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[CSR 8 - Groupe A - J 1 ] Moulins (V.T5) vs Bertincourt

Leportel62
Dites patron, pour euuu le remplacement de Rufus dans les tribunes, vous croyez que c'est obligé là ? On pourrait peut-être voir cela au prochain match, nan ? C'est que cette course, ça m'a foutu sur les rotules, je dois dire. Je m' sens pas faire la gigue dans un costume étriqué et criard, sauf votre respect.

Ce n'est pas de mon ressort Arnaud.
Vois ça avec la vicomtesse.

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Rheingold
Rheingold looks to both teams and say

Ready....Steady.....Gooooo

The Soule game begins and Morphey_de_Valmonte gets the soule and kick it into the field one of Bertincourt. Ombeline looked to the ground and see that the soule lay on her feets but she do not know what to make with the soule. The teams go in their positions and Moulins make a block on the middle of the field...nothing happend...but what is that.... Perl is not afraid and kicks the soule to the middle of the stadion. Then Esley looked to his teammate and kick the ball from the middle to the first line of Moulins.
This is the end of the first round.





Tactics for the 2.round till Saturday 22.00 o´clock.
_________________
--_marie_


Dans un coin des tribunes, Marie donnait la becquetée à la mouflette Ytres. Soudain, un vilain bruit retentit dans tout le stade.

Par tous les Saints, voilà la colère du Très Haut.

Elle se leva, mine blanche, fort inquiète, apeurée de voir la main divine s’abattre sur elle. Précipitamment, elle s’agenouilla, oubliant l’engeance de Madame et Monsieur et pria, pria, pria pour être épargnée. C’est que la bigote, elle y croyait à la force de la prière, et après tout n’était pas l’une de ses plus grandes fidèles ? Qui accepterait de côtoyer cette maisonnée coute que coute, quelque soit les embuches. Au bout d’un certain temps, ne sentant point la terre les engloutir, elle leva le nez et observa les alentours. A part les regards curieux sur elle des voisins de banc, tout semblait normal.

Nous avons été épargnés ?

Questionna-t-elle.

Par tous les saints, mes prières nous ont sauvées. JE nous ai sauvés ! Je le savais, je le savais !

Ben, elle y croyait la petite et prenait déjà le melon. Tout à coup, elle s’aperçut que l’engeance à surveiller avait pris la poudre d’escampette.[/i]

Doux Jesos ! Elle a fui.
Par la barbichette d’Aristote, manquait plus que cela.
Rien ne me sera épargnée.


Elle se mit à courir dans les tribunes, avec le potage de Gwan.

Mademoiselle Gwanaelle, revenez par Aristote !
Revenez ici ! Argg, petite vermine, venez ici, vous dis-je !!!!


Elle crut l’apercevoir se faufilant sous des bancs. Elle se rua en sa direction mais se prit les guiboles dans une femme à l'opulente poitrine et tomba sur les genoux d’un Danois, avant de tomber plus bas et que son arrière train n’embrasse le plancher des tribunes. Quand au potage de légumes de Gwan, ce dernier atterrit malheureusement quelque part … pauvre Danois qui sans doute en aura fait les frais, tout comme la voisine à l’opulente poitrine.

Par tous les saints !
Quelle chute ! Oh mon dieu, c’est douloureux !


Souffla Marie tout en prenant appui fermement sur ce qu’elle crut être le banc mais qui n’était autre que les cuisses du Danois. La blonde chevelure remonta peu à peu à la surface. Elle leva le nez et découvrit avec stupeur la nature de son appui. Son teint vira au coquelicot, elle en reperdit l’équilibre et plongea de nouveau sur l’étranger.

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Ombeline
Et voilà, le capitaine avait parlé ! La jeune femme trouva dommageable la perte d'un tonneau de cette qualité. Toutefois, il n'y avait pas mort d'homme bon écrabouillage du Poulpe et là encore, peut-être une punition divine à l’encontre de cette dernière. Elle ne sut pourquoi mais fut prise d'un fou rire nerveux mais se reprit bien vite avant d'être prise pour une cinglée, bien qu'il était sans doute un peu trop tard pour cela.


Poooooooooouuuuuuetttttttt!

