-fromFRAnonymous
Enimia fut touchée qu'il s'écarte pour la laisser passer. Cela faisait remonter en elle tant de souvenirs qu'elle essayait de chasser de son coeur... Il la troublait... peut-être trop même... Elle se sentait bien à ses côtés, mais aussi terriblement en danger, comme vulnérable...
Elle sentait aussi que quelque chose le préoccupait. Elle ne voulait pas se laisser trop aller... Sa tendresse pour les personnes était réelle, mais elle ne voulait trop en donner en ce sens qu'elle ne voulait souffrir s'il leur arrivait quelque chose... Elle offrait son amitié à qui la voulait sans vraiment de distinction sinon une seule... Jamais à une personne liée à l'Eglise...
Elle sentait que le tourment qui s'emparait de lui était peut-être semblable au sien.
Alors que ces pensées se bousculaient en elle, elle le suivit et s'assit à ses côtés, près de lui sans l'être trop... Elle ne devait pas s'attacher... Il ne le fallait pas... Le voyant perdu dans ses propres pensées, elle n'osa pas l'en détourner... Aussi elle se contenta de sourire avec chaleur. Portant la coupe à ses lèvres, elle réalisa qu'elle ne l'avait pas remercié et qu'ils n'avaient pas trinqué... Elle décida alors d'y remédier. De sa douce voix si suave et si chaude qui enveloppait toute personne d'un bien-être semblant presque déplacé en ces lieux, elle lui dit :
Merci de ce verre... A quoi voulez vous que nous trinquions ? Pour ma part je le fais souvent à l'espoir, mais j'ai peur que cela ne vous paraisse déplacé...
Ses yeux verts l'admiraient sans se cacher, mais sans toutefois se faire inquisiteurs ni trop perturbants... Elle irradiait de bonté, troublante jeune femme presque irréelle... Elle lui souriait avec franchise et délicatesse. Son petit nez retroussé légèrement remuait parfois alors qu'elle parlait. Ses gestes étaient aussi doux qu'elle...
Vraiment quelle étrange présence que celle de cette jeune femme en ces lieux !
Elle sentait aussi que quelque chose le préoccupait. Elle ne voulait pas se laisser trop aller... Sa tendresse pour les personnes était réelle, mais elle ne voulait trop en donner en ce sens qu'elle ne voulait souffrir s'il leur arrivait quelque chose... Elle offrait son amitié à qui la voulait sans vraiment de distinction sinon une seule... Jamais à une personne liée à l'Eglise...
Elle sentait que le tourment qui s'emparait de lui était peut-être semblable au sien.
Alors que ces pensées se bousculaient en elle, elle le suivit et s'assit à ses côtés, près de lui sans l'être trop... Elle ne devait pas s'attacher... Il ne le fallait pas... Le voyant perdu dans ses propres pensées, elle n'osa pas l'en détourner... Aussi elle se contenta de sourire avec chaleur. Portant la coupe à ses lèvres, elle réalisa qu'elle ne l'avait pas remercié et qu'ils n'avaient pas trinqué... Elle décida alors d'y remédier. De sa douce voix si suave et si chaude qui enveloppait toute personne d'un bien-être semblant presque déplacé en ces lieux, elle lui dit :
Merci de ce verre... A quoi voulez vous que nous trinquions ? Pour ma part je le fais souvent à l'espoir, mais j'ai peur que cela ne vous paraisse déplacé...
Ses yeux verts l'admiraient sans se cacher, mais sans toutefois se faire inquisiteurs ni trop perturbants... Elle irradiait de bonté, troublante jeune femme presque irréelle... Elle lui souriait avec franchise et délicatesse. Son petit nez retroussé légèrement remuait parfois alors qu'elle parlait. Ses gestes étaient aussi doux qu'elle...
Vraiment quelle étrange présence que celle de cette jeune femme en ces lieux !