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{RP} Bataille de Pau

Jean.de.cetzes
    [Campement de l'armée Royale. Devant les murailles de la cité paloise. le 25 mars.]

Enfin ils étaient arrivés. La maladie n'avait pas eu raison d'eux et l'ensemble des hommes était à peu près rétabli. La route avait donc pu être empruntée jusqu'à la capitale béarnaise, en bon ordre de marche. Jean découvrait là un monde nouveau, qu'il n'avait jamais vu auparavant n'étant jusqu'alors jamais sorti de son comté Toulousain, sauf pour aller en Guyenne dans sa prime jeunesse. Il voyait ainsi le Béarn qu'il avait pu fantasmer pendant sa jeunesse ou pendant la guerre qui avait opposé le Béarn à la couronne. Il s'était longtemps demandé à quoi pouvait ressembler le pays qui avait abrité une telle rébellion. Et au fond, s'il était beau, il n'était pas différent des autres régions de France où les Hommes aspiraient à la paix et à la justice. Ce qui expliquait justement sa présence pour chasser les malandrins qui oppressaient le peuple. Car s'il découvrait le Béarn en général il découvrait à l'instant les abords de la cité où Flex se reproduisait quotidiennement. Stupre et luxure était la devise du pouvoir en place, lui disait-on. Ses informateurs lui indiquaient aussi qu'on ne comptait plus le nombre de bâtards de la Mirandole, presque que des filles. Les ragots et les pamphlets étaient monnaie courante à ce sujet et les mieux informés ou les langues les plus perfides affirmaient qu'il copulait également avec celles-ci, quelque soit leur âge d’ailleurs. Ce qui en disait long sur l'ambition et la noblesse du roturier qui s'était cru souverain. Mais pour l'heure le sort de Flex était secondaire. Il fallait organiser le camp, et préparer l'assaut qui ne saurait tarder.

L'armée s'était en effet déployée autour des remparts, assez rapidement, complétant le dispositif mis en place par les dragons. La cité était dorénavant en état de siège. Siège qui serait de courte durée puisque l'assaut serait donné sous peu. Alors les hommes se préparaient, le bélier se construisait, mais aucune arme de longue portée n'était dressée. La technique de sape ne serait pas employée et aucun animal malade ne serait balancé par dessus les remparts. Non. Ce serait une bataille propre, si tant est que ce soit possible. Lame contre lame, chaque homme chargeant «avec sa bite et son couteau». Si l'on peut dire, sans compter les femmes, bien sur.

Néanmoins, le Roi avait fait porter trois bombardes de gros calibres, ce qui avait participer à leur retard général tant il était difficile de transporter les boulets de près de 100 kilos chacun. Il en eut amené d’avantage si ça ne coutait pas un bras. Certes l'utilité destructrice était faible compte tenu de sa précision et de sa cadence, mais le bruit et les dégâts occasionnés lorsque le boulet touchait sa cible avait un effet démoralisateur redoutable. C'est ainsi que toute la journée les trois bombardes tireraient en direction des murailles de Pau d'où les défenseurs pouvaient apercevoir le nombre conséquemment supérieur au leur des troupes venus les assaillir et libérer le Béarn.

Le spectacle d'un siège, ou du moins de l'organisation d'un assaut contre une forteresse était généralement prodigieux. Voir du hauts d'une muraille deux armés se disposer en ordre de bataille devant soit était à la fois fascinant et inquiétant. Jean l'avait vécu à Toulouse et il s'en souvenait. Observer les tentes et les oriflammes se dresser, juste assez loin pour être hors de portée des flèches de l'ennemi, soit à plus de 300 mètres pour éviter les tirs des balistes si tant est qu'ils sachent s'en servir, voir les hommes s'activer à élever les beffrois et à rassembler le matériel d'assaut - les échelles et la paille pour combler les fosses et douves et à l'occasion y mettre le feu pour obliger l'ennemi à quitter le rempart, oui, voir tout cela avait quelque chose de stupéfiant. Une beauté barbare, primitive en laquelle les hommes de son temps se complaisaient.

Jean le savait et avait justement tout à fait conscience de l’effet que tout cela pouvait produire sur le moral des troupes ennemis - facteur clef la plupart du temps d'un assaut. Aussi il avait donné des ordres pour que tout soit fait pour impressionner les barbares d'en face. Que le nombre de tentes soit doublé, même si inutilement vide, que des feux soit allumés en surnombre, qu'on donne de la voix, qu'on fasse crier de faux ordres au court de la journée laissant planer le doute d'un assaut imminent, qu'on rit beaucoup pour montrer que le moral était excellent grâce à la certitude de la victoire et que l'on fasse rôtir des chaires odorantes, de la biquette et de la sardine principalement, puisque la cité semblait dépérir de faim. La guerre des nerfs commençait.


