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[RP] Pour la peau

Desiree.
    Ton sang chauffe d'un coup
    Tu le sens cavaler
    Te porter n'importe où
    Te faire faire un peu tout, sans frein;

    - Pour la Peau - Dominique A -


Et voilà. Trois verres de vin plus tard, la blonde en était là.

Triste, seule, un peu pompette, et tenant fermement en main en « bon pour me voir tout nu » émis par un géant scandinave.
Quelle drôle d'idée, hein ?
D'ailleurs, si au lieu d'être en chemise dans son lit, à faire son courrier en attendant d'entendre dans la chambre d'à côté Justine venir se coucher, elle était dans le couloir, le vélin dans son poing serré, c'était pour le lui rendre.
Pour ne pas avoir d'ennuis.
Que dirait la Comtesse, si sa Première Dame s'en allait reluquer de la peau nue en n'étant pas mariée ? Voir même toucher ?
Dieu qu'une présence masculine lui manquait.
Thorvald était un enfoiré. Voilà.
Il n'avait qu'à pas l'abandonner, et ses enfants avec.
Elle peut bien faire ce qu'elle veut. Y compris se taper un autre scandinave ou un anglois si l'envie lui en prenait ! Non mais alors !

Non. Non, elle ne ferait pas ça.
Cela ferai d'elle quelqu'un de pire que la catin qu'elle était autrefois.
On ne cède JAMAIS à des pulsions.
Voilà.

C'est bon.
Elle peut frapper.

Avant ça, vérifier sa mise. Que rien ne dépasse, hormis quelques mèches blond pâle, parce qu'on lui interdit de se coiffer autrement qu'avec une natte trop lâche, rapport à son crâne fracturé.
Voilà.

Frapper.
Entrer, sans se gêner, après tout elle est Première Dame de la Comtesse, elle a presque tous les droits, non ?
Et puis surtout, il ne faudrait pas que quelqu'un passe dans ce couloir désert et la voie frapper à la porte d'un homme. Jeune et pas trop vilain de surcroît. Si tard dans la nuit.
Donc elle entre.
Regarde le sol, le devant de sa robe de soie mauve, le pied d'une chaise, rien de trop haut, des fois qu'il y aurait des choses à ne pas voir sous peine de... allez savoir.


Bonsoir. Pardondevousdérangermaisjesuisvenuevousrendreça.

Respire, Dez, respire. Ça va aller.
Evite de lever les yeux, juste.
Ou de rougir. Pour une catin, même retraitée, ça serait grave la honte.

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©Linda Ravenscroft, création Atelier des Doigts d'Or.
Khah
Khah arrangeait sa couche, finalement. Il était tard et il était assez soigneux avec ses affaires et ne supportait pas que son lieu de vie soit malpropre. Sa chambre, ou reposait contre les murs boucliers, haches, épées et autres imposantes oeuvre de fer ou d'acier, était très simple, sans fioriture ni décorations. Le strict minimum, à son image, quoi, une homme plus intéressé par l'honneur que par l'argent. Il avait passé une soirée plus qu'agréable, il avait rit, et c'était bien amusé.

Quand il entendit frapper, le son le fit sortir de ses pensées. Il n'eût même pas le temps de se retourner, ni d'enfiler une chemise d'ailleurs - Ben oui, il était torse nu, c'était sa chambre quoi ! - qu'une blonde qu'il connaissait bien pour l'avoir vu plus tôt dans la soirée fit éruption dans la pièce, les yeux rivées au sol, comme si elle avait peur de les relevés. Il laissa se dessiné un sourire amusé sur ses lèvres alors que la blonde récita la phrase qu'elle avait du répété encore et encore devant une glace pour la dire si vite et presque sans respiré.


Vous êtes venu faire quoi?!

Il avait parfaitement compris, mais c'était histoire de la faire répété encore une fois, voir si c'était du par coeur ou pas ! Il s'avança, refermant derrière elle, lui posant une main dans le dos, désignant une chaise pas très loin, la conduisant alors qu'elle regarde toujours le sol.

Asseyez-vous..

Puis il la regarda, un grand sourire aux lèvres. Il regarda aussi le bon qu'il lui avait offert, plus tôt dans la soirée.

Alors, on est venu prendre son cadeau à ce que je vois ? Vous avez de la chance, à entrer comme ça dans ma chambre, j'aurais pu déjà être nu !
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Desiree.
Prise en défaut. Voilà ce qu'elle était.
Et depuis quand une maquerelle faisait la timide devant un homme, jeune de surcroit ?
Allons Désirée, ressaisis toi, bordel (enfin, je veux dire...) !

Et voilà la morgue qui revient :


Mais je ne suis venue ici que dans ce but, voyons. Vous voir tout nu.

