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L'arrivée de Lavatar à la Rochelle et le départ de Melyane

[Rp] 1 chemin de l'hermitage.. Chez Lavatar et Melyane

Sohane
    A bientôt dix mois, Aela possède déjà une sacrée masse de cheveux blonds bouclés, de jolis yeux bleus, un petit nez qu'elle retrousse à la moindre contrariété, une bouche bien dessinée et quatre petites porcelaines qui mordillent tout ce qui lui passe devant. Un savant mélange de ses parents cette heureuse enfant.

    Bien qu'elle ne marche pas encore, elle aime néanmoins tenter l'expérience. C'est ainsi que la petite famille avance très doucement vers le chemin de l'hermitage, tenant chacun une main de leur précieuse fille, la faisant décoller du sol pour son grand plaisir.

    Bientôt la maison apparaît enfin et Melyane a déjà un coup de coeur pour cette immense bâtisse . Un regard heureux vers Lav quand ils font le tour de la maison, découvrant une étable, un cabanon ainsi quelques hectares cultivables.

    Un fin bras de mer passait non loin, ils pourraient rejoindre la mer en barque, ce qui serait fort plaisant et un grand jardin pour leur puce.

    La blondinette dévisage Lav puis Aela, esquisse un sourire avant de pousser la porte de la maison.

    - Allons visiter l'intérieur... Tu en penses quoi pour le moment, chéri ? Et toi ma puce, ça te plait ?
Lavatar
Aela avait bien ri en faisant l’oiseau entre les bras de ses parents… Et le bonheur apparaissait dans leurs visages que les rayons du soleil chauffait bien agréablement …

L’émotion fut à son comble lorsqu’ils atteignirent enfin la grande bâtisse… Elle était énorme, Sofy n’avait point exagéré…



Ils restèrent là à l’admirer un grand moment puis ils se décidèrent à s’avancer jusqu’à la porte principale. Lavatar laissa à sa belle le plaisir d’entrer la première …

- Allons visiter l'intérieur... Tu en penses quoi pour le moment, chéri ? Et toi ma puce, ça te plait ?

— Pour l’instant, je dois dire qu’elle est… immense… et magnifique… Regarde la vue que nous avons d’ici… Viens, Aela, je te porte….
Theo_l_arsouille
Musique d'ambiance pour la digestion.


    - « Hm… BURP… BUUUUUUUAAAAAH… Kuf Kuf ! »

    Trop, bien trop de vin avalé semblerait-il mais quand le dit vin est gratuit, le jeunot lui ne pouvait s’empêcher d’y plonger sa tête entière et le voici donc maintenant en proie… Aux effets secondaires dirons-nous de cette boisson.
    Poussé sans vraiment savoir pourquoi vers une immense et somptueuse bâtisse, exactement l’endroit parfait pour y sortir tout ce flux de liquide tout droit venu de son estomac.
    Les mains posées sur une barrière branlante, la tête baissée et le corps penché en avant, c’est ainsi qu’il fixait ce semblant de flaque à ses pieds, la goutte au nez ce qui ne l’empêcha pas néanmoins d’avoir aux lèvres un léger rictus.
    Surtout lorsque son oreille réussit à percevoir d’autres sons, des bruits de pas tout d’abord puis des paroles enfin de culs propres à qui la vie n’a de cesse de sourire encore et encore semblerait-il.

    Décidé une nouvelle fois, Théo’ se redresse d’un seul bond, manquant presque de trébucher sur place, c’est ainsi qu’il se retourna sur lui-même pour apercevoir à une dizaine de pas seulement, derrière les fourrées… Un homme certes mais surtout une donzelle, les deux accompagnés d’un sale mioche, un de plus.
    Le jeune marin, brigand, maraud, roublard mais surtout caneton s’avance à grandes enjambées, traversant les fourrées sans grande peine jusqu’à déboucher sur cet autre sentier.
    Le comédie pouvait donc prendre place enfin, pour son propre bonheur à lui mais pour le malheur surtout de ces deux pauvres malheureux à la vie bien trop parfaite et ennuyante.

