Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

[RP semi privé] Tournoi déclassé du Rohannais - avril 1462

Winnette
La dame était arrivée en retard au tournois qu'elle avait complétement oublié, son brun lui en avait parlé déjà il y a quelques jours mais cela lui était déjà sorti de la tête.

Elle avait revêtu pour l'occasion une tenue décontractée bleue roy et s'installa donc dans les gradins.

La peste chercha du regard celui qui faisait battre son cœur, elle le chercha et parmi toutes les armures elle crut reconnaitre la siennes, si ses souvenirs étaient bons, elle avait dessus du rouge et de l'or.

Elle aurai aimé l'embrasser avant pour profiter une dernière fois de lui sans écorchure, sans bosse et sans bleu mais elle n'avait pas eu le temps.
Un souvenir lui revint en tête en pensant aux joutes en Avignon, un rendez vous sous une tente...l'un de leurs premiers...Un sourire se dessina sur son visage et elle posa de nouveau ses yeux sur celui qu'elle aimait plus que tout.

_________________
Yom
La suzeraine de circonstance qui débarque. Le blabla qu'il faut, confirmation que finalement son sort n'a que peu d'importance. 'faut dire que ce qui est d'importance ou non depuis cette foutue tempête...

tâtonnant machinalement son médaillon avant de se rendre compte qu'on s'adresse à lui.



Vous a t'on bien installé ? avez vous tout ce qu'il vous faut ? Je n'ai pas encore vu votre tente, puis je vous accompagner pour que l'on vérifie tout cela rapidement. Je crois que les joutes ne vont pas tarder à débuter.

Si on m'a bien installé? je suppose que oui, j'ai des besoins...spartiates, exception faite pour la boisson, mais vu que ce n'est pas vraiment de circonstance...

Mais allons toujours voir, de toute façon, il me faut m’arnacher.


Direction la tente donc. un revers de cuir matelassé, une plate sur laquelle de distingue encore par endroit le poinçon de l'Ost de Bourgogne et enfiler le tabard aux couleurs Guérande par dessus. Pourrait faire tache sinon

Un regard vers sa vieille maille. Il a toujours préféré la maille...mais celle ci serait d'une utilité douteuse face à une lance qui le frapperait en pleine course. Et puis certains maillons ont sauté.

un signe à la suite qu'on lui a fournit pour l'occasion. Une raison de plus de ne pas beaucoup apprécier les plates intégrales, pour monter tout seul sur un destrier c'est une sainte horreur.

La bâtarde sanglée au flanc. Inutile dans une joute, mais c'est une présence rassurante.
tendant la main vers l'escuyer.


Ma barbute. Et puis mon écu. Non pas le vieux avec les couleurs de Savigny. Celui avec le poisson.


Écu sanglé au bras, un sourire vers la Guérande, mais qui ne lui est pas vraiment destiné. le crissement de l’acier comme seconde peau. ce poids sur les épaules, le crissement du bois de l'écu contre l'acier de la cuissarde. Le destrier qui piaffe, cette appréhension mêlée d'excitation. C'est à ces vieux compagnons là qu'il sourit

Mallory, Vaxilart, Manu.


une litanie à ses anciens mentors.

Direction la lice. Son adversaire qui semble prêt. Attrape la lance qu'on lui tend, avant l'abaisse aux trois quarts puis la relève en guise de salut pour ce dernier.


1er tour
- Sa Grandeur Bahia de Méneac
- Messire Guiyom Bleizhmorgan


Le signal donné, s'élance au grand galop. Calant la lance sous le bras, visée ajustée à mi-course, souriant avant l'impact.
L'impact à lieu...mollement, pas de contre choc dans l'épaule
Alors que sa lance glisse le long du bouclier de Bahia, il attend son propre impact, qui ne vient pas.
Bien que dévié par l'écu, son coup semble avoir perturbé la visée de ce dernier.

Pas de chute ni de lance brisée ce coup ci.

l'arrivée en bout de lice, demi tour, remise en place. coup d’œil sur l'adversaire à la recherche d'une marque sur l'écu. Trop loin il faudra ajuster en cours de route.


Loup des Tempêtes...


Nouveau signal, s'élance à nouveau. Voit la marque de son premier coup, avait écaillé le revêtement de l'écu. Ajuste d'avantage sa visée pour être plus au centre.
Nouvel impact, à nouveau l'initiative.

Le vacarme d'une bataille.
Un choc sourd et puissant qui lui remonte le bras puis l'épaule. des éclats de bois qui volent. La lance de Bahia qui passe sur son coté en vision périphérique, et ce dernier, touché en plein milieux de l'écu qui semble à l'arrêt alors que file son destrier.

Image fugace, son propre destrier l'emmenant en bout de lice.

Coup d'oeil vers sa lance. Brisée à partir du deuxième tiers. fait tourner bride au canasson qui renâcle.
Jette ce qui reste de sa lance au sol, et aperçoit son adversaire qui se relève.
Se dirige vers lui au petit trot.
Pas de sang apparent.
Juste une sacrée chute, un coup à se faire un tour de rein.