Alors que son tendre et cher était affairé avec les adversaires et quelques comparses, un énorme bruit étrange retint son attention. Ne serait-ce les vocalises d'un Olifant ? Plissement de nez, froncement de sourcils. Ses prunelles scrutèrent avec minutie la foule. Se pourrait-il que ??? Elle resta stupéfaite et dut se pince afin d'être certaine de ne pas avoir affaire à une vision, et encore que ... une vision du Danois, à se demander bien le pourquoi du comment !

Ba ... ba ... ba

Bafouilla-t-elle.
Devait-elle le saluer ... Hésitations de la Vicomtesse ... Ben après tout, y avait rien de mal à saluer un homologue en soule. Elle leva doucement le bras en l'air et agita la main.

B'jour !

Quoique elle aurait l'air bête s'il était venue pour encourager les Bourrins là ... M'enfin, pas Madame Irma, notre Ombeline. Soudain, elle vit immerger du banc, une chevelure blonde. Plissement de nez. Main en visière. Elle cligna à moults reprises pour identifier cette silhouette qui de toute évidence lui était connue.

MARIE !!!

S'époumona-t-elle un peu trop fort.
Bonsang de bonsoir, que faisait-elle en cette posture ? Hum ... Mui, enfin si je ne la connaissais pas, je pourrais croire que ... ah, nan nan nan je ne veux même pas m'imaginer ça. Elle secoua la tête comme pour ôter ce genre d'images avant un match d'importance ... Merdicouille, de quoi déconcentrer ça ... GRGRGRGRG ... Marie qui se la jouait si sainte nitouche, tu parles !

Elle interpella son tendre et cher qui conversait avec Arnaud.

Mon coeurrrrrrrrrrrrr, regarde par là qui est venu nous voir !
Et regarde donc avec qui il est le Danois !

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Soren
Il y a des signes de la providence qui ne trompent pas. Je suis là, tranquille dans un coin des tribunes, inconnu parmi les inconnus. Je prends tranquillement des notes et croyez-moi, avoir une plume, un encrier et un morceau de vélin à proximité, c'est pas facile! Surtout quand on évite en plus de se prendre un coup de mamelle en travers de la figure!

Bref, pour une fois que j'étais tranquille, ne voilà t-il pas qu'une...quoi? une nourrice? C'est ça?..Disons donc une nourrice! Je reprends... Ne voilà t-il pas qu'une nourrice tombe en émoi devant ma blondeur scandinave! Direct sur les cuisses! Hé...Rapide la nourrice! Pas le genre de donzelle à attendre une longue cour effrénée celle-là!


- Bonjour vous! Ça ne vous dit pas qu'on se présente avant de s'embrasser? Je suis Seurn MacFadyen Eriksen! J'habite Bergerac dans le Périgord...juste à côté de Sarlat!

Je passe mes mains autour de sa taille pour éviter qu'elle ne tombe de nouveau. On dirait que la donzelle a un facheux manque d'équilibre!

- Je suis ici en mission d'observation pour les sarlamandres... Une nouvelle approche prônée par notre nouvel entraineur! on observe les points forts et les points faibles de nos futurs potentiels adversaires! Et c'est quoi votre nom à...

Pas le temps de finir ma phrase! Une connaissance vient m'apostropher. Connaissance? Vraiment?

- Omby?!?!?!?!?! Vous ici? Quelle coincidence! Vous allez bien depuis notre...euh...dernière rencontre? Ah! Je ne voudrais pas le déranger avant un match ... Arth m'a assez dit qu'un capitaine avait besoin de concentration pour déterminer la tactique de jeu... mais Lou m'avait demandé à ce que je lui apporte un petit quelque chose. Quand vous en aurez l'occasion, dites-lui donc que je l'ai avec moi! Quand Aimé jacquou m'a donné la mission d'observer Moulins, et que je me suis aperçu qu'ils jouaient contre les soiffards, je me suis dit que je pouvais amener ça à Lou en personne! C'est bien plus prudent!

Je tapote tranquillement dans mon sac pour indiquer à l'une de mes arbitres préférée que où se trouve ce présent, puis je me retourne amusé vers mon autre paquet,celui qui se trouve sur mes genoux lorsque j'entends la vicomtesse s'exclamer...

- Ah! Ainsi donc vous vous appelez Marie?
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Ombeline
Ombeline avait déjà rejoint la rambarde pour voir de plus près les deux pris en flagrant délit, car oui plus aucun doute, au vu de l'incarnation rougeâtre que prenait sa domestique. Main sur les hanches, le nez qui plissait frénétiquement et d'un haussement de sourcils, elle écouta le babillage que lui adressa le Danois.