Et de relever les yeux, alors, pour apprécier le torse nu. L’œil unique se fait inquisiteur, presque maquignon, comme si elle était encore maquerelle, et lui un simple postulant gigolo. Apprécier la marchandise, avoir l'air naturelle. S'en foutre. Saint-Foutre, il était pas mal !

Non, en réalité, pour tout vous dire, je suis venue vous rendre votre bon. Je ne crois pas que la Comtesse apprécierait que je me rende la nuit dans la chambre d'un soldat.

Bon ok, pour ça c'est un peu tard, mais à priori personne ne l'a vue, donc c'est bon !

Et c'est justement parce que vous auriez pu être aussi sans culotte que j'ai gardé les yeux au sol.
Mais je constate qu'en effet vous n'avez pas à rougir.


Et de sourire, encore, ironiquement, en s'asseyant sur la chaise offerte.

Vous m'offrez un verre ?[/b]
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©Linda Ravenscroft, création Atelier des Doigts d'Or.
Khah
Le géant nordique souriait. Il était certes pudique, mais pas en face d'une ou deux femmes seules. Et a priori, elle était seule, donc ça allait !! Mais du coup, quand elle releva la tête, l'appréciant de son unique œil mobile, il eut l'impression que la situation se reversait l'espace d'un instant. Qu'il était gêné, et qu'elle, pas le moins du monde... Enfin c'est ce qu'elle laissait paraitre.. Il se ressaisit néanmoins bien vite, son éternel sourire en coin fiché sur ses lèvres, sortant une bouteille de Gron, son alcool vert à 80°, la débouche et lui en sert une choppe, et dit en la lui tendant.

Voilà pour vous. En effet, je n'ai à rougir de rien !

Il la regarde en souriant en coin.

Et donc, vous êtes venu, en plein millieu de la nuit, dans ma chambre, êtes entrée sans toqué, tout ça pour me rendre un bon "Pour me voir tout nu" parce que la comtesse apprécierais pas de vous voir trainer dans la chambre d'un mercenaire en pleine nuit?


Il se gratta un peu la tête et continua de sourire.


A mon avis, c'était pas votre idée première... Vous n'avez vraiment pas envie d'utiliser ce bon? Je vous assures que j'en vaut le détour, promis !


Il la fixa droit dans les.. Euh.. Dans l’œil et dit:

Et vu le regard que vous m'avez lancer, vous le savez aussi.


Il se servit un petit verre, pendant la conversation. Il le leva à son attention.


Skål, comme on dit chez moi !

Et il but l'alcool fort, grimaçant légèrement, tout en regardant la blonde, assise dans sa chambre, en plein milieu de la nuit.
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Desiree.
Bien sur que si, c'était mon idée première.

Avec éventuellement la possibilité de se rincer l’œil au passage, certes.
Et peut être aussi un peu par esprit de vengeance. Mais se venger de quoi ? De l'absence d'un homme ? Ils n'avaient vécu que comme ça. Et comment atteindre un homme dont on ne sait même pas s'il est encore vivant ? Et qui, quand il l'était, l'a rencontrée catin, la meilleure de sa maison, dans la meilleure maison du royaume ?
Qu'un homme de plus ou de moins lui passe entre les cuisses ne changerait pas grand chose, pour lui.
Mais pour elle, si.
Elle, elle se détesterait d'avoir fait ça. Parce qu'elle mentirait à l'homme qui la toucherait. Qu'elle ferait semblant. Juste pour se rassurer. Pas pour jouir.
Alors quel intérêt, franchement ?
Aucun.

Sauf peut être celui de bavarder avec un homme de la maisnie, d'en apprendre plus sur lui, de se faire des amis.
Elle aurait pu aller voir Thomas, mais elle supposait qu'il dormait avec Casandre.
Elle aurait pu rester avec le Comte et Justine. Mais le Comte est son employeur et Justine lui est inférieure dans la hiérarchie de la maisnie.
Elle aurait pu essayer de trouver l'anglois, mais il aurait probablement été dans les bras de sa régulière ou d'une catin.

Pour de l'inconnu, il ne lui restait que Khah, capable de rédiger un "bon pour le voir tout nu" mais mal à l'aise sous son regard inquisiteur.
Et puis maintenant qu'elle était là, autant profiter de la situation.

Elle leva son verre vers lui.

A la bonne votre !

La choppe n'ira jamais toucher ses lèvres : rien que l'odeur de l'alcool suffit à lui révéler que deux gorgées de ce machin là suffiraient à la rendre inconsciente.
Elle n'a jamais aimé l'alcool. Surtout les effets qu'ils produisent.


Fichtre, qu'est-ce que c'est que ce machin là ? Vous le buvez vraiment ou vous vous en servez pour passer les ennemis à la Question, dites ?


