Namaycush
Mais tu vas la prendre et lapprendre
Fil de vent.
Fils de vent.
Fil de lame.
Fils de fer.
Encore un il.
Un il levé au regard brillant.
Une étincelle adoubée de cils.
Tout simplement un espoir de ne pas casser un mur mal maçonné.
Jamais construit dailleurs.
A limage dune Bretagne tout aussi mal fagotée.
Aristote pardonne.
Namay, jamais.
La dégaine se fait. Reflet de lhomme.
Sans coups de cils.
De fil en fil, il étincelle rapière contre lame, à limage dun visage même pas déçu.
Il aurait aimé sabrer cols en cols.
Pourtant le museau ne cherche que le vent. Celui qui décoiffe et le fait vivre comme sa frange.
Courant trouvé, il lève le bras gauche quil dénude.
Observe, amusé, le frisson sur ses poils dressés et pose sa lame sur lavant-bras, observant ses poils sétêtant tout seul sous le souffle.
La voix se fit douce, rauque, mais si ferme
Suffit le bure ! Tu officieras quand je te le dirai et il ny a pas de mariage sans traité.
Pacte contrat quil laisse senvoler sous le vent, sur la lame dressée, se découper en signe de destin
Macallan, abattez lotage, malmenez les bretons et coupez leur les couilles ! Exécution.
Peut-être que parce quil savait que Kahhlan navait pas la vocation de bourreau, quil lui confiât cette mission . Peut-être quil était bon en fait mais pas tout bon
Et les illusions de Louise se termineraient là . Pour avoir croisé un regard minéral de capitan à la recherche dun exutoire si mâle, à la vue dune jambe si blanche
Louise qui se fit décoiffer dune pogne assurée.
Qui vit sa robe déchirée de bas en-haut et se faire embarquer vers sa tante dans les bras dun Carmin à lexacerbe de tout sentiment, mu par un instinct animal .
Dragones, piquet de guet devant la tente de Louise. Abats tout ce qui sapproche, tout !
Aujourdhui était après-demain. Trop tard.
Trop tard pour Mike.
Trop tard pour la vie.
Trop tard pour Eolia, trop tard pour Theudrick.
Trop tôt pour Louise .
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Fil de vent.
Fils de vent.
Fil de lame.
Fils de fer.
Encore un il.
Un il levé au regard brillant.
Une étincelle adoubée de cils.
Tout simplement un espoir de ne pas casser un mur mal maçonné.
Jamais construit dailleurs.
A limage dune Bretagne tout aussi mal fagotée.
Aristote pardonne.
Namay, jamais.
La dégaine se fait. Reflet de lhomme.
Sans coups de cils.
De fil en fil, il étincelle rapière contre lame, à limage dun visage même pas déçu.
Il aurait aimé sabrer cols en cols.
Pourtant le museau ne cherche que le vent. Celui qui décoiffe et le fait vivre comme sa frange.
Courant trouvé, il lève le bras gauche quil dénude.
Observe, amusé, le frisson sur ses poils dressés et pose sa lame sur lavant-bras, observant ses poils sétêtant tout seul sous le souffle.
La voix se fit douce, rauque, mais si ferme
Suffit le bure ! Tu officieras quand je te le dirai et il ny a pas de mariage sans traité.
Pacte contrat quil laisse senvoler sous le vent, sur la lame dressée, se découper en signe de destin
Macallan, abattez lotage, malmenez les bretons et coupez leur les couilles ! Exécution.
Peut-être que parce quil savait que Kahhlan navait pas la vocation de bourreau, quil lui confiât cette mission . Peut-être quil était bon en fait mais pas tout bon
Et les illusions de Louise se termineraient là . Pour avoir croisé un regard minéral de capitan à la recherche dun exutoire si mâle, à la vue dune jambe si blanche
Louise qui se fit décoiffer dune pogne assurée.
Qui vit sa robe déchirée de bas en-haut et se faire embarquer vers sa tante dans les bras dun Carmin à lexacerbe de tout sentiment, mu par un instinct animal .
Dragones, piquet de guet devant la tente de Louise. Abats tout ce qui sapproche, tout !
Aujourdhui était après-demain. Trop tard.
Trop tard pour Mike.
Trop tard pour la vie.
Trop tard pour Eolia, trop tard pour Theudrick.
Trop tôt pour Louise .
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