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[RP] L'antre de Krivda... [Geôle 1]

-fromFRorleana
Le regard du colosse se fit desir, le sien dominateur malgré la sitaution, mais le gnome effaca Marmaklus pour prendre la parole, l'assaillant de question.

Elle le regarda avec haine et lui lanca avec desinvolture:


Je ne suis rien, je suis venu ici de mon plein gré en bonne aristotelicienne pour essayer de sortir le camerlingue de cet antre. J'ai eu la chance qu'on m'ouvre la porte.

Puis sont regard se reporta sur le colosse, elle voulais encore parler avec lui, elle sentait quelque chose entre eux.

Elle regarda de nouveau le gnome:

Ca sera tout?
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-fromFRMarmaklus et Guidon
Guidon saliva à l'écoute de cette réponse qu'ils avaient mit tant de temps à obtenir. Elle n'était qu'une Aristotélicienne infiltrée, venue quérir des informations sur leurs actions. Son rôlé était désormais achevé. Il quitta le lieu non sans lancer à Marmaklus :

Tue la !

Le minus referma la porte derrière lui, enfermant Orleana et la brute dans la geôle. Il viendrait libéré son compagnon un peu plus tard, une fois la besogne de celui ci achevée.

La brute s'approcha de la captive, stoppant de resserrer l'étau sur la jambe maigrelette. Marmaklus voulait en savoir plus sur ce qu'elle lui avait déclaré précédemment.

La montagne s'agenouille face à elle, pose ses mains sur ses épaules puis lui lance de sa voix rocailleuse :


Mienne ?
T'veux... mienne ?
V's'alions vivre assez longtemps ?
J'pouvions vous torturer pour toujours ?

Nous deux... Seuls, ici, pour l'éternité ?


Elle était sublime, dans son apparat rouge vif. Il se délectait de la voir ainsi blessée, trouée de mille parts. La torturer sa vie durant, il en rêvait depuis longtemps.
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в тенебрис ! Gardiens de L'Antre de Krivda
-fromFRorleana
Le morveux etait parti, elle etait enfin seule avec lui.

Elle le vit s'agenouiller en face d'elle. Il lui parla, mais elle mit quelques seconde avant de reussir a dechiffrer son jargon.

La torutrer pour toujours, vivre tous les deux ici pour l'eternité...........pfuuuuuu c'etait pas vraiment dans ses projets. Le morveux avait dit de la tuer, il lui fallait gagner le bourreau au plus vite:
Elle lui souri:


Detache moi et on en parle, tu veux bien.

Son regard etait doux, elle savait qu'il ne voulait que de la souffrance mais c'etait un homme aussi. Elle essayerai de jouer sur les deux tableaux.
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-fromFRMarmaklus et Guidon
Elle élève de nouveau la voix. Des sonorités pures et innocentes s'échappent de sa bouche. Il apprécie cela. Elle veut qu'il la détache. Il en sera fait ainsi. La porte est verrouillée, et ses blessures ne lui permettront pas d'aller bien loin. A peine de se relever, probablement.

Marmaklus est bête et fondamentalement idiot. Mais... La faire souffrir encore un peu. Tout de suite. Sa grosse paluche vient comprimer de nouveau le coup d'Orleana. Il laisse sa langue trainer sur le visage de celle ci, partant du bas du coup pour remonter au front.

Puis il relâche son étreinte. Que son odeur est douce, que sa chair semble tendre.

Sa main se replace sur l'étau qui compresse la jambe de sa prisonnière. Il enclenche la roue, les engrenages s'affairent. Un bruit sourd s'échappe. L'os semble avoir cédé.

Marmaklus la libère enfin, détache les sangles. Avants bras et fessiers transpercés ruissellent abondement...

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в тенебрис ! Gardiens de L'Antre de Krivda
-fromFRorleana
Alors qu'elle lui demande de la liberer, il etreint une nouvelle fois son cou, l'empechant à nouveau de respirer. Il avait du decidé dans finir avec elle. Puis elle senti sa langue glisser sur sa peau, sur son visage. Elle ne dit rien. Il relacha son etreinte.

Elle inspira longuement, puis controlant sa colere, lui souri.

Il s'affaira ensuite sur l'etau, une violente douleur, puis un craquement. La douleur se fit plus vive iradiant dans tout son etre.

Elle ne le senti meme pas detacher les sangles. Sa derniere action, eut raison de sa ressitance.

Elle le regarda puis s'evanoui.

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-fromFRMarmaklus et Guidon
Eloigné de cinq pas, face à elle, il attend une réaction, mais réalise vite qu'elle l'a quitté de nouveau pour rejoindre l'inconscience. Il s'approche, place sa main devant la bouche d'Orleana afin de voir si celle ci vit encore...
Oui... Il sent son souffle brûlant réchauffer ses doigts rocailleux. Un cri gronde…


GRROOAAAaaaaaaaaahhHHHHHHHHHHHHHH


Elle l’a abandonné… Mais il réfrène sa colère…
Sa main vient trainer le long des bras de la captive, caresse maladroitement les quelques cheveux qui couvrent ce crâne à demi nu.