- Omby?!?!?!?!?! Vous ici? Quelle coïncidence! Vous allez bien depuis notre...euh...dernière rencontre? Ah! Je ne voudrais pas le déranger avant un match ... Arth m'a assez dit qu'un capitaine avait besoin de concentration pour déterminer la tactique de jeu... mais Lou m'avait demandé à ce que je lui apporte un petit quelque chose. Quand vous en aurez l'occasion, dites-lui donc que je l'ai avec moi! Quand Aimé jacquou m'a donné la mission d'observer Moulins, et que je me suis aperçu qu'ils jouaient contre les soiffards, je me suis dit que je pouvais amener ça à Lou en personne! C'est bien plus prudent!

Une moue arbora son jolie minois. Ses ambres suivirent le pianotage des doigts sur le sac. Nouveau plissement nasal.

- Ah! Ainsi donc vous vous appelez Marie?

Et oui, elle se prénomme Marie, et Marie a fort affaire que de prodiguer des largesses ainsi en public ! Quelle réputation, vous êtes en train de donner à notre maisonnée !
Et dire que l'on vous donnerait le bon Dieu sans confession ... Ah, non mais vraiment ! Et dire que je fermais les yeux sur les commérages professés par Berthoul ou les colifichets de mon cher Rufus, qui arfff nous a abandonné. Qui l'eut cru ! Vous, m'a soit disante fidèle des plus fidèles des domestiques avec ... avec ... avec ... GRGRGRGRR. si cela se trouve, vous n'êtes pas étrangère en fin de compte au départ de Rufus !
Et ma fille ? Où est-elle donc ? Qu'en avez-vous fait ?
Ne me dites pas qu'une fois de plus, elle a échappé à votre surveillance ? Marie, Marie, ne me dites pas cela ... GRGRGRGR

Grogna la Vicomtesse.

Elle entendit du remue ménage. L'arbitre relançait les hostilités.

Ready....Steady.....Gooooo

Bon sang de bonsoir ! Et voilà, j'en ai perdu le fil du match et point bougé, grgrgrgrgr.
Vous allez finir par me rendre marteau, Marie !


Elle reporta son attention sur le Bond.

Alors, vraiment juste là pour admirer nos tactiques et apporter un présent à mon tendre ? J'espère que tu accepteras de souper avec nous dans une auberge afin de festoyer nos retrouvailles à tous, et surtout bien entendu notre victoire, j'ai foi en notre équipe !
M'enfin avant, faut retrouver ma fille, avant que je n’estourbis ma domestique dont tu sembles avoir attirer les bonnes grâces. Hum.





Suite à l’œil avisé du lj capi de Moulins, je poste le lien du bon terrain en attendant le rectificatif.
http://www.casimages.com/img.php?i=121005044535611738.jpg

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Rheingold
Stopp, misetake. ((I have forgotten to draw the 10 and 11 from Moulins one field back...I must draw all players in the stadion by myself because I could not download the stadions in simsoule in germany...sorry for this misetake)


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--_marie_



- Ah! Ainsi donc vous vous appelez Marie?

Marie ouvrit la bouche, prête à répondre un oui mais aucun son ne franchit ses lèvres. Cet Homme venait de poser ses mains sur elle ! Il venait de la secourir, de ... Là voilà qui a les émeraudes qui brillèrent de mille feux. Serait-ce enfin son Prince Charmant ? Serait LUI, celui qui lui serait destiné ? Écarlate, toute chose, toute timide et gauche, elle bondit sur place, et bouscula pas inadvertance l'inconnu. Son désolé fut étouffé par la réplique sèche de Madame. Madame était déjà sur son dos. Elle se sentit rapetisser au fur et à mesure que le regard de Madame la glaça.

Et oui, elle se prénomme Marie, et Marie a fort affaire que de prodiguer des largesses ainsi en public ! Quelle réputation, vous êtes en train de donner à notre maisonnée !

que que que quoi que quoi

Bredouilla-t-elle d'une toute petite voix, entre deux sursauts non pas apeurés mais suffoqués que Madame la prenne pour une simple gourgandine aux cuisses légères. Doux Jésus, elle, quelle calomnie ... quelle que que ... Sous les invectives de Madame, elle ressembla soudain à une carpe en manque d'air, ouvrant et fermant la bouche, dans un perpétuel recommancement.

