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[RP] Match de Soule, Languedociens vs Languedociennes

Actarius_d_euphor
Que de bons souvenirs ! Ces festivités de Corbières le replongeait dans un temps de l'insouciance, de la compétition, des exploits passés des Crocs-Mendales. Et ce d'autant plus que les visages connus ne manquaient pas. Souriant, il avait pris place selon les consignes du Comte de Saint-Gilles. Il observait ses adversaires du jour, parmi lesquels figuraient notamment sa fille, Asaliva, Mounia, Ahlatete, Christina. Une belle brochette de guerrières, dont les jambes le laissaient néanmoins froid. Il n'avait d'ailleurs jamais rien eu d'un coureur de jupons. Puis, son épouse restait à ses yeux incomparablement belle et gracieuse. Bref, malgré toute sa sympathie et sa courtoisie, il n'aurait aucun scrupule à se rappeler au bon souvenir des distributions de tartes de la Coupe Royale.

Il demeura impassible aux premiers mouvements et se contenta de progresser pour faire barrage, aidé en cela par une carrure toujours aussi impressionnante. Puis, sa fille exerçait l'art de la médecine parfaitement, elle saurait très bien remettre sur pied ses victimes. Le sourire nostalgique avait viré au sourire carnassier. Sourcils froncés, prêt à bondir et à faire des dégâts, il attendit sagement et silencieusement l'opportunité d'entrer en action. Car s'il n'avait pas chanté avant la partie, il espérait bien faire siffler quelques "mendales" comme à la belle époque.

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Ulrika.von.stern
Le vent jouait sur l'étoffe de velours vert profond qui couvrait la jeune femme du menton au bout de ses poulaines et jusqu'aux poignets. Ulrika avait adopté le sinople depuis un moment ; elle s'était résolue à aimer le vert puisqu'elle devait le porter pour les Ronces et qu'il en serait de même pour son second fief lorsqu'un héraut aurait le temps de traiter de la demande. Pour l'heure, elle vivait dans un calme relatif rythmé par des tempêtes diplomatiques et conjugales. La froide Teutonne n'était pas connue pour être facile d'approche et elle se montrait encore plus dure lorsqu'il était question d'offrir son coeur. C'était sans doute pour cela qu'elle avait si mauvaise presse dans ce Languedoc qui s'amusait à être accueillant à son égard lorsque cela lui convenait, mais qui la condamnait et lui disait de rentrer sur ses terres natales dès qu'elle faisait montre d'opposition. Un sourire faible naquit sur ses lèvres. Elle ne retournerait pas en Empire. Elle aimait le Languedoc, le Royaume de France et elle était loyale à ceux qui gagnaient son affection.

Le bleu polaire de ses prunelles suivit le tracé des manoeuvres de Soule, cherchant un visage qu'elle connaissait bien, car elle le chérissait. Tous les autres restaient anonymes même si elle les avait déjà rencontré. Elle le trouva, ce mécréant qui avait mis la main sur son coeur et qui s'amusait à le malmener malicieusement. C'était lui qui provoquait ses orages, qu'elle détestait aimer autant, mais qu'elle n'aurait quitté pour rien au monde. Elle plissa les yeux, incapable de dire si elle se faisait des idées ou s'il laissait vraiment traîner son regard sur le galbe des jambes des femmes. Avouons-le, Ulrika était une jeune femme très pudique et qui refusait de découvrir trop ses bras ou dévoiler la naissance de sa gorge ce qui n'en faisait pas du tout une candidate pour attirer les regards et encore moins les oeillades lubriques. Les étés languedociens la suffoquaient et c'était toujours armée d'un éventail qu'elle allait pendant ces mois infernaux. Malgré cela, elle tournait souvent de l'oeil et même cela n'avait pas réussi à la dissuader de se couvrir autant.

Si elle avait pu lire dans les pensées du Comte, la dulcinée, il serait un homme mort. Plus que mort. Oui, elle trouverait le moyen de lui faire payer chèrement ses égarements qu'elle craignait voir toujours aller trop loin. Il lui arrivait d'avoir une furieuse envie de le gifler, mais cela n'aurait pas été séant.