édit 1 : correction et ajout dans le premier paragraphe.
édit 2 : précision de l'édit parce que l'autre là, le vilain, il a posté pendant que j'éditais et que ça devrait être interdit d'abord !
édit 3 : parce que jamais 2 sans 3 déjà. Et puis pour des menus corrections orthographique et de tournure.
édit 3 : ortho. Doit en rester, mais ça me piquait les yeux !

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Gaspard.castagnier
[Armée des Dragons, Matin du 25 Mars]

Comme à son habitude, Gaspard n'avait pas beaucoup dormi cette nuit là, il s'était réveillé aux aurores pour contempler les murs de Pau. Soucieux de voir cette si belle ville aux mains des envahisseurs , il ne pu s'empêcher de se remémorer les événements qui avait entraîner la chute du Béarn aux mains du petit groupe d'infâmes pillards. Il avait encore en tête le visage de Flex et sa bande qu'il avait aperçut lors de la cérémonie des Dragons qu'elle que temps avant leurs coup d'état, il se jura une dernière fois de faire couler le sang des ses malfaiteurs. Le regard noire, il décida de retourner au cœur du campement afin de dispenser les premiers ordres de la journée.

Sur le chemin qui menait à sa tente, il tomba sur plusieurs soldats malades, toussant, le regard vide et le visage blême du à la fièvre, mais cela ne le surprit guère, les épidémies étaient choses courantes lors d'expédition militaire dans des conditions d'hygiène désastreuse, il se contenta seulement de placer un tissu sur son visage pour éviter toute inhalation fatale.

Plus tard dans la matinée l'armée Royale fit son apparition, on disait d'eux qu'ils arrivaient affaiblit, mais Gaspard trouva au contraire que leurs regards reflétaient une motivation qu'un simple mal de ventre ne pouvait corrompre. Et tandis que les soldats des deux armées s'affairaient à préparer l'assaut, Gaspard, son commandant et les autres officiers procédaient à l'organisation des troupes. Une chose était sur, peu importe le vainqueur, toute cette histoire allait bientôt se terminer dans le brouhaha infernal d'un champ de bataille faisant office de purgatoire.


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Sharlnak


[Pau, journée du 24 Mars, les BIE réunis sur les remparts]



Sharl regardait toujours l'horizon de la Navarre... les traitres était arrivée, mais point le roy du Lys. Il se retourna donc, que dire quand arrive l'espagne, fille ainée de l'eglise arrivée en tenu plus que légère près de lui, il apprécia en la detaillant de haut en bas, puis de bas en haut en disant :

Oh oui tu as tes gambettes a l'air... ce n'est pas mal pour une Espagnol, je pensais pas que tu en ferais autant... habitué au grosse chaleur, le début du printemps doit te sembler bien froid.

Puis vint la sirène Italiene... elle avait autant de cran que lui après tout et il lui sourit :

Demat a vous la ritale, je vois que le pari est tenu.

Sharl repensait a une missive sur sa lune, mais laissa mourrir le sujet pour des raisons obscures.

Belle journée en effet, deux étoiles en plein jours!

Il ria doucement avant de dire :

Hum le E des BIE a mérité un gage, la ritale une idée ?

Puis en haussant les épaules, son regard ce perdit dans l'horizon bien vide d'homme il leur souffla : allons nous en, l'attaque n'aura pas lieu avant demain.




[Pau, nuit du 24 au 25 mars]



Une soirée encore riche en rebondissement, au menu ? De la bretonie en allant jusqu'en espagne en voguant vers l'italie après une folle remonté dans les flandres en passant par la navarre. Des rires, des défis ridicules.

Que pouvez-t-on retenir de cette soirée ? Un depuceleur compulsif dans ses jeunes années, une bise entre hommes, une contorsioniste avec des talents incroyable révélé, l'italie completement a nu, les flandres aimant aimant tout ce qui peut porter des braies!

Sharl finis la soirée en compagnie de la ritale, discutant sur des sujets sérieux avant qu'il ne doivent la laisser.





[Pau le 25 mars sur les remparts]


Il ne pouvait pas savoir ce qui se serait dit entre filles après son départ... il n'en eu que des echos le matin par une blonde, un discours prononcé..; une fierté ravalé...la fin de la tempete ?