    - « L’bonjour hips ! Délicieuse journée n’est-il pas ?
    Voyez-vous, j’ai perdu mon agenda !
    De quelques écus je suis dans le besoin,
    J’ai pourtant fouillé tous les recoins !     »

    Ainsi il marque un temps de pause avant de reprendre de plus belle.

    - « Ainsi donc vous l’aurez compris,
    Les objets de valeur j’accepte aussi !     »

    Légère révérence, tête qui se baisse pour saluer ces deux là alors qu’il ne bougea plus, préférant attendre les éventuelles réactions à venir…

_________________
Lavatar
Lavatar n'avait pas eu le temps de pénétrer dans la pénombre de la bâtisse, qu'une voix goguenarde le fit se retourner, serrant la petite contre lui et posant prestement la main sur le pommeau de son épée...

En tant que vieux capitaine et ancien sergent de l'ost breton, il avait le geste à la fois prompt et contrôlé... S'il ne pouvait dégainer son épée, au moins le pommeau de celle-ci briserait net les dents du drôle de personnage qu'il découvrit.

- « L’bonjour hips ! Délicieuse journée n’est-il pas ?
Voyez-vous, j’ai perdu mon agenda !
De quelques écus je suis dans le besoin,
J’ai pourtant fouillé tous les recoins ! »

L'homme empestait levin à un sou et sa mine ne lui inspira en première opinion guère confiance.

- « Ainsi donc vous l’aurez compris,
Les objets de valeur j’accepte aussi ! »

Ces paroles étaient à double sens, mais le ton n'était guère menaçant, tout comme sa physionomie ... Brigand de petit chemin ou bien ivrogne en quête d'aumône ? Lavatar se redressa du haut de ses presque deux mètres après avoir lentement posé Aela à terre, légèrement derrière lui...

- Ma foi, l'homme ! Pour ce qui est des objets de valeurs, nous n'en n'avons point, si ce n'est quelque pomme ou rond de fromage dans un panier... Si c'est le sou que tu désires pour finir ton ivresse, je peux te le donner...
Hors cela, j'ai bien cru que tu étais le Sans Nom... D'où es-tu sorti, je ne t'ai point vu en arrivant, et nous avons pourtant bien scruté le paysage ?
Theo_l_arsouille
    A mieux fixer la petite famille en face de lui mais surtout le grand gaillard qui ne se sera pas fait prier avant de poser sa mioche à terre pour ensuite se montrer comme étant le propriétaire de ces terres.
    L’arsouille lui resta néanmoins de marbre, large sourire aux lèvres et simple envie de leur rire au nez quoi que cette autre envie, celle d’uriner tout simplement se fit alors soudainement présente. Un danger pour ce petit bout de chair ? Oh que oui, Théo’ les traque depuis toujours pour ensuite les revendre à Paris, dans certains bordels et autres tavernes où ils pourront servir de larbins jusqu’à ce que la mort ne se décide à les prendre.

    Mais retournons à ces charmants et délicieux moutons dont lui ne manquerait pas de couper la laine pour s’en faire un vêtement… Voilà que l’homme semblait tout disposé à lui donner ce dont il désirait, situation plutôt inconnue pour un jeune brigand comme lui.
    Son sourire lui n’avait de cesse de grandir un peu plus à chaque instant et c’est tout en s’appuyant sur une barrière branlante dans son dos qu’il reprit.

    - « Beh, faut croire qu’ici dormir en taverne c’pas apprécié… »

    Prenant alors un air digne d’un cul propre, haussant quelque peu la voix pour se donner un air d’importance, il continua.

    - « Alors j’ai cru bon de venir m’apaiser en ces fourrées, s’il s’agit des vôtres alors je pense qu’il serait bon que vous sachiez… Qu’à coté de cet arbre… » Dit-il en point du pouce un arbre au pif sans vraiment se souvenir du bon. « Je n’ai pas manqué de faire mes besoins, il serait alors fort malheureux que votre… Enfant si magnifique soit-elle se retrouve OH bien malencontreusement les deux pieds recouverts de mes restes ! »

    Plus fort que lui et ne l’oublions pas le tout porté par les effets de la boisson, Théo’ ne manqua alors pas de leur rire au nez, sans gêne et pas vraiment inquiet des conséquences que ceci pourrait engendrer par la suite.

