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[RP] L'antre de Krivda... [Geôle 1]

-fromFRcoco_the_killer
Voix douce, promesses d’avenir… Et ces yeux… SES yeux ! D’un puissant bleu océan où l’on pouvait se perdre et s’y noyer rien qu’en y plongeant. Pourquoi avait-il fallut qu’il dise ça ? Plus grande déclaration qu’un baiser, ses mots avaient franchis ses lèvres pour la protéger. Voilà qu’il lui avouait qu’il… Vertige…

La main caressa sa joue, ses sens explosèrent. Avait-il déjà ressentit ça ? Peu lui importait. Il laissa faire, conscient du point de non retour qui venait d’être franchit. Pour rien au monde il n’aurait aimé être ailleurs.

Elle lui offrait l’avenir, candide souhait… Il y avait bien longtemps qu’il n’y croyait plus. Mais pour elle aujourd’hui, il était prêt à y croire. Oui, y croire parce que sans elle, sa vie n’aurait désormais plus de sens, y croire parce qu’il l’aimait tout simplement.


L’avenir, quel est cet avenir que tu m’offres, si c’est la vie sans toi… je ne pourrais le supporter, je dépérirais. Une vie sans toi, ce serait comme un monde sans saveur, comme un monde sans couleur… Qu’ai je à t’offrir pour que risquer ta vie pour moi en vaille la peine ?
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Appelez moi Corentin ou coco
-fromFROdessa
Une vie sans toi, ce serait comme un monde sans saveur, comme un monde sans couleur…jamais elle n'avait entendu cela, elle se perdait desesperement au fils de ses mots, il lui parlait comme si elle etait importante, une importance vitale, elle la courienne, la Ténébris, mains sali par le sang qu'elle a si souvent fait coulé. Elle ne pouvait le croire, encore un fois, imaginant sa fin si proche devait il dire des choses qu'en d'autre circonstances il n'aurai pas dit. Peut etre oui à une jolie fille des salons bourgeois, mais pas à elle.
Pour la premiere fois, elle porta un jugement sur son apparence, jamais au paravent elle ne s'en etait preoccupé, pas important d'etre belle ou pas pour porter la mort, d'ailleur elle ne devait pas l'etre, personne ne lui ayant jamais dit, oui ca devait sans doute être la proximité de la mort qui faisait parler le templier, peut etre cette peur le rendait elle fou, il ne savait plus ce qu'il disait. Et pourtant, elle aurai voulu y croire, gouter ses levres qui savaient dire de si jolis mots, sentir ses bras la proteger....

Encore une fois tout ceci ne devait ettre qu'illusoire, elle se reveillerai seule dans le froid de l'antre, avec pour unique amies ses deux dagues.

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-fromFRSoldats In Tenebris
Tour de garde, sentinelle il arpente les couloirs...Pas qui resonnent, sur l'humidité puante des pavés et des pierres. Il porte flanbeau, il avance eclairant d'un halo son avancée dans les profondeurs...Lieux d'où l'on ne revient pas...Il a les pensées chagrines ce soir là, de mauvais poil, il a perdu aux dés et doit se farcir la garde de son adversaire...Lui est à la pochée, à faire la fete...Et Guilock erre, armes et armure rutilantes, il fait sa ronde...Les cellules ne sont plus loin, il est venu chercher la mome comme ils l'appellent tous...A peine quinze ans mais elle a fait ses preuves, une Ténébris pur sang...Des voix lui parviennent , serait elle venue torturer le Templier ? Il sourit, la perversion n'est pas l'apanage des anciens, la jeunesse a de l 'avenir...Mais les mots echangés sont murmures, il s'interroge...Se pourrait il que ? C'est une jeune fille , peut etre encore fragile, facile de tourner la tete d'un coeur à cet age, meme si dejà emplit de noirceur... Il franchit en quelques pas rapides la distance et va abbattre sa paluche sur la poignée de la cellule et entre...

Odessa!! On te demande au huit clos!!Je suis venu te chercher, ma soeur...