A nouveau, l’œil unique se fait perçant, observateur, scrutant d'abord le visage de son hôte, pour glisser, irrépressiblement, vers la peau nue, offerte au regard.
C'est beau, la peau, parfois.
Intrigant.
Délicat.
Vertigineux.

Mais pas là. Là, il ne fallait même pas y penser.


Sérieusement, ça se boit ?
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©Linda Ravenscroft, création Atelier des Doigts d'Or.
Khah
Il regardait la blonde qui paraissait être en pleine réflexion personnelle. Un débat intérieur auquel elle seule participait. Il la regardait, un sourire en coin sur les lèvres, comme à son habitude. Finalement, il ne connaissait pas grand chose de cette blonde qui était courageusement venu dans sa chambre en pleine nuit. Même si l'idée de lui passer dessus ne lui aurait pas déplu - elle avait l'air encore bien roulée, à première vue ! - la blonde avait l'air vachement coincée, enfin, c'est ce qu'il pensait, ne connaissant rien de son existence !
Il la regarda en lui répondant:


Bien sur que ça se boit ! Et je vous conseille de boire, au moins une gorgée pour vous détendre, parce que vous m'avez l'air préoccupée, j'ai pas raison?


Il s'assit sur le lit qui était en face de la chaise, tout en la regardant.

Alors? On arrive pas à dormir du coup? Pour venir me rendre le bon maintenant...
Parce que demain il fait jour hein, même si ça me dérange pas de vous avoir dans ma chambre, moi je dors pas beaucoup alors...

Khah s'étira les bras au dessus de sa tête, faisant inconsciemment jouer tout les muscles de son torse, alors qu'il lâche un léger grognement de satisfaction. Il la regarde à nouveau. C'était vraiment bête qu'il la pensait si coincé, ils auraient pu passé un agréable moment ensemble...
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Desiree.
Préoccupée ? Non, pas vraiment, à dire vrai. Hormis par la santé de la Comtesse.

Bon, et par sa petite vie personnelle, mais ça, ça ne comptait pas vraiment.
Pour ne pas décevoir le géant, elle inclina le verre vers ses lèvres, les trempa, assez longtemps pour qu'il croie la voir boire une gorgée, déglutit même, machinalement.
L'alcool lui brûlait les lèvres. Confirmation qu'il ne fallait pas en boire. Et faire semblant de boire, de s'alcooliser, alors qu'elle gardait complètement le contrôle, elle le faisait si naturellement depuis si longtemps que ça en devenait presque automatique.

Elle lécha ses lèvres et reposa le verre. Rien que ça suffisait à lui faire monter les larmes aux yeux. Deos que c'était fort ce machin là !


Dites, vous voulez ma mort ?


Un sourire, plus franc, alors qu'elle ne cesse de l'observer. Après tout elle a bien le droit, il a passé des jours à la regarder avant d'oser lui demander ce qui était arrivé à son visage. Et puis en plus, il fait tout pour, regardez le s'étirer, non mais regardez le !
Elle, en tout cas, elle regarde.
Si elle n'a jamais aimé son métier, si elle n'a jamais apprécié qu'on lui passe dessus dix fois par jour, elle a par contre appris à aimer la beauté des corps. Merci Thorvald. Un géant du même genre. Moins grand peut être. Mais tout aussi massif.
Alors l’œil unique scrute. Dévore les détails. Cherche les imperfections. Les cicatrices. Les souvenirs douloureux.
C'est que quand on a été catin près de dix ans, on sait lire sur la peau comme dans un livre.

C'est elle qui se lève, à présent. Du corps musculeux, elle passe aux murs de la chambre, tourne, vire, et les hanches autrefois fines chaloupent un peu trop pour être totalement innocentes.
Si elle en était consciente, elle s'en empêcherait. Elle se forcerait à la rigidité du corps, comme celle de l'esprit.
Les trois gouttes d'alcool ingurgitées plus tôt, les quelques verres de vin de la soirée avaient peut être fait leur office.


Vous ne vous ennuyez pas, ici ? De chez vous ?

Elle ne le regarde pas, ses doigts effleurent une lame effilée. L'âme du guerrier ?[/b]
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©Linda Ravenscroft, création Atelier des Doigts d'Or.
Khah
Votre mort, par Odin, non ! Juste assez pour vous décontracter un peu, je vous trouve un peu gênée, coincée...

Le géant finit par laisser retomber ses bras, alors qu'il apprécie le sourire un peu plus franc de la femme, alors qu'il n'était pas peu fier de lui. Le Gron faisait son effet, et même si elle n'en buvait pas des tonnes, les vapeurs d'alcool faisaient tourné la tête à eux seuls, juste de quoi rire un peu !

