Bruit de pas cadencé dans les couloirs de l'antre, le retour du bourreau et de ses soldats. Il n'est pas parti bien longtemps, juste le temps qu'Odessa s'approche, parce qu'il en etait sur qu'elle viendrai, et que le templier s'habitue a sa nouvelle residence.
La meme odeur dans un coin sombre, pas besoin de voir pour savoir, elle etait la, un sourire, on peut continuer. Franchir la porte de la salle. Le templier est toujours la, torse nu, son coeur bat vite, la peur ? l'angoisse ? Boris lui jubile. S'approche du templier, passa une main sale, taché de sang seché, ongles longs et noir sur la peau blanche du prisonnier, puis s'eloigne vers une table sur laquelles divers objets tronent, rangement aleatoir au gré du precedant bourreau, sang en abondance, temoignage d'anciennes souffrances. Son regard absent les parcours, sa main carresse, choisissant celui qui aurait sa preference pour debuter. S'arrete, repart à la recherche, puis s'arrete de nouveau se saississant de l'objet.Les deux soldat posté à coté du bourreau sourient en voyant l'objet et se rendent pres du templier. Ils savent ce qu'ils ont a faire. Argok, un petit couteau fort bien aiguisé en main, acheva de decouper la chemise deja en lambeau, afin de libere les bras de leur prison de tissu. La lame glisse lentement sur la fibre, se rapprochant parfoir dangereusement de la peau, mais par imprudence, ou plutot par jeu, elle s'en rapproche tant qu'elle l'insice sur quelques centimetres, legere brulure qui faisait perlé le sang et surtout rire les soldats. Quand elle fut entirement defaite sur le bras gauche, le laissant balafré, quelques filet de sang le longeant pour s'echouer dans la crasse du sol.
Argok rangea son couteau, pendant que son compere deliait la main, delivrance necessaire pour la faire passé dans l'objet de torture. Boris s'avanca ver le templier, l'engin ecarté au maximum, juste un passage pour la main. Aider des deux soldats, il la firent traverser, puis remirent l'attache.
Boris recula, regard au bras saignant deja, regard reprobateur au soldat, il serai puni, on ne vole pas la souffrance, lui en est le maitre. mais pour le moment, il avait à faire. Il reparti vers la table, pris un petite bouteille. Il revient vers son prisonnier, ouvri la bouteille et la porta pres de son nez, du vinaigre. Il aspergea largement les pointes avec son contenu, accentuant la douleur lorsqu'elles penetreront les chairs.
Prenant tout son temps il reposa la bouteille pour se replacer devant lui. Le moment etait venu, sourire gourmand, il allait se repetre de la souffrance et du sang qui allait couler. Il placa l'outil bien sur l'avant bras, puis commenca a tourner les vis se situant de chaque coté, pour refermer les machoires. Tout doucement, inexorablement, appuyant seulement sur la peau puis forcant leur chemin, quand l'elasticité de celle ci a atteint son maximum et qu'elle doit ceder, se perforer, se dechirer pour que la pointe puisse poursuivre son chemin dans la chair, toujours encore et toujours, se refermant toujours plus loin, le sang commencant a perler, s'avance dans le muscle, faisant sa place ecartant les chairs, son regard blanc dans le sien pour lire la douleur, s'en ennivrer, en tirer sa force.
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