Et dire que l'on vous donnerait le bon Dieu sans confession ... Ah, non mais vraiment ! Et dire que je fermais les yeux sur les commérages professés par Berthoul ou les colifichets de mon cher Rufus, qui arfff nous a abandonné. Qui l'eut cru ! Vous, m'a soit disante fidèle des plus fidèles des domestiques avec ... avec ... avec ... GRGRGRGRR. si cela se trouve, vous n'êtes pas étrangère en fin de compte au départ de Rufus !

Mais, Madame ! Par Aristote, méprise ... C'est une méprise, je je je ... Madame
Et comment Rufus ?


Comment pouvait-elle songer une seule seconde avoir un lien avec la disparition de cette Feignasse. Certes, elle ne le pleurait point et était largement satisfaite de cette nouvelle situation.

Madame, par tous les saints des saints, je vous en conjure, je n'ai rien fait avec cet Homme !!!! Croyez-moi ! Vous vous méprenez, il ... il ... il ... Oh par Aristote, comment pouvez-vous croire que moi et ... Jamais, je ...

Et ma fille ? Où est-elle donc ? Qu'en avez-vous fait ?
Ne me dites pas qu'une fois de plus, elle a échappé à votre surveillance ? Marie, Marie, ne me dites pas cela ... GRGRGRGR


Cela se corsait, voilà que Madame lui mandait des comptes sur cette petite vermine qu'elle devait s'occuper. Cancrelat, engeance du Malin, vilaine petite chose qui ne se complaisait qu'à vomir sa purée sur elle. Marie détestait les enfants, elle ne les supportait. Son animosité envers la population infantile s'était accrue en s'occupant de ce ventre sur pattes. Madame la rosserait à coup sur, si elle lui apprenait ne savoir où cette petite horreur se trouvait. Elle fit ce que toute fidèle fit, puisa courage et force dans la prière. Elle garda silence, prenant un air de victime, ça elle savait faire.

Ready....Steady.....Gooooo

Bon sang de bonsoir ! Et voilà, j'en ai perdu le fil du match et point bougé, grgrgrgrgr.
Vous allez finir par me rendre marteau, Marie !


Madame, par tous les Saints, je n'y suis pour rien.

Mine dépitée de Marie, qui coula son regard émeraude vers son voisin, cherchant aide et compassion.

Alors, vraiment juste là pour admirer nos tactiques et apporter un présent à mon tendre ? J'espère que tu accepteras de souper avec nous dans une auberge afin de festoyer nos retrouvailles à tous, et surtout bien entendu notre victoire, j'ai foi en notre équipe !
M'enfin avant, faut retrouver ma fille, avant que je n’estourbis ma domestique dont tu sembles avoir attirer les bonnes grâces. Hum.


Le ton de Madame avait légèrement changé ... plus modulé, plus doux quand elle s'adressa à son voisin. Ils se connaissaient, aucun doute possible ! Marie gambergea rapidement. Elle devait profiter de ce coup du sort. Si cette connaissance, dont elle ne voulait surtout pas imaginer les liens exacts unissant ces deux là, ah ça nan, elle voyait déjà tant de choses inimaginables et qui ne la bouleversaient que trop dans cette maisonnée ... Bref, si elle pouvait imputer les tords sur cette connaissance, elle ne se gênerait pas ! Et pis, si il connaissait si bien Madame, il ne pouvait être en aucun cas, le Prince de ses rêves ! Reléguer dans la case des suppôts du Mal, le Blond comme Monsieur et tous autres mâles de sa connaissance en fait ! Mais comment mettre tout cela sur son compte ? Oui, comment ? Sa petite cervelle gambergea jusqu'au moment où son regard se posa sur l'instrument ! Eurêka ! Encore un signe du Très Haut. Il était là et veillait sur elle. Encore une épreuve certainement. Elle respira une grande goulée d'air et reprit contenance. Elle se redressa, récupéra son attitude hautaine habituelle et guindée. Lèvres pincées, elle répliqua.

Madame, Madame
Je n'y suis pour rien ! Je vous en conjure, par Aristote. Votre
toussotement Mademoiselle Gwanaelle fut effrayée !

Elle attrapa l'objet du délit.