Elle était farouchement jalouse, la blonde germanique. C'était le prix de nombreuse blessures dont elle gardait le secret, et Geoker n'aidait en rien à la rassurer ; elle avait trop souvent vu ses oeillades à d'autres et entendu ses paroles sucrées... Des mots auxquels elle n'avait pas droit, elle. Pourquoi? Parce qu'il assumait qu'elle pouvait le lire, qu'elle aurait dû être aux faits et ne pas craindre les autres parce qu'il l'aimait elle, que s'il la trouvait moche ou sotte, il aurait été lassé depuis longtemps. Lui qui avait vu tellement de femmes passer dans son lit, il les connaissait bien mal pour ignorer qu'une Dame a constamment besoin d'être rassurée, assurée qu'elle ne perd pas l'intérêt de l'homme qu'elle aime. Pourtant, la von Stern se taisait et sa frustration se transférait sur d'autres sujets. Leur couple était étrange. Lui le feu, elle le blizzard. Il était passionné et se voulait spontané où elle réglait avec sens pratique chaque sphère de sa vie. Elle ne savait pas faire autrement, se laisser aller, perdre le contrôle. Non. Ça c'était inadmissible.

Enfin, tout cela n'était que de peu d'intérêt au commun des mortels. Ulrika s'assura d'une main adroite que sa coiffe tenait bien en place sur sa chevelure blond clair. Un peu en retrait, elle guettait la partie en revenant sans cesse sur l'objet de toutes ses souffrances, mais aussi de sa plus grande joie. Maudit soit-il, le Comte de Sant Gèli!

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Estuardo
- C'EST DÉ LA TRICHE CA!

Estuardo, au début s'était placé dans un lieu stratégique du terrain de jeu. Enfin, il s'était placé exactement là ou le capitaine le lui avait ordonné, mais il faisait semblant de se convaincre que c'était une place stratégique, et s'était donc légèrement penché, prêt à sauter sur n'importe quelle soule et n'importe quelle femme qui voudrait passer par là, prêt à courir comme un dingue, faire des passes incroyables, et à ligoter quelques donzelles.
Il avait donc été extrêmement attentif au jeu, aux ennemies et aux camarades. Il regardait, d'un côté, le gros bonhomme sympathique, d'un autre côté Rackam (et je m'excuse, mais la narratrice ne sait plus s'ils avaient eu loisir de se croiser ailleurs, antan, mais voilà quoé, ils étaient désormais équipiers, camarades, contre un ennemie commun). Et face à lui, en parlant d'ennemis, il voyait les jolies femmes en belle tenues roses. Devant lui, Ahl, tout prêt Mounia, puis Ruthy. Et juste un peu plus loin, Christina. Il se disait que pourvu qu'il puisse la ligoter, elle... ham ham, cof cof.

Bref, donc, l'aragonais aux aguets, en position sportive, attendait que la soule passe prés de lui pour s'y jeter comme un sauvage. Et d'ailleurs, la soule, s'approcha dangereusement. Estuardo, bien planté sur ses deux jambes légèrement essartées et aux genoux légèrement pliés (pour avoir de la tenue, non d'deos!) regarda Ruthy s'emparer de la soule. Mais... MAIS.


- NON, VRAIMENT! DÉ LA TRICHE YÉ VOUS DIT!

Pas vraiment discrètement, Ruthy montra une jambe. Blanche, suave, à croquer, délicieusement lisse, fulminante, le soleil la reflétant avec splendeur, la caresse de sa main sur le bas.

- Mais c'est pas possible de jouer comme ça!

Et en effet, quand la jambe fut de nouveau recouverte, quand Estuardo releva les yeux en essayant d’ôter cette image divine de sa tête, la soule était déjà bien loin, elle était passée par les mains du gros bonhomme, et elle était allée vers l'autre bout du terrain.
Un regard d’extrême incompréhension se dessina dans son visage avant qu'il ne comprit ce qui venait de se passer pendant que lui, immobile et béat, regardait la jambe de Ruthy.


- C'EST DÉ LA TRICHE CA!

Un regard noir vers Ruthy.
Et un regard navré vers Rackam.
J'vous jure qu'j'vais plus les regarder. Focus complet sur la soule. Promis! Enfin... j'vais essayer, hein...

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Sylven
- C'EST DÉ LA TRICHE CA!