    - « Ceci dit, j’accepte le from’ton, les pommes et j’serai pas contre un peu d’vin, ‘voyez comme mes poches sont trouées et dans c’bled, on n’accepte pas les travailleurs étrangers ! »

    Dit-il alors tout en tendant la main en avant, paume vers le haut comme pour attendre son butin…

_________________
Lavatar
Lavatar écouta en blémissant au fur et à mesure...c'est que le côté gouaillard et moqueur de l'individu commençait à l'agacer...

Il poussa gentiment sa fille à l'intérieur - on ne savait jamais avec ce genre de gredins, et peut-être n'était-il pas seul...
- Va voir maman , Aela ...

Puis il referma la porte sans quitter des yeux l'énergumène.

- Bien, bien.... cetta bâtisse n'est point encore à nous, l'homme, et peu m'importe ce que vous ayez fait dans les alentours.. Toutefois, il me semble en effet qu'un air nauséabond souffle dans le coin, aussi, pour votre santé, vous conseillerai-je aimablement de le quitter au plus vite... Votre teint est déjà blafard et la gale semble s'y être installée...
Le chevalier ouvrit son aumônière... il en retira deux sous...

- Tenez, et filez vite prendre quelque médecine en ville... Quant aux pommes et autres fromages, ne m'en veuillez point si je ne partage pas, il se trouve que nous n'en avons que juste assez ...
Theo_l_arsouille
    L’autre a visiblement préféré mettre sa fille en sécurité et à dire vrai, c’est beaucoup mieux ainsi car un mioche ça disparait aussi vite que ça se pond et ça se revend aussi bien que les services du jeune catin au pays des soulards. Le jeunot sait de quoi il en retourne…
    Sans aucune attention, le voici qui se force à écouter les dires du vaillant gaillard alors que bien d’autres à sa place se seraient enfuis dans le seul but d’avertir la garde. Voici donc un homme des plus courageux face au jeune l’Arsouille qui pourrait tout aussi bien d’un moment à un autre urine sans aucune gêne sur les chausses de celui-ci.

    - « Gné ? »

    Voilà qu’on lui file des sous, des écus, deux exactement, sans même qu’il n’est besoin de menacer qui que ce soit. Mendier ? Sur’ment pas car les présentations auront été faites comme s’il se trouvait sur un sentier aux abords de la ville et face à n’importe quel voyageur.
    C’est avec assurance que les deux sous prennent place dans sa pogne alors que lui voit déjà intérieurement l’opportunité de s’offrir quelques chopines de bière du coin. Quoi que la tendance actuelle était plutôt au vol qu’à l’achat.

    Mais c’est qu’il n’est pas prêteur le gentil protecteur à sa gentil famille mais voilà une idée qui grandit alors dans l’esprit du jeunot qui déjà s’exécuta à faire une révérence bien mal réalisée avouons-le.
    Signe de remerciement, le prendra t-il comme bon lui semblera mais en attendant, l’Arsouille avait encore fort à faire.

    - « Votre Dieu s’il existe vous l’rendra mon brave. »

    Sa redressant très lentement tout en le fixant droit dans les yeux, toujours ce même sourire sur le coin des lèvres…

    - « La bien bonne journée à vous ! »

    Pas un mot de plus que déjà, il s’éclipse avec hâte, direction une taverne de La Rochelle où il rencontrerait sans nul doute ses autres collègues. Une bâtisse, un seul homme armé, une donzelle à reluquer et une mioche à refourguer.
    Il ne fait aucun doute que les autres voudront voir ça de leurs propres yeux, l’occasion pour le jeunot de commettre un tout autre méfait mais cette fois-ci bien mieux accompagné…

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Sohane
    Elle va pour rentrer tout sourire pour visiter l'interieur de la maison, quand une voix sorti de nul part arrête son geste. Melyane tourne le visage vers l'importun, néanmoins en gardant le sourire. L'allure de l'homme lui fait plisser le nez et d'un mouvement instinctif se colle au mur. La blonde laisse les hommes discuter sans intervenir ( pas laisser le temps grr) et à mesure qu'ils échangent, elle se fige.