Ôte sa barbute pour le saluer avant de faire demi tour, tandis que les escuyers de ce derniers accourent.


Un sourire aux lèvres, un signe de tête à l'attention d'Aliéniore. le 1er tour lui était acquis.
Bahia7
[Joute Bahia de Ménéac vs Guiyom Bleizhmorgan]

Bahia arriva dans le Rohannais bien avant les combats.
Tout était question d'or-ga-ni-sa-tion !
Il salua Madennig, l'hôte de ces joutes, et passa quelques minutes à saluer les quelques personnes qu'il croisa au hasard de sa balade, Lafa, Elorn, Alienore...

Il sortit donc sa check list et cocha au fur et à mesure:
-Tente? Ok. Il leva le nez. Ouai, ça c'est bon, il y est !
-Écuyer? Ok. Arf, ouai, on l'avait pas oublié. Pas qu'il n'était pas sympa, juste qu'il était maladroit.
-Armure? Ok. Comment l'oublier, ça pèse trois tonnes ces machins là.
-Cheval? Heu cheval...Se retourne, le cherche des yeux. Ah ouf, il était là!
-Selle? Ok.
-Housse armoriée? Ok.

Bon, ben, ça lui avait l'air bon.


On lui avait annoncé son adversaire, Guiyom, ça le fit sourire. Il était content de jouter contre lui.

Il prit conscience que c'était bien plus confortable d'être en ses terres, même s'il devait en faire abstraction, ça apportait une confiance supplémentaire, même s'il est vrai, aux dernières joutes, il avait traîné une sale blessure à la jambe, en plus de quelques égratignures.

On l'équipa de sa lourde armure. Dieu que c'était pesant! Elle lui tirait sur chacun de ses muscles.
Et c'est ainsi adoubé, qu'il enfourcha sa monture.
Son adversaire en ligne de mire, la concentration au maximum, un coup d'étrier dans le flanc de la bête, qui laisse échapper un râle, nerveuse, bien que soigneusement harnachée. Le voilà qu'il se lance, avec pour seul objectif: le cavalier d'en face. A mi-course, sans qu'il ne puisse l'expliquer, Strak, son frison d'un noir étincelant, marqua un écart au moment fatidique. Guiyom tenta la touche, qu'il esquiva comme il put.

Chacun remonte la piste. Deuxième essai.
Les deux chevaux s'élancent à nouveau. A son niveau, il ne parvient pas à riposter son attaque, qui dans un choc des plus violents, le désarçonne tout aussi vite. Bruits des armures qui s'entrechoquent, d'une lance qui vole en éclat, jusqu'à finir dans un nuage de poussière.
Les yeux se rouvrent, il est vivant. Une douleur à la hanche lui parcourt jusqu'à la cuisse, endroit sur lequel il est tombé. Par fierté, il se relève aussi vite, boitant malgré tout.

Félicitations au vainqueur. Il était déçu, mais ne comptait pas avoir dit son dernier mot.

_________________
Aanor
[Dans les tribunes]

Elle sourit au blondinet venu la saluer avant le tournoi.

Mon fillot ! J’espère que tu t’es bien remis de ta blessure ! Je tiens à mon amitié avec tes parents et je ne voudrai pas qu’ils m’étripent pour avoir attenté à ta vie à travers un tournoi !
Elle adresse un clin d’œil à son amie qui rejoint alors les tribunes.

[Alié]- Je ne sais si je vais survire à ces combats, mon cœur balance entre l'envie de victoire pour mon fils ou celui de mes couleurs!

[Aanor]- Te voilà avec un nouveau champion ! Dans quelle situation me mets-tu ? Je pensais être mal si ton fils venait à se blesser sur le tournoi… en fait cela sera surement pire si c’est le fils de ma suzeraine qui est blessé ! Je ne crois pas l’avoir déjà croisé, merci de l’avoir fait venir… j’vais prier le très haut pour qu’il ressorte… tout comme les autres jouteurs… en un seul morceau !

Derniers mots d’une blonde qui rentre dans son rôle avec toute la concentration nécessaire alors que les premiers jouteurs se présentent sur la lice. Le coussin est ajusté sous le fessier. La cape remise sur les épaules pour ne pas attraper froid. Parchemin sur les genoux elle observe avec attention le duel.