Ah, il fallait s'y attendre, la manoeuvre de Ruthy ne pouvait pas passer inaperçue et Sylven savait que les réclamations allaient fuser du côté des hommes. Combien de fois avait il vu pareil scénario se produire sur les terrains de Soule ? Et chaque fois il s'en amusait.
Les hommes jouaient souvent de leur imposante musculature face parfois à de trop frêles jeune femmes. Mais celles-ci avaient d'autres atouts dont elles savaient jouer avec pertinence et habileté.
C'est ce que fit la crevette, non sans une bonne dose de malice, mais cela n'avait rien de répréhensible aux yeux du corps arbitral.
C'est ainsi qu'il incita les hommes à poursuivre et à se concentrer au lieu de geindre, car ils auraient bien d'autres occasions de se laisser surprendre.

Jouez donc au lieu de chouiner !

Bref, concis, il n'en dit pas plus. Il fallait asseoir son autorité sans paraître partial. La tâche n'était pas aisée d'autant que d'un côté comme de l'autre il y avait tant de gens chers à son coeur.


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Souvenir


Alors on était en place, serré les unes contre les autres , on se soutient on se renforce...Mais au bout du compte ....Rha mais qu'est ce que je pense..Me concentrer, je fixe mon regard sur Arthur bien ma chance tiens!! Un curé, je vais certainement pas l'impressionner avec ma tenue pfffffff

Un cou de sifflet de l'arbitre tout le monde s'affole, çà crie, çà hurle,....Regard fixé sur les mouvements d'Arthur, il récupère la soule, moment d'hésitation


Ahhhhhhhhh non je ne vais pas lui rentrer dans le lard


Ne pas réfléchir,...je préfère reculer mine de rien...
Missanges
Le temps d’enfiler mes chausses, la danse façon y a qu’à danser venait de finir et au son du sifflet presque inaudible de l’arbitre dont celui-ci manquait d’entrain ou de souffle, tous les joueurs s’étaient mis en mouvement en criant.
J’étais partie en sens contraire et ma foi personne ne s’en était rendu compte pris par l’action de toucher la soule. Tandis que certaines de mes coéquipières reculaient, hésitaient, la défense prenait les choses en main.

Discrètement sans trop me presser non plus, *rien de sert de courir il faut partir à point !
Bref, je remontais sur la ligne me mettant pile poil où j’étais histoire d’assurer lors du prochain sifflet.
L’attente était un peu longue c’est que tous les joueurs courraient dans tous les sens brassant plus d’air qu’autre chose, m’enfin c’est toujours ainsi et lorsqu’ils raconteront le match autour d’un verre, ils auront tout fait !
Je remontais mes bas, histoire de passer le temps et mes yeux furent attirés par un objet sur le terrain. Donnant un coup de pied dans l’intrus afin qu’il dégage de l’herbe parsemée du terrain, ma chausse partit en l’air.

Tandis que mes yeux s’arrondissaient d’étonnement, je portais ma main sur ma bouche voyant la trajectoire de ma chaussure.

Nane !

Ma chaussure se dirigeait vers les tartes préparées avec amour par Nane. Je priais pour qu’un vent fasse dévier ma chausse mais mes prières ne furent pas entendues. Je le retiens Aristote tiens !!

L’atterrissage se fit dans une tarte et Nane leva les yeux cherchant le propriétaire de l’objet je désignais du doigt l’homme bien sympathique Duflan passant devant moi à ce moment là.


C’est lui !!

Me marrant discrètement, sachant que j’avais une chausse en moins…


* La Fontaine
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Guitail
Et voici venu le temps du match. Après avoir constaté l'arrivée de personnes plus ou moins connues, il était temps d'aller mettre son maillot pour le match. Rapidement, Guitail prit sa place sur le terrain. Son capitaine le plaça en arrière du terrain. De là, il pouvait voir facilement tout ce qui se passait sur le terrain.

L'équipe des hommes étaient placée assez classiquement, tandis que les femmes s'étaient positivés dans une sorte de grand rempart. Et le coup de sifflet annonça le début du match. De sa position, Guitail analysait le déroulement du match, bien concentré sur le jeu. Ce n'était pas la première fois qu'il y avait des femmes dans l'équipe adverse, et il avait appris à ne pas se laisser déconcentrer.

Pendant ce début de match, Guitail avança tranquillement en marchant, remarquant que l'équipe des hommes avait avancer mais au final la soule était revenue au même endroit, inquiétant.

