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[RP] L'antre de Krivda... [Geôle 1]

-fromFRMarmaklus et Guidon
Guidon obtenu en guise de réponse la fin d'une prière, ce qui eut dont de l'énerver au plus au point. Il prit sur lui et la laissa tranquillement terminer. Il ne supportait pas ces palabres adressées au Dieu de l'injustice. Elle avait donc fait son choix et opté pour une mort lente et atroce. La femme lui annonça ensuite avoir mit fin à la vie de Jaforich en invoquant la règle de non agression... Elle mentait, bien évidemment. Jamais il ne croirait cela. Et même si ses propos s'avéraient exacts, il n'en avait que faire.

Le fouet claqua, encore et encore, résonnant durant dix bonnes minutes dans le royaume des larmes. Simple punition pour ce qu'elle venait d'asserter.

Marmaklus éprouvait grand mal à se contenir mais patientait néanmoins.

Guidon stoppa son fouet et fit signe à la brute. Celle ci empoigna violemment Orleana, la détacha puis l'installa sur le siège de pointes, vêtue d'une simple robe blanche. Une brique sur les genoux accentuait l'effet des pointes sur ses fessiers.
Les deux mains de la femme étaient désormais solidement attachées au siège. Les coudes restaient néanmoins relevés pour garder la possibilité de les aplatir ensuite. Aucun instrument de torture n'agissait pour l'instant au niveau des jambes, si ce n'est que ces dernières étaient attachées également aux pieds de l'engin de supplice. Que la souffrance débute... Pour la plus grande joie des deux bourrels.



Les deux hommes jubilaient. La douleur devait être insupportable, pour leur plus grand plaisir.

Guidon s'approcha, cracha au visage de la femme puis en vint à la question suivante :


Dis moi ce que contenait la missive que je t'ai vu extirper des boyaux !
Sinon... Marmaklus ajoutera une brique sur tes genoux...


Un sourire en coin égaya son visage...
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в тенебрис ! Gardiens de L'Antre de Krivda
-fromFRorleana
Elle avait pu lire la colere dans le regard du gnome quand elle avait fini sa priere, ce detail ne lui echappa pas. Cela dit, il la laissa finir et se vengea en appilquand le fouet. Elle resta recroquevillé sur elle meme, offrant suelement son dos à la morsure du fouet. Elle se fit violence pour ne pas crier, meme si elle sentait sa peau rougir à chaque passage.

Enfin le fouet cessa, elle senti le colosse la soulever de terre violement, puis la detacher. Elle plongea son regard dans le sien pendant tous le temps qu'il la manipulait, sans preter attention à ce qu'il faisait mais tentant de percer le mystere de cette brutalité.

Elle ferma les yeux quand un millier de pointes rentrerent en meme temps dans sa peau. Oui elles devaient au moins être un milliers pour qu'elle ressente une telle douleur. Mais elle ne dit rien, respirant profondement pour controler la souffrnace, comme on le lui avait appris à le faire, et ne cessant de regarder le colosse, s'accrochant à son regard comme un naufragé. Qu'elle reponde ou pas ils poursuivraient la torture. maintenant le tout etait de savoir jusqu'ou elle serai capable de la subir.

A sa deuxieme question: elle quitta enfin le regard du geant pour regarder le minus qui lui avait craché au visage.

Une haine infini empli son regarde, ses yeux se chargeant d'un feu brulant, elle prononca les paroles suivantes avec un leger sourire:


PATER NOSTER, qui es in caeli :
Sanctificétur nomen tuum :
Adveniat regnum tuum :
Fiat volúntas tua, sicut in caelo, et in terra.
Panem nostrum quotidiánum da nobis hódie :
Et dimítte nobis débita nostra, sicut et nos dimíttimus debitóribus nostris.
Et ne nos indúcas in tentatiónem.
Sed líbera nos a malo.
Amen.

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-fromFRMarmaklus et Guidon
Orleana esquiva sa question pour s'évader dans ses prières. Guidon explosa. Son fouet quitta sa main pour venir butter contre le sol. Le minus s'approcha, décocha une gifle soudaine à sa prisonnière afin de lui intimer de stopper ses balivernes sans attendre. Celle ci continua néanmoins...

Son sang ne fit qu'un tour. D'un geste de la main, il envoya la brute régler ce problème. Si la femme ne sentait pas les pointes qui lui chatouillaient le derrière, il en serait autrement lorsque l'ensemble de son arrière train en viendrait à être perforé.

