Tacitus_dc
Ignorer ce qui n'est pas intéressant est devenu un art. Ce n'est pas seulement d'ignorer par mépris ou parce que ce que dit la personne n'a aucun sens, mais surtout parce que ce que la personne dit ne l'intéresse pas lui personnellement. Les paroles ne lui sont pas destiné, alors pourquoi s'en préoccuper?
Ce qui est dommage sur ce coup, c'est qu'il ne puisse pas lire les pensés, parce que là, il aurait trouvé à répondre, il aurait trouvé les questionnements intéressant et aurait pris plaisir à satisfaire la curiosité du jeune homme. Qu'avait à faire la noblesse? Rien, sinon une constatation faite grâce au langage et au choix de vocabulaire destiné à la noblesse et non à la roture. Ce qu'il est lui-même, roturier, pas noble. Faut suivre. Ainsi, puisque le Silencieux parle au jeune homme en disant Senher, il était évident, pour les interlocuteur autour, que le premier s'adressait à un noble. D'où le rapport à la noblesse. Simple.
Quant à la politique, il aurait eu la possibilité de répondre que, le premier, le Senher Sylven en avait abordé l'allusion en dénonçant le fait que la critique du nom de l'événement ne s'était pas appliqué à ceux concernant l'Université ou la politique. D'où, encore une fois, l'énonciation d'un fait qui est que le Senher Adelphe ne s'intéresse ni à l'un, ni à l'autre, d'où l'absence de critique qui devient alors évidente. Aussi simple.
Mais tout ceci est du domaine de l'impossible! Lire dans l'esprit des gens est aussi illusoire que les mirages sur l'eau durant une journée chaude et ensoleillé d'été.
Donc, il ignore les paroles du Sylven, pour se concentrer sur celle de son neveu. Il aime bien ce terme. C'est sympathique! Il en sourit et hoche la tête.
C'est ta verve qui m'a manqué.
Simple.
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"Sempre pel Asombralh"
Ce qui est dommage sur ce coup, c'est qu'il ne puisse pas lire les pensés, parce que là, il aurait trouvé à répondre, il aurait trouvé les questionnements intéressant et aurait pris plaisir à satisfaire la curiosité du jeune homme. Qu'avait à faire la noblesse? Rien, sinon une constatation faite grâce au langage et au choix de vocabulaire destiné à la noblesse et non à la roture. Ce qu'il est lui-même, roturier, pas noble. Faut suivre. Ainsi, puisque le Silencieux parle au jeune homme en disant Senher, il était évident, pour les interlocuteur autour, que le premier s'adressait à un noble. D'où le rapport à la noblesse. Simple.
Quant à la politique, il aurait eu la possibilité de répondre que, le premier, le Senher Sylven en avait abordé l'allusion en dénonçant le fait que la critique du nom de l'événement ne s'était pas appliqué à ceux concernant l'Université ou la politique. D'où, encore une fois, l'énonciation d'un fait qui est que le Senher Adelphe ne s'intéresse ni à l'un, ni à l'autre, d'où l'absence de critique qui devient alors évidente. Aussi simple.
Mais tout ceci est du domaine de l'impossible! Lire dans l'esprit des gens est aussi illusoire que les mirages sur l'eau durant une journée chaude et ensoleillé d'été.
Donc, il ignore les paroles du Sylven, pour se concentrer sur celle de son neveu. Il aime bien ce terme. C'est sympathique! Il en sourit et hoche la tête.
C'est ta verve qui m'a manqué.
Simple.
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"Sempre pel Asombralh"