Sur son destrier qui sort sans nul doute des haras maternels, les courbes féminines de la marraine du tournoi ont complètement disparus sous son armure. Si les couleurs qui s’affichent sur sa monture ne rappelaient pas qu’il s’agit de l’intendante du Rohannais on se laisserait facilement prendre au piège. Elle trouvait que les femmes qui tournoyaient faisaient preuve du plus grand des courages. Aussi elle ne pouvait s’empêcher de trembler un peu plus quand l’une d’elle s’élançait. Quand c’était un duel de femmes, elle angoissait tout autant.
La joute se déroule en une seule lance. L’intendante du Rohannais fait voler la poussière quand au contact avec la comtesse elle chute de cheval. De sa place dans les tribunes il lui semble que c’est son épaule qui a frappé le sol en premier. Elle espère que la blessure n’est pas trop importante et qu’elle pourra remonter en selle. Mais si c’est bien sur l’épaule, nul doute que cela lui rendra la tache un peu plus difficile pour sa seconde joute.


Dans le premier groupe, Vainqueur de cette joute féminine, Sa Grandeur Lafa de Bussac, Comtesse de Talmont et Dame de Bussac.

Alors que les organisateurs s’affairent à remettre en ordre la lice, du coin de l’œil elle observe les deux prochains jouteurs échanger quelques mots. Indéniablement elle aime l’ambiance qui règne sur les tournois.

Les deux hommes s’élancent à leur tour sur leur monture. Le bruit est assourdissant et le seigneur de Lanvaodez se retrouve à terre lui aussi à l’issu de la première lance. Elle guette le moindre mouvement de sa part, lançant un coup d’œil vers les gens de l’organisation qui se tiennent toujours prêts à intervenir. Mais visiblement rien qui ne l’empêchera de prendre part à la prochaine joute. Là voilà rassurée. Elle se lève alors pour annoncer le résultat.


Dans le second groupe, Vainqueur de la première joute Sa Grandeur Bioul de Lanngroez, Roy d’Armes du Grand Duché de Bretagne, Vicomte de Saint Etienne du gué de l'Isle, Baron de Trébeurden et Chevalier des Pennher ar Lug !

Place à la dernière joute. Un coup d’œil vers son amie avant que les jouteurs ne rentrent

Mon blond contre le fils de ma suzeraine, ton champion…

Première lance, aucun bris, les deux jouteurs sont toujours en selle. Deuxième lance et voilà son blond à terre. Son cœur palpite dans sa poitrine. Et elle est rassurée de le voir se relever. Plus de peur que de mal.

Dans le dernier groupe, vainqueur de la première joute, Messire Guiyom Bleizhmorgan, champion de Poissy !

A demi mot pour son amie

Tu m’avais caché que le fils de Leyah était très bon jouteur ! Aussi charismatique que ça mère qui plus est ce qui ne gâche en rien le spectacle…

Puis plus fortement elle lance aux spectateurs la suite du programme.

Le second tour du tournoi verra s’opposer dans le premier groupe

Citation:
Sa Grandeur Lafa de Bussac


Et Messire Elorn Coatmeur de Guérande



Dans le second groupe
Citation:
Messire Hadrien de Lavallière


Et

Le Vicomte Naoned-Riec de Montfort


Et dans le dernier groupe
Citation:
Messire Guiyom Bleizhmorgan


Et

Messire Monmi

_________________
Kalwynn
Le Borgne chevauchait aux côtés du Capitaine de Bretagne. Il s'était proposé pour être l'écuyer de Monmi, ceci pour de nombreuses raisons. D'abord tout simplement parce qu'il appréciait son supérieur en tant que "frère d'armes". Ensuite, pour se socialiser quelque peu, lui qui ne sortait guère (quand il n'était pas occupé à naviguer). Enfin un peu par nostalgie, car il avait joué ce rôle auprès de Kalimalice d'Austrasie, grande figure qui fut notamment Maréchale de France.

Kal était d'ailleurs déjà âgé à l'époque pour jouer les écuyers.
Il souriait légèrement dans sa barbe en regardant autour de lui, captant un maximum d'informations au sujet du tournoi, des jouteurs...

L'odeur de crottin et de sciure était balayée par un vent léger. La température printanière autant que la qualité des participant promettait au public un moment agréable.

Il regarda la capitaine, prêt à lui rendre les services dont il aurait besoin avant de concourir.

_________________
Alieniore
Elle l'avait accompagné jusqu'à la tente , vérifiée que tout était en ordre alors qu'il se faisait arnacher des pièces de l'armure nécessaire aux combats , enfin surtout à sa sécurité.
C'est qu'il serait dommage de l'abimer ce champion, déjà parceque sa Lélé risquait de lui en vouloir et ça ce n'était pas envisageable. Et puis elle espérait bien gagner un jour des joutes. Elle sourit en matant quelque peu la scène sous la tente avant de le laisser finir de se préparer et de rejoindre les gradins au bord de la lice.

Elle observait les combats , tressaillait quand les lances se brisaient et soupirait d'aise quand les jouteurs à terre repartaient sans blessures. Elle avait encore en mémoire la jambe brisée de son p'tit blond lors des précédentes rencontrent.

Et enfin , il arriva, tout de bleu vêtu ou du moins une bonne partie , portant ses couleurs. Le Poisson pour emblème , protégé de ses écailles comme lui de ses pièces d'armure.