Il n'aime pas ce qu'il a vu, mais ne dit rien...Le silence est pesant...
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в тенебрис !
-fromFRSoldats Des Tenebres
Le voila qui entend des voix et non des cris résonner dans les couloirs sinistres de Krivda. Il trouve cela fort étrange. Habituellement, seuls les hurlements de souffrance fusent dans ce lieu puant et immonde. Potrick s'en va en direction des voix pour voir de quoi il s'agit.

Ses bottes sont teintée du sang des morts qui gisent ci et la. Tant de gâchis alors qu'ils pourraient être éventrés aux Puits de Kudjara pour remplir les bassins de la déesse du sang. Marmaklus et Guidon lui ont fait part de leur découverte et il trouve l'idée fort bonne. Il en avait parlé à Halleck qui l'avait assigné à cette tâche. Il lui faudrait donc déverser le liquide rougeâtre qui croupit inutilement sur le sol de l'Antre de Krivda dans les bassins. Peut être pourraient ils creuser une rigole qui mène aux Puits... Non, ceux ci sont placés bien au dessus du royaume de la Déesse des Larmes...

Il continue d'avancer, perdu dans ses réflexions. Les voix le guide, il s'approche... Tient, il découvre dans la bouche d’un cadavre moitié démembré une dent en or. Quelle chance incroyable qu'elle n'ait pas été retirée lors de la fouille des morts. Il regarde autour de lui, ne voit personne. Il sort sa dague et rejoint le corps inanimé puis enfonce sa lame dans la gencive pour dégager le précieux métal. La dent résiste mais il ne cédera pas devant une telle richesse.

Enfin, elle cède. Ses mains sont gorgées de sang. Il range son butin dans la fine poche de ses frusques trouées puis entreprend de découper les deux yeux du cadavre pour jouer une farce à l'un de ses frères. Cela fait, il se remet en route et gagne la geôle ou à été déposé il y a peu un templier. Il découvre alors Guilock en compagnie du prisonnier et de la belle Odessa. Charmante gamine aux crocs acérés...

Potrick place ses faux yeux devant les siens, s'approche silencieusement et mime la voix d'Halleck afin de lancer dans le dos de Guilock :


в тенебрис Guilock !

L'autre se retourne, sursaute sous le coup de la surprise. Potrick s'emporte alors dans un rire violent et immonde avant de déclarer.

Viens vite mon frère, j'ai une mission des plus urgentes à remplir et j'ai besoin de ton aide.

Nous devons éventrer une bonne partie de ces chiens de prisonniers pour remplir les Puits de Kudjara de leur sang. J'ai dégoté quelques sceaux et je suis sur qu'on pourra s'enfiler une ou deux bourgeoises avant de les évicérer.


Un nouveau rire violent puis il passe son bras autour du cou de son ami avant de l'enmener à sa suite. Il lui tend un oei... Croque l'autre gouluement...
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в тенебрис !
-fromFROdessa
Bruit de pas brisant l'ambiance, Elle porte la main a ses dagues, porte s'ouvre sur un soldat, Odessa se leve prestement, regard noir au soldat. Le huit clos ? Pourquoi qu'avait elle à y faire ? Elle resta quoi devant sa demande mais n'eut pas le temps de repondre qu'un autre soldat l'avait rejoint, Elle souri en voyant le Jeu de Patrick, dos a lui, le templier ne pouvait voir son sourire carnacier face aux jeux des soldats. Feintant une mauvaise humeur d'avoir ete deranger dans son petit entretient privé, elle aboya sur le soldat:

Je n'ai que faire au clos, tu ne vois pas que j'ai choses plus urgente a faire ici

Quand ils eurent quitté la cellule, elle donna un violent coup de pied dans la porte qui claqua dans un bruit sourd. Elle avait mis beaucoup de coeur dans ses echanges avec le templier et eux n'avaient rien trouvé d'autre que de venir la deranger. Elle tenta de maitriser sa colere, elle n'en avait pas fini. Prenant deux secondes pour se calmer, elle se retourna vers le templier avec un sourire angelique et lui dit avec une voie d'une infinie douceur, contrastant avant la dureté precedante:

On ne nous derangera plus Corentin.