Puis elle finit par ce levé. Le géant n'aimait pas forcément que les belles femmes. Il aimait surtout qu'on le cherche, qu'on attise sa curiosité, son excitation... Et la démarche de la blonde le faisait à merveille, si bien qu'il n'arrivait pas à en détacher les yeux, presque comme un mouvement hypnotique qui vous captivait, et qui ne vous lâchez plus... Il la regardait, se balader dans sa chambre, regarder ses armes, pour un peu, c'est lui qui serait plus gêné qu'elle ! Elle avait encore une démarche qui pouvait charmer n'importe qui, et il était sur qu'elle le savait hein !! Mais sa question le fît sortir de sa transe. Il la regarda, comme si il avait prit un coup sur le crâne.


Hein?!.. Ah, m'ennuyer, non ! Du tout ! Les français sont.. Divertissants !! Même si l'accueil laisse parfois à désiré !! Chez moi, il fait plus froid, mais on est plus chaleureux !

Il sourit en la regardant tendre la main.

Attention, allez pas vous couper un doigt. Ça m'embêterais de mettre un terme à notre conversation aussi rudement et rapidement.

Et ouais ! Khah pouvait aussi se faire charmeur, derrière sa carrure de brute épaisse.
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Desiree.
    La nuit, je mens...
    Je prends des trains à travers la plaine
    La nuit je mens
    Je m'en lave les mains

    J'ai dans les bottes des montagnes de questions
    Où subsiste encore ton écho

    -Alain Bashung - La nuit je mens -

Chassez le naturel...
La blondine se tourne, un sourire goguenard aux lèvres.


Manquer de chaleur, nous ? Mais c'est que vous n'avez pas visité les bons bordels, pardi !


Le sien, à Paris, n'avais jamais manqué de chaleur. Elle n'avait jamais manqué d'être accueillante, autant que l'était la douceur de ses cuisses de catin perfectionniste.

Lentement, elle reprend son exploration de la pièce. Les hanches basculent, à peine perceptibles. Juste assez pour que la lourde robe froufroute à ses chevilles. Fut un temps, des jupes plus légères se seraient enroulées autour des chevilles délicates, dévoilant ça et là quelques bribes de peau pâle.
Plus à présent. Les tissus étaient aussi lourds et empesés que l'esprit de la blonde. Peut être même plus.

Une épée, une hache.
Se couper, vraiment ?
Un rire lui échappe.

Comme si j'allais me couper... Les lames de guerres sont plus tranchantes que coupantes, pas vrai ? Quant aux dagues, je m'en méfie, ne craignez rien.

L’œil unique explore et fouille. Analyse.
Elle fait comme chez elle.
Se promène en terrain conquis.

Lentement, elle retourne à son verre, fait mine d'y boire une gorgée, effleurant à peine le liquide du bout des lèvres. Le dépose à nouveau. Sourit. Observe à nouveau le géant. Franchement amusée.
Ainsi, vraiment, il ignorait ce que fut son métier, pour la trouver coincée ?
Tant mieux, vraiment.
Elle avait toujours haï son statut de fille de joie.
Mais c'est pourtant en excellant dans son art qu'elle avait réussi à gagner sa vie, si bien, si vite. Et à monter si haut dans les rangs de la riche bourgeoisie.


Vous n'avez que des armes, avec vous ?


Elle cherchait du regard l'objet fétiche. Celui dont on ne se sépare jamais, que l'on a toujours sur soi ou dans ses bagages.
Elle, elle avait un ruban de sa fille, nouant deux mèches de cheveux. Une blonde, et une brune. Celle de ses enfants. Le fils si identique au père, la fille à la mère. Ironie.

Elle lui tournait à nouveau le dos, passant en revue tout ce qui était aligné contre le mur.


Pas de porte-bonheur ?


Le sien était toujours enfoui dans son corsage, tout près du cœur. Inconsciemment, elle l'effleura.[/i]
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©Linda Ravenscroft, création Atelier des Doigts d'Or.
Desiree.
Porte bonheur ou pas, nous ne le sauront jamais. Eux le savent.
Ils ont parlé, ou bu, ou un peu des deux, allez savoir.
La borgne est peut être restée longtemps, ou peut être pas.
Allez savoir.
Elle a peut être ri, ou menti.
Allez savoir.
Elle a peut être pleuré, ou souri, allez savoir.

En tous cas, elle ne s'est pas confiée.
Ni dénudée.

En fait, elle est restée quelques instants de plus, à peine.
Et puis elle est sortie.
Elle est retournée dans sa chambre.
S'est dénudé.
A enfilé sa chainse de coton.
S'est couchée.
A dormi.

Bref, la vie.

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©Linda Ravenscroft, création Atelier des Doigts d'Or.
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