-fromFRcoco_the_killer
Les bruits de pas semblaient résonner tout autour de lui. La soudaine présence de tous ces instruments et la forte probabilité de sa mort lavaient rendu plus attentif à ce qui se passait autour de lui. Un sentiment quil avait parfois éprouvé le minait petit à petit. Certains le nommaient la peur mais cétat légèrement différent. Il naurait put le nommer. Et puis cette solitude glacée
La porte souvrit brusquement, le templier sursauta légèrement Il était trop à cran, il devait se calmer se calmer Ah la bonne idée !!! pour un peu il en aurait sourie de dégoût, oui de dégoût lorsque le bourreau lui passa lentement la main sur le torse. Sourire torve, contact des ongles longs recouverts de sang séchés Un frisson lui traversa léchine. Ricanement de son bourreau.. Déjà il se désintéressait de lui Il se tourna vers ses précieux objets de torture, en caressant lun palpant lautre, semblant leur parler parfois, souriant toujours .
Lentement Corentin profita du bref moment de répit dont il disposait. Il avait limpression quun nud sétait libéré dans sa poitrine ; Sa respiration se fit moins sifflante. A nouveau, les aides du bourreau se dirigèrent vers lui ; cette fois ci, il leur fit un accueil froid, reléguant sa peur au profond de son cur. Il les toisa avec mépris lorsque le couteau trancha un à un les derniers lambeaux de sa chemise. Cest à peine si il grimaça lorsque la lame entailla sa chair. Il nosait laisser ses pensées échapper à son contrôle Il sombrerait dans la démence ou tout du moins dans la terreur
Les soldats seffacèrent, laissant le bourreau sous ses yeux, accompagné dune étrange machine. Il nen compris pas le fonctionnement mais assurément, ce nétait pas pour un massage. Les trois In Tenebris se mirent en tête de lui faire passer la main à travers létrange machine. Il leur opposa toute la force dont il était capable. Il y mettait tout ce qui restait dans son cur. Mais ses forces étaient faibles et ses geôliers étaient trois. Sa résistance fut finalement réduit à néant. Son bras fixé, il ne put que regarder le bourreau actionner létrange vis. Il sut alors le fonctionnement de la machine. Il pâlit à cette pensée.
Lentement, Boris tournait, tournait. Doucement, les lames avançaient. Corentin en sentait le contact sur sa peau nue. Elles nétaient pas spécialement affûtées, mais sen était presque pire. Il pressentit le point de rupture et serra les dents en prévision. Ce fut pire A grande peine, il retint son cris, ne laissant échapper quun faible gémissement. La douleur lui vrillait le bras. Le bourreau, lui continuait son uvre, sourire sadique aux lèvres. Il eut envie de frapper linstrument qui lui réduisait le bras en lambeau, de frapper le bourreau qui magnait la vie, lui faire rentrer son sourire dans les lèvres. Il se débattit comme il put peine perdue, les chaînes nétaient pas prêtes de céder. Les pointes par contre, continuaient leur travail meurtrier, lacérant sa chaire, réduisant son bras en une sorte de monceau de douleur. Finalement il hurla. Mais ce ne fut pas les cris de souffrances, non, il se répandit en insulte, ne sachant comment évacuer autrement le feu qui le rongeait.
Fils de chient ! mécréant ! pourriture ! ordure ! Souillure ! parjure ! Faquin ! Salopart ! Porc !