Puis il entendit la femme qui jouait en face de lui l'interpeller. Ah si elle croyait l'attirer aussi facilement, c'est qu'elle devait le confondre avec d'autres hommes, Duflan par exemple?...


Oui, oui, j'arriverais en temps voulu. Mais quand je serais arrivé faudra pas se plaindre de se retrouver ligoter comme un saucisson.

Et Guitail lui envoya un petit sourire sadique avant se reconcentrer sur le match pour savoir comment jouer la suite.
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Guitail, seigneur de Laval-près-Puycelci.
Mamie_ronchon
L'avait plus trop d'oreille la vieille mais elle avait encore de bons yeux, et la vue de tous ces bonshommes en petite tenue commençait à lui rappeler sa jeunesse. D'habitude elle aurait trouvé à grogner, mais là, elle était toute émoustillée et dans un coin du terrain, un peu à l'écart, elle se murmura cette petite réflexion.

Humm mais c'est qu'il est bien craquant le grand brun en maillot blanc avec ses cheveux au vent. J'en ferai bien mon casse croûte de cet homme là.

Puis, emportée par cette émotion inespérée, elle se mit à crier tout en agitant sa canne au dessus de sa tête..

Allez mon gars, montre nous ce qu'à t'as dans le ...

Elle s'arrêta tout net, rouge de honte, mais fusilla quand même du regard ceux qui osaient la reluquer avec trop d'insistance.

Andreu
andreu regardais l'action de loin et il soupire !!!
maleit!!! la ruthy vas leu rmettre la misère !!!
il regarda son maillot et celui des filles
pica els ulls !!!
Sylven
T2:
Les femmes jouent + + + 9 + + + + 0 0 0
Les hommes jouent + - 8 - 3 8 - - - + 3


TRrrruuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiitttttttttttt !

Sylven donna le signal du tour suivant alors que la soule se trouvait encore au beau milieu du terrain.
Tout était donc à refaire et Geoker avait décidé de montrer l'exemple à ses joueurs. S'emparant de la soule qui traînait en ligne centrale il relança vers l'avant. Mais de son côté, Rhadia veillait et intercepta la balle d'un saut de félin. Sitôt fait elle enchaîna une passe vers Christina qui relaya directement vers Ruthy. Alors que Guitail battait en retraite, Rackam se désintéressa de la soule pour mettre une mandale à Missanges qui n'avait rien demandé.
La réplique ne se fit pas attendre et Ahlatete donna un bon coup de pied dans les tibias d'Andreu qui n'avait rien demandé non plus. Les choses semblaient s'accélérer et tandis qu'Estuardo reculait en défense, Duflan et Arthurcano y allaient également de leurs bourre-pifs, le premier fut pour Ruthy qui sembla stoppée dans son élan laissant choir la soule à quelques pas de la ligne d'embut des hommes. Le deuxième fut pour Missanges qui avançait en compagnie de Mounia, Souvenir et Asaliva. Les filles avaient visiblement décidé de se lancer à l'assaut. Allaient elles résister aux gnions des hommes qui avaient opté pour la force ? Certains restaient tout de même prudents et préféraient se replier en lignes arrières. C'est ainsi que Tristan, Gabriell et Andreu reculèrent alors que Melisende, Bibiche et Ailein formaient l'arrière garde des filles. Actarius en profita pour avancer mais la soule était loin derrière lui, ce qui n'empêcha pas Arfan de venger l'affront en assénant un vilain coup à Ruthy restée aux avant-postes.
A la fin de ce tour il régnait donc comme un air de vengeance dans l'air. Les filles n'en resteraient sûrement pas là et les hommes n'attendaient que ça pour répliquer. Infirmiers préparez vos brancards !




Poutrages:
Ruthy 2
Missanges 2
Andreu 1

Capitaines vos T3 pour vendredi soir SVP. Bon jeu à tous !

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Arfan
Arfan suivait les consignes du capitaine et dès qu'une femme approchait trop près il devait lui mettre une bonne mandale. La première à pointer le bout de son nez était Ruthy. Il hésita avant de frapper mais les ordres étaient les ordres. Et paf, une mandale.

Je voulais pas mais on m'oblige.

