Etienne_de_ligny
.....de toi.
Appétit insatiable.
Quittant la couche du Chaperon, le parfum de la pucelle encore frais sur sa peau, les entailles encore boursoufflées, le Griffé regagne la chambre dAlphonse. Au cours de cette soirée, le Faune avait su attiser son appétit et détourné par lHymen, Etienne ne put résister à lenvie de prendre les reins de lanimal. Débraillé et torse nu, cest sans pudeur que le courtisan abandonne la chambre de lInitiée pour senfoncer dans les coulisses. La naissance du Très Haut sera célébrée par dautres pécheurs, le Griffé quant à lui, senfoncera dans les Abysses au rythme de ses profanations.
Lentrejambe déjà échauffée par cette simple idée, le courtisan ouvre la porte du Félin qui semble succomber aux bras de Morphée. Là, il se glisse sur la couche et épouse ses formes. Son souffle se fait désormais court, envieux et alors quil glisse se presse contre son échine et que sa main perverse senlise sous les différents tissus pour happer de ses doigts la source de son plaisir, une odeur vient agresser son odorat. Sur cette peau quil sest empressé dembrasser et de mordre avec gourmandise, il sent le parfum dun autre. Alphonse pu la baise à plein. Cette flagrance nest pas féminine Ainsi donc, il avait trouvé son bonheur parmi les convives ? Lidée ne le dégoute pas le moins du monde et la rage que dautres pourraient éprouver se transforme en excitation. Pour lui, seul la possession de ses reins pouvait être assimilée à un coup bas et pour lheure, le Griffé ne se doute nullement de la nature des ébats passés. Etreignant alors à pleine main son vit, il bascule doucement le corps du comptable afin de lallonger sur le côté et épouser ses formes. Echine contre torse, roideur contre reins, la main dEtienne est désormais libre daller et venir dans des mouvements amples et ardents. Les lippes du courtisan viennent se perdent contre la nuque et les épaules de lamant et, affamé, il vient planter ses crocs au cur de sa chair. La soirée ne fait que commencer et le brasier qui étreint ses reins naspire quà trouver sa félicité dans létroitesse de ses entrailles.
Jespère quil te reste encore un peu denvie pour moi
Relation libertine, passionnelle et perverse, le tabou ne résidait pour Etienne, quen loffrande de leurs reins respectifs et si pour le Griffé lattirance au masculin nexistait quau travers quAlphonse, il connaissait le goût prononcé de son amant pour le vit. Néanmoins, si tout semblait clair et limpide dans lesprit du libertin, les choses navaient jamais été mises à plat depuis le début de relation. Ainsi, loin de se douter de ce quil attend, il laisser couler sa perversion sur la peau du Félin à travers diverses morsures, griffures, baisers et coups de langue.
Laisse-moi regagner ce qui me revient de droit
La main libre du Griffé vient semparer de la mâchoire du comptable afin de quérir ses lèvres et de dévorer sa lippe inférieure. Puis, croisant son regard il laisse sa main longer sa gorge pour finalement lenserrer dans une étreinte aussi dépravée quérotique. Au niveau des bassins, celui dEtienne se presse pour finalement essayer de simmiscer en lui. Son souffle se perd contre le lobe de son oreille alors que sa dextre enserre doucement sa gorge. Il est son amant son péché sa croix. La quête de ses reins se fait, sereine, retenue et alors quil le possède enfin, ses sourcils se froncent.
Tromperie.
Bâtard.
Les étreintes sur sa gorge, sur son vit se font alors plus fermes et malsaines. Il ne sagit plus de plaisir, dexcitation mais bien doutrage et de douleur passionnelle. Encré en lui, ses coups de reins se font plus secs, mêlant plaisir de détruire à lincapacité de quitter son être. Dans une main, le souffle se raréfie alors que le sang, dans lautre, cesse dalimenter son ardeur. Sa bouche, logée contre son oreille se fait plus perfide et les murmures qui nétaient que soupirs se font plus sombres et froid.
Jamais Quelquun na eu le culot de me prendre pour un con Mis à part toi.