Puis il retourna sur les remparts, toujours dans sa tenu d'adam, mais il avait plus froid... fichu grisaille et crachin... Puis un sourrire lui vint au lèvres, tout le monde allait pouvoir les BIE encore en action... mais aujourd'hui devrais se joindre sur leur pans de mur, la Navarre personifié et les flandres a moitié nu... Sans braies afin de se reconaitre entre defenseur...

Diantre la journée s'annonçait belle, mais au vue de l'odeur, la nuit s'annoncerai difficile et pleine de danger...

Sharl eu une envie de rire et du haut des remparts invectiva les armées adverses :


Citation:
Y a que des pieux dans la maison de Dieu,
Y a que des defequant, Y a que des defequant,
Y a que des pieux dans la maison de Dieu,
Y a que des defequant dans la maison de Jean!

Y a pas qu'deux, Y a pas qu'deux defequant,
Y en a pas deux, Y en a pas cent,
Y a pas qu'deux, Y a pas qu'deux defequant,
Il defeque tous dans la maison de Jean!

J'ai les foies, il y a plein de merdeux,
Sa sent le crotin, jusque dans leur dents,
J'ai les foies, il ya plein de merdeux,
Sa sent le crotin dans la maison de Jean!
Domenika
    [ Pau - le 25 Mars - vaut mieux tard que jamais. ]


    Sous moi donc cette troupe s'avance,
    Et porte sur le front une mâle assurance.
    Nous partîmes cinq cents; mais par un prompt renfort
    Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port,
    Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,
    Les plus épouvantés reprenaient de courage ... *


Arrivés, ils étaient arrivés. Ils montèrent les tentes, installèrent les bombardes, creusèrent des latrines, - des grandes - aiguisèrent leurs épées. Tout était prêt. Par rapport à la veille, on voyait moins de soldats souffrir de dysenterie. D'en bas, on voyait quelques félons observer la scène du haut des remparts. Toute une armée de soldats en mode rambo ON**.

Kem fit comme d'habitude le tour du camp pour se dégourdir les jambes, et remarqua une grande tente. Très grande même... La curiosité la titillait, mais c'était un bien vilain défaut. Aussi, se demandant ce que cachait cette armature de toile qui n'était ni la royale tente, ni la tente du capitOane, ni l'infirmerie, ni la cantine.... Un bruit se fit entendre à l'intérieur.. Alors que ses pas l'avaient dirigée dans la direction opposée, sans s'en rendre compte, elle était déjà à l'intérieur. Ce bruit pour un pilier de taverne - pas une ivrognesse, notez bien, même si elle a une descente qu'on remonterait pas sans cheval -, c'était comme un appeau à canard. A peine installée, la taverne du camp attirait déjà les soldats. Une riche idée qu'avait eu Jolius. Justement, disait elle la veille au capitOane, ça manquera, d'avoir une taverne à nous, vu qu'on ne pourra pas rentrer dans la ville avant la bataille...

Par contre, si eux ne pouvaient pas vraiment rentrer en ville, rien n'empêchait les Palois, on ne sait comment, à venir visiter leur temple béni, s'en jeter un petit derrière la cravate, et tenter de se faire servir. La fumée qui s'échappait des rôtissoires et de la cantine avait bien eu pour effet de faire saliver les habitants affamés. Suffisamment affamés pour oublier les remugles de dysenterie...
Guillhem
[Arrivée devant Pau, le 25 mars]

Un voyage durant lequel de pénibles souvenirs remontaient à l'esprit du lieutenant de garnison. Etaient ils seulement arrivés à Pau la dernière fois? La brume dans son esprit se clairsema tandis que les canonniers arrêtaient leurs charrettes meurtrières contenant les énormes boulets.
Un investissement coûteux certes que ces bombardes, mais leur effet déstabilisant ne serait pas négligeable.
L'ancien Capitaine gageait qu'on parlerait de cet assaut dans tout le royaume, duquel d'ailleurs avait accouru de tous azimuts toute la fine fleur des plus vaillants combattants.
Rien n'était trop bon pour le Royaume, rien n'était trop bon pour ce Roy, qui avait su exhorter la ferveur de tant de provinces, de tant de feudataires, de tant de peuplades aux us et coutumes aussi riches que disparates.