Un petit sourire d'excuse et se remet en position.
Ruthy.
Nouveau coup de sifflet , et voilà que ça court à nouveau dans tous les sens sur le terrain ... la "crevette" réceptionne la passe que lui fait Christina et commence à courir... mais elle voit deux bonshommes lui foncer dessus et quels bonshommes ... Un curé en la personne d'Arthur ! Jamais Christos ne lui pardonnerait si elle se rebiffait contre un curé ! sinon un bon coup de genoux bien placé et hop elle en aurait été débarrassée ... Mais non vraiment elle ne peut pas ! Et Duflan ... la c'est tout simplement qu'elle ne fait pas le poids ... ce serait comme se faire passer dessus par un ours ! Aussi pour minimiser l'impact, elle lâche la soule .... et file se replacer aux avant poste ...

Et la pif ... voilà qu'une de ces brutes épaisse lui file une mandale ...


Aiiiiiiiiiie ... mais ça va pas non ? espèces de brute ! goujat !

Ah si elle avait son bâton elle lui aurait cassé sur la tête ... c'est qu'en plus il lui sourit niaisement !

Phallocrate !

Elle se vengera foi de "crevette"

Non di dju ...
Christina64
Christina regarde Guitail reculer et lui sourit narquoisement quand elle reçoit la vessie de porc en pleines mains. Elle se tourne vers Rhadia.

Ah, mais je n'en veux pas moi !
Pas envie de me faire maltraiter par ces brutes !

Elle se retourne aussitôt, avance à la hauteur de Ruthy et lui balance la Soule vite fait.

Tiens, prends là toi, et cours avec.

Et bien non, elle ne court pas, lâche la soule simplement et en plus se prend un coup dans le nez par Arfan.

Vraiment aucune délicatesse, Arfan, hein !

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Duflan
Décidément il n'y comprendrait jamais rien à ce jeu, il vit même une chaussure voler et atterrir dans des tartes, quel gâchis de si belle tarte et en plus on le montrait du doigt.


Hein ? surement point, l'es mienne sentent plus fort !

Duflan ne se laissa pas déconcentrer parce qu'on était pas là pour rigoler, ça se saurait depuis le temps, éviter les coups au maximum voilà la seule stratégie valable
Ça gueulait dans tous les coins, ont y comprenait plus rien, mais au milieu de se brouhaha, un mot magique se fit entendre, un de ces mots qui suffisent à vous prendre le corps, à stigmatiser une foule, à mettre en avant une nation.

SAUCISSON !.
Pour notre homme c'est toute sa foi, sa vie pour un bout de charcuterie, il l'avait entendu et puis quand il vit que le capitaine lui montré du doigt Ruthy, il n'y avait aucun doute la femme avait volée un saucisson.
Le gros prit de colère lui fonça dessus et lui décocha un coup de ventre


Voleuse de charcutaille ! L'a mis où hein ?
Il avait son air mauvais, la nourriture c'est sacrée et là ça rigolait pas et puis d'un coup la réalité le rappela à l'ordre en voyant des joueuses lui fonçaient dessus

Bougre de diou, je fou quoi devant moy ? EUh temps mort non ?
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Ahlatete
Au coup de sifflet, un sourire fourbe apparaît sur le visage d'ahl, faute de connaître les règles de la soule, elle connaît les règles du pugilat... Enfin si tant est qu'un pugilat permette de prendre les gens en traître.

Elle ne bouge pas, attend son moment.
Elle voit bien les filles de son équipe avancer avec le "truc" dans les mains, ça ne l'intéresse pas pour le moment, elle considère qu'elle a bien mieux à faire.

Son sourire s'élargit quand elle aperçoit une innocente victime se diriger vers elle. C'est qu'il a l'air motivé le gars... Plus dure sera la chute.

Elle fait craquer les jointures de ses doigts puis se rend compte que pour cet homme là, ses pieds seront plus efficaces.
Considérant que le délai est trop court pour qu'elle puisse faire craquer ses doigts de pied, elle prend son élan, et BBBOOOUUUUMMM tape comme une folle dans les tibias de l'homme qui n'en demandait pourtant pas tant.

Un sourire, elle se penche vers lui et apercevant son regard incompréhensif devant une agression aussi violent qu'inutile, elle lui dit
:


Oups, j'vous avez pas vu....

Se désintéressant de lui, elle repart en trottinant

Bon Madame, l'est ou c'te soule?
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