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L'Aphrodite, une invitation indécente.
Appétit insatiable.
Quittant la couche du Chaperon, le parfum de la pucelle encore frais sur sa peau, les entailles encore boursoufflées, le Griffé regagne la chambre dAlphonse. Au cours de cette soirée, le Faune avait su attiser son appétit et détourné par lHymen, Etienne ne put résister à lenvie de prendre les reins de lanimal. Débraillé et torse nu, cest sans pudeur que le courtisan abandonne la chambre de lInitiée pour senfoncer dans les coulisses. La naissance du Très Haut sera célébrée par dautres pécheurs, le Griffé quant à lui, senfoncera dans les Abysses au rythme de ses profanations.
Lentrejambe déjà échauffée par cette simple idée, le courtisan ouvre la porte du Félin qui semble succomber aux bras de Morphée. Là, il se glisse sur la couche et épouse ses formes. Son souffle se fait désormais court, envieux et alors quil glisse se presse contre son échine et que sa main perverse senlise sous les différents tissus pour happer de ses doigts la source de son plaisir, une odeur vient agresser son odorat. Sur cette peau quil sest empressé dembrasser et de mordre avec gourmandise, il sent le parfum dun autre. Alphonse pu la baise à plein. Cette flagrance nest pas féminine Ainsi donc, il avait trouvé son bonheur parmi les convives ? Lidée ne le dégoute pas le moins du monde et la rage que dautres pourraient éprouver se transforme en excitation. Pour lui, seul la possession de ses reins pouvait être assimilée à un coup bas et pour lheure, le Griffé ne se doute nullement de la nature des ébats passés. Etreignant alors à pleine main son vit, il bascule doucement le corps du comptable afin de lallonger sur le côté et épouser ses formes. Echine contre torse, roideur contre reins, la main dEtienne est désormais libre daller et venir dans des mouvements amples et ardents. Les lippes du courtisan viennent se perdent contre la nuque et les épaules de lamant et, affamé, il vient planter ses crocs au cur de sa chair. La soirée ne fait que commencer et le brasier qui étreint ses reins naspire quà trouver sa félicité dans létroitesse de ses entrailles.
Jespère quil te reste encore un peu denvie pour moi
Relation libertine, passionnelle et perverse, le tabou ne résidait pour Etienne, quen loffrande de leurs reins respectifs et si pour le Griffé lattirance au masculin nexistait quau travers quAlphonse, il connaissait le goût prononcé de son amant pour le vit. Néanmoins, si tout semblait clair et limpide dans lesprit du libertin, les choses navaient jamais été mises à plat depuis le début de relation. Ainsi, loin de se douter de ce quil attend, il laisser couler sa perversion sur la peau du Félin à travers diverses morsures, griffures, baisers et coups de langue.
Laisse-moi regagner ce qui me revient de droit
La main libre du Griffé vient semparer de la mâchoire du comptable afin de quérir ses lèvres et de dévorer sa lippe inférieure. Puis, croisant son regard il laisse sa main longer sa gorge pour finalement lenserrer dans une étreinte aussi dépravée quérotique. Au niveau des bassins, celui dEtienne se presse pour finalement essayer de simmiscer en lui. Son souffle se perd contre le lobe de son oreille alors que sa dextre enserre doucement sa gorge. Il est son amant son péché sa croix. La quête de ses reins se fait, sereine, retenue et alors quil le possède enfin, ses sourcils se froncent.
Tromperie.
Bâtard.
Les étreintes sur sa gorge, sur son vit se font alors plus fermes et malsaines. Il ne sagit plus de plaisir, dexcitation mais bien doutrage et de douleur passionnelle. Encré en lui, ses coups de reins se font plus secs, mêlant plaisir de détruire à lincapacité de quitter son être. Dans une main, le souffle se raréfie alors que le sang, dans lautre, cesse dalimenter son ardeur. Sa bouche, logée contre son oreille se fait plus perfide et les murmures qui nétaient que soupirs se font plus sombres et froid.
Jamais Quelquun na eu le culot de me prendre pour un con Mis à part toi.
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L'Aphrodite, une invitation indécente.