avait prit notre château, par mon épée, vous périrez.. vous les assoiffés de sang et de haine ... jusqu’au bout je vous poursuivrais..Pour Notre Roy notre duché ....Voleurs ... vous agissez dans les nuits comme des bêtes ..... Fluiez ... je vous poursuivrais jusqu’au fin fond du Royaume ...Voleurs Brigands ... vous serez écrasez ... vous trônez ?? voleurs, brigands tremblez maintenant..


Eclat de rire cristallin, oeil brillant elle rentra chez elle et se prepara un bon pigeon aux pruneaux!
Entela
[hier soir]
Il était tard, la jeune fille avait le cœur qui battait a toute allure, ... Un regard vers son tendre suffit a la rassurer ... Et puis après tout ce n'étais pas la première foi qu'elle prenait un château ... Arras, quel souvenir .... Elle en était ressortit excommunier de se coup là, ... Et son corps gardais en certains endroits les traces des 20 douloureux coup de bâtons qu'elle avait ressuent en châtiments sur la place publique ...
Un bâton à la main pour se défendre, durant l'assaut, elle écoutât le petit discourt du renard ... Puis ... Celui des membres de sa familles, et des autres bourrins ... Les derniers plans ... Les dernières misent aux points, ...
Elle se mit en poste, l'assaut débuta ... Tout se passa très vite, elle assomma quelques personnes ... Ou plusieurs, les évènement s'étaient enchainés si vite ....
Son cœur battait à toute allure, .... La peur ? ... L'excitation ? ... Elle ressentait comme un certain plaisir a ce qu'elle était en train d'accomplir ...
Puis tout ce calma ... Le château était a eux ? Ils avaient Vaincu ! Elle était fière ...
Soudain un commentaire de son amour la fit sourire :

Macarel .... C'est fini ?
Il allait bien ! Les autres aussi ... quel soulagement pour elle ... Mais LUI elle l'aimait tellement ... Elle le suivrai jusqu'au bout du monde si il le lui demandait ... Et elle savait que si il lui arrivait quelques chose sa vie n'aurait plus de sens ...
Les autres bourrins levèrent leurs armes, elle fit de même, et en cœur avec eux elle cria ...
UN POUR TOUS !, TOUS BOURRINS !!!
Soudain IL s'adressa a une dame qui voulait voir le nouveau duc, ce cher Pape ... Elle la surveilla d'un œil mauvais ...
Elle vit son père passer, et lui fit un signe victorieux, ... Puis elle se rapprocha de Jum ...

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--Roucoule
Roucoule savait qu'il allait finir dans un estomac , mais bien fait ... il a mangé des graines empoisonné avent .... sa mort est certaine à celui qui a mangé ce volatile ..Vous pouvez essayez de vomir !!!!!!! tant pis pour vous ..le mal est fait , vos entrailles vont se tordrent ... et il n'y a pas de remède .. vous avez cru être malin de manger ...Crevez maintenant
--Doc.
Doc., qui passait par la, vit l'animal et, se souvenant des ses cours de biologie, constata que l'animal avait du etre empoisonné.

Mefiance Dame Cinaya, a votre place je ne mangerais pas de cette bete !! elle a pas l'air en bonne santé.

Doc. lui donna une miche de pain et pensa que ces etudes de medecine etaient finalement bien utiles en ces temps de revolte.
--Renard
L'attaque avait était rapide. Les Brigands avaient transpercé le ciel avec leurs flèches. La modeste troupe qui gardait le passage avait été terrassé sans la moindre difficulté. En moins de temps qu'il n'en fallait la première partie du bastillon, la basse cour avait été sous controle et L'Renard s'etait empressé de monter dans les fortifications pour couper la grosse corde qui retenait la herse. A grande peine, il réussit son oppération et la porte de fer s'abatit dans un grand fracas. Il ne restait plus que le Donjon mais plus aucune fuite pour les defenseurs. Les Bourrins s'en étaient donné à coeur joie. La maréchaussé n'avait rien pu faire.

Au petit matin le chateau était entre les mains des Brigands.


Le Lendemain.

Tout etait merveilleux, le pillage avait été effectué. La prise de Reims s'était deroulé bien mieu qu'à Tours, visiblement l'experience acquise par les Brigands avaient porté ses fruits. Après avoir donné quelques directions à ses confrères, L'Renard se retourna ma belle et lui souria.