Marmaklus vit le signe. Son heure était venue. Enfin. Il allait pouvoir passer à l'action. Ses yeux sinistres dévisagèrent sa proie. Il s'approcha d'un pas lourd puis se figea face à elle. Dressé tel un roc, il la contempla longuement. Il aimait ces instant de calme avant que ne fusent les cris, coulent les larmes, jaillisse le sang.

La brute avança ses deux mains qu'il vint déposer sur la brique qui appuyait sur les cuisses d'Orleana. Ses yeux perdus dans les siens accompagneraient le supplice. Il commença à presser sur la pierre avec une infime lenteur. Les pointes pénétraient la chair... Le sang s'extirpait du corps pour gouter ensuite contre le sol.

Guidon patientait, bras croisés. Elle avait entendu la question. Il était exclu qu'il la répète. Les mots sortiraient, ou la mort surviendrait !

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-fromFRorleana
Elle savait qu'il reagirai ainsi, elle connaissait l'effet de la priere sur les infideles. Elle jubilait interieurement, c'etait la forme de torture qu'elle avait choisi de lui infliger.

Il la giffla de nouveau, comme pour prouver à quel point elle avait raison,avant de laissé la place au colosse. Elle se tut, son regard se nayant de nouveau dans le sien.

Il vint tout pres d'elle, elle pu sentir l'odeur de sa peau, il posa ses mains sur la brique, son regard exprimait un tel plaisir à saoir la souffrance quil lui infligerai qu'elle failli s'en detourné mais au contraire, elle s'y plongea encore plus profondement.

Doucement, prenant sont temps, il laissa sa chair se faire transpercer par les pointes sur lesquelle elle etait assise. Elle parvint à un niveau de douleur qu'elle n'avait encore jamais atteint, son regard devint plus vert mais aussi plus doux, elle controlait la moindre parcelle de son corps pour ne pas lui donné la satisfaction de ses cris et comme dans chauqe moment douloureux, elle se refugia dans la priere:


Salve Regína, Máter misericórdiae : Víta dulcédo, et spes nóstra, sálve. Ad te clamámus, éxules, fílii Hévae. Ad te suspirámus, geméntes et fléntes in hac lacrimárum válle. Eia ergo, Advocáta nóstra, íllos túos misericórdes óculos ad nos convérte. Et Jésum, benedíctum frúctum véntris túi, nóbis post hoc exsílium osténde. O clémens, O pía, O dúlcis Vírgo María.

Plus les pointes s'enfoncait moins sa voix etait audible, mais lui son regard ne failli pas, puis à la fin de la priere, atteignant le paroxisme de ce qu'elle pouvait supporté, elle ferma les yeux, laissant la douceur de l'evanouissement l'emporter loin de cette souffrance physique.
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-fromFRMarmaklus et Guidon
Marmaklus appuyait encore et encore. L'autre ne déclamait mot, subissant la torture infâme qu'ils lui affligeaient sans même une grimace. Elle ouvrit enfin la bouche, mais seules de nouvelles prières vinrent briser le silence du lieu. La brute compressa encore plus les fessiers d'Orleana entre les pointes et la pierre. La femme se réfugia alors dans l'inconscience, les abandonnant sans une réponse.

Guidon jeta un regard noir à Marmaklus puis lui lança :


Viiiiiens !
Allons nous en. Elle a utiiiliiiiisé son dernier recourt. Nous reviiiendrons. Et siiiii elle ne daigne toujours pas parler... Tu pourras la tuer !


Les deux bourrels quittèrent la geôle pour y revenir trois bonnes heures plus tard. La brute portait un sceau remplit du sang chaud d'une victime qu'il venaient à l'instant d'égorger.

Il se rapprocha et en vida son contenu au visage d'Orleana afin de l'extirper de l'inconscience. Il raviva le feu placé sous le siège afin de réchauffer les pointes. Il lui fit de nouveau face, délaissant provisoirement le derrière de sa proie pour se concentrer sur ses bras. Marmaklus commença à appuyer ceux ci contre les accoudoirs de l'instrument de supplice. Le sang perla à nouveau...

Guidon prit place sur son côté gauche et entreprit de lui arracher un à un les cheveux. Pas en tirant d'un coup sec... Non... Beaucoup trop facile. Le minus entortillait soigneusement chacun d'eux autour de son doigt puis tirait doucement... Jusqu'a ce qu'ils cèdent...

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в тенебрис ! Gardiens de L'Antre de Krivda
-fromFRFatalitas
(...)Puis le curé se débattit, une lueur dans ses yeux commencait à apparaitre.