Par cette chose ! Votre ... ami l'a apeurée, Madame.
Je fus sans dessus dessous, Madame. Avec toute cette foule, comment puis-je la retrouver ? Je suis toute seule et tout ce monde, c'est effrayant !
Soren
- Disons qu'à l'origine, ma mission est d'observer et de ramener les tactiques des équipes adverses pour qu'ensuite notre entraineur puisse les analyser. Mais…

Seurn, j'ai l'impression que tu t'embarques encore sur de drôles de galères. Ça va mal se terminer cette histoire, je le sens.

- …Il ne m'est pas interdit de joindre l'agréable à l'utile, non? Diner en votre compagnie sera un véritable plaisir!

Enfin…à condition d'avoir suffisamment d'écus pour honorer la note par la suite. Car si j'en crois les rumeurs qui courent à leur sujet, Lou et Ombeline ont des gouts de luxe! Et si loin du Périgord, je ne suis pas sur de trouver quelqu'un qui voudra me faire crédit. J'aurais l'air fin moi, maréchal de Bergerac, à me retrouver dans des geôles moulinoises pour un délit aussi bête qu'un vol de repas! La bonne humeur causée par la rencontre avec Lou et Ombeline tourne vite au vinaigre lorsque j'entends les paroles surprenantes de Marie. For fanden! Rien fait avec cet homme? Mais que veut-il dire par là? Instinctivement je desserre mon étau autour de sa taille. Je ne voudrais pas qu'on se méprenne sur mes intentions. Déjà que dans tout le Périgord on m'affuble d'une fausse réputation…Pas la peine que celle-ci passe outre les frontières du comté! Je lui lance un petit sourire de circonstances à celle que je comprends être au service de mon duo arbitral favori. Quand je disais qu'ils avaient un train de vie élevé ces deux-là!

- Figurez-vous que j'étais tranquillement entrain de mater le gente fem… Enfin, je veux dire d'observer ce qui se passait sur le terrain lorsque votre nourrice a trébuché et a atterri directement sur mes cuisses! Digne d'un match Sarlat-Bertincourt ne trouvez-vous pas?

La surprise se transforme vite en suspicion lorsque j'entends les menaces proférées à mon encontre?

-Moi? Effrayer damoiselle Gwanaelle? Ah ben ça alors! Dans le Périgord, on prétend que toutes les donzelles vont là où je vais. Et ici, on affirme que je les effraie? Et puis d'abord, c'est qui cette damoiselle Gwanaelle? Hum?

Chose? On m'avait déjà affublé de plusieurs sobriquets…mais chose?!?!?!? Enfin, malgré tout, montrons à ces françois que les danois sont des gens galants et civilisés.

Et si vous me disiez à quoi elle ressemble damoiselle Gwanaelle? D'habitude moi, les donzelles, je les trouve assez rapidement
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Ewylan
Le numéro 6 des Soiffards entendit également le POUET énorme alors qu'elle sirotait tranquillement son "entraînement". Qu'est-ce que c'était encore que cette chose-là ??! Nondidiou ! Mais cela existait encore un match de soule normal ?? Elle n'avait jamais vu ce genre de problème en tant que supportrice. A présent qu'elle était joueuse, y'avait toujours quelque chose de surprenant par match. Pfff !
Cela ne l'empêcha pas de chercher la raison de ce pouet... Bon, il n'était pas difficile de deviner que cela provenait d'un olifant. Quant à sa voir d'où... Ewy se mit à chercher sur le terrain. Ben non, le match allait commencer et tout le monde semblait se tenir prêt pour le premier assaut. Petit coup d'oeil vers les tribunes... et la jeune femme prit un air peureux.
Petit gémissement.


Oh non ! Pas lui..! Pas l'Crétin d'l'autre fois...

A croire qu'il la suivait !
Ombeline aussi semblait l'avoir vu. Et le prit en grippe. Ewy s'en sentit rassuré. Au moins, cela détournait l'attention, et elle n'entendrait pas du match, tout du moins elle l'espérait, entendre le Crétin l'appeler 95 D ou Chatain-Blonde ou d'autres surnoms plus débiles les uns que les autres...
La jeune femme se dit qu'elle était bien là, au milieu du terrain. C'était assez loin des tribunes. Même si le Crétin savait qu'elle jouait dans l'équipe et donc qu'elle était présente, la jeune femme pouvait toujours se cacher. L'homme viendrait à penser qu'elle était absente pour ce match-là, il était tellement... bête.
Mais pas de bol, le Cap' lui avait demandé de reculer...


