-fromFRP'tite Miette
L'Antre et ses souterrains, regorgent de salles, d'eboulis, de caches, de conduits invisibles, souterrains qui grignottent Paris...
Au plus profond, là où rien ne mene, si ce n'est l escalier taillé dans la roche, se trouve la manne des Ors.
Lieu preservé, une pierre totalement lisse, qui s'ouvre sans un bruit, un mecanisme dont le secret, remonte du plus profond des ages.
Entreposés là, le fruit des pillages, reserve miraculeuse, alimentée de toutes les razzias, trafics.
La nuit est impenetrable, l'odeur etrange, relent de terre, ici nul bruit n'atteint, meme les torches finnissent par mourir du defaut d'air, en quelques minutes.
Pour peu que s'ouvre la dalle verticale, sur un fremissement imperceptible, l'on decouvre une lueur impromptue, qui vrille les te,ebres. Dans le fond obscur, l'or brille.
Là, deposés avec methode et prevision, tresors, reliques precieuses, rançons, arrachées aux cathedrales, des armes rangées en un flots ininterrompu, des coffres, des sacs rebondis, des manteaux, etoffes precieuses, bijoux...
Tout ce qui se negocie, epices rares, rafflées ou venat des confins de l'Est, source et berceau des In Tenebris. Caravanes affluent, commerce discret, ignoré, les echanges continuent...
Meme des mains sechées, squelettes où flottent des bagues rutilantes, tout ces tresors captent l'eclat de la torche, eblouissant.
Finances des campagnes, bien de la communauté, où l'on puise avec parcimonie, les It n'ont pas le gout du luxe, mais possedent des richesses...
De quoi faire tourner les forges, et de fournir les armures, les armes et tout ce qui sert à la guerre...
Le minerais est cher, rare et difficile à derober meme si quelques convois sont regulierement araisonés, en luttes sanglantes...
Precieux le fer, plus que les rubis des toges et des colliers dont les tetes coupées n'ont plus l'utilité...
S'achetent les complicités, les silences parfois, quand la diplomatie commande de ne pas prendre la vie.
La corruption vaut de l'or, les alliances troubles et secretes, complicités, les familles restées aux pays pour certains, recoivent de quoi survivrent et maintenir les liens, la pieuvre Tenebris est vaste, ses tentacules insoupçonnables...
Les informateurs aussi, meme s'ils finnissent langues tranchées, avant de mourir d'un revers d 'epee. Certains sont puissants et indispensables, les coffres sont là pour cela...
On entrepose, l'acces est gardé par lui meme...
Certaines pierres declanchent au pas imprudent, au pied malhabile et ignorant qui les touche, la montee de l 'eau, la fermeture de la porte en haut de l'escalier, piegé celui qui ne sait, le voleur qui eut pu parvenir.
Encore qu'il eut fallu savoir le chemin et eviter la grouillance du lieu, les soldats sont legions et ils en arrivent toujours, qui rejoignent la capitale, renforcant le troupeau de feroces. L'Est deferle, en silence mais inexorablement...
Donc qui ne sait pourrait bien activer, le piege fatal, qui une fois entamé ne mene qu'à la noyade, sans remission, l'eau des nappes remontant en quelques secondes...
Nulle issue.Et lorsqu'elle repart apres quelques heures, les corps gonflés des curieux, temeraires, on les retrouve, là echoués comme des meduses apres une marée, sur le rivage...
Pas besoin d'affecter une patrouille, si peu savent, le parcours et les pierres qu'il faut emprunter ou eviter...Efficace...
C' est la salle de Nestrecha, parure de guerre, banque des guerres, coffre fort inviolable, le tresorier est muet et sourd...
Juste qu'il a parfois des soucis ...avec une frimousse, qui a force de chercher a reussi à renifler le magot...
Ruses de sioux, patience attentive, fixation, elle arrivera à entrer un jour!!!
Zoli choses...Le Mossieur du doré, il veille oui mais...Miette sait...
C'est qu'elle meurt d'envie d'y mettre le nez et les menottes, parfois elle guette l'entrebaillement et en reste eblouie, il y a un tresor et il est interdit.
Bien pour cela que c'est irresistible...
Grande salle voutée, murs calcaires blancs, sol de sable, aucune ouverture, le sas des Ors, l'Antre a dans son ventre rouge et sanglant, la manne qui lui permet de vivre...A la gloire de Nestrecha...