" Holà, mon gaillard, calme-toi ou tu vas finir par te faire mal ! " Ce disant, Fatalitas redonna un tour de poulie dans l'autre sens, ce qui distendit les ligaments des épaules de BatonNoir qui réprima un soudain hurlement.

" Là, tu vois, que disais-je, l'ami ? Tu te fais mal à te débattre ainsi ! Moi, je suis là pour t'aider... à condition que toi aussi tu veuilles bien m'aider, ou sinon... " Il posa l'immonde rongeur sur la poitrine nue de BatonNoir.


" Tu feras connaissance avec Petit Tom... "
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Perds tout espoir de revoir la lumière...
-fromFRorleana
Elle ne sentait plus rien, baignant doucement dans les souvenirs de son enfance aupres de sa mere et de son pere. Les souvenirs s'efilochaient comme le temps, passant de l'un à l'autre jusqu'au jour de leur mort, quand une bande de brigand venu pillier leur demeure attacha Orleana sur une chaise, elle etait alors agée de 6 ans. Elle avait peur et n'avait offert aucune resistance, d'ailleurs, qu'aurai pu faire une enfant de six ans. Un des brigand, jouant d'un grande gentillesse vis à vis d'elle etait venu s'acroupir devant elle, il avait carressé sa joue, lui disant que tout irai bien.

Puis deux brutes egorgerent sont pere sous ses yeux. Ils le laisserent s'ecrouler au sol, baignant dans son sang. Puis ils allerent chercher sa mere, qui pousssa un cru d'horreur en voyans son epoux. Ils la coucherent au sol, juste à coté de son mari, son sang touchant sa peau, Ils lui arracherent ses vetements, detenirent ses poignets, et ses chevilles. l'homme qui etait pres d'Orleana la quitta alors et viola sa mere, le regard mplongé dans celui de la gamine. Quand il eut assouvi son plaisir, il sorti une dague et la planta dans son bas ventre pour remonter vers sa poitrine, doucement, prenant son temps.

Elle n'oublierai jamais ses cris, ce regard....................


Puis elle senti qu'elle etouffait, elle ouvri les yeux, le rouge du sang etait partout, inondant sa robe. Puis sa vue s'ajusta pour plongé dans celui du colosse. Elle retrouva la meme jubilation que dans celui de l'homme qui avait violer sa mere. Elle senti les pointe entrer dans ses bras, petites lames incisives qui penetrent les chairs delivrant leur flots de douleur.
Le contact des mains du ourreau sur sa peau etait doux et chaud, a son grand etonnement.

Elle n'avait pas vu le gnome mais elle senti que ses cheveux s'arrachaient un à un, doucement, methodiquement, creant une petite douleur a chaque fois qu'ils cedaient.

Son coeur refusa les cris que la douleur aurai du lui arracher, les cris de sa mere en mourant retentissaient encore dans sa tete. Elle regardait toujours le colosse, elle etait redevenu cette petite gamine, son regard se chargeant d'une immense detresse, elle ne dit pas un mot, pas une priere, seule les larmes, de douleur, de colere innondaient ses yeux qui imploraient son bourreau.

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-fromFRBatonNoir
Son coeur battait à deux cent à l'heure : à la vue de l'immonde rat, plus rien n'allait. Il faut dire que durant sa jeunesse...il a été traumatisé par les rats qui infestaient et s'immiscaient partout. Toujours ces bêtes avaient eu une mauvaise réputation dans la tête du curé, et pas que dans la sienne assurément.

- NOOOOOOON!!!!!!NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNN! pas ça....pas les rats.
Dégagez moi ca, tout de suite!!!!!!

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La mémoire du prophète à jamais perdurera...
-fromFRMarmaklus et Guidon
Tous deux la regardaient, attendant un souffle, un mot, qui ne venait pas. Ils n'obtirent que des larmes en guise de réponse. C'en était trop... Comment pouvait elle résister à tant de souffrances, tant de supplices. Elle qui paraissait si frêle, si perdue.
Elle était maître de son destin. Elle avait opté pour le silence. Ils abandonneraient donc les questions pour se concentrer sur sa mort.


Guidon perd enfin son calme. De sa voix stridente, il envoie à la brute :


On la crève !
On la saigne !
Tiiiii suiiiiite !