Oui ils étaient bien arrivés à Pau la dernière fois. Et ils avaient du rebrousser chemin face à l'avancée massive de troupes venues d'Aragon.
Mais cette fois la donne avait changé. Un Toulousain s'était emparé du trône du Royaume ibérique, et toutes alliances avec le Béarn avaient peu à peu cessé.
Ce même Roy, fils de Natale qui aurait pu faire basculer sur un mot de la Reyne la précédente guerre contre la Navarre, avait cette fois mené sa barque jusqu'à bon port, et les troupes aragonaises resteraient en Aragon.

Le règne de Jean marquait le début d'une nouvelle ère. Une ère de prospérité, une ère de rassemblement, et une ère de justice durant laquelle la France frapperait sans faillir ses félons où qu'ils se terrent.

Un rictus bienveillant étira le visage du maître d'armes, le temps de considérer la naissance de cet espoir, cependant qu'il marchait vers le lieu de rassemblement des capitaines des deux armées assiégeantes.

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Susi
[nuit du 24 au 25 Mars ou comment mourir seule au monde

Qu'est ce qui peut se passer dans la tête d'une brunette de 15 ans qui décide de faire marche arrière, d'aller rejoindre un regard en se jetant droit dans la gueule du loup?

Dans la journée, il y avait eu des échanges de missive.
Elle tout d'abord, l'engueulant pour lui avoir dit de rester à Orthez et de l'avoir planté là. Il avait répondu qu'il allait quitter l'armée pour retourner à Orthez. .
Puis au final, de conclure en disant, bon j'arrive j'aime pas engueuler les gens par courrier.

Il y avait eu quelque chose qu'avait tourné dans le mauvais sens dans sa cervelle de piaf.
Même la conversation, la veille, avec Lissen n'avait rien fait. Il avait eu beau lui dire que c'était dangereux, que quelqu'un qu'on ne connait pas ne vaut pas le coup, mais justement, elle avait l'impression de connaitre Chab depuis toujours. Comme si elle savait qu'il ne pourrait jamais avoir de choses mauvaises venant de lui.
Et puis Susi avait pris sa décision, ne pas se mêler de leur guerre, alors pourquoi en avoir peur?

Elle avait donc sauté sur son cheval, partant au galop comme si elle était partie pour joueur une partie de cache-cache. Elle le retrouverait et lui demanderait cette fois des explications, savoir ce qu'il y avait derrière ses yeux qui semblaient tout savoir sur elle.

Elle avait pourtant mis pied à terre quand elle avait aperçu les lueurs autour de Pau.
Elle avait pourtant marché hors de la route pour ne pas se faire repérer.
Elle avait pourtant fait attention pour que son cheval ne fasse pas de bruit.
Et puis Susi était persuadée que Chab avait averti son capitaine qu'elle arrivait, c'était tellement logique pour elle, qu'elle n'avait même pas pensé que c'était eux qui allait la frapper, tant et tant de fois.

Car oui, a un moment cela avait dérapé.

Au premier coup elle ne compris pas de suite,
Au second, elle commença à se défendre, l'épée volait dans les airs essayant de repousser la horde de loup entaillant les uns après les autres sa chaire.
Quand une épée s'embrocha rageusement dans son épaule et que son épée se brisa, là, Susi compris.
La Douleur était telle que la môme se recroquevilla au sol, le dernier son qu'elle émis fut :

Maman...

Hurlement d'un dernier espoir avant de partir la rejoindre, comme la suppliant de venir l'aider.

Toute sa vie Susi n'avait été à la recherche que d'une chose : une mère pour la protéger, une mère pour l'aimer, une mère pour lui apprendre les gestes de tendresse... une Mère.
Derrière cette carapace de tête de bois,
Derrière ce visage souriant
Derrière ses rires
Derrière ses paroles intarissables
Derrière ses décisions fantasques, Susi cachaient une blessure qu'elle n'arrivait pas à aguerrir.
Elle avait trouvé l'apaisement en suivant partout Kayhan et Esta,
Elle avait fait de même avec Selene,
Puis il y avait eu, Nashia dont elle avait eu le secret espoir qu'elle pourrait épouser son père. Son père qui s'était tellement réfugié dans son travail qu'il n'avait rien compris à tout cela.

Combien de coup avait-elle prit?
Combien de fois étaient-ils revenu?
Tout ce qu'on peut dire, c'est qu'elle mourait seule au monde....






