--Briseys
La tactique dapproche et dattaque du château avaient commencer, Briseys nétant pas en taverne au moment ou la discussion avait été lancée il nétait pas vraiment renseigné sur la manière dopérer et il suivit le groupe en restant en dernière position pour suivre. Les brigands commencèrent à se dispersés et il fallut que lEspagnol suive le groupe darcher, mais quel boulet il fallait toujours quil se dirige là ou on avait pas besoin de lui. Pendant que les archers tiraient sur les gardes Briseys et sa tendre surveillaient leurs arrières pour éviter de perdre un archer dun coup de couteau dans le dos. Pendant quil câlinait sa favorite, certes se nétait pas le moment, rien apparu suspect jusquau moment ou un petit tonneau de graine de maïs tomba dans un recoin suivis dune lueur, un petit point brillant se fit voir dans léclaircissement de la lune. Briseys fit reculer sa protégée et alla voir ce quil se tramait dans se petit coin sombre. Il avança lentement puis accéléra un grand coup et sauta derrière le tonneau pour sécraser violemment contre le sable humide.
Caquita !
Il regarda tout autour de lui et ne vit que le noir de la nuit mélanger à la lumière des étoiles. Puis il se retourna dune rapidité extrême il avait entendu un bruit étrange derrière un autre tonneau, il alla voir calmement derrière ce tonneau et aperçut un chat noir qui miaulait, sans se soucié dun quelconque présage il le regarda en crachant par terre. Le chat partit sur la route en reniflant, cherchait il de la nourriture ? Peut être mais en tout cas il le fera plus loin, Briseys prit son élan et shoota violemment le chat qui partit en gueulant à cinq mètres plus loin.
Naméo, me faire déranger pour si peu, ça ne me convient pas !
Tout en regardant le chat atterrir douloureusement sur ses quatre pattes il entendit son amour lui demander si tout aller bien, le brigand sapprêtait à la rejoindre quand il sentit une lame lui traverser le ventre sur le bas côté, la personne lui infligent ce dégât aurait pu le tuer en lui transperçant le cur au lieu de ça il lui laissa la vie en le blessant dans le gras, peut être navait il pas fait exprès ? Ou cherchait il vraiment le combat
Lhispanique tomba à terre, larme à la main il se retourna pour voir son agresseur, celui-ci sapprêtait à lui porter un coup décisif mais dun coup de jambes sur son torse Briseys le repoussa pour ensuite se levé difficilement la main sur sa blessure qui dégoulinait de sang. Grognant à moitié pour impressionner son adversaire il engagea le combat, lhomme se défendait bien, même très bien, physiquement il était de même carrure que lhidalgo, ils étaient à égalité, Briseys était blessé mais il avait lavantage de dominer son adversaire au combat. Un coup puis deux et trois, linconnu tombait à genoux devant le blessé lâchant son épée, rageux davoir été blessé aussi bêtement il prit la tête du malheureux et lenfonça dans un des tonneaux puis refermant le couvercle en appuyant bien sur ses vertèbres un « claque » se fit entendre dans la rue et dans le cur dur du brigand, lhomme était mort, Avec un regard triste le tueur regardait gisant au sol un jeune homme dun quinzaine dannée, cétait le deuxième quil tuait dans le mois. Triste du sors de lhomme, Briseys décida de rejoindre sa bien aimée pour continuer laffrontement. Le bruit du combat avait du linterpeller et elle cétait rapprochée pour voir ce quil se passait, il cacha sa blessure au ventre avec sa cape, il la regardait en souriant amoureusement, arrivé à elle il alla goûté à ses lèvres mielleuse pour ensuite la prendre pas le bras et lemmener près des archers qui étaient déjà entrer dans la cour du château.
Dans cette cour des flèches pleuvaient venant du haut du donjon puis quelques minutes après cétaient des corps darchers quil plut. La défense avait été mâtée nous voilà vainqueur ! Nous avons pris le château de Reims. Les gardes qui jetaient les armes étaient automatiquement abattus à coup darme blanche. Le pilleur souriait à là victoire, quand la douleur de sa blessures lobligea à poser un genou à terre.
Caquita !
Il regarda tout autour de lui et ne vit que le noir de la nuit mélanger à la lumière des étoiles. Puis il se retourna dune rapidité extrême il avait entendu un bruit étrange derrière un autre tonneau, il alla voir calmement derrière ce tonneau et aperçut un chat noir qui miaulait, sans se soucié dun quelconque présage il le regarda en crachant par terre. Le chat partit sur la route en reniflant, cherchait il de la nourriture ? Peut être mais en tout cas il le fera plus loin, Briseys prit son élan et shoota violemment le chat qui partit en gueulant à cinq mètres plus loin.
Naméo, me faire déranger pour si peu, ça ne me convient pas !
Tout en regardant le chat atterrir douloureusement sur ses quatre pattes il entendit son amour lui demander si tout aller bien, le brigand sapprêtait à la rejoindre quand il sentit une lame lui traverser le ventre sur le bas côté, la personne lui infligent ce dégât aurait pu le tuer en lui transperçant le cur au lieu de ça il lui laissa la vie en le blessant dans le gras, peut être navait il pas fait exprès ? Ou cherchait il vraiment le combat
Lhispanique tomba à terre, larme à la main il se retourna pour voir son agresseur, celui-ci sapprêtait à lui porter un coup décisif mais dun coup de jambes sur son torse Briseys le repoussa pour ensuite se levé difficilement la main sur sa blessure qui dégoulinait de sang. Grognant à moitié pour impressionner son adversaire il engagea le combat, lhomme se défendait bien, même très bien, physiquement il était de même carrure que lhidalgo, ils étaient à égalité, Briseys était blessé mais il avait lavantage de dominer son adversaire au combat. Un coup puis deux et trois, linconnu tombait à genoux devant le blessé lâchant son épée, rageux davoir été blessé aussi bêtement il prit la tête du malheureux et lenfonça dans un des tonneaux puis refermant le couvercle en appuyant bien sur ses vertèbres un « claque » se fit entendre dans la rue et dans le cur dur du brigand, lhomme était mort, Avec un regard triste le tueur regardait gisant au sol un jeune homme dun quinzaine dannée, cétait le deuxième quil tuait dans le mois. Triste du sors de lhomme, Briseys décida de rejoindre sa bien aimée pour continuer laffrontement. Le bruit du combat avait du linterpeller et elle cétait rapprochée pour voir ce quil se passait, il cacha sa blessure au ventre avec sa cape, il la regardait en souriant amoureusement, arrivé à elle il alla goûté à ses lèvres mielleuse pour ensuite la prendre pas le bras et lemmener près des archers qui étaient déjà entrer dans la cour du château.
Dans cette cour des flèches pleuvaient venant du haut du donjon puis quelques minutes après cétaient des corps darchers quil plut. La défense avait été mâtée nous voilà vainqueur ! Nous avons pris le château de Reims. Les gardes qui jetaient les armes étaient automatiquement abattus à coup darme blanche. Le pilleur souriait à là victoire, quand la douleur de sa blessures lobligea à poser un genou à terre.