Ses mains s'agitent nerveusement et arrachent par poignée les cheveux bruns d'Orleana. Son ricanement fuse dans la geôle :

MOUHIhihihihihi HIhihihihihi MOUHOUHIhihihihihHIHIHIHI

un petit signe de tête incite Marmaklus à se lâcher. La brute enfonce d'un coup sec les deux bras de la femme sur les accoudoirs cloutés. Le sang jaillit, coule à gros bouillon.
Le coeur de la brute s'embrase. La tuer... Doucement, horriblement... Elle est sienne... Pour le peu de temps qui lui reste avant de quitter cette terre...
Un hurlement jouissif accompagne le rire de Guidon :


MOUAHahahohohohohohohohohohohohohohohohohohoHOHOHHHHHH
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-fromFRorleana
Elle ne disait rien mais le gnome parlait pour elle, trois petites phrases. Il avait decidé de sa mort.

Son regard à elle n'avait pas failli. Auncune defiance, aucune mechanceté, seulement la douleur, la souffrance, et la compassion.

Puis le gnome s'enerva sur sa cheveulure, l'arrachant par poignées. Comment un etre humain pouvait vouloir infliger telles souffrances à un autre .

Au meme moment, le colosse appuya d'un coup sec sur ses bras, une violente douleur l'assailli, elle failli crier sa souffrance, mais se controla, controla son corps pour ne pas faillir encore. Ses pupilles se dilaterent au fond du regard du bourreau, elle senti son sang chaud, sa vie s'ecouler; Elle en avait deja beaucoup perdu, sa respiration s'accelera, son coeur batti plus vite devant amener plus rapidement le sang qu'il lui restait aux differents organes, mais malgré les regles de la nature qui veut qu'il irrige le cerveau en premier il avait du en decidé autrement car Orleana senti une armada de fourmis investir sa tete, sa vue se troubler..........non pas encore, elle ne voulait pas sombrer une nouvelle fois dans l'evanouissement.

Elle fit un effort surhumain pour recentrer son regard et pour murmurer à l'intention de son bourreau:


Je suis à ta merci Marmaklus, je me place sous ta protection, tu a le pouvoir de m'oter la vie, mais aussi de la sauver.......

Sa voix avait la supplique de la priere, le douceur du desespoir, simplement la voie d'une jeune fille de 17 ans comdamnée à une mort douloureuse qui supplie son bourreau de la proteger.

Elle n'eut pas le temps d'en dire plus avant que les tenebres envahissent à nouveau son esprit.

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-fromFRMarmaklus et Guidon
Empli d'une rage incommensurable, Guidon s'évertuait toujours à ôter cette chevelure du crâne de leur détenue. Celle ci ouvrit la bouche, Enfin.
Mais ne sortirent de celle que de nouvelles balivernes inintéressantes.

La brute, quand à elle écouta ce qu'Orleana avait à lui dire. Elle lui confiait sa vie. Tuer, voila la seule chose qui l'intéressait. Le but ultime, qui donnait sens à sa vie. Les avants bras de la captive désormais transpercés par les fines lames métalliques, il relâcha son étreinte pour changer de supplice.
Sa main droite vint s'abattre contre le cou d'Orleana. Les doigts se refermèrent comme un étau. Il entourait quasiment de sa paluche ce cou si fin et si doux.

Il se mit à serrer, encore et toujours plus fort, la privant de tout air. Marmaklus approcha alors son visage du sien. Face à face, il lui chuchota alors :


Je t'aime...

La faire souffrir, un plaisir intense. Il espérait l'entendre gémir, se délecter de ses peurs.
Ses lèvres s'ouvrirent. Sa langue apparut. Il entreprit alors de lui lécher le visage, d'une joue à l'autre, en passant rapidement sur sa bouche afin d'éviter toute morsure.

Il s'écarta ensuite et desserra la pression qu'il exerçait de sa main.

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-fromFRorleana
Il enleva ses mains de ses avant bras mais ca ne soulagea pas pour autant la douleur toujours presente des pointes qui logeaient dans ses avant bras.

Sans compter sur le gnome qui s'acharnait toujours. Douleur toujours presente, continue, engluant son esprit, tout ce bousculait: passé, present, tous les monstres de sa vie venait a present lui crier aux oreilles. Elle devenait folle, sans doute.

Tout à coup elle senti la main du colosse enserrer son coup. l'air ne mis pas longtemps pour lui manquer, elle avait beau essayer d'inspirer rien ne venait.

Elle le vit approcher son visage et l'entendit chuchoter qu'il l'aimait. Elle resta interdit devant cet aveu. Il aimait l'objet de souffrance qu'elle representait mais pas la femme qu'elle etait.
Son esprit se troubla de nouveau, par le manque d'air autant que la douleur toujours plus presente.

Elle ferma les yeux ne tenant plus, cherchant sa respiration quand elle senti sa langue parcourir son visage, puis l'air revient.

Elle aspira a grande bouffé pour remplir ses poumons, l'air la brulant sur son passage, mais il la nourrisait a nouveau.