    Quand Lav pose la petite sur le sol, elle se précipite pour la prendre dans ses bras et et le blond ferme la porte derrière elles. Melyane regarde sa fille puis la porte.. puis sa fille...

    - Tu penses à la même chose que moi, mon Ael .. ? On ne va pas laisser papa régler ça tout seul... Bon sang si au moins je pouvais te déposer quelque part en sécurité... Bon.. on y va ?

    Mettre en danger sa fille.. laisser Lav tout seul... rester à l'intérieur... La blonde prend une profonde respiration, ouvre la porte et s'y adosse le regard mauvais. Il suffirait qu'elle siffle Zeus et Venus...

    - Si jamais ma fille tombe dans vos.. déchets.. que vous leviez ne serait que le petit doigt sur elle, ou sur son père... je vous jure de vous arracher la langue que vous avez de bien pendue... et de faire de votre vie un enfer.. quoique.. vous semblez déjà en sortir..

    Elle pose les yeux sur son homme puis soupire doucement.

    - Quant à toi, la prochaine fois que tu me pousses dans cette maison, tâche de me porter avec le sourire..

    Les azurés parcourent les environs alors que la main fine se pose sur le pommeau de l'épée de Lav. Elle va lui montrer comment une bretonne défend sa famille..


ERf... bon je vais changer mon rp...
Lavatar
Lavatar attendit que l'homme s'éloignasse avant de se retourner...

Sa belle Melyane, toutes griffes dehors, pestant contre le sombre individu, semblait hors d'elle et le chevalier posa son bras autour de ses épaules...

Enfin rassuré, il déposa un tendre baiser sur les cheveux d'or qui lui gratouillait le menton et chuchota...

- Ce n'est rien, mon coeur, juste un vagabond en mal de raisin...

Puis, reprenant Aela dans ses bras , il se força à sourire et de gentilles fossettes apparurent sur son visage...

- Allons, n'avons-nous pas une visite à faire ?... Comment est-ce, à l'intérieur ?
Sohane
    Mis à part l'intrus, la visite de la grande bâtisse se passa bien. Une fois les fenêtres ouvertes par Melyane, ils purent visiter chaque pièce, les yeux brillants de la blonde allaient dans tous les sens. Il fut donc décidé que ce serait celle ci et pas une autre.

    Après être passés au cadastre afin de valider leur achat, ils purent enfin s'installer avec grand bonheur. Les souvenirs de leur premier emménagement ensemble se rappelèrent à eux, leur jolie maison sur la falaise.. le furet, les loups.. la maison de Kiklan aussi.. et leur Bretagne.

    Non aucun regret. Ils étaient chez eux, enfin ! Et pour fêter ça, la famille se réunit dans la grande pièce pour fêter enfin leur installation. Poitevins, étudiants, nouvelles possessions.. beaucoup de raison pour lever leur godet de chouchen.
Lavatar
La fraîcheur étant revenue, toute la petite famille attendait Kiklan, et Lavatar était sorti coupé du bois...

Il y allait de bon coeur, tant et si bien que bientôt, malgré la douceur du temps, il commença à transpirer et sa gorge à s'assécher...

TAK ! Humpf !!!! TAK ! Gniarf !!!! TAK !!!
Kiklan
Arrivant en courant... Ben oui depuis qu'il avait sa taverne, il ne faisait que courir. Le tablier autour du cou, les manches relevées jusqu'aux coudes et le sourire au lèvre, seule chose qui n'avait pas changé. Il courrait donc et il finit par arriver devant la demeure de sa famille.