Nan mais il fait exprès...

Reniflement. La jeune femme n'espérait plus qu'une chose, enfin non, deux: qu'Ombeline et sa heu... servante retiennent l'attention du Crétin, et surtout que le match se termine rapidement !
Au moins, de là où elle se trouvait, elle n'entendait pas la petite conversation qui s'installait. C'était un bon point.

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Les surnoms qu'elle a reçu au fil des matchs: 95D, Châtain blonde, Rouquine châtain blonde, et les prochains
Ombeline
[Côté tribune/terrain]

Et Marie qui lui faisait encore une scène, ne manquait plus que cela. Ce math ne débutait point sous les meilleurs auspices finalement.

Madame, Madame
Je n'y suis pour rien ! Je vous en conjure, par Aristote. Votre
Ma ? Mademoiselle Gwanaëlle? fut effrayée !

Elle la vit toucher ce qui ressemblait à un Cor.

Par cette chose ! Votre ... ami l'a apeurée, Madame.
Je fus sans dessus dessous, Madame. Avec toute cette foule, comment puis-je la retrouver ? Je suis toute seule et tout ce monde, c'est effrayant !


-Moi? Effrayer damoiselle Gwanaelle? Ah ben ça alors! Dans le Périgord, on prétend que toutes les donzelles vont là où je vais. Et ici, on affirme que je les effraie? Et puis d'abord, c'est qui cette damoiselle Gwanaelle? Hum?

Et si vous me disiez à quoi elle ressemble damoiselle Gwanaëlle? D'habitude moi, les donzelles, je les trouve assez rapidement


MARIE, respirez un bon coup !

Elle aurait bien ajouté un "et pétez aussi un bon coup", mais s'en abstient, plus de l'acabit de son tendre et cher, ce genre de formule. Des curieux, déjà, les observaient et tendaient l'oreille. Journaliste, elle même, elle n'avait aucune envie de faire la une d'une feuille de choux du coin. Elle tâcha de garder son calme, bien qu'il y avait de quoi perdre son sang froid ... savoir sa fille, si frêle, si fragile, si petite, dans un lieu inconnu et entourée d'inconnus.

Veuillez pardonner Marie, elle a le don de rendre les choses démesurées ... bien que là, perdre ma FILLE, une fois de plus, il faut le faire ! Ne pas arriver à prendre le dessus sur une charmante enfant qui sait à peine trottiner, hum, je vais finir par croire que Lou a raison sur vous. Marie, Marie, Marie ... Bon, Gwan ne doit pas être bien loin. Cela m'étonne que le simple bruit de ce cor, ai pu l'apeurer au point de se sauver, surtout avec le tapage auquel son grand frère l'habitue lors de nos matchs de soule.

C'est un cor, n'est-ce pas , ou quelque chose d'approchant ?


Questionna-t-elle le Danois.

Croyez-vous possible d'aider Marie à retrouver la petite ?
Pour vous la décrire, je dirai qu'elle ressemble à sa mère, en petite format ... pas plus haute que cela ...


Désignant une hauteur à mi-cuisse par rapport à elle-même.

Elle a les yeux de son père, de beaux saphirs. Vous la verrez plus se faufiler à quatre pattes.
Elle n'a pas du aller bien loin, sans doute attirer par quelque chose.

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Rheingold
rp follow soon....



next tactics Thuesday 22 o´clock
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Soren
Mariée et mère? Ça, ça stimule mon imagination. Je n'ai jamais fait une cour effrénée à une dame mariée, mère de surcroit. Quelqu'un m'a dit une fois que le Très-Haut ne nous avait donné qu'une vie et qu'il valait mieux en profiter. En profiter? Vraiment? Il me faut un instant secouer la tête pour décrocher mon regard fixe et un poil libidineux.

- Un cor? Non, non...C'est un olifant! C'est trèèèèèès différent! Mais là n'est pas plus l'important. En attendant le début du match, oui, je peux aider votre gouvernante à retrouver votre fille. Allez jouer en paix et passez mon bonjour à vos consoeurs des soiffards! Vous venez Marie? On y va! Allez-y ! Levez la tête et observez pendant que....

-Poooooouuuuuueeeeeeeeetttttttttt!

