Agnesina_temperance
« - Figlio di puttàna ! La tua madre la putana ! Va cagare, stronzooo !
Que de mots d'amour de la part de la Corleone qui est tenue par plusieurs gardes et qui, malgré la difficulté qu'elle leur offre, la portent vers un endroit qu'elle connaissait déjà : La prison ! La sentence de l'Artois était tombée et la brune allait connaître quelques jours d'enfermement dans un lieu qui hérisse ses poils de nuque tant que les gens qui y sont présents ne sont pas un brin agréables, parce qu'ils en veulent souvent à sa vertu qu'elle n'a plus et parce que la bouffe est vraiment dégueulasse. La prison, c'est une contre-société où la loi du plus fort règne et où aucun des gens présents n'a des principes. Il fallait toujours être sur ses gardes. Ina pensait vraiment que l'endroit n'était pas fait pour elle, mais elle devait avouer qu'elle préférait la prison aux coups de fouet ou au pilori. Elle craignait plus que tout les châtiments corporels, comme tout le monde en fait. Corleone essayait de s'échapper mais ils étaient plus fort et elle était blessée.
« - Lâchez-moi et touchez pas à mes écus, bande de bâtard !
Coup de poing, coup de pieds et crachats, rien n'y faisait, ils ne voulaient décidemment pas lâcher. Ils entrèrent dans le bâtiment et elle déglutit. C'était encore plus moche que la dernière prison qu'elle avait fait. Les hommes criaient, frappaient les portes. Que des animaux. La bourse de la Corleone fût arrachée par les gardes qui partirent d'un rire gras.
« - Arrête d'brailler, Femme. T'vas voir, t'vas être bien ici et t'vas te faire de nouveaux copains. Pour un peu, tu vas devenir un peu plus gentille.
Et vous croyez que l'homme allait s'arrêter à ce qu'il venait de dire ? Et bien, non. Le gardien de la prison mit sa grosse main sur les fesses de la Corleone. Vous connaissez sans doute la suite. Action, réaction. A peine, l'homme a-t-il mis le main sur les fesses d'Ina, que cette dernière se retourna rapidement lui donner un coup de tête dans son nez qui éclata sous le choc.
« - Vai a fare al marchiapedi !* Et un gros glaviot est craché sur le visage du garde qui se tient son nez ensanglanté. Les autres prisonniers commencèrent à crier, tapant encore plus fort sur les portes et les gardiens de prison vocifèrent des ordres, essayent de calmer les détenus.
« - Fermez vos grandes gueules ! Ordonnèrent les gardiens.
« - La chienne, elle m'a pété le nez ! Dit, le gardien au nez explosé.
« - Mort aux gardiens ! Les gardiens, sur le trottoir ! Hurlèrent les prisonniers.
Corleone, quant à elle, était d'une humeur massacrante car ne l'oublions pas, elle était toujours en convalescence suite à sa bagarre contre Serguei et juste après, une armée. Les côtes fracassées et les plaies en train de cicatriser, il ne fallait pas la chercher. Ceci dit, le gardien blessé dans son orgueil masculin, frappa violemment la brune au ventre, lui arrachant un cri de douleur.
« - Ouvrez-moi cette cellule !
Corleone fût jetée en prison.
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* va faire le trottoir
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Que de mots d'amour de la part de la Corleone qui est tenue par plusieurs gardes et qui, malgré la difficulté qu'elle leur offre, la portent vers un endroit qu'elle connaissait déjà : La prison ! La sentence de l'Artois était tombée et la brune allait connaître quelques jours d'enfermement dans un lieu qui hérisse ses poils de nuque tant que les gens qui y sont présents ne sont pas un brin agréables, parce qu'ils en veulent souvent à sa vertu qu'elle n'a plus et parce que la bouffe est vraiment dégueulasse. La prison, c'est une contre-société où la loi du plus fort règne et où aucun des gens présents n'a des principes. Il fallait toujours être sur ses gardes. Ina pensait vraiment que l'endroit n'était pas fait pour elle, mais elle devait avouer qu'elle préférait la prison aux coups de fouet ou au pilori. Elle craignait plus que tout les châtiments corporels, comme tout le monde en fait. Corleone essayait de s'échapper mais ils étaient plus fort et elle était blessée.
« - Lâchez-moi et touchez pas à mes écus, bande de bâtard !
Coup de poing, coup de pieds et crachats, rien n'y faisait, ils ne voulaient décidemment pas lâcher. Ils entrèrent dans le bâtiment et elle déglutit. C'était encore plus moche que la dernière prison qu'elle avait fait. Les hommes criaient, frappaient les portes. Que des animaux. La bourse de la Corleone fût arrachée par les gardes qui partirent d'un rire gras.
« - Arrête d'brailler, Femme. T'vas voir, t'vas être bien ici et t'vas te faire de nouveaux copains. Pour un peu, tu vas devenir un peu plus gentille.
Et vous croyez que l'homme allait s'arrêter à ce qu'il venait de dire ? Et bien, non. Le gardien de la prison mit sa grosse main sur les fesses de la Corleone. Vous connaissez sans doute la suite. Action, réaction. A peine, l'homme a-t-il mis le main sur les fesses d'Ina, que cette dernière se retourna rapidement lui donner un coup de tête dans son nez qui éclata sous le choc.
« - Vai a fare al marchiapedi !* Et un gros glaviot est craché sur le visage du garde qui se tient son nez ensanglanté. Les autres prisonniers commencèrent à crier, tapant encore plus fort sur les portes et les gardiens de prison vocifèrent des ordres, essayent de calmer les détenus.
« - Fermez vos grandes gueules ! Ordonnèrent les gardiens.
« - La chienne, elle m'a pété le nez ! Dit, le gardien au nez explosé.
« - Mort aux gardiens ! Les gardiens, sur le trottoir ! Hurlèrent les prisonniers.
Corleone, quant à elle, était d'une humeur massacrante car ne l'oublions pas, elle était toujours en convalescence suite à sa bagarre contre Serguei et juste après, une armée. Les côtes fracassées et les plaies en train de cicatriser, il ne fallait pas la chercher. Ceci dit, le gardien blessé dans son orgueil masculin, frappa violemment la brune au ventre, lui arrachant un cri de douleur.
« - Ouvrez-moi cette cellule !
Corleone fût jetée en prison.
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* va faire le trottoir
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