Puis elle repris sa place, a genoux devant lui, prenant son verre, elle le leva pour trinquer avec lui
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-fromFRcoco_the_killer
Magie de l’instant, beauté de la déclaration : soleil dans la sombre pièce, soleil dans leur sombre vie. Etait il conscient que cet acte changerait irrémédiablement sa vie ? Peut être… Mais même s’il le savait, il préférait de beaucoup l’avoir fait. Il vit briller les yeux de la jeune fille, lanternes qui éclairaient la noirceur de sa vie. Quelqu’un l’avait elle déjà fait rêver ? Peut être, mais personne ne lui avait parlé ainsi, personne n’avait souligné l’importance de sa vie.

Grincement de la poignée, la porte s’ouvre… La lumière envahit la pièce, un instant ébloui, Corentin regarda l’homme qui se dressait dans l’embrasure. Il n’avait pas l’air d’apprécier. La situation était pour le moins incongrue, le visage d’Odessa se trouvait à quelques centimètres du sien. Déjà, un autre soldat arrivait. La jeune fille, loin de se laisser démonter leur ordonna de repartir, non sans leur faire sentir sa colère. Il l’admira en silence… Si jeune, déjà si… adulte…

Elle tentait de se calmer, Corentin fut tenté de la prendre dans ses bras pour l’aider, mais il n’oserait pas, ses habits étaient trop sales pour qu’ils puissent la toucher. Mais avant qu’il put faire quoi que se soit, elle était à nouveau près de lui, le verre à la main.


Corentin leva faiblement son propre verre. Sa main avait encore du mal à supporter ce simple poids. Qu’importe, pur ce simple échange, il était prêt à faire des sacrifices. Tintement… Tous les deux burent leur verre, les yeux dans les yeux… Il fallait qu’i lui parle, il allait mourir, elle ne devait pas s’attarder sur lui… Il lui parla alors de sa voie la plus douce.

Ecoute Odessa, ne te compromet pas pour moi, je n’en vaux pas la peine. Tu as ta vie devant toi. La mienne, à ce que je vois, arrivera bientôt à son terme. Si ta place est à ce huis clos, va-y.
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Appelez moi Corentin ou coco
-fromFROdessa
Ils trinquerent, bruit crystalin des verres qui s'entrechoquent. Elle le regardait, se demandant, etait il pret, etait ce le bon moment ? elle lui avait dit qu'il ne seraient plus derangés mais elle n'en etait pas vraiment certaine et peut etre cette fois ci ca serai Boris, venu pour faire son office. Elle ne pouvait se permettre de perdre plus de temps encore.

Tout son regard candide dans le sien, elle posa son verre, pris celui du templier pour le poser à coté du sien tout en lui repondant d'une voix douce et basse, à peine un murmure, l'obligeant à se rapprocher une nouvelle fois de lui car elle voulait qu'il put l'entendre:


Je n'ai d'autre place qu'à tes cotes et toi aux miens, ta vie ne sera pas en danger pas plus que la mienne, Tenebris est une grande famille, je te l'offre, en meme temps que ta vie et la mienne.

En prononcant les derniers mots, ses levres etait toutes proches des siennes, elle sentait son souffle les carresser et mue par son profond desir qui ne l'avait pas quitté depuis le chemin de Bourgogne, elle les posa delicatement sur les siennes pour enfin le gouter.
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-fromFRcoco_the_killer
Hypnotisé par ses yeux et sa voix, Corentin approchait toujours plus son visage de celui d’Odessa. Il la trouvait si… belle… elle lui ôta son verre des mains, il n’eut aucun geste pour la retenir, il trouva même de la grâce dans son attitude.

Et puis, sa promesse, si belle, si naïve… une promesse d’enant de quinze ans, mais il ne pouvait réfléchir, il ne pouvait mettre en doute les paroles de celle qu’il aimait. Tout paraissait si pur, si… porteuses d’avenir. Il n’avait qu’à dire oui, oui, et il vivrait avec elle pour toujours. Il murmura, d’une voix qu’il n’avait jamais eu, elle avait la beauté d’une caresse et la douceur d’une plume.


