Atlance
Un "courtisan" ... Le Atlance était bel et bien conscient qu'il n'en avait que le titre mais que la fonction était au point mort, d'ailleurs il ne savait qu'une chose sur sa fonction : donner son corps pour recevoir de l'argent. le reste, le plus important d'ailleurs lui était totalement inconnu.
Depuis son arrivé , il n'avait vu personne , fréquenté personne, travaillé pour personne. Il n'apportait rien et encore moins de l'argent.
Et ne servir à rien n'était pas sa plus grande souffrance, les femmes lui manquait. Il humait leur odeur, il rêvait de la douceur de leur peau défiler sur le bout de ses doigts, il ressentait leurs chaudes étreintes pénétrantes et bienfaisantes.
Et niveau travail, il était assez évident pour lui qu'un jour ou l'autre il se verrait convoqué. Mais il ne savait que faire, on ne l'avait pas formé car il n'avait pas eu le cran de le demander et le cran c'est tout ce dont il voulait.
Tout ce qu'il manquait pour son travail c'était de devenir un prédateur , mais entre ça et la proie il y a un fossé et il ne possédait pas encore la force, ou l'élan nécessaire pour le franchir.
Lors de son acceptation au sein de cette ... comment dire ... communauté , une étrange vague de joie et d'espoir s'était emparé de lui , un étrange sentiment qu'il n'avait pas reconnu de suite.
Puis , verre après verre , désolation après désolation , il avait finit par se désenchanté et à s'accabler sur lui même , perdant le peu d'hormone mâle qui lui restait.
De sa virilité il ne resté plus que la coquille.
Pourtant il était pas si mal le brun , avec son physique d'ange attirant, certaines femmes l'avaient bien vue et leur instinct leur avait fait vite comprendre qu'il ne serait qu'un morceau de viande à la merci de leur appétit, mais les temps ont changés et lui avec, la vie s'était fanée et l'attirance suivit le même processus.
Le jeune homme n'avait qu'un cadeau empoisonné, son physique qui lui permettait de gagner la chaleur des bras en échange de son orgueil, prix auquel il se soumettait si mollement . En effet, Il était muni d'une belle gueule, jeune, attrayante ... voire très captivante. Il avait un de ses visages où la flamme des yeux azurs attiraient dès lors que lon prenait le temps de sy attarder mais à cette flamme azur laissa place le bleu glacial.
C'était aujourd'hui un soir comme les autres, il était au bar comme d'ordinaire, le nez au fond du verre vide comme d'habitude mais un événement perturba le flux continuel et mortel de l'habitude : une missive. Celle du patron qui le sommait de le rejoindre de suite dans son bureau ... comme il s'y attendait ... obéissant tel un gentil petit toutou , il se leva en salua le barman d'un léger et discret mouvement de tête et se dirigea las vers le bureau du grand patron s'attendant à recevoir la baffe qu'il mérité : celle d'un nouveau départ ou celle de son départ.
Depuis son arrivé , il n'avait vu personne , fréquenté personne, travaillé pour personne. Il n'apportait rien et encore moins de l'argent.
Et ne servir à rien n'était pas sa plus grande souffrance, les femmes lui manquait. Il humait leur odeur, il rêvait de la douceur de leur peau défiler sur le bout de ses doigts, il ressentait leurs chaudes étreintes pénétrantes et bienfaisantes.
Et niveau travail, il était assez évident pour lui qu'un jour ou l'autre il se verrait convoqué. Mais il ne savait que faire, on ne l'avait pas formé car il n'avait pas eu le cran de le demander et le cran c'est tout ce dont il voulait.
Tout ce qu'il manquait pour son travail c'était de devenir un prédateur , mais entre ça et la proie il y a un fossé et il ne possédait pas encore la force, ou l'élan nécessaire pour le franchir.
Lors de son acceptation au sein de cette ... comment dire ... communauté , une étrange vague de joie et d'espoir s'était emparé de lui , un étrange sentiment qu'il n'avait pas reconnu de suite.
Puis , verre après verre , désolation après désolation , il avait finit par se désenchanté et à s'accabler sur lui même , perdant le peu d'hormone mâle qui lui restait.
De sa virilité il ne resté plus que la coquille.
Pourtant il était pas si mal le brun , avec son physique d'ange attirant, certaines femmes l'avaient bien vue et leur instinct leur avait fait vite comprendre qu'il ne serait qu'un morceau de viande à la merci de leur appétit, mais les temps ont changés et lui avec, la vie s'était fanée et l'attirance suivit le même processus.
Le jeune homme n'avait qu'un cadeau empoisonné, son physique qui lui permettait de gagner la chaleur des bras en échange de son orgueil, prix auquel il se soumettait si mollement . En effet, Il était muni d'une belle gueule, jeune, attrayante ... voire très captivante. Il avait un de ses visages où la flamme des yeux azurs attiraient dès lors que lon prenait le temps de sy attarder mais à cette flamme azur laissa place le bleu glacial.
C'était aujourd'hui un soir comme les autres, il était au bar comme d'ordinaire, le nez au fond du verre vide comme d'habitude mais un événement perturba le flux continuel et mortel de l'habitude : une missive. Celle du patron qui le sommait de le rejoindre de suite dans son bureau ... comme il s'y attendait ... obéissant tel un gentil petit toutou , il se leva en salua le barman d'un léger et discret mouvement de tête et se dirigea las vers le bureau du grand patron s'attendant à recevoir la baffe qu'il mérité : celle d'un nouveau départ ou celle de son départ.