Cela lui rappelait son ancienne demeure, près de la falaise. L'océan le berçant le soir... Dorénavant, il avait les clients, les choppes et la nuit devant lui pour se bercer. Il ne dormait que le matin, jusqu'à midi, chouette non?

Il arriva devant la porte et toqua assez fort comme il put, avec ses mains devenues habiles à couper les lègumes:

Toc Toc Toc!

Hey! J'suis arrivé! Désolé pour le retard hein, mais j'ai du chouchen pour me faire pardonner. Pis du lait pour la petite hé hé!
_________________
Lavatar
Lavatar venait de poser quelques bûches à côté de l'âtre… Il soupirait du fait que sa blondinette passait bien du temps à ses études, mais bon, il fallait voir l'intérêt des gens qui auraient bientôt besoin d'elle et le fait que ce métier tenait vraiment motivée son aimée…
Il sourit à l'idée de se faire soigner par sa belle et se prenait parfois à rêver qu'il avait une mauvaise toux avait que sa belle passe plus de temps avec lui qu'à ses patients cobayes du dispensaire…

Il était dans ces rêveries lorsque quelqu'un toqua à la porte… Il venait de coucher Aela et maudit celui qui osait interrompre la sieste de sa petiote.. Lui qui comptait aviver la flamme de sa forge et travailler sur une lame d'épée.

Il tourna la tête vers la porte d'entrée..

Hey! J'suis arrivé! Désolé pour le retard hein, mais j'ai du chouchen pour me faire pardonner. Pis du lait pour la petite hé hé!


Kiklan ??? Mais, le couple ne l'attendait qu'en fin d'après midi ? enfin, cela n'était pas très grave, une visite de son ami , filleul et beau-frère, même avant l'heure, serait toujours la bienvenue… Le sourire revint rapidement à ses lèvres et il répondit tout en se dirigeant vers le loquet..

— Attends, Kik ! Je t'ouvre !!! J'avais fermé car je comptais laisser un instant la petite seule alors que je travaillais à l'arrière de la maison !


Il enleva la barre et souleva le loquet…

— Alors, vieux grigou, tu te fais rare ! c'est donc que ton auberge marche bien ??? Entre, entre !
Kiklan
Un loquet qui claque, un lourd morceau de bois qui se pose contre le mur et la porte qui s'ouvre enfin sur un blond. La mine surprise de son ami le fit presque pleurer de rire. Il se ressaisit néanmoins et leva sa main tenant la bouteille:

— Alors, vieux grigou, tu te fais rare ! c'est donc que ton auberge marche bien??? Entre, entre !

Kik' ne se fit pas prier et entra en donnant la bouteille à son parrain. Il sourit et contempla la pièce d'un air béat. Ils avaient bien fait leur compte les tourtereaux! Tout reflétait le couple. Opposés mais équilibrés, différents mais solidaires... Il sourit une nouvelle fois et répondit en baissant la voix:

Ça marche comme ça peut hé hé, le chouchen coule à flot toujours... Dis tu allais travailler? A la forge?

Une idée germa dans son esprit et il se retourna vers son ami:

Tu voudrais bien me prendre comme apprentis express hein? J'ai jamais travailler le métal...
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Lavatar
Lavatar leva la bouteille pour voir la couleur du contenu et offrit un sourire satisfait sion ami...

Ça marche comme ça peut hé hé, le chouchen coule à flot toujours... Dis tu allais travailler? A la forge?

— Oui, j'a aménagé une forge derrière la maison, avec un énorme soufflet, des enclumes, ma collection de marteaux et tout et tout !

Tu voudrais bien me prendre comme apprentis express hein? J'ai jamais travailler le métal…

Le grand blond fut étonné des paroles mais un sourire ravi naquit très vite sur ses lèvres

— Tu t'intéresses au forgeage ? Héhé, et bien, écoute, j'allais justement aviver le brasier et vérifier l'état du four… Il me semble qu'il n'est pas assez chaud… Il fonctionnait mieux la semaine dernière, j'ai déjà fabriqué deux épées d'ailleurs …
Ecoute, buvons un coup puis je te fais visiter les lieux !
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