-Sois patiente ma Belle, on va y aller.

Il lui fit un clin d'oeil complice avant de l'embrasser avec passion.

Je dois y aller, affaira à regler, un petit truc qui me derange. Visites le chateau en attendant et d'mande si t'as besoin d'aide, tu auras surement un ami pour t'aider.

Après lui avoir promis de revenir rapidement, L'Renard tourna les talons et coura aller voir l'ami Briseys.

Hep castor! Felicitations, on l'a fait! Salues ta femme pour moi. Faut que j'aille voir les Bourrins, à vraid dire il semble qu'une partie d'un accord a été oublié..

L'Renard mit sa main sur son epaule, lui sourit avant de lui dire.

Passes à la boutique souvenir si tu veux, sers toi avant les autres mais surtout laisses moi mon baton, tu te souviens?

Amusé le Brigand quitta son fan préféré avant d'monter quatre à quatre les marches du Chateau pour aller dans la salle du trone. Son épée encore maculé de sang était rangé dans son fourreau. Arrivé devant la grande double porte, entouré de deux blasons majestueux au couleur de la champagne, L'Renard tourna une dernière fois ses pensées dans sa tête et entra.

L'Duc, un Bourrin en l'occurance, jouïssait de son nouveau poste, assis dans un Trone des plus elegants, sculté avec talent. Prenant une pomme des nombreuses tables où était entassé unepartie du butin,L'Renard s'avanca vers Pap et le regardant droit dans les yeux.

Bourrins, bravo. Vous avez montré une fois d'plus que vous êtes d'fier combattant. J'suis heureux que vous ayez rejoind la belle aventure. Si Reims est tombé c'est en partie grace à vous. J'espère qu'vous êtes heureux d'avoir vengé vos petits querelles avec les champis, mais que cela reste au nom du Brigandage. Dites ce que vous désirez mais cette prise et le pillage des caisses de Champagne, région de notre Roy, reste pour le Brigandage bien qu'il sera su que les Bourrins ont participé et donc merité d'être nommé comme les acteurs de ce coup.

L'Renard inclina la tête en signe de remerciement et de fraternité avant de croquer généreusement dans son fruit pour masquer le gout de sang qui lui restait dans la gorge.

Sur ce, je vous laisse, nous avons tous un chateau à visiter et quelques petits plaisirs à satisfaire. Si vous trouvez le tableau de Levan, prenez le pour l'incendier devant les villageois. Je crois aussi que vous vouliez montrer vos seants..si tel est votre désir..

L'Renard souria, puis degusta sa pomme, entendant response avant d'rejoindre sa belle pour un combat plus pacifiste.

--Cimaya
Une fois dépessé et plumé l'affreux volatile eu le cul farci de pruneau et empalé sur une broche.

Cimaya le mit a rotir sur le feu et le regardait griller en salivant , elle ne ferrait certe pas de meilleurs repas avant longtemps!

Apres un certain temps elle entendit frapper a sa porte, trois petits coups discrets, un pleu fort et un presque inodible...

Elle sourit et couru ouvrir

son ami doc se tenait face à elle


Salut doc j'ai fait à manger tu degustes avec moi?

L'homme s'approcha de l'antre et emit un grognement sourd

Mefiance Dame Cimaya, a votre place je ne mangerais pas de cette bete !! elle a pas l'air en bonne santé.

Cimaya eu un geste de recule puis sourit

Oui tu dois avoir raison de tout façon mieux vaux ne pas prendre de risques! tu sais quoi au lieux de nous sustenter il va nous rechauffer on va le laisser cramer jusqu'a ce qu'il n'en reste rien !

Elle sourit en voyant doc sortir une miche de pain

super j'ai de la viande sechée dans ma besace et quelques fruits je pense que finalement le repas sera tout de meme delicieux!

* clin d'oeil complice a son ami qui venait de lui sauver la vie *
--Le_vent
Le_Vent de folie etait maintenant bien loin, le calme etait revenu sur les ruines fumantes du chateau.

Pourtant, de ci de la, quelques groupes se formaient. Certains riaient, d'autres s'inquietaient de leur avenir.

Les paroles du Renard ne semblaient pas rassurer tout le monde, qu'entendait il par " le pillage avait été effectué", "Passes à la boutique souvenir si tu veux", "Sur ce, je vous laisse".