Etre sienne à jamais, elle le lui a demandé. Mais tiendra-t-elle le choc longtemps... Marmaklus l'espère. Elle lui plait, et la simple idée de vivre à ses côtés, baigné dans son sang l'excite au plus haut point. Il dépose un baiser sur son front puis recule de quelques pas.

La brute se laisse choir, s'assied contre la pierre fraiche et veille sa protégée. Guidon avait été clair... La tuer si elle en venait à s'évanouir de nouveau. Il avait réitéré cette demande de mise à mort lorsqu’il avait quitté la geôle. Mais la brute en entendait autrement. Marmaklus voulait savoir, tester sa résistance, s'amuser un peu, voir l'aimer... à sa manière...

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в тенебрис ! Gardiens de L'Antre de Krivda
-fromFRFatalitas
" Et voilà, on se débat, on se tortille et Petit Tom a peur... Tsss, au lieu de hurler, vous feriez mieux d'avouer vos péchés... "

Fatalitas, disant ces mots, posa la cage sans fond sur la poitrine de BatonNoir et l'attacha fermement par des sangles de cuir. Le rat furetait, piégé entre la poitrine du supplicié et les barreaux de la cage.

Le bourrel s'approcha ensuite d'un brasier pour en retirer une pierre chauffée à blanc à l'aide d'une pince. Délicatement, il posa la pierre sur la cage... Le rat commença à paniquer et tournant en rond, ses petites griffes sales commençèrent à taillader l'abdomen de BatonNoir...

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Perds tout espoir de revoir la lumière...
-fromFRorleana
Elle ouvri les yeux apres un moment passé dans la douceur de l'inconscience.
Sa vue etait trouble, elle ne reconnu pas l'endroit au premiere abord. Sa tete lui faisait mal, tout son corps en faite.

Elle discerna une forma assise, qu'elle ne reconnu pas. Elle essaya de parler mais aucun son ne sorti de sa bouche.

Petit à petit les derniers evenements refaisait surface dans son esprit. Elle n'avait pas bougé et n'avait pas la force de le faire. Son esprit encore troublé ne voyait pas encore nettement la forme humaine se trouvant pres d'elle.

Elle essaya de nouveau de parler et articula à peine audible:


Aidez moi.
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-fromFRMarmaklus et Guidon
A moitié couché dans le sang qui s'écoulait des innombrables plaies couvrant le corps de la jeune femme, Marmaklus s’adonnait au dessin. De son index bâti comme un tronc, il amassait le liquide visqueux qui jonchait le sol de la geôle et s’incrustait dans ses frusques. Il traçait alors différents motifs dénués de sens contre le mur obscur de la pièce. Il n’était qu’un montagne, aussi froide qu’incapable de raisonner. Des mots…

La brute se retourne et la découvre alors réveillée. L’aider, il en va de soi. Lui ôter la vie afin d’abréger ses souffrances, voila ce qu’il peut faire. Mais il ne veut pas. Jouer, encore un peu, avec elle qui lui a tant promit. Elle voulait être sienne à jamais. Lui pensait qu’il pourrait la chérir en la torturant pour toujours. Vaines illusions.

Le teint pâle de la traitresse révélait son mal être. Les minutes devaient lui être comptées. Le sang perlait indéfiniment de sa peau trouée de toute part. Bientôt les réserves seraient épuisées. Le précieux liquide viendrait à manquer et n’assurerait plus la survie.

Marmaklus se relève. Lui offrir une dernière balade dans les boyaux avant de la terrasser sauvagement. Passer à la taverne, peut être… Pour que tous puissent assister à sa mort.

Le grand gaillard l’attrape et la porte, puis gagne la sortie. Le sang chaud coule sur ses bras, le réchauffant un peu. Doux moment de bonheur que cette sensation ardente. Monter les escaliers, si longs, si abruptes, pour rejoindre les boyaux…

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в тенебрис ! Gardiens de L'Antre de Krivda
-fromFRorleana
Elle se senti soulevée. Son esprit errait entre ici et ailleurs. La chaleur du corps qui la porta amena son lot de reconfort. Elle se blotti contre lui, posant sa tete sur son epaule.

Elle fit une tentative pour passer ses bras autour de son cou, mais elle se sentait un peu plus faible à chaque seconde qui passe. Ses bras retomberent molement sur ceux de son porteur. Machinalement, elle carressa la peau:


Maman, je veux revoir maman.