Elle se lève lorsqu'il se place au départ de sa chevauchée. Un peu embettée car elle apprécie beaucoup l'adversaire mais là il fallait gagner.


Torr he brenn*, crie t'elle de vive voix pour l'encourager

Et la main crispée sur la barrière devant elle , elle observe le manège des chevaux et des jouteurs. Jusqu'au moment où elle voit tomber Bahia , moment d'arrêt , elle s'inquiète un peu , il gigotte tout va bien.
Elle se tourne alors vers le Bleizmorgan et rends sourire en levant le point en guise de victoire.


Que Lug continu de vous inspirer mon Champion!!!

Elle se rassoit , ravie du premier tour et pour fêter cela détache sa gourde de PrunàVampi accrochée à sa ceinture pour en boire une gorgée en l'honneur de son champion du jour

*Cri de bataille celte : littéralement "casse lui la tête"
_________________

Daubigny is a crying woman!
Yggdrasil
Myrdinn
Je suis là. Si si. Oh pas sur un cheval ça c'est sûr, je n'ai jamais été à l'aise sur ces machins là. Mais en tribune oui. Dans la partie officielle, prévôt oblige, endurer un conseil ducal ça sert au moins à ça.

Officiellement je suis là pour m'amuser à parier. Un de mes pêchés mignons ça. En réalité, c'est surtout parce que le rohannais organise. Et parce que son intendante est elle même juchée sur un de ces canassons, lance en main. Je suis impressionné je dois bien l'avouer. Et légèrement inquiet aussi mine de rien, même si j'ai une totale confiance en ses qualités de cavalière.


Mon garde du corps, c'est le titre pompeux que je lui ai accordé pour qu'il puisse avoir le privilège de m'accompagner en tribune, à mes côtés, le tournoi s'ouvre et débute fort puisque c'est Mady herself qui ouvre le bal. Enfin le bal...

10/1 qu'elle l'étale
Vous êtes optimiste mon jeune seigneur.
Vous ne l'avez jamais vu monter, c'est pour ça.
Vous avez parié ?
Pas de paris d'organisés... Ca manque d'ailleurs, il va falloir songer à y remédier à l'avenir. Il y a un marché là c'est indéniable.


Je regarde et tente de compter le nombre de personnes dans l'assistance en quantifiant combien seraient susceptibles de miser de l'argent. Un paquet sans doute. A côté de moi Le Coëdic regarde le programme et soudain commente:

Après y a votre beau papa qui joute.
Morbleu mais ça ne va pas non ? Oh ! Ne parle pas comme ça du Comte !
Bha quoi ? Si vous l'épousez un jour c'est ce qu'il deviendra


Il hausse les épaules alors que je le transperce d'un regard qui, s'il se tranformait en épées bien aiguisées, l'aurait découpé en morceaux sans le moindre effort. Puis je me reconcentre sur la lice, la joute démarrant.

Je me lève lentement à mesure que je regarde les chevaux s'élancer, les deux adversaires se faire face, les lances s'abaisser... jusqu'à bondir au moment du choc.


Aïe fait mon voisin.

Et c'est la dernière chose que j'entend de lui. Le temps qu'il se tourne vers moi pour commenter la chute de Madennig et me rappeler perfidement que si j'avais parié j'aurais perdu une petite somme rondelette, j'ai déjà bondi de ma place et je me rue vers les coulisses pour aller prendre des nouvelles.
_________________
Guiyom
[Messire Monmi vs Messire Guiyom Bleizhmorgan]


La suite s'annonçait aussi plaisante que le premier tour.
Après une rencontre au dénouement heureux avec Bahia, il avait l'honneur de rencontrer le Capitaine de Bretagne.

Rejoignant la lice, il récupéra une nouvelle lance, et en salua le nouvel adversaire.

Un regard vers le ciel. C'était une belle journée.


le signal donné, de plaisir il s'élança au galop
dans son écrin d'acier, c'est vrai qu'il faisait chaud
La visée ajustée à mis course il frappe l'écu breton en plein cœur. Impact sourd lui remontant le bras, la lance à nouveau vole en éclats.
Mais c'est bien la seule qui décolle, l'adversaire ne semblant point broncher.


tintement du bois sur l'acier, pour accompagner une pensée.
"Diantre, voilà qui est fâcheux, le coup porté était parfait, pourtant la lance est brisée, mais Bretagne point à genoux...ça ne date pas d'hier...mais ce fut pareil à Fougères, l'Ost en fer de lance, brisé devant ses portes..."


Arrivé en bout de lice, demi tour du fier canasson, et nouvelle lance prise en main.
nouveau galop, la même visée est maintenue. Résultat identique une touche parfaite, une nouvelle lance à changer. Mais la riposte touche, et aussi parfaite que fut la touche, cette dernière l'est tout autant.

Le coup ne glisse pas sur les écailles du poisson Guérande, c'est du poisson à la broche bretonne qui se dinera ce soir.