Je t’aime…

Ils étaient tout près désormais… si près… Puis leurs lèvres se touchèrent, long baiser passionné. Les secondes s’écoulèrent sans qu’aucun ne it le moindre geste. Corentin avait fermé les yeux pour apprécier cet instant….
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Appelez moi Corentin ou coco
-fromFRBoris bourreau Ténébris
La pochée avait été prise par les ténébris, bien qu'il n'eut pas grand chose à faire il avait ete present, mais maintenant un autre devoir l'appelait. Il parcourrut les couloirs de l'antre, deux soldats ténébris à sa suite pour rejoindre les Geoles. Calme, serein, depuis qu'il avait pris ses nouvelles fonctions comme bourreau il avait trouvé sa paix dans le meutre justifié, adminsitrer la souffrance est un art qu'il aime pratiquer.

Deux yeux blanc, a peine encore coloré du bleu de son ancienne vue, mais ses autres sens qu'il avait apris a devellopper, notament l'odorat lui indica par la puanteur ambiante que les cellules n'etaient plus tres loin.

Posant sa main sur les murs poisseux du boyau, il compta le nombre de cellule pour retrouver celle ou il avait laissé le templier et s'arreta devant.

Il respira profondement et denota un parfum qu'il connaissait bien, Odessa. Il l'avait assez longtemps servi pour reconnaitre son odeur. Elle etait ou avait ete la il y a peu de temps. Un signe a un des soldats et celui ci ouvri la cellule, restant silencieux devant le spetacle qui s'offrait a sa vue. Boris et l'autre soldats penetrerent la cellule presque au meme instant, dans un silence absolu.

Elle etait la, Boris le sentait, Argok, le premier soldat alla mumuré à l'oreille de Boris, voyant Odessa se levé rapidement. Tout aussi calme, malgré un rictus qui montra sa desaprobation, il s'adressa en direction du couple:


Odessa sort de la !!

Il n'y avait pas la lieu a discution, l'ordre etait clair, Boris etait sur son territoire dans les geoles et y avait toute autorité, Odessa le savait.
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-fromFROdessa
Je t'aime.............ces simples mots resonnerent encore à l'unisson de son coeur tout pendant que leurs levres s'unissaient dans un doux baiser qu'elle prolongea. Elle etait tombé amoureuse de son prisonnier, et s'il ne voulait pas rejoindre le clan que ce passerait il ? Elle ne pouvait plus faire marche arriere maintenant, la vie ne pouvait plus a present les separer, elle ne le voulait pas.

S'approchant encore, a toucher son corps, sentir sa chaleur, donnant toute sa passion a son baiser, à ses levres qu'elle ne voulait plus quitter. Il serait ténébris ou perirait entre les mains du bourreau. Elle voulu eloigner cette pensée, mais la realité la ratrappa et elle entendit seulement la porte s'ouvrir.

Un soldat entra rapidement suivi de Boris et d'un deuxieme soldat. Elle se leva rapidement, quittant à regret Corentin. En voyant le bourreau elle devint livide. Le soldat informa Boris de la situation, l'ordre s'imposa, tranchant. Tout refus eut été une violation du code. Elle regarda Boris, puis Corentin, il etait venu pour lui...............déjà.........elle voulu parler mais les mots s'etranglerent dans sa gorge. Son regard devenu supplique à l'intention du templier, elle recula, il devait se decider, il devait la rejoindre, ca ne pouvait être autrement, ca ne devait être autrement.Derniere supplique a l'intention de celui qui lui avait ravi son coeur:


Corentin, je t'en prie
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-fromFRcoco_the_killer
Elle prolongea le baiser, instant magique qui l’élevait bien au-dessus de sa sombre geôle. Il aurait voulu ne jamais quitter ses lèvres, son corps, ses yeux… Il aurait toujours voulu rester ainsi. Plus rien ne comptait désormais hormis elle.

Elle s’approchait toujours plus, se lovant contre son torse. Il la prit dans ses bras, le plus doucement possible. Il ne pensait plus à rien, une seule image obsédait ses pensées, celle d’Odessa.

Bruit de serrure, la porte qui s’ouvre. Les deux amants furent arrachés à leur tendre baisé. Corentin sentit son cœur se serrer comme si, d’instinct, il savait ce que signifierait cette interruption. La lumière l’aveuglait, il ne put reconnaître le In Tenebris. Ce qu’il savait, c’est que son unique raison de vivre s’était retirée de lui.