Son Esprit s'embrumait, elle avait si mal, elle se sentait si faible. Elle voulait dormir. Pas reellement consciente de l'endroit ou elle se trouvait, ni avec qui. On montait des marches, il faisait froid, si froid. Elle se blotti un peu plus contre lui, essayant t'attirer à elle toute la chaleur de ce coprs pour rechauffé le sien qui semblait fuir la vie.

Elle allait s'endormir peut etre, et se reveillé dans une clairiere au milieu de la foret ou sur les plages de son enfance. Oui sans doute, tout cela n'avait il etait qu'un cauchemard dont elle ne ramenerai que le douloureux souvenir.

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-fromFRFatalitas
En un éclair, BâtonNoir fut laissé avec sa peur. Petit Tom était parti et le lugubre et cryptique Fatalitas également. Un appel. Il avait reçu un appel, un signal mystérieux que lui seul pouvait entendre... Un Duc... Un Duc quelque part qu'il devait assassiner...
Les arcanes avaient parfois une fâcheuse tendance à le rappeler à des moments inopportuns...

Noire et Froide, la cellule était vide, sauf BatonNoir dont les marques de griffes sur le ventre lui laissaient à penser qu'il ne s'agissait pas d'une hallucination...

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Perds tout espoir de revoir la lumière...
-fromFROdessa
La route avait été vite faite depuis la Bourgogne, un des leur etait bléssé, Odessa avait mené la troupe à un rytme d'enfer, et Paris fut bientot en vue. Le templier lui n'avait pas bougé, Trop fatigué sans doute, ruminant sa haine contre eux pour le tresor qu'ils leur avaient pris, peut etre aussi. Peu importait à Odessa, la seule chose qu'elle voyait pour l'heure etait qu'ils arrivent au plus vite. Boris etait toujours resté à ses cotés, surveillant leur prisonnier du coin de l'oeil.

Detour des ruelles infames de la cours, une entrée discrete, l'antre etait enfin la. Elle aussi etait extenuée à present. Elle mis pied a terre tandis que Boris aidait le templier à descendre à son tour. Elle le regarda, il ne leur poserait pas de probleme assurement:


Boris, conduit le aux geoles, pas de nourriture, je ne veux pas qu'il recupere la moindre force, juste une ecuelle d'eau. Assure toi qu'elle est sufissement croupie avant de lui donner.

Un regard sadique au templier, et elle laissa Boris prendre la suite, elle pris la direction de la taverne, on ne sait jamais que Daph soit revenu.

Boris, regarda le prisonnier, le regard sadique de la gamine n'etait rien à coté de celui du soldat, yeux injectés de sang, face patibulaire, dentition manquante, un sourire carnacier, il poussa le templier toujours attaché pour qu'il avance. Commenca le long chemin dans les boyaux avant d'atteindre les geoles puantes de l'antre. Chair en decomposition, excrement, un subtile melange d'odeur qui aurait fait vomir un porc, mais c'est dans cette ambiance que Boris se sentait au mieux.
En approchant des cellules, il entendit une fille qui criait, il s'approcha de la porte, regarda par la petit ouverture muni de barreaux et cracha au travers


Maudite femelle, ferme la ou je vais te faire crier moi mais tu sauras pourquoi

S'en suivi un rire tonitruant, jubilant à l'idée qu'il pourrait s'occuper d'elle, mais pour l'heure il devait conduire ce templier, encore un coup dans le dos pour qu'il avance, decidement il n'etait pas bien vivace celui ci, pas sur qu'Odessa s'amuse beaucoup.
Enfin une cellule vide, ca commencait à se faire rare à l'antre. Il proplusa le templier à l'interieur et referma bien vite la cellule. L'eau ............pas besoin, il en aurait plus tard, pour le moment, il voulait aller vider quelques choppines avec les autres soldat. Sans plus s'occuper de rien, il quitta les geoles.

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-fromFRcoco_the_killer
Il reconnut Paris. Ses frères étaient si près… et pourtant il n’arriverait pas à les joindre. Il n’avait pas prononcé un mot durant le trajet, se réfugiant dans un mutisme. Il avait maudit silencieusement ceux qui l’avaient capturé, crachant sa haine dans son esprit.

Il reconnut la cour, de sinistre réputation. Il tenta de mémoriser le chemin qu’ils parcouraient mais sitôt engagé dans le dédale de rues, il perdit totalement son sens de l’orientation. Il jetait de fréquents coup d’œils, mais toujours sans parler.

Et puis soudain i furent dans l’antre. Le dénommé Boris le déchargea sans ménagement. Le templier lui jeta un regard de mépris. Bien qu’il n’eut plus guère d’espoir de s’en sortir vivant, il était décidé à se battre jusqu’au bout.

