-fromFRMarmaklus et Guidon
Guidon obtenu en guise de réponse la fin d'une prière, ce qui eut dont de l'énerver au plus au point. Il prit sur lui et la laissa tranquillement terminer. Il ne supportait pas ces palabres adressées au Dieu de l'injustice. Elle avait donc fait son choix et opté pour une mort lente et atroce. La femme lui annonça ensuite avoir mit fin à la vie de Jaforich en invoquant la règle de non agression... Elle mentait, bien évidemment. Jamais il ne croirait cela. Et même si ses propos s'avéraient exacts, il n'en avait que faire.
Le fouet claqua, encore et encore, résonnant durant dix bonnes minutes dans le royaume des larmes. Simple punition pour ce qu'elle venait d'asserter.
Marmaklus éprouvait grand mal à se contenir mais patientait néanmoins.
Guidon stoppa son fouet et fit signe à la brute. Celle ci empoigna violemment Orleana, la détacha puis l'installa sur le siège de pointes, vêtue d'une simple robe blanche. Une brique sur les genoux accentuait l'effet des pointes sur ses fessiers.
Les deux mains de la femme étaient désormais solidement attachées au siège. Les coudes restaient néanmoins relevés pour garder la possibilité de les aplatir ensuite. Aucun instrument de torture n'agissait pour l'instant au niveau des jambes, si ce n'est que ces dernières étaient attachées également aux pieds de l'engin de supplice. Que la souffrance débute... Pour la plus grande joie des deux bourrels.
Les deux hommes jubilaient. La douleur devait être insupportable, pour leur plus grand plaisir.
Guidon s'approcha, cracha au visage de la femme puis en vint à la question suivante :
Dis moi ce que contenait la missive que je t'ai vu extirper des boyaux !
Sinon... Marmaklus ajoutera une brique sur tes genoux...
Un sourire en coin égaya son visage...
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Le fouet claqua, encore et encore, résonnant durant dix bonnes minutes dans le royaume des larmes. Simple punition pour ce qu'elle venait d'asserter.
Marmaklus éprouvait grand mal à se contenir mais patientait néanmoins.
Guidon stoppa son fouet et fit signe à la brute. Celle ci empoigna violemment Orleana, la détacha puis l'installa sur le siège de pointes, vêtue d'une simple robe blanche. Une brique sur les genoux accentuait l'effet des pointes sur ses fessiers.
Les deux mains de la femme étaient désormais solidement attachées au siège. Les coudes restaient néanmoins relevés pour garder la possibilité de les aplatir ensuite. Aucun instrument de torture n'agissait pour l'instant au niveau des jambes, si ce n'est que ces dernières étaient attachées également aux pieds de l'engin de supplice. Que la souffrance débute... Pour la plus grande joie des deux bourrels.
Les deux hommes jubilaient. La douleur devait être insupportable, pour leur plus grand plaisir.
Guidon s'approcha, cracha au visage de la femme puis en vint à la question suivante :
Dis moi ce que contenait la missive que je t'ai vu extirper des boyaux !
Sinon... Marmaklus ajoutera une brique sur tes genoux...
Un sourire en coin égaya son visage...
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