Car elle s’était levée lorsque l’ordre avait retentit. C’était comme si une partie de lui-même l’avait abandonné. Il distinguait mieux les soldats qui étaient entré. Il reconnut Boris… Il sut exactement ce qui l’attendait. Il vit aussi les yeux suppliant de faire… mais quoi ? Que lui avait elle demandé ? Emporté par l’euphorie de l’amour, il n’avait plus pensé à rien ; Les mots se formèrent dans sa tête, elle lui avait proposé de rejoindre In Tenebris pour échapper à son supplice et vivre à jamais avec elle.

Son cœur était désormais complètement déchiré, d’un côté, il pouvait vivre le bonheur absolu durant le restant de ses jours avec Odessa… Odessa, il avait encore le goût de ses lèvres en lui. A chaque fois qu’il pensait à elle, sa raison vacillait, l’encourageant à plonger avec elle… Mais de l’autre, il devait rejoindre In Tenebris et tout, tout en lui le refusait, son corps hurlait sa répulsion contre cette engeance du démon, ces tueurs, ces… Mais pourtant Odessa en faisait parti…

Il était incapable de dire la moindre chose. Les éléments les plus contradictoires s’affrontaient dans sa tête où se mêlaient tour à tour, souvenirs, raison et sentiments. La dernière supplique d’Odessa acheva de détruire à jamais son cœur. Il savait que tout son âme réclamait à grands cris de rester avec elle à jamais. C’est pourquoi, il leva les yeux en direction du bourreau et d’une voix calme, il déclara :


Ainsi donc, tu es venu faire ton travail, je suis prêt…

Anéantis, il baissa les yeux, n’osant croiser le regard de celle qu’il aimait.
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Appelez moi Corentin ou coco
-fromFRBoris bourreau Ténébris
La gamine commencait à l'agacer, elle n'abait pas a discuter et aurait deja du être dehors. Boris fit signe aux soldats qui se dirigerent vers le prisonnier. Sans aucun menagement, ils mirent des fers a ses chevilles et a ses poignets les liant dans son dos, par jeu l'un deux lui donna un coup de pied dans le dos pour le plaisir de le voir choir au sol, les deux soldats eclaterent de rire, un regard mauvais pour Odessa:

Profite de la vue de ton Don Juan Odessa, il restera pas comme ca bien longtemps, Boris lui a preparé un traitement de faveur à ce chien de templier

Il regarda l'homme au sol et cracha sur la croix de sa cape. Puis attendit les ordres du bourreau, qui ne se firent pas attendre:

Dans la salle rouge

Il premena son regard absent en direction de la jeune fille, elle n'avait pas bougé, qu'attendait elle ? peut etre voulait elle l'assisté dans cette tache.........il emis un petit sourire a cette pensée. En fait ca commencait a lui plaire, à la torture physique du prisonnier s'ajoutait celle mentale d'Odessa. Il le ferai crier au plus fort pour etre sur qu'elle n'en loupe rien, car à n'en pas douté, elle ne quitterai pas l'endroit.

Les soldats repondant à l'ordre du bourreau, releverent le prisonnier pour le conduire dans la salle rouge. Lugubre, froide, mais surtout tres bien equipé pour ce genre d'activité.





Il le jeterent a l'interieur, vu les entravent, il se retrouva au sol comme dans la geole à la grande joie des soldats.

Boris, apres un sourire sadique à Odessa avait suivi la joyeuse troupe, et toujours sans un mot designant un des murs de la salle qui etait equipé de chaines fixées à meme la parroi.

Ils s'executerent trainant le prisonnier jusqu'au mur, echangeant les chines precedement mis pour celle du mur. Il fut vite immobilisé, bard tendu, jambes ecartés.

De faibles torches eclairaient la pieces, demontrant la richesse de ses equipement, promesse de duiversité dans la torture. Voilant laissé au templier tout le temps de faire fonctionné son imagination, il se contenta de dechirer sa chemise pour offrir son torse nu au bourreau, et quitta la piece avec les deux gardes.

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-fromFROdessa
Ses paroles tomberent comme un couperet, tranchantes, elle senti son coeur exploser en morceau. Il regniait les instants precedant pour s'offrir au bourreau. Aneanti ses epaules se vouterent comme si elle portait la terre entiere sur ses epaules, d'autant qu'elle savait ne rien pouvoir faire pour lui eviter cela.