Le Bleizhmorgan rend les étriers, et c'est sur une épaule déjà meurtrie par l'impact qu'il trouve judicieux d'atterrir.
Second choc qui est le bon, c'est avec des étincelles dans le regard qu'il se surprend à expulser un cri de douleur, qui reste coincé en gorge. S'il faut du souffle pour crier, force est de constater qu'il n'en a plus.

Un regard vers le ciel, un ciel bleu, et bleues aussi sont les mers.
Quelques secondes qui s'écoulent, laissant la poussière retomber. Roulé dans la farine et à la broche le poisson...
Aucune envie de bouger, c'est lourd une armure pareille. Et puis, une épaule seulement démise, ce serait une bonne surprise...C'est que ce n'est plus cette dernière qui soutient l'armure, mais l'armure qui la maintient.
Quant à l'écu...disons qu'il est bon qu'il soit sanglé, cela évite de devoir le chercher.


Vient un gout cuivré en bouche. Un vin tanisé? mal vieilli? diantre non, juste le gout du sang.
C'est ce gout, une lèvre abimée dans la chute qui bat le rappel d'un serment de fureur et de sang, qui l'incite à bouger.
Levant l'autre bras, il découvre qu'il tient encore ce qu'il reste de sa propre lance.

Redressant péniblement le buste, il s'essaie alors à une première tentative pour se redresser. Nouvel élan de douleur, l'épaule gauche sonne le tocsin pour rappeler sa déroute.
Seconde tentative, s'aidant du moignon de lance, et de toute la puissance de ses bras de forgeron, ou plutôt de celui qui semble encore apte à l'usage, il finit par se relever et esquisse un sourire sous sa barbute.

En sueur, et les jambes flageolantes de l'effort fournis il salue l'adversaire d'un hochement de tête avant de faire de même pour la foule pour s’appesantir brièvement sur Aliéniore. Les compétences de sa fille auraient été plus qu'utiles.
Un signe de tête pour signaler sa déception.

A joutes déclassées, règles décalées, et donc l'estropié n'est pas encore éliminé. Et s'il sait que continuer demeure déconseillé, il ne peut s'empêcher d'espérer, tout en prenant la direction de la sortie, lâchant la lance en bout de piste, bras gauche pendant, et une question en suspend:
la spalière, l'enlever tout de suite pour vérifier l'épaule, ou attendre la fin des joutes de crainte de ne pouvoir la remettre après?...


"Viendra le jour où, pour seules médications,
La Funeste jouera de ce plaisir obscur:
A chérir le combat, au delà de Raison,
A quérir ce désir maudit, sombre Passion;
Ne se satisfera plus de "simples" blessures...
Et ne laissera que ces vers pour oraison..."

_________________
Puisse le Ciel avoir pitié de mes ennemis, je n'en aurais aucune
Madennig
Bon ça fait un peu mal mais rien de grave. Une épaule déboitée y'a pas mort d'homme faut juste la remettre en place ça sera un peu début. Signe discret a dame Aanor pour lui signifié qu'il y a pas de souci, je serais bien du second tour. C'est pas une petite chute qui va me faire reculer mais bon sang ça fait mal !!!
Je prend la direction de ma tente pour laisser la place aux adversaires suivants. Le regard jeter a mon garde du corps l'a bien évidemment empêcher d'accourir pour m'aider. Autant évitez de s'attirer la honte le plus possible. Bien que mon état soit passer inaperçue aux yeux de la grande majorité, je sais que je peux pas la lui faire a lui depuis le temps qu'on se connait. Allez encore quelques mètre et j'y suis l'honneur est sauf.


[Tente du Rohannais]

On m'aide a me sortir de mon armure. Faut dire qu'avec un bras en moins c'est encore moins facile reconnaissons le. Ce qui ne m'empêche pas de grimacer ça va pas être de la tarte je le sens. On a fait quérir quelqu'un pour me remettre en état. A l'arrivée de deux personnes me voila prise dans une scène que je n'aurai pu imaginer. Un débat pareil on 'sy attends pas.

Cher collège je pense que pour remettre son épaule en place il faudrait tendre son bras vers le haut et la remettre a sa place d'une vive pression !
Non, non, non ! Le bras doit etre tendu vers le bas et l'épaule tirer pour la remboiter !
Mais vous n'y pensez pas ! L'influence de la lune montante nous indique clairement la marche a suivre !
Vous délirer, la lune c'est dépasser, on se base sur le soleil quand on est moderne !

[...]

Et la discutions continuait ainsi me faisant me demander ce que je fou ici assise sur un lit de camps vêtue d'une longue chemise histoire d'être descente devant tout ce monde. Ils nous font un colloc là ou ils attendent que tout se remette en place tout seul ? Dans quelle galère me voila arrivée ? Faudrait un témoin car là personne voudra me croire quand je le raconterai. Parlant de ça tiens, voila que Myrdinn vient aux nouvelles au grand plaisir de mon garde du corps qui se fait déjà une joie de servir a quelque chose aujourd'hui en l'envoyant paitre. Joie bien éphémère quand je signifie qu'il peut entrer si il le souhaite, je suis plus a ça prêt surtout que j'attends toujours que les deux gus se décident enfin a remettre mon épaule en place !
J'ai mal bordel faites quelque chose !!!!