Au plus profond, là où rien ne mene, si ce n'est l escalier taillé dans la roche, se trouve la manne des Ors.
Lieu preservé, une pierre totalement lisse, qui s'ouvre sans un bruit, un mecanisme dont le secret, remonte du plus profond des ages.
Entreposés là, le fruit des pillages, reserve miraculeuse, alimentée de toutes les razzias, trafics.
La nuit est impenetrable, l'odeur etrange, relent de terre, ici nul bruit n'atteint, meme les torches finnissent par mourir du defaut d'air, en quelques minutes.
Pour peu que s'ouvre la dalle verticale, sur un fremissement imperceptible, l'on decouvre une lueur impromptue, qui vrille les te,ebres. Dans le fond obscur, l'or brille.
Là, deposés avec methode et prevision, tresors, reliques precieuses, rançons, arrachées aux cathedrales, des armes rangées en un flots ininterrompu, des coffres, des sacs rebondis, des manteaux, etoffes precieuses, bijoux...
Tout ce qui se negocie, epices rares, rafflées ou venat des confins de l'Est, source et berceau des In Tenebris. Caravanes affluent, commerce discret, ignoré, les echanges continuent...
Meme des mains sechées, squelettes où flottent des bagues rutilantes, tout ces tresors captent l'eclat de la torche, eblouissant.
Finances des campagnes, bien de la communauté, où l'on puise avec parcimonie, les It n'ont pas le gout du luxe, mais possedent des richesses...
De quoi faire tourner les forges, et de fournir les armures, les armes et tout ce qui sert à la guerre...
Le minerais est cher, rare et difficile à derober meme si quelques convois sont regulierement araisonés, en luttes sanglantes...
Precieux le fer, plus que les rubis des toges et des colliers dont les tetes coupées n'ont plus l'utilité...
S'achetent les complicités, les silences parfois, quand la diplomatie commande de ne pas prendre la vie.
La corruption vaut de l'or, les alliances troubles et secretes, complicités, les familles restées aux pays pour certains, recoivent de quoi survivrent et maintenir les liens, la pieuvre Tenebris est vaste, ses tentacules insoupçonnables...
Les informateurs aussi, meme s'ils finnissent langues tranchées, avant de mourir d'un revers d 'epee. Certains sont puissants et indispensables, les coffres sont là pour cela...
On entrepose, l'acces est gardé par lui meme...
Certaines pierres declanchent au pas imprudent, au pied malhabile et ignorant qui les touche, la montee de l 'eau, la fermeture de la porte en haut de l'escalier, piegé celui qui ne sait, le voleur qui eut pu parvenir.
Encore qu'il eut fallu savoir le chemin et eviter la grouillance du lieu, les soldats sont legions et ils en arrivent toujours, qui rejoignent la capitale, renforcant le troupeau de feroces. L'Est deferle, en silence mais inexorablement...
Donc qui ne sait pourrait bien activer, le piege fatal, qui une fois entamé ne mene qu'à la noyade, sans remission, l'eau des nappes remontant en quelques secondes...
Nulle issue.Et lorsqu'elle repart apres quelques heures, les corps gonflés des curieux, temeraires, on les retrouve, là echoués comme des meduses apres une marée, sur le rivage...
Pas besoin d'affecter une patrouille, si peu savent, le parcours et les pierres qu'il faut emprunter ou eviter...Efficace...
C' est la salle de Nestrecha, parure de guerre, banque des guerres, coffre fort inviolable, le tresorier est muet et sourd...
Juste qu'il a parfois des soucis ...avec une frimousse, qui a force de chercher a reussi à renifler le magot...
Ruses de sioux, patience attentive, fixation, elle arrivera à entrer un jour!!!
Zoli choses...Le Mossieur du doré, il veille oui mais...Miette sait...
C'est qu'elle meurt d'envie d'y mettre le nez et les menottes, parfois elle guette l'entrebaillement et en reste eblouie, il y a un tresor et il est interdit.
Bien pour cela que c'est irresistible...
Grande salle voutée, murs calcaires blancs, sol de sable, aucune ouverture, le sas des Ors, l'Antre a dans son ventre rouge et sanglant, la manne qui lui permet de vivre...A la gloire de Nestrecha...