Elle regarda les gardes l'entraver, commencer à jouer avec lui, lui infligeant humiliation en le jetant au sol. Elle failli s'elancer vers lui pour le relevé mais Boris ne l'avait pas quitté, un seul geste et il se serait fait un plaisir de la trainer dans une des geoles.

Les poings serres, le regard brulant de colere, elle regarda les gardent trainer Corentin dans la salle rouge. Elle la connaissait bien cette salle et ne voulu meme pas l'imaginer subisant la torture dans cet endroit.

Boris n'avait pas eu un seul mot, il l'avait regadé une derniere fois, avec ce sourire sadique qu'il savait si bien executé et ete parti la laissant la, seule avec un gouffre pour avenir, et les cris de son aimé qui ne manqueraient pas de lui parvenir.

Elle failli l'espace d'un instant s'effondré au sol, mais un dernier sursaut, un dernier espoir. Quand elle n'entendit plus un bruit, elle sorti de la cellule, longeant les murs qui conduisait vers la salle, puis dans l'endroit le plus obscure, elle resta la, atttendant le bon moment....ils sortiraient bien, alors elle sera la.

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-fromFRcoco_the_killer
Les deux soldats avancèrent tranquillement, certain qu’il ne causerait aucun problème. Il tenta de résister quand ils l’entravèrent, pour un dernier sursaut de fierté qui ornait son cœur. Mais ils étaient deux et lui était bien trop faible. Il jeta un coup d’œil sur les chaînes qui l’entravaient… Impossible à briser, impossible de se libérer… Il voulu dire quelque chose…

Un violent coup de pied dans son dos le déséquilibra. Il tenta de se retenir, de battre des mains… peine perdue, ses membres étaient liés. Le choc ne se fit pas attendre. Il en eut le souffle coupé. Il venait d’heurter violemment le sol dur de sa geôle. C’était comme si une pince lui écrasait la tête. Papillotant, il repris totalement ses esprits mais tournés vers le sol, il ne voyait rien de ce qu’il se passait dans la pièce. L’espace d’un instant, il se surprit à se tourner vers Aristote.

*Si tu m’entends de là haut, s’il te plait, évite à Odessa de faire la moindre chose qui mette sa vie en danger*

Sa muette supplique à peine achevée, il se sentit saisi par les deux bras puis relevé sans ménagement. Le temps de comprendre qu’on l’emmenait et il avait déjà quitté la salle. Un seul mot avait retenu son attention : la salle rouge. L’expression aurait dut le terrifier mais à quoi bon avoir peur désormais ? de plus, il n’en avait pas le temps. Ses geôliers l’entraînèrent dans le dédale de couloir, à nouveau, il tenta de mémoriser son chemin… peine perdue !

Finalement, il se retrouva devant une porte. Les soldats ricanaient d’avance de ce qu’il se passerait. Il regarda fixement la porte… il ne voulait pas vraiment savoir ce qui se trouvait derrière. Peu leur importait son avis, il l’ouvrirent et Corentin se sentit partir à nouveau… pour retomber tout aussi brutalement. N’ayant put amortir sa chute, il fut légèrement sonné. Il se disait bêtement qu’il devait reprendre ses esprits, sans arriver à le faire. Il fut alors relevé, sans plus de ménagement. Boris le toisait avec un regard sadique… aurait il dut frissonner, avoir peur ? Surent mais il était trop sonné. Qu’importe, les soldats poursuivirent leur tâche. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il se retrouva fixé au mur sans avoir la moindre possibilité de se détacher.

Il put contempler la pièce qui s’offrait à ses yeux. Partout ce n’était qu’étranges instruments, vraisemblablement prévus pour autre chose que la cuisine. Il en reconnut quelques-uns uns et un frisson parcourus son échine lorsqu’il s’en remémora le fonctionnement ; la peur met parfois du temps à s’installer mais lorsqu’elle vous envahit, vous pouvez difficilement lui résister.