_________________
Hadrien
Hadrien avait perdu son premier combat et en été sorti avec quelques mals mais rien de très grave.

Son écuyer avait insisté pour le penser et lui faire oublier cette douleur avec une bonne chope de chouchen mais il avait refusé.
Un guerrier se devait d'être fort.
C'est ainsi qu'il entendu le nom de son futur adversaire.
Naoned.. il l'avait connu au conseil ducal mais aussi à l'école des élus, une personne de qualité qui œuvrait pour le bien de la Bretagne.

Pendant que son écuyer s'occupait de ses affaires,une pensée vient à la femme qu'il aime.Il contait lui faire honneur en gagnant se combat.
C'est partant dans l'idée de gagner qu'il monta sur son cheval.

Une fois lancé,il abaissa sa lance et pria encore une fois.
Il tenta de toucher son adversaire au bouclier mais il rata et personne ne tomba de cheval.
Deuxième tentative qui échoua, ma foi j'ai vraiment pas de chance dit il.
Troisième essai, cette fois il mis toute ma force dans ma lance quitte à se mettre en danger mais il fallait à tout prix gagner.
Au choc, sa lance se brisa net projetant Naoned à terre.
J'avais réussi à le toucher au niveau du bras.
Bien qu'il soit toujours à cheval, le choc lui projeta une douleur instantané qui se dissipa tout de suite après.

L'écuyer, ravie de voir son seigneur gagné cette fois sourit.

Vous voyez seigneur je vous l'avez dit que vous gagnerais cette fois.


Un sourire au lèvres.
Hadrien était à la fois ravie pour lui mais désolé pour son adversaire en espérant qu'il n'est point eu trop mal.
_________________
Alieniore
[Messire Monmi vs Messire Guiyom Bleizhmorgan]

Le bruit des sabots pour rythmer l'envie
La poigne d'une main pour armer la cavalerie
Les battements d'un coeur pour marteler la frénésie
Le sourire d'un combattant pour marquer la galanterie

A peine le temps de se remettre des premières émotions et des premiers hourras que déjà les nouvelles joutes s'enchainent.
La foule dans les tribunes a augmenté à mesure que les premiers participants combattaient. Les paris allaient bon train et les demoiselles gloussaient à qui mieux mieux.
La druidesse sourit à les entendre. Cela lui rappelait l'insouciance de sa jeunesse dorée à Guérande. L'ambiance était joyeuse et cela lui faisait grand bien.

A nouveau les couleurs de Poissy furent sur le devant de la scène. Contre le Capitaine de Bretagne, rien de moins.. l'intuition d'un dénouement moins heureux. Il ne faut en laisser rien paraitre et espérer être dans l'erreur.

Les chevaux piaffent et les cavaliers les talonnent.
La poussière volent pour les entourer d'un halo comme la brume du matin entourant de mystère l'instant. Instant qui semble se ralentir sous ses yeux, les bruits s'amenuiser, la chaleur augmenter .. jusqu'au moment où le cavalier tombe et le cri retenti.

Elle regarde intensément mais ne bouge pas. Elle connait les hommes et leur orgueil, blessé mais point abattu. On ne saurait accepter d'aide que si on l'a décidé. Elle croise le regard, fierté en berne mais point abattu. Elle s'insinue en lui par la pensée et sent le mal la traverser. Elle ne bouge pas et le laisse continuer. Lui dira t'elle que la mère et la fille ont bien plus de ressemblance qu'il ne le croit? elle ne dira rien , il a déjà décidé que seule la fille pouvait l'aider.

Une nouvelle joute est annoncée , le fils en première ligne cette fois. Nouveau moment d'intense émoi avant la finalité.

_________________

Daubigny is a crying woman!
Yggdrasil
Elorn
[Sa Grandeur Lafa de Bussac contre Elorn Coatmeur de Guérande]

Son tour était arrivé. Il avait suivi avec intérêt la première joute, pour jauger ses adversaires.
Il avait eu de la chance, il était tombé dans le plus agréable des groupes.
Si jamais il devait perdre , il aurait au moins eu le plaisir de côtoyer les plus charmantes du jour.

Quand sa marraine appela les jouteurs , il se présenta sur son destrier attrape la lance que lui tendait son écuyer.
Il sentait son cheval piaffer , sa puissance retenue par sa poigne, un signe et il la libérerait.
D'un geste sur il abaissa la visière de son heaume. Le rythme de son coeur augmentant comme la tension dans les tribunes avant le départ des chevaux dans la lice.

