--Anna_tomie
Après avoir prit le temps de reprendre son souffle de cette grande marrade, Anna, la servante "à la con", prépara de quoi mettre le couvert.
Il était marrant le jeunot. Il croyait l'impressionner avec son éraflure, alors qu'elle même avait beaucoup plus impressionnant à montrer rien qu'en blessures ménagères. Elle se chargea de son attirail habituel: assiettes, fourchettes, couteau à bout rond pour le jeunot afin d'éviter qu'il ne se blesse encore le pauvre...
Puis arrivé dans la salle à manger, horreur. Enfer et damnation. Un bout de papier tout sale était posé sur la table qu'elle avait eu tant de mal à avoir si propre. Elle posa son bazar et prit le mot.
Argh !
Le temps de déglutir pour mieux hurler, et:
Ahhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!
D'un son sur-aiguë qui décolla un pan d'une toile sur le mur, elle se précipita vers le jeune balafré qu'elle venait de recaler pour lui montrer le papier. Manquant de réussite dans sa recherche de l'autre coureur de jupons du dimanche, elle prit le temps d'écrire des lettres pour informer le duché de la situation. Se servant du carnet d'adresse de la duchesse, elle fit partir les pigeons dans toutes les directions dans une envolée presque esthétique.
Ne sachant que faire de plus, elle attendit un moment, se concentra quelques minutes, et se rendit compte que quelque chose clochait. Justement ! Pourquoi la cloche sonnait-elle à cette heure-ci? Encore une mauvaise blague? Elle prit la direction du tintement pour comprendre enfin quelque chose à toute cette histoire.
Ce n'est pas sans surprise qu'elle trouva le jeunot suspendu à la corde en trin de faire mumuse. Elle cria pour l'arrêter et lui tendit le papier sans broncher.
Il était marrant le jeunot. Il croyait l'impressionner avec son éraflure, alors qu'elle même avait beaucoup plus impressionnant à montrer rien qu'en blessures ménagères. Elle se chargea de son attirail habituel: assiettes, fourchettes, couteau à bout rond pour le jeunot afin d'éviter qu'il ne se blesse encore le pauvre...
Puis arrivé dans la salle à manger, horreur. Enfer et damnation. Un bout de papier tout sale était posé sur la table qu'elle avait eu tant de mal à avoir si propre. Elle posa son bazar et prit le mot.
Citation:
J'ai trouvé la solution à mon problème.
Puisque je ne pourrai, selon toi, jamais avoir de femme de manière honnête, je n'ai qu'à l'enlever !
N'essaie pas de me suivre Barth.
PS: au fait j'ai coupé ta scelle. J'ai fais ça pour que tu évites de me courir après, mais je te le dis parce que je ne veux pas que tu tombes quand même ! Héhé !
Ryoka.
Puisque je ne pourrai, selon toi, jamais avoir de femme de manière honnête, je n'ai qu'à l'enlever !
N'essaie pas de me suivre Barth.
PS: au fait j'ai coupé ta scelle. J'ai fais ça pour que tu évites de me courir après, mais je te le dis parce que je ne veux pas que tu tombes quand même ! Héhé !
Ryoka.
Argh !
Le temps de déglutir pour mieux hurler, et:
Ahhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!
D'un son sur-aiguë qui décolla un pan d'une toile sur le mur, elle se précipita vers le jeune balafré qu'elle venait de recaler pour lui montrer le papier. Manquant de réussite dans sa recherche de l'autre coureur de jupons du dimanche, elle prit le temps d'écrire des lettres pour informer le duché de la situation. Se servant du carnet d'adresse de la duchesse, elle fit partir les pigeons dans toutes les directions dans une envolée presque esthétique.
Ne sachant que faire de plus, elle attendit un moment, se concentra quelques minutes, et se rendit compte que quelque chose clochait. Justement ! Pourquoi la cloche sonnait-elle à cette heure-ci? Encore une mauvaise blague? Elle prit la direction du tintement pour comprendre enfin quelque chose à toute cette histoire.
Ce n'est pas sans surprise qu'elle trouva le jeunot suspendu à la corde en trin de faire mumuse. Elle cria pour l'arrêter et lui tendit le papier sans broncher.