Pour couronner son sale travail, le soldat lui arracha sa tunique. Désormais, il offrait son torse nu aux soins du bourreau. Cette conclusion ne le réjouis pas vraiment. Il savait que beaucoup avait renié leur Dieu, supplié qu’on les achève ou même pire… en échange d’un arrêt des tortures… Devant la douleur, on ne pouvait rester insensible… Il avait rêvé d’une mort glorieuse sur un champ de bataille… mais jamais sur la table d’un bourreau.

Désormais il était seul…seul face à sa conscience, seul face à lui-même… Putain mais qu’est ce qu’il faisait là ? Il aurait dut tenter de s’échapper… mais il savait pertinemment que cela ne servirait à rien… Quoi donc, Il allait mourir sans qu’il n’y puisse rien faire ? Pourquoi n’avait il pas profité de l’opportunité que lui offrait Odessa ? Il songea à s’adresser à Aristote, mais il préférait ne pas l’encombrer avec deux demandes, celle de veiller sur la fille était bien plus importante.

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Appelez moi Corentin ou coco
-fromFRBoris bourreau Ténébris
Bruit de pas cadencé dans les couloirs de l'antre, le retour du bourreau et de ses soldats. Il n'est pas parti bien longtemps, juste le temps qu'Odessa s'approche, parce qu'il en etait sur qu'elle viendrai, et que le templier s'habitue a sa nouvelle residence.

La meme odeur dans un coin sombre, pas besoin de voir pour savoir, elle etait la, un sourire, on peut continuer. Franchir la porte de la salle. Le templier est toujours la, torse nu, son coeur bat vite, la peur ? l'angoisse ? Boris lui jubile. S'approche du templier, passa une main sale, taché de sang seché, ongles longs et noir sur la peau blanche du prisonnier, puis s'eloigne vers une table sur laquelles divers objets tronent, rangement aleatoir au gré du precedant bourreau, sang en abondance, temoignage d'anciennes souffrances. Son regard absent les parcours, sa main carresse, choisissant celui qui aurait sa preference pour debuter. S'arrete, repart à la recherche, puis s'arrete de nouveau se saississant de l'objet.




Les deux soldat posté à coté du bourreau sourient en voyant l'objet et se rendent pres du templier. Ils savent ce qu'ils ont a faire. Argok, un petit couteau fort bien aiguisé en main, acheva de decouper la chemise deja en lambeau, afin de libere les bras de leur prison de tissu. La lame glisse lentement sur la fibre, se rapprochant parfoir dangereusement de la peau, mais par imprudence, ou plutot par jeu, elle s'en rapproche tant qu'elle l'insice sur quelques centimetres, legere brulure qui faisait perlé le sang et surtout rire les soldats. Quand elle fut entirement defaite sur le bras gauche, le laissant balafré, quelques filet de sang le longeant pour s'echouer dans la crasse du sol.

Argok rangea son couteau, pendant que son compere deliait la main, delivrance necessaire pour la faire passé dans l'objet de torture. Boris s'avanca ver le templier, l'engin ecarté au maximum, juste un passage pour la main. Aider des deux soldats, il la firent traverser, puis remirent l'attache.

Boris recula, regard au bras saignant deja, regard reprobateur au soldat, il serai puni, on ne vole pas la souffrance, lui en est le maitre. mais pour le moment, il avait à faire. Il reparti vers la table, pris un petite bouteille. Il revient vers son prisonnier, ouvri la bouteille et la porta pres de son nez, du vinaigre. Il aspergea largement les pointes avec son contenu, accentuant la douleur lorsqu'elles penetreront les chairs.

Prenant tout son temps il reposa la bouteille pour se replacer devant lui. Le moment etait venu, sourire gourmand, il allait se repetre de la souffrance et du sang qui allait couler. Il placa l'outil bien sur l'avant bras, puis commenca a tourner les vis se situant de chaque coté, pour refermer les machoires. Tout doucement, inexorablement, appuyant seulement sur la peau puis forcant leur chemin, quand l'elasticité de celle ci a atteint son maximum et qu'elle doit ceder, se perforer, se dechirer pour que la pointe puisse poursuivre son chemin dans la chair, toujours encore et toujours, se refermant toujours plus loin, le sang commencant a perler, s'avance dans le muscle, faisant sa place ecartant les chairs, son regard blanc dans le sien pour lire la douleur, s'en ennivrer, en tirer sa force.
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