Voilà mes évènements, à vous de jouer

5/03/1462 07:29 : Félicitations ! Vous avez débloqué le trophée Try again.
25/03/1462 04:09 : Votre bouclier a été détruit.
25/03/1462 04:09 : Votre arme a été détruite.
25/03/1462 04:09 : Chabrias vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Murlok vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Aldebaran2 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Tchetchenov vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Rodheric vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Brennus vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Murlok vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Zoubliette vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Enguerrand_de_laigny vous a frappé Vous avez été grièvement blessé.
25/03/1462 04:09 : Lady_eden vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Murlok vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Luciosestio vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Brennus vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Tamaga vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Tifin vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Wilhelmus vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Gitane_dulys vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Brennus vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Pallou vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Mam vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Marcussacapuss vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Gitane_dulys vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Kallimero19 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Pallou vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Pallou vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Chris_mc_carthaigh vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Brennus vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Yousseph vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Bryn_sturluson vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Bryn_sturluson vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Alessandro_volta vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Ishtara vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Lady_eden vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Murlok vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Chabrias vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Prisca vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Angel_marcus vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Grirane vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Chabrias vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Rodheric vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Rodheric vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Rodheric vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Aldebaran2 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Julien1 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Kallimero19 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Zeze5 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Portachu vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Bryn_sturluson vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Ishtara vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Vanyel vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Chriskhan vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Luciosestio vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
25/03/1462 04:09 : Vous avez été attaqué par l'armée "Hic sunt Dracones" dirigée par Tchetchenov

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Armenos
[Pau - armée Royale - 25 Mars 1462]



Y a pas à dire, le Béarn, c'est LA province du moment, où il faut absolument se trouver. Que se soit pour se faire trucider, choper un petit quelque chose aux entrailles, donner des coups et bien d'autres choses.

Et puis, il y avait du "beau" monde. Pas mal de personnes qu'il serait intéressant de capturer et/ou tuer, selon ses envies, afin de : se faire bien voir, de recevoir les honneurs, de prétendre à une belle rançon, mais aussi tout simplement pour en finir très vite.

Autant dire que l'on peut trouver de tout, en dehors ou à l'intérieur des murs de Pau l'assiégée. Des traînes-misères, des opportunistes, des charognards, des mercenaires et tout un tas de gars remplissant diverses obligations. Choisies ou non.

Toujours à environ cinq mètres du Roy, le Garde Royal se baladait, fort heureux de pouvoir remplir à nouveau sa mission et non plus des seaux ... Fort heureusement, cela lui évite toutes les corvées pénibles qu'il faut se taper à chaque siège.

Ah oui, aussi, il faudra songer à réussir à mettre la main sur ce "Louvelle rebelle". A peine arrivé d'Italie, que déjà il emmène le Béarn faire sécession. Sacrée Famille.
Prions : il faudra au moins cela, pour se l'approprier avant les autres.

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Acar
[Dans les remparts de Pau...]

Tout ceci n'avait que trop duré, le concernant...

D'un geste naturel, il prit son livre des Vertus puis le serra bien fort.
De le faire, iscelui avait remarqué qu'il en ressortait, apaisé... Néanmoins, dire qu'il estait en paix, céans, estait un bien grand mot.

Plume s'emballa sur le veslin... Il expliquait à son espousée les raisons de son despart... Puis, scellé, le servant partit avec le pli, pour le donner à sa maitresse.

Un page vint l'harnacher, de pied en cape et ainsi emballé, iscelui alla en les escuries rescuperer son fidesle destrier...
Une longue histoire qu'ils partageaient, ces deux là.
Orsan avait tout comme son maistre despassé la moitié de sa vie. Ce lien fraternel et ancien durait depuis huit années. Poulain, iscelui fut acheté en les terres du Boubonnais-Auvergne. Et depuis, rien ne les avaient séparés.

Le cheval donc, connaissait le port de vestement de son maistre. Ainsi, tenue lesgere et assuresment la sortie serait sereine.
Le port lourd signifiait par contre la charge, le danger... Instinctivement, Orsan tapa du sabot... Estait-il heureux, malheureux.

À son tour, lui aussi fut bardé de fer et de pair, ils prirent direction de l'armée...

"Chaque jour, l'homme construit mais chaque jour, le destin descide à sa guise..." Telle fut sa pensée derniesre avant de parler aux gardes, alentour...

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Melian
[Hospital Comtal de Pau]

Elle avait vu les étendards. Elle avait versé une larme en voyant les Dragons porter celles de Gascogne. Comment avait-on pu en arriver là ?