La gamine lui jeta un tel regard qu’il en frissonna. Dans ce simple échange, il avait vu tout ce qu’elle comptait lui faire subir. Il n’eut pas le temps de lancer une remarque acide. Déjà Boris l’entraînait dans les couloirs.

Il ne sut combien de temps avait duré son voyage. Tous ses sens étaient agressés par le lieu. C’était l’odeur, innommable. Comment des hommes pouvaient ils vivre dans cette puanteur ? Car il y avait bien des personnes dans ce lieux, les cris qui sortaient des cellules en témoignaient.

Aux paroles du soldat, il frissonna pour la jeune fille de la cellule. Mais cela ne fit qu’accroître la haine qu’il éprouvait déjà . Sans plus lui laisser de temps, il l’entraîna à nouveau plus loin, toujours plus loin de la surface, de la sortie.

Il sentit la main qui lui intimait l’ordre de stopper. Son gardien ouvrit la porte sur leur gauche et sans crier gare l’envoya bouler à l’intérieur. Déséquilibré et harassé, il ne put se rattraper. Sa tête heurta le sol. Une nausée le prit au moment ou il se sentait partir. Puis ce fut le trou noir.

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Appelez moi Corentin ou coco
-fromFROdessa
La gamine pesta, elle sortit de la taverne un gout amer dans la bouche, Daph n'etait pas encore revenu, rejoindre les geoles, passer ses nerfs sur le templier, pourquoi pas. Prend a droite direction les cellules. Rencontre inopinée avec un rat, ce dernier la regarde, pousse un couinement, elle n'etait pas d'humeur. D'un coup de pied, elle envoya voler la pauvre bête qui s'ecrasa contre la paroi. Pas fine la fillette en colere.

Reportant son attention sur son but, elle activa le pas, traversa un dedalle de tunnels qu'elle commencait à bien connaitre maintenant, puis cette odeur si familiere. Elle chercha un moment avant de trouver la cellule ou Boris avait mit le templier. Armée d'une torche, elle regarda par la petite lucarne, une à une, un cadavre se decomposant dans l'une, un amas de rat faisant bonne chair dans une autre. Celui la ne couterai plus rien a l'antre pas meme en eau, une blondasse, un cadavre encore. Odessa s'arreta, revint sur ses pas, le cadavre portait une cape blanche, croix rouge...........sans perdre une seconde elle ouvrit la cellule............etait t il ?............Boris n'avais pas pu s'empecher que de le tuer...........elle se jeta sur lui approchant la torche de son visage.

Le temps s'arreta, elle approcha sa main, paume vers son visage, senti la chaleur de la vie. Elle soupira et le regarda. Leur echange de regard resurgi, elle les avait consciemment oublié, pour ne pas............il etait .............elle avait ete touchée par son regard. Elle avait pu lire tant de douceur sous son apparente haine. Puis elle se ressaisit, que faisait elle la, elle etait une ténébris, il etait un templier. Arrete de te faire des illusion Odessa, des qu'il en aura l'occasion il te tranchera la gorge, autant que ca soit lui avant toi.

La gamine se releva, sortit de la cellule, la referma et ouvrit la premiere, celle qui contenait un cadavre puant deja la decomposition. Elle avisa un seau qui se trouvait dans l'angle de la cellule, se pencha au dessus et failli vomir. Le bougre avait fait ses besoins dedans, bien.

Elle s'empara du seau, retourna dans la cellule du templier et le deversa sur celui ci.

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-fromFRcoco_the_killer
Il fut tiré du trou noir. Lentement il émergea de son semi-coma. Immédiatement, l’odeur le pris à la gorge. Sans même chercher à penser, il se pencha sur la droite, et rendit tout ce que contenait son estomac.

Son cerveau recommença à fonctionner. Quelle était cette odeur ? Où était-il ? Que faisait-il ici ? Il ouvrit les yeux puis tout lui revint. La fille était là. Elle le regardait d’un air narquois.

Il fut envahi d’un flot de haine. Haine pour les In Tenebris, ces fils de chien qui répandaient la mort derrière eux. Puis il y avait cette odeur, elle semblait l’entourer, le serrer… Un rapide regard sur ses vêtements lui fit comprendre l’étendue de la situation, elle lui avait lancé un sceau plein de… et à en juger par l’odeur, il ne savait pas de quand cela datait. Il voulut se lever pour lui faire rentrer son sourire dans la gorge…

Mais ses jambes ne lui obéissaient plus. Il songea à quand remontait son dernier repas, au moins deux jours. Il avait chevauché depuis une semaine sans discontinuer et il venait de vider son estomac des dernières choses qui auraient put lui permettre de reprendre des forces.


Il se contenta de lui cracher au visage, enfin plutôt de tenter de lui cracher au visage puisque le glaviot s’écrasa lamentablement par terre.

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Appelez moi Corentin ou coco
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