Quand elle repris un rytme de respiration plus normal, elle regarda le colosse et d'un voix toujours aussi douce lui:


Tu n'est qu'un chien, rien de plus, tu pourrai me faire tout ce que tu veux, mais tu n'es qu'un sous merde obeissant au morveu, tu ne vaux pas mieux que ceux que tu fait souffrir.

Elle n'avait pas ciller en disant cela, meme s'il la tuait sur un coup de colere ca aurait ete plus doux que la torture.
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-fromFRMarmaklus et Guidon
Elle le fixa puis ouvrit de nouveau la bouche. Aucune information importante, mais il avait le don de la faire parler. Ce qu'elle lui lança retenu son attention. Une sous défection obéissant au morveux... Obéir, oui, Obéir. Il ne savait faire que cela. Il lui fallait un guide, un maitre, afin qu'on lui énonce les ordres. Il avait essayé de mener une existence solitaire. Mais cette expérience s'était rapidement avérée catastrophique. Il perdait son sang froid, tuait à bout de bras. Le minus... Avait tout pouvoir sur lui... Oui... Mais pourquoi donc ?

Il ne s'en rappelait plus... Une simple sympathie partagée, probablement. Ils formaient cette paire de bourrels depuis si longtemps.

Il ne savait s'il le suivrait toujours. Ce que Marmaklus recherchait, c'était la possibilité de tuer, saisir des opportunités sans représailles conséquentes, dans des lieux tranquilles tels que l'Antre de Krivda. Personne n'intervenait dans leurs petites séances, alors que les mutilations qu'il avait orchestrées dans les coins sombres du royaume avaient souvent tourné court, faute à des interventions extérieurs qui l'avaient contraint à stopper son action.

Converser avec cette prisonnière, pourquoi pas. Qu’avait-elle à lui apprendre, à lui offrir… Mais tout cela ne serait possible tant que Guidon resterait la. Le minus détestait que l’on mène l’interrogatoire à sa place.
Il ne pourrait donc lui parler tant qu’elle n’aurait pas répondu aux questions.
La brute prépare le prochain supplice. Un étau qu’il fixe sur le mollet d’Orleana. Une petite roue à faire tourner, qui ressert alors les deux plaques sur le muscle, jusqu'à ce que l’os cède.

Une fois installé, il s’empresse d’activer son jouet, envoyant délicatement tourner l’engrenage pour compresser la jambe de la captive…

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в тенебрис ! Gardiens de L'Antre de Krivda
-fromFRorleana
Elle avait bien vu qu'elle avait reussi a retenir son attention, mais il n'avait toujours pas parlé. Comment pouvait elle avoir un dialogue avec lui, comment sortir d'ici. Lui fallait il dire ce qu'il y avait sur le parchemin?

Elle ne pouvait s'y resoudre, sa reviendrai a trahir son Dieu, trahir ceux qui lui avait fait confiance. Ou alors elle pouvait mentir. Oui elle pouvait mentir.

Elle regarda Marmaklus:


Je prevenais mon amie qui se trouve au dehors que j'avait des ennuis ici, elle s'apelle Potter.

Puis elle ferma les yeux sentant l'etreinte commencer à lui broyer la jambe.

Elle reouvri les yeux, puis un regard glacial à son bourreau:

Je peux t'offrir mieux que lui, plus que lui, je serai ton maitre et ta maitresse, je serai tienne.........
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-fromFRMarmaklus et Guidon
Marmaklus écoutait de nouveau la gracieuse femme qui s'adressait à lui. Magnifique. Oui, magnifique. Entachée de son sang, il la trouvait sublime. Cette vision… Ces frusques recouverte d’un rouge intense… l'excitaient démentiellement. Elle lui conta les raisons expliquant l'envoi de la missive. Lui n'en avait que faire. Cela ne concernait que Guidon.

Le minus stoppa cet arrachage de cheveux pour se mettre face à elle. Il la pointa du doigt et lui manda :


Ouiiiiiiii. Tu avais des ennuis car tu as tué Jaforiiiich !
Mais siiiii, Mais siiiiii !
Mais dans ce cas, d'ou viens-tu ? Qui es tu ?
Si tu nous avais rejoint pour nous aider, comment aurais tu pu souffrir de tels problèmes ?


Marmaklus s'était effacé, à son grand désespoir. Il espérait pouvoir converser avec Orleana sous peu, reprendre le devant. D'autant plus que la phrase qu'elle venait d'ajouter l'intriguait énormément.

Etre sienne... Il devait lui parler... Savoir ce qu'elle entendait par la...

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