Jusqu'au bout, elle avait essayer de convaincre, pour que cette folie cesse. Mais dès le premier jour, elle avait su que c'était totalement vain. Il n'est pas de plus sourd que celui qui refuse d'entendre.

Bientôt, il n'y aurait que le sang, la douleur, la mort. Devant ses yeux, la vision des nombreux champs de bataille qu'elle a vu. Dans ses oreilles, les hurlements, les râles, les borborygmes immondes du sang qui a transformé la terre en boue labourée par les pieds et les sabots.

Elle ferma les yeux et secoua la tête doucement.


- Ma Dame, que va-t-il arriver ?

- Le Béarn meurt Elisa, et sans nul doute ne sera-t-il pas le seul.

- Ne peuct-on rien ?

- J'ai essayé. J'ai échoué.

- Mais vous ne pouvez pas tout, toute seule !

- Non.

- Alors quoi ?

- Nous allons récupérer les blessés, les soigner. Nous allons récupérer les morts, et veiller à ce qu'ils aient sépulture décente. Nous allons prier pour que tout ceci cesse vite.

- Mais... et vous ?

- Moi je vais me tuer à la tasche, et espérer là encore que la fin sera rapide.


Le regard noir est étonnement dur et vide. Elisa s'en inquiète.

- Ma Dame ?

Mais Elisa n'aura pas de réponse. Melian tourna les talons, et s'en alla continuer les préparatifs à l'Hospital. Elle ne dira plus un mot, excepté à ses enfants chaque fois qu'elle ira les voir, et à ses patients.

Elle ne pensait pas voir l'Enfer si vite. Comme quoi il ne faut jurer de rien.

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Exael
    [Armée Royale. Pau. le 25 mars . Juste avant la bataille ]


Il était temps d’en finir, cette histoire n’avait que trop durée, les combats étaient imminents, l’armée royale parait à toute éventualité. Le jeune Lieutenant préparait ses armes avec soin, le sang la mort il connaissait c’était devenu chronique, habituel bien que la c’était différent, son honneur était de servir son Roy , et ça n’avait pas de prix. Chaque bataille comportait des risques, il le savait seulement mourir pour une cause juste ça en valait la peine…. Certaines nouvelles recrues avaient les traits tirés, leurs visages exprimaient la terreur, et puis enchaînaient les questions. inutile de mentir, certains périraient au combat, il fallait en prendre conscience. Il était temps de montrer que la peur ça se surmontait.

FRERES ET SŒURS D’ARMES ! C'est ici que nous les arrêterons ! C'est ici que nous combattrons ! C'est ici qu'ils mourront ! Rappelez-vous ce jour, soldats, car il vous appartient à jamais Pas de retraite. Pas de capitulation. Nous resterons debout, nous combattrons et certains de nous mourrons. Préparez votre déjeuner et mangez bien... Car ce soir nous dînons aux enfers * A Mort les félons !! Pour LE ROY ! Pour le Royaume et pour ce peuple meurtri, Battez vous avec honneur !!!

Les Soldats criaient, l’adrénaline montait, la peur se dissipait, ils étaient sur le qui vive il n’y avait plus qu’attendre, l’ordre de charger …

Extrait du film 300 adapté à la situation

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"Nec Proditor, nec Proditur, Innocens Feret "
Groch_nahem
[Armée Royale, Pau le 25 Mars]

Il n'avait pas revu Pau depuis des lustres. Sa venue était bien particulière, arrêter le félon par tous les moyens mort ou vif.

Il se remémore sa rencontre avec Flex et Pierobero, il y a des années de cela lorsqu'ils habitaient en Périgord et tous les 3 membres de l'Ost. Le temps les avaient changé et pas en bien. Il allait devoir croisé le fer avec celui qu'il considérait comme un ami, Piero et Qu'elle gâchis .

C'est au coin du feu qu'il s'affaire à son activité favorite d'avant guerre. Lustrer l'armure et aiguiser l'épée, toujours le même rituel fait de manière calme et concentrer.

Certaines nouvelles recrues tremblaient à l'idée de se battre, pas lui. Il avait connu maint et maint conflit, s'étaient battus dans les plus grande guerre qu'avaient connu ce royaume.

D'ailleurs, le jeune lieutenant Exael essaya de motiver les troupes, qu'ils surmontent leur terreur. Ce qui le fit doucement sourire.

Lorsqu'il eut fini, que tout était nikel pour le lendemain. Il se leva, embrassa sa douce puis alla se coucher sous leur tente.