Ces dires etaient incompréhensibles pour bon nombre des revoltés. Un vent d'inquietude s'empara d'eux
{L_Erinye}
Hop.. réapparition

Pour les pnjs, évitez de les supprimer sinon le topic va à nouveau repartir

Enlevé le doublon de {Cisailline}
_________________
Grand Manitou Censure

Pingouin Powaaaaa


Toutes remarques sur la censure francophone par mp.
Hips
Jumarow
Jumarow sourit en entendant la jeune femme

Citation:

Bien, je vous suivrez donc, je crois inutile de faire quelque menace que ce soit quant la réaction de l'Église si vous touchez a un de ses ambassadeurs.


Allons-y alors, inutile de nous attarder plus longtemps

Juma remarqua alors Entela, il lui fit un bref signe, et Ente se plaça a la droite de la jeune femme.

Le petit cortège traversa la cour, encore jonchée de débris de la bataille, ici et là jonchaient des lances brisées, des carreaux, des flèches ensanglantées. De temps à autre, un cri s'élevait de la tour du Donjon, mais on entendait surtout les hommes beugler, rire et boire.
Le pillage avait commencé ...

Après quelques escaliers, corridors, Juma se présenta devant la salle du Trône, le garde lui ouvrit le passage, et Juma pénétra dans la Grande-Salle .


Eh bin, les festins vont bon train, songea Jumarow

Une énorme table était jonchée d'objets hétéroclites : vases en Bronze, bagues, bijoux, argenterie ...
Partout des hommes festoyaient, buvaient, tripotaient les servantes ...
Au centre de la salle, assis sur le trône Champenois était assis Papesly, autour de lui, les Bourrins buvaient ...
Juma s'avança, pris au passage une corne remplie de vin rouge, la descendis d'un trait puis héla Papesly


Papes ! y'a cette damoiselle de l'Église, j'crois, qui voudrait t'causer ...

Juma posa ses mains sur les hanches et attendit
Beeky
Un matin comme tous les aultres. Ablutions, promenade equestre, messe en la petite chapelle et nourrissage des jumeaux. Après avoir rassemblé divers parchemins, relu quelques notes eparses, Attigny se rendit en place de Reims afin de gagner les salles du castel.

Quelque chose clochoit, l’air estoit soudain nauseabond en ville, quelques rats crevés devoient pourrir dans un coin… Mais non, le fleau estoit bien la peste mais icelle qui venoit du Nord et qui avoit pour nom « Les Bourrins ».
Ainsi donc, le castel de la fière Champagne estoit tombé, le pire estoit arrivé et Beeky n'en estoit poinct estonnée... Elle avoit crié à moult reprises au conseil que l'Artesien se preparoit à attaquer la Champagne. Elle avoit maintes fois alerté en disant qu'il falloit se preparer à quelque chose de grave. De toutes parts les nouvelles estoient alarmantes. Elle avait bien specifié au Conseil qu’il falloit se garder de la felonie de ces fourbes, las, il estoit trop tard… la Duchesse avoit probablement mieulx à faire que de se preoccuper du sort de la Champagne et probablement trouveroit-elle une excuse à sa defaillance, Beeky le pressentoit.

La seule consolation qu’elle pu en tirer, ce fut que si Ricoh estoit encore de ce monde, à n'en poinct doulter, il en seroit tombé roide mort... La honte au front, Attigny ne pouvoit encaisser que la « verte » Champagne que le Roy luy avoit confié tombe aux mains des Artésiens. Ils n’avoit mesme poinct eu à la violer, ny à verser le sang, il avoit suffit que 11 bonhommes montrent leur mine patibulaire et les portes s’ouvrirent en grand. Ricoh se retournoit dans sa tombe, Caedes aussy à n’en poinct doulter.

Des lors, la noblesse, la vraie, celle de titre et celle de cueur alloit devoir prendre les armes pour sauver ce qui pouvoit encore l’estre. Le ban s’agitoit, les « Grands » savaient toujours prendre les decisions dans l’urgence, fomenter des plans, pendant que la duchesse dechue venoit chougner de l’aide. Beeky, avoit fourbi ses armes, sa lance alloit accueillir les volontaires et bientost elle partiroit defendre ceste terre de Champagne sy chère à son cueur, elle partiroit defendre les interests du Roy sy lourdement malmenés, elle iroit defendre les Champenois, peulple tant aimé pour lequel ceste fois, elle n’avait rien pu faire.