Nouveau coup d'Olifant! On ne sait jamais! Si vraiment ça a réussi à effrayer damoiselle Gwanaelle, peut-être que ça pourrait la faire sortir de son terrier?

- Petite? petite petite petite... Damoiseeeeeellle Gwanaelle? Youhou ? Vous êtes là?

Je passe entre les rangs des spectacteurs, poussant un peu les rombières, regardant entre les jambes des jolies donzelles ou des vieux ronchonneux pour voir si la donzelle d'artois ne s'y serait pas glissé!

- Pardon Dame? Une fillette... de cette taille là...mignonne et pulpeuse comme la donzelle là-bas sur le terrain...Vous ne l'auriez pas vu?

Et hop! On change de tribune, Coup de coude malheureux...je renverse une chope d'un gueux qui est déjà passablement éméché. Il essaie de se venger en me plaçant mon poing dans la figure. J'esquive, et je l'envoie paître quelques bancs plus bas. C'est honteux de boire autant! Hum...Ouais..enfin....

- Damoiselle Gwanaelle? C'est tonton Seurn? J'ai un cadeau pour vous damoiselle!

Et les investigations continuent dans les gradins du stade! For fanden!

- Dites-moi Marie, vous qui connaissez bien madame, quel présent pourrai-je donc lui amener pour le souper de ce soir? Vous voyez? Quelque chose d'extraordinaire... Un truc qui lui remue les humeurs féminines?

En attendant, il y a bien trop de monde ici pour retrouver la miniomby! Que faire...que faire... que... Mais oui! C'est ça! S'il y a trop de monde....

- Restez ici Marie et regardez si vous ne voyez pas Gwanaelle. Et surtout... si vous entendez une alerte au feu... ne vous inquiétez pas hein? Faites comme si de rien n'était! Je reviens sous peu...

Et hop! Je m'eclipse... Directement le bas du stade!
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Cristras
La brunette était arrivée en retard, le match avait dejá commencer. Cris avait enfilé vite fait son maillot, mais celuici le venait étrangement étroit. Mais la petite moulinoise n'avait pas le temps de voir ce qui arrivait à son costume.

Gromelant contre sa maladresse et sa tête en l'air elle se jeta dans la melée en criant de toutes ses forces.

"Je bourriiiiiiiine.... ALLEZ LES BOURRINS" ne sachant pas oú était la soule elle courrait de droite à gauche comme un canard à la recherche de sa marre.

PIF PAF, Cris bourrinait tout ce qui se trouvait sur son chemin. Petite oui, mais elle fonçait droit devant. Coequipiers et adversaires n'avait qu'a bien se tenir et surtout ne pas se trouver sur son chemin.

Un autre coup de pied, et ses nattes virevoltaient autour de sa tête. Un coup de coude, la brune n'avait pas encore trouvé la soule.


"Mais, l'est ou la souuuuuule....."criait-elle à droite et à gauche
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Lucie..
Lucie avait une fois de plus suivi sa mère lors de ses interminables match de soule. Qu'est-ce qui pouvait bien dans ce sport attirait autant de monde ? Au dernier match... Heurk !!! y'avait eu que des bisous... Groumph, vraiment pas de quoi fouetter un chat !

La petite soupira tandis qu'elle emmenait son frère dans les tribunes. Pffff, si encore elle pouvait participer, elle était quasi certaine de ne pas s'ennuyer ! Mais là, servir juste de nounou à son petit frère, et regarder bien sagement le match comme le lui demander sa M'man... c'était inqualifiable ! Faudrait qu'elle trouve quelqu'un d'autre !

C'est donc dans les tribunes des visiteurs que la petite boudait, la tête au creux de sa paume dont le bras reposé sur son genoux - hooou !! dur à écrire, ça !! -. Elle regardait avec fort ennuie les mouvements du match, jusqu'à ce que les tribunes subissent elles-mêmes quelques remous. La petiote se tourna sur elle-même pour voir l'origine des bruits. Un sieur semblait faire des cochonneries en regardant sous les jupes des filles, et même entre les jambes des garçons ! La petite en loucha de dégoût !
Lorsque le sieur passa près d'elle, elle laissa traîner sa jambe pour le faire chuter. Et elle croisait les doigts pour qu'il se prenne les pieds dedans. Et avec un peu de chance, personne n'irait se plaindre à sa M'man, ce qui lui vaudrait d'échapper à une punition !
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