Sacha.
Mamma Mia !
La cata de chez cata !
Allez ma belle, te bile pas, ca va finir par rentrer. Tu te dépatouilles déjà fort bien pour une nouvelle, si l'on peut toujours le dire ainsi, dans l'équipe !
Entendis-je.
Ewylan mencourageait.
Ca me mit du baume au cur.
Je mappliquais encore plus.
Je m'appliquais jusquà ce quun fantôme se manifesta devant nous !
Jeus la frousse de ma vie !
Mes poils se dressèrent comme des picots sur ma peau !
J'hurlais !
Un fantômeuuuu !!!
Je pris mes jambes à mon cou.
Jamais je ne courus aussi vite !
Je traversais la ronde des Serpents en pleins pourparlers.
Je tombais dans les bras dun Rouquin.
Je magrippais à lui.
A moiiiiiii
Je vis plein de rouge sur sa peau.
Je paniquais !
Du sang !
Mamma Mia !
Vous SAIGNEZZZZZZZZ !
Hurlais-je plus que je ne parlais dans ses oreilles !
Je passais le doigt sur son buste musclé.
Vi, javais remarqué quil était musclé le roux !
Ce nétait que de la peinture.
Cétait de la peinture rougeoyante de guerre comme les indiens !
Je le regardais, toujours agrippée à lui.
Oh, de la peinture !
Je vous ai un peu flouté, je crois.
Disais-je.
Je frottais avec mes doigts le torse.
La peinture rougeoyante s'étalait !
Jessayais de réparer mes dégâts mais la cata de chez la cata encore !
Plus je frottais, plus les beaux dessins ressemblaient à de grosses tâches rouges.
Ce nétait pas ma journée !
Jessayais de dérider la situation.
Vous êtes costaud vous !
Je me sens légère comme une plume dans vos bras.
Je souriais !
Finalement, je nétais pas mal tombée quand même.
Jaurais pu trouver pire.
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Joueuse chez les Heureux Soiffards
La cata de chez cata !
Allez ma belle, te bile pas, ca va finir par rentrer. Tu te dépatouilles déjà fort bien pour une nouvelle, si l'on peut toujours le dire ainsi, dans l'équipe !
Entendis-je.
Ewylan mencourageait.
Ca me mit du baume au cur.
Je mappliquais encore plus.
Je m'appliquais jusquà ce quun fantôme se manifesta devant nous !
Jeus la frousse de ma vie !
Mes poils se dressèrent comme des picots sur ma peau !
J'hurlais !
Un fantômeuuuu !!!
Je pris mes jambes à mon cou.
Jamais je ne courus aussi vite !
Je traversais la ronde des Serpents en pleins pourparlers.
Je tombais dans les bras dun Rouquin.
Je magrippais à lui.
A moiiiiiii
Je vis plein de rouge sur sa peau.
Je paniquais !
Du sang !
Mamma Mia !
Vous SAIGNEZZZZZZZZ !
Hurlais-je plus que je ne parlais dans ses oreilles !
Je passais le doigt sur son buste musclé.
Vi, javais remarqué quil était musclé le roux !
Ce nétait que de la peinture.
Cétait de la peinture rougeoyante de guerre comme les indiens !
Je le regardais, toujours agrippée à lui.
Oh, de la peinture !
Je vous ai un peu flouté, je crois.
Disais-je.
Je frottais avec mes doigts le torse.
La peinture rougeoyante s'étalait !
Jessayais de réparer mes dégâts mais la cata de chez la cata encore !
Plus je frottais, plus les beaux dessins ressemblaient à de grosses tâches rouges.
Ce nétait pas ma journée !
Jessayais de dérider la situation.
Vous êtes costaud vous !
Je me sens légère comme une plume dans vos bras.
Je souriais !
Finalement, je nétais pas mal tombée quand même.
Jaurais pu trouver pire.
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