La journée de demain sera longue, très longue.
Andom
[Remparts de Pau - soir du 25]
Comportement déplorable. Il s'était flagellé, en secret, seul, dans l'église, avant d'aller implorer son pardon aux principales victimes de sa folie passagère. Comment cela avait-il été possible ? Comment avait-il pu faire tant de choses si abjectes à ses yeux et qui, sur l'instant, lui avaient semblées être sa volonté propre ? Était-ce le fruit des sentiments divers et variés qui le tiraillaient de toutes parts ? Avaient-ils libéré en lui un démon qui pourrait, à tout moment, reprendre possession de son esprit et de son corps avant de s'en retourner à nouveau dans les entrailles de son âme ? Moment horrible à passer, durant laquelle il avait oublié toute compassion, toute mémoire, toute vertu aristotélicienne. Horrible. Tout ça, c'était la faute de ces chiens de francs ; qu'ils crèvent la gueule ouverte, eux et toute la clique de traîtres.

Le voici désormais en haut des remparts. Face à lui, autour de lui, tous les volontaires pour les combats à venir, à l'exception de ceux qui étaient déjà à leurs postes. Certains soldats ; d'autres maréchaux ; d'autres enfin simples flâneurs. Andom leur ferait bien un solide discours martial, mais quelle originalité y-aurait-il à cela ? Et comment pourraient-ils le croire, eux qui l'avaient côtoyé au quotidien plusieurs semaines durant, parfois timoré, parfois timide, parfois effacé, parfois vindicatif, mais jamais charismatique au point de s'imaginer menant des troupes à la bataille. Non, non, hors de question. À la place, César leur proposerait un petit jeu amusant...


" Béarnaises ! Béarnais !

Nous allons combattre... à notre façon !
Peu m'importe que vous abattiez ou capturiez !
Peu m'importe que vous en vainquiez un ou cent !
Peu m'importe que vous soyez vainqueurs ou vaincus !
Mais il m'importe fort que nous montrions à tous comment se battent les gens civilisés !
Que la fête commence ! Que le bal s'ouvre ! Montrons à nos invités que nous savons danser !

Mes demoiselles, mes dames, gentes Béarnaises... à vous l'honneur !
Offrez toutes un gage ; ruban, écharpe, cordon, qu'importe ! à votre cavalier !

Mes bons sieurs, gentils garçons comme rudes soldats... à vous le plaisir !
Sachez vous battre pour les beaux yeux de votre cavalière ! "


Au moins, ça changerait des habituels "Ouais l'autre est un abruti brigand tueur violeur même pas beau" et autres insanités sans originalité qu'on prononçait habituellement en ce genre de moments tragiques...
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César de Louvelle & Pazzi
Oane



[Pot de Fer contre Pau de Terre,
le 25 mars mil-quatre-cent-soixante-deux]


[Tente du capitaine]
L'Oane, agenouillée sur son Prie-Dieu récite le credo. Elle a confessé ses pêchers, elle est en règle avec le Très Haut, ou presque ; de sa main blanche tâchée d'encre bleue la jeune femme se signe. Puis, elle se relève en chemise blanche, jambe nue.

Henri parbleu ! Mon armure ! ah mais ou es tu donc garnem..

ben quoi vous m'aviez dit de vous fiche la paix comtesse...

olété avant : magne-toe palsembleu !

La Surgères enfile le gambison tendu par son page-écuyer-demi-homme-à-tout-faire. Le cuir l'odeur du cuir, inspire. Puis, suit le haubert. Toute de maille vêtue, elle attend qu'Henri attache les éléments de son armure. Comme il hésite, elle dit de sa voix haute et claire au gamin soudain devenu nerveux -surement du à l'imminence de cette grande bataille qui est pour lui la première mais surement pas la dernière vu qui il sert- :

spalières, genouillères, cubitières, jambières

Et le mioche de s'exécuter avec maladresse, alant jusqu'à lui fiche un coup de cuissard dans le ventre

Et les bonnes manières !

Une fois les solerets enfilés, le capitaine enfile ses gantelets d'un geste décidé, puis son heaume-tête-d'ours sur sa chevelure nattée. L'Oane ceint Rage mordante en son fourreau. Puis,, elle sort suivie de son page. Devant les pans de la grande tante, son destrier couleur de nuit sans lune l'attend harnaché comme il se doit, elle sourit et vérifié la selle.

Bien, Henri, Bien.

Dit-elle d'un air distrait, ses océans scrutant déjà le campement.

prends ma rondache et attache là.