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--La_favorite


[avant et pendant l'attaque]

La favorite était arrivée seule et désarmée en Champagne. De son passage en Touraine, la Rebelle avait gardé un bon souvenir, ce qui n'était pas le cas des hautes autorités tourangelles qui c'étaient vu amputées d'un bon petit magot.
Le seul bémol à chaque fois, le moment qu'elle redoutait le plus c'était de quitter celui qu’elle avait rencontré celui qui désormais illuminait sa vie,
et dont elle n’arrivait pas à se séparer, mais pour sa sécurité et la sienne, ils n'avaient d'autres choix.
Il était pour elle comme l’opium qui vous fait oublier tous les maux dont vous souffrez et qui vous entraîne dans un monde imaginaire mais si réel à la fois.
Sur la route qui la conduisait à lui, elle aimait a repenser aux bons moments passés en sa compagnie et ne vivait que pour l'instant où ils se retrouveraient à nouveau devant un autre château.
Se venger du Roy et de ses institutions toutes aussi corrompues les unes que les autres était devenu une des priorités de la Rebelle.
Chevauchant à travers les forêts, les chemins escarpés de ces routes cabossées qui la conduisaient en Champagne, elle croisait parfois quelques uns de ses compagnons de fortune, devenus désormais sa seconde famille qui campaient aux alentours de la ville, tous aussi motivés les uns que les autres, elle s'arrêtait faire une pause et trinquait avec eux à la santé de leur futur larcin.
La Favorite les avait aidé à lever le camp et ils étaient en route en direction du Bourg...
La nuit était tombée et les rues étaient désertes, bourgeois à la bedaine bien ronde étaient déjà tous rentrés bien au chaud dans leur demeure cossues à ripailler comme de gros porcs ne se souciant de rien.


Ah!! ils allaient bientôt être à la diète...

Le Château était en vue... Le petit groupe discret se dirigeait au point de rendez vous dans une auberge plus que crasseuse mais il fallait passer inaperçu.
Lorsqu'elle poussa la porte, le regard de La favorite vit le tour de la pièce, elle reconnut bon nombre de têtes, fut étonnée d'en voir certaines qu'elle n'avait pas revu depuis un certain temps et d'autres dont le présence la laissa surprise. Elle salua l'assemblée.


Bien le bonsoir à vous tous... j'espère que vous avez tout comme moi le mors aux dents et que vous êtes fin prêt pour la petite sauterie au champagne de cette nuit.

éclate de rire.

Elle ne vit pas celui qu'elle cherchait et sortit au dehors. Elle savait où le trouver. Se chargeant d'un verre elle sortit de la taverne.
Ses yeux verts émeraude scrutèrent les alentours puis se posèrent sur celui qui faisait chavirer son coeur... Celui ci se mit à battre à la chamade, elle s'avança lentement à pas de velours vers lui. Il ne l'avait pas encore aperçut.
La favorite l'enlaça alors la taille par derrière, lui embrassa la nuque et lui souffla à l'oreille :


Bonsoir mon amour, alors prêt à affronter les petits Loups de Champagne?

Elle se glissa au devant de lui, tout en gardant ses yeux rivés dans les siens, but une gorgée de son verre puis le porta aux lèvres de son Castor adoré.
Un bruit venant de la direction de la taverne se fit entendre, ils se tournèrent comme un vers celui ci. La troupe sortait par flux, le moment était venu de passer à l'action...
La Rebelle grimaça. Sur son visage s'afficha une hargne féroce, un sentiment de satisfaction l'envahit elle jeta son verre contre le mur, celui ci se brisa en mille morceau, son compagnon lui prit la main, l’embrassa et la tira avec ferveur en direction de l'attaque.

La Rebelle était aux anges... Tout en courant elle avait sortit son épée de son fourreau et se lança à l'assaut de la forteresse champenoise.

Mains dans la main, Le Castor toutes dents dehors, la Favorite l'épée en avant ne laissèrent aucune chance à tout résistance que se présentait à eux. Le sang coulait en comme un fut percé de champagne.

Ce fut un jeu de d'enfant que de mettre à sac à feu et à sang et en déroute la garnison.

Raoulleglabre
[tout nu dans un tonneau des caves ducales]


La Teigne !!! viens gigoter par ici !!! ça fait des bulles ! c'est délicieux sur le séant !
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Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.
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