Il sentait la présence de sa mère et son angoisse. Il lui sourit derrière son casque avant de s'élancer et ce même si elle ne pouvait le voir. Il savait qu'elle saurait. Elle sait toujours.

Et soudain c'était parti. Il avait suffit de lâcher la pression sur les rennes. Il affirma sa poigne sur lance, se concentra sur l'écu de sa ravissante adversaire et non pas sur l'adversaire.

Première course , première lance brisée. Mais la Dame avait de l'adresse, assez pour rester en scelle malgré l'impact mais elle l'avait raté.

Il sourit en faisant demi tour au bout de l'allée de la lice. Apostropha son écuyer en se disant qu'a défaut de tournois, il remporterait peut être le trophée du nombre de lances brisées.

Deuxième départ une fois la Dame prête. Cette fois il talonne son cheval et se concentre un peu plus. Oubliez que c'est une dame et avoir à l'esprit qu'il faut gagner. Il évite ainsi la deuxième attaque mais touche à nouveau l'écu adversaire.
Et de deux! il allait devoir causer à Aanor concernant le trophée des lances brisées. Sa Grandeur de Bussac toujours à cheval ne bronche pas du heaume.


Une lance! crie t'il d'un ton rageur. Nan mais quand même , il n'allait pas dès le premier tour échouer.

Troisième tour. Les chevaux ne ménagent pas leur peine , sentant probablement la tension. Troisième touche pour lui, troisième fois qu'il évite l'impact. Troisième fois que la Dame résiste à ses assauts.


Vainqueur de la joute par 3 points : Messire Elorn Coatmeur de Guérande !! scande le juge.

Ayant enlevé son casque et jeté le troisième bout de lance , il s'approche de la Comtesse et lui sourit.

Ma Dame ! Vous êtes un adversaire de taille !
_________________
Naoned_riec
Et voilà que Naoned se réinscrivait aux joutes... Faut dire qu'il ferait n'importe quoi pour aider les bonnes idées Bretonnes. Accompagné de ses hommes et de son écuyer personnel, ils s'installèrent sous tente non loin du terrain de jeu. Il connaissait le Rohannais presque comme si c'était chez lui. Faut dire que la maitresse des lieux n'était autre que sa marraine bien aimé, Anastriana de Walsh-Montfort.

La pauvre était alitée depuis quelque temps, Naoned s'en inquiétait mais évitait de trop y penser. Cela lui rappelait de trop mauvais souvenirs, dont certains plutôt très récents. Son père était toujours dans ses rêves, il ne disait rien à personne, mais il le hantait chaque nuit depuis le jour où on lui annonça son décès. Il s'inquiétait chaque fois que la nuit tombait, la peur de le revoir encore et encore. Il était le dernier de cette lignée, il a vu mourir toute sa famille, comment pouvait-il en être autrement. Le deuil, tout le monde croyait qu'il l'avait passé, mais c'était loin d'être vrai.

Les trompettes sonnaient le début des festivités. Des cries de liesses, les paysans et artisans chantaient les fêtes avec gourmandises. Le peuple aime ce genre d'évènement car cela les changeait des affres habituelles de la vie. Naoned n'entrait en jeu qu'au second tour, il eu le temps de savourer ceux qui savaient vraiment jouter. Enfin vint le moment de se préparer...


Ecuyer : Maitre c'est à vous bientôt !
Naoned : Ah bon ? Bah qu'attendu pochtron ! Armure, lance et canasson !
Ecuyer : Bien petit Vicomte !
Naoned : Ah ah c'est à mon tour de faire crier la populasse ! En avant pour la gloire de Derwal !


Il partit donc se préparer. L'écuyer s'armait de patience à l'habiller... La cote de maille était trop courte, le heaume trop petit, et l'armure trop large... Naoned était ridiculement vétue...

Naoned : Bon dieu ! Mais où sont donc mes véritables affaires !
Ecuyer : Mon bon maitre, ce sont les votre récemment achetés par vos soins et sans essaie...
Naoned : Tu ne vas pas recommencer comme la dernière fois ! te rappelles-tu de ta punition ? Tu n'aimerais pas réitérer l'expérience mon brave non ?
Ecuyer : Oh non petit Vicomte... Je ne faisais que vous rappeler à vos décisions...
Naoned : Suffit ! Bon tant pis... qu'on m'apporte le cheval que j'ai acheté à ma tante ! Et ne me déçois pas cette fois !


L'écuyer de courir chercher l'animal.

Naoned : Ah ah je suis peut-être mal habillé, mais je suis sûr d'avoir la plus belle bête de ce haras !!

Quelle ne fut pas sa surprise en voyant arriver un animal rachitique et à peine plus grand qu'un poney...

Naoned : Mais qu'est ce donc cela ! Ce n'est pas un cheval ! Je vous ai donné tant d'argent et vous me ramener ça !
Ecuyer : Avec 100 écus d'or... vous ne pouviez avoir mieux... Votre seigneurie ne souhaitant pas dépens....
Naoned : Ah mais tait-toi donc ! Avec toi j'ai l'impression d'être l'homme avec le plus de défaut de Bretagne ! Tu es bien nourrit non ? Alors rend en grâce à moi !