Sans plus se préoccuper de ces détails, non triviaux mais bien vitaux, celle qu'on surnomme la Vierge de Fer se dirige vers une tente où elle sait trouver le joueur de cor. En y allant elle voit Groh embrasser sa petite femme genre "on va au lit cherie", elle s'arrête et dit :

Et bien Groh ! Au lieu d'embrasser vostre petiote épouse et parce que vous voulez encore l'embrasser longtemps, allez adonc ceindre vos armes et rejoignez nous séant, olé l'heure de la bataille mon brave ! Vous dormirez demain, une foy l'ennemi vaincu.

Plus loin, au sonneur :


Que sonne l'olifan :
Aux armes !



Dans tout le campement royal resonna le son de l'olifan

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Murlok
[ Pau , légèrement a l’écart du campement des dragons ]


L’après midi était bien avancé
La nuit fut plutôt calme si ce n'est cette tentative d'intrusion sur Pau vite arrêter
Que pouvais faire une femme seule face a une armée?
Rien.....
Aucune gloire a tirée , juste la satisfaction d'avoir accomplis la mission.

J'en avais connu des combat...
Assis par terre je me remémore quelques batailles , surtout celle ou malgré la victoire finale , j'avais perdu un œil.
Jusqu' a présent , je ne me souciais que très peux de ce qui pouvais m'arriver , mais la , ce n’étais plus pareil.
Je me devais de rester en vie
Je me devais aussi de tenir des promesses.
Un besoins de prier
Seul , juste Aristote et moi , pas d’église , pas de symbole religieux.
Je priais pour chaque dragons
Je priais pour avoir la force de protéger celle que j'aimais
Je priais pour qu'aphy retrouve le sourire car je lui aurais ramener entier une personne chère a ces yeux.
Je priais pour Novi , qui avais la lourde tache de diriger le combat de cette nuit.

[ au cœur du camps des dragons ]

Plus l'heure approchais , plus la tension était palpable.
Mais les troupes étaient vaillante , voila qui était le plus important.
Demain tout serais surement joué.
Des mots d'encouragement par ci
Des petits conseils par la
Puis me voila deja devant la tente de commandement
J’entrouvre la toile et m'y engouffre
Les dés étaient jetés
demains nous saurons...

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Vitryol
[Pau, intérieur des remparts]

Depuis le début le gros Vitryol se baladait avec Pierobero et pour la première fois, participait à des combats. Il faut dire que son gabarit et sa santé ne le prédisposaient pas à ce genre d'activités physiques. Mais force est de constater qu'il avait pas trop mal combattu. Pas une égratignure et un équipement intact... Bon ok, ils n'avaient réellement tabassé que du voyageur isolé. Il n'empêche toute expérience est bonne à prendre. Ce qui arrivait devrait être d'un autre acabit.

Quoique...

Aux dernières nouvelles, l'armée royale était ravagée par une dysenterie colossale qui envoyait aux latrines plusieurs fois par jour nobles et glandus de base. A force de croûter de la crasse ramassée vite fait dans les fourrés du coin et cuisinés à l'arrache par deux popotiers malpropres, fallait s'en douter. Enfin c'est comme ça qu'il le voyait. Que cela corresponde à la réalité ou pas, il s'en cogne un peu.

Assis dans l'ombre sur son siège depuis quelques moments, il observe le va et vient des officiels de la ville et de la vicomté. Puis du coin de l'oeil et marmonnant une petite chanson qu'il avait apprise en côtoyant les cocos de l'armée de Pierobero, il regardait son cousin le Pazzi, dict le Rital ou le mangeur de tubes. Il le voyait sur le haut des remparts, scruter l'horizon puis s'en aller, revenir, re-scruter l'horizon, mêlant grand calme et agitation suspecte.

Mais ce 25 fut spécial car en fin de journée, le vicomte s'adressa au peuple dont lui, René-Gilbert de Louvelle faisait aussi partie.

"Ah! Le baratin d'avant fête! Ce coup-ci, ça va cogner..." Sur ces pensées, il pris tout ce qu'il y avait à côté de lui et, avec un calme assez inabituel vu la situation, entreprit de se relever. Chose délicate s'il en est vu son poids, et l'encombrement de l'épée et du bouclier aux armoiries de Vergt qu'il arborait. C'est après moult efforts et et jurons qu'il parvint à se remettre debout pour rejoindre le capitaine du Béarn.

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René-Gilbert de Louvelle, dict Vitryol.
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