Il continua à répandre ses imprécations. Mis en joie par les premiers cris, le bourreau continua son office. La douleur était constante, ne cessant jamais. Il sentait les lames lui couper les chaires Il gueulait, gueulait sur son bourreau, vaine tentative de faire cesser sa souffrances
Il poussa finalement un faible rugissement puis se tut. Blanc comme un lige, il serrait les dents, fixant son bourreau avec une expression de non pas de peur la situation obligeait le dépassement de cette simple émotion De la souffrance oui mais point de terreur sauvage, il nétait pas assez abattus pour cela. Il le fixa dans les yeux, tentant de sabsorber à la contemplation de ces pupilles qui brillaient de plaisir, pour tenter doublier oublier laffreuse douleur qui le taraudait
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Appelez moi Corentin ou coco
La porte souvrit brusquement, le templier sursauta légèrement Il était trop à cran, il devait se calmer se calmer Ah la bonne idée !!! pour un peu il en aurait sourie de dégoût, oui de dégoût lorsque le bourreau lui passa lentement la main sur le torse. Sourire torve, contact des ongles longs recouverts de sang séchés Un frisson lui traversa léchine. Ricanement de son bourreau.. Déjà il se désintéressait de lui Il se tourna vers ses précieux objets de torture, en caressant lun palpant lautre, semblant leur parler parfois, souriant toujours .
Lentement Corentin profita du bref moment de répit dont il disposait. Il avait limpression quun nud sétait libéré dans sa poitrine ; Sa respiration se fit moins sifflante. A nouveau, les aides du bourreau se dirigèrent vers lui ; cette fois ci, il leur fit un accueil froid, reléguant sa peur au profond de son cur. Il les toisa avec mépris lorsque le couteau trancha un à un les derniers lambeaux de sa chemise. Cest à peine si il grimaça lorsque la lame entailla sa chair. Il nosait laisser ses pensées échapper à son contrôle Il sombrerait dans la démence ou tout du moins dans la terreur
Les soldats seffacèrent, laissant le bourreau sous ses yeux, accompagné dune étrange machine. Il nen compris pas le fonctionnement mais assurément, ce nétait pas pour un massage. Les trois In Tenebris se mirent en tête de lui faire passer la main à travers létrange machine. Il leur opposa toute la force dont il était capable. Il y mettait tout ce qui restait dans son cur. Mais ses forces étaient faibles et ses geôliers étaient trois. Sa résistance fut finalement réduit à néant. Son bras fixé, il ne put que regarder le bourreau actionner létrange vis. Il sut alors le fonctionnement de la machine. Il pâlit à cette pensée.
Lentement, Boris tournait, tournait. Doucement, les lames avançaient. Corentin en sentait le contact sur sa peau nue. Elles nétaient pas spécialement affûtées, mais sen était presque pire. Il pressentit le point de rupture et serra les dents en prévision. Ce fut pire A grande peine, il retint son cris, ne laissant échapper quun faible gémissement. La douleur lui vrillait le bras. Le bourreau, lui continuait son uvre, sourire sadique aux lèvres. Il eut envie de frapper linstrument qui lui réduisait le bras en lambeau, de frapper le bourreau qui magnait la vie, lui faire rentrer son sourire dans les lèvres. Il se débattit comme il put peine perdue, les chaînes nétaient pas prêtes de céder. Les pointes par contre, continuaient leur travail meurtrier, lacérant sa chaire, réduisant son bras en une sorte de monceau de douleur. Finalement il hurla. Mais ce ne fut pas les cris de souffrances, non, il se répandit en insulte, ne sachant comment évacuer autrement le feu qui le rongeait.
Fils de chient ! mécréant ! pourriture ! ordure ! Souillure ! parjure ! Faquin ! Salopart ! Porc !
Il continua à répandre ses imprécations. Mis en joie par les premiers cris, le bourreau continua son office. La douleur était constante, ne cessant jamais. Il sentait les lames lui couper les chaires Il gueulait, gueulait sur son bourreau, vaine tentative de faire cesser sa souffrances
Il poussa finalement un faible rugissement puis se tut. Blanc comme un lige, il serrait les dents, fixant son bourreau avec une expression de non pas de peur la situation obligeait le dépassement de cette simple émotion De la souffrance oui mais point de terreur sauvage, il nétait pas assez abattus pour cela. Il le fixa dans les yeux, tentant de sabsorber à la contemplation de ces pupilles qui brillaient de plaisir, pour tenter doublier oublier laffreuse douleur qui le taraudait
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