Dépité il monta son cheval... La pauvre bête avait grand peine à se tenir debout ainsi chevauché... Il entra dans la cours et il entendit déjà les rires du peuple.

Un paysan : Ah ah voilà le petit Vicomte, le mini ours ! On va encore bien rire !

Bien évidemment, il entendit tout et jeta un regard noir de colère vers son écuyer qui se cachait... "Je me vengerai..." se disait-il intérieurement...
La trompette sonna et les deux cavaliers s'élancèrent. Naoned se brinquebalait de droite et de gauche comme une feuille subissant une bourrasque de vent. Le premier passage ne provoqua aucun choc de par et d'autre. Le second donna le même résultat, c'est au troisième passage que le cheval de Naoned trébucha se qui profita à Hadrien qui lui asséna un coup magistrale en pleine épaule.

Naoned tomba avec fracas contre le sol, l'épaule prenant tout le poids de l'armure et de l'homme. C'est ainsi que Naoned perdit de nouveau sa joute... avec classe bien évidemment !

_________________
Aanor
[Dans une des deux tribunes latérales]

De nouveau elle est concentrée sur la lice. Les premiers jouteurs prennent place pour ce second tour. Le fils de sa suzeraine possède une grande adresse, c’est indéniable. Les deux touches sont millimétrées, les lances ne résistent pas et s’écrasent sur l’écu du capitaine de Bretagne. Les dents de la blonde grincent. Atteinte à la vie du capitaine de Bretagne….

C’est finalement le champion de son amie qui se retrouve à terre. Elle en serait presque soulagée si le son qui s’échappe de ses lèvres ne la fige pas sur son coussinet. Elle observe sa première tentative pour se redresser. Un coup d’œil en bord de lice pour vérifier que ses hommes de main se tiennent prêts. Finalement il est sur pied quand son regard se reporte sur la lice.


Les deux jouteurs n’ont pas démérité et se partagent les points ! Nul doute cependant que la lourde chute de Messire Bleizhmorgan l’handicapera s’il devait jouter en demi-finale !

Place aux deux prochains jouteurs. Le vicomte semble avoir le soutien d’une partie du public. Ses exploits en Léon sont arrivés jusque dans le Rohannais. Elle étouffe un sourire en le voyant sur sa monture. Au moins il a un vrai canasson ! A tournoi déclassé, jouteur décalé ! Si elle était dans le public alors il aurait toute l’étoffe du champion décalé qu’elle prendrait plaisir à supporter. Oui mais voilà elle n’est pas dans le public, elle arbitre et se doit d’être neutre. Première lance, seconde lance… rien ne se passe. A la troisième le vicomte finit à terre et son adversaire semble heureux de remporter sa toute première joute.

Vainqueur Messire de Lavallière !

Dernière opposition, son fillot contre la comtesse poitevine. Les échanges sont équilibrés ou plutôt la comtesse est une vraie équilibriste. Trois touches, trois lances brisées sur son écu et elle est toujours en selle.

Le premier jour se termine sur cette victoire du jeune Coatmeur de Guérande. Je vous laisse tous profiter de cette soirée et je vous donne rendez-vous demain.

Nous commencerons ce second jour par le troisième tour de chacun des groupes. Ainsi vous aurez le plaisir de voir jouter :

Pour le premier groupe


Citation:
La marraine du tournoi, Dame Madennig de Walsh-Montfort


Contre

Messire Elorn Coatmeur de Guérande, champion des terres paternelles de Muzillac



Pour le second groupe

Citation:
Sa Grandeur Bioul de Lanngroez


Contre

Messire le Vicomte Naoned-Riec de Montfort


Enfin pour le dernier groupe

Citation:
Sa Grandeur Bahia de Ménéac


Contre

Messire Monmi, capitaine de Bretagne, champion de la duchesse de Bretagne



Qui sera le champion du Rohannais ? Tout est encore ouvert ! Allez ! Festoyez en leur honneur et n’oubliez pas ce soir de vider quelques tonneaux à leur santé !
_________________
Guiyom
Le premier jour se termine sur cette victoire du jeune Coatmeur de Guérande. Je vous laisse tous profiter de cette soirée et je vous donne rendez-vous demain.

Nous commencerons ce second jour par le troisième tour de chacun des groupes. Ainsi vous aurez le plaisir de voir jouter :

Pour le premier groupe


Et bien, voila qui fera plaisir à la patronne...


Et le voilà qui fait demi tour, direction sa tente. Une nuit, et probablement la matinée, pour tenter de remettre l'épaule à sa place, pour mieux la malmener.

Mais avant, à boire!

_________________
Puisse le Ciel avoir pitié de mes ennemis, je n'en aurais aucune
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)