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[RP] Election de Miss Languedoc

Cesar_louis
A mesure que les joutes oratoires emplissaient l'air, le roux se faisait plus circonspect. Certes, l'origine semblait être la dénomination de la manifestation, que certains estimaient peu en phase avec la réalité, voire même inopportune. En vérité, le Porte-Parole était relativement de leur avis en son fort intérieur, mais il n'avait point jugé bon de le faire remarquer à Sylven en temps voulu. Sans doute parce qu'il avait des soucis avec légèrement plus d'intérêt & de pertinence ces dernières semaines. Aussi hocha-t-il subrepticement la tête aux propos de Madame de Siarr.

Il manquerait effectivement du monde à Uzès, Vicomtesse, mais nul besoin de cela pour que présentiez vos envies à la Maire...

Et puis, le vieux - faute de dénomination correcte, on devenait affreusement vulgaire - parla, étant près de réussir le bel exploit de faire rire le jeune homme. Mon Dieu, qu'il était caricatural ! Depuis toujours, César avait remarqué que les nobles - les Vicomtes notamment, du reste - se retrouvaient accompagnés de personnes qui cherchaient plus ou moins consciemment à capturer une once de la gloire qui entourait leur titre, ou tout au moins qui était censée le faire. Alors, d'une voix claire il s'adressa au taiseux.

Certes. Mais nombreux - trop nombreux - sont ceux qui croient que la rareté est synonyme de qualité dans le discours. Hélas.

Se passant une main dans les cheveux, l'Empereur de se tourner vers le promis dans un léger sourire.

J'ose croire que vous vous portez bien, Senher. Sachez, quoi qu'il en soit, qu'il m'arrive souvent d'ouïr votre nom. En bien, soyez-en assuré !

Ou pas.
Sylven
Ce que Missanges appelait des courbettes, lui voyait cela comme du bon sens. Mais il ne regretterait certainement pas d'avoir été à l'écoute des autres autant que d'avoir fait preuve d'ouverture d'esprit. Ils n'avaient visiblement pas la même vision des choses en matière d'animation et la dernière annonce parue en place publique semblait en attester.
Il préféra cependant ne pas répondre et se concentra sur la suite.

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Mutine
Mutine avait cherché à capter au passage la fiole qui circulait de main en main mais l'instant qu'avait pris l'échange de bises avec Sylven avait suffit pour qu'elle rate l'occasion.

Elle sourit se disant qu'elle découvrait la ville et qu'il allait falloir qu'elle fasse preuve d'un peu plus de vivacité pour s'imposer.

La conversation tournait toujours autour du nom. Elle se décida à émettre un avis.


Si je puis me permettre, le mot Miss n'a pas pour moi grand sens. Je me suis demandée s'il n'a pas été choisi pour apporter un peu de mystère dans ce concours. N'est-ce pas aux concurrentes de lui donner un contenu ?

Un titre trop clair pourrait être pompeux, j'avoue personnellement ne pas me prendre pour une reine, immodeste ou restrictif.

Mais comme Syl nous autorise à y réfléchir, pourquoi se priver, cela va nous permettre de passer utilement le temps qui semble nécessaire pour que toutes les villes donnent leurs deux noms.

A part cela, quelqu'un a-t-il vu une petite fiole qui circulait tout à l'heure ?


Elle regarda autour d'elle.
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La joie de vivre c'est important mais ça ne nourrit pas.
Adelphe_remiremont
Éclat de rire qui le prend. Foutre Dieu ! Qu'il avait bien fait de venir !

Il se tourne vers la jolie dame à la fiole et lui sourit, cela relèverait presque de l'exploit chez lui.


Quelle charmante idée, Madame ! Si vous mettiez ce projet sur pieds, je viendrai assister à votre réussite.

Sourire qui reste plaqué sur son visage, et il plisse les yeux en regardant le Maître César. Constatation qu'il n'a aucune idée d'à qui il s'adresse. Si lui-même est un danger pour qui le mettrait en colère, Tacitus n'a rien à lui envier. Le prendre pour un benêt est pire qu'un danger, c'est une condamnation.

Maître César, mieux vaut la rareté dans le discours que de belles phrases et un prêche interminable pour finir par ne rien dire.

Main sur la taille qui reprend sa caresse lente, s'en est-elle au moins aperçue ?


Vous entendez souvent mon nom ? Seriez-vous des créanciers de Crussol ? A moins que vous n'ayez eu vent de mes conversations avec la gracieuse maire d'Uzès ?

Il s'amuse encore, toujours. Qu'on parle de lui, il s'en moque. Rien ne compte, rien n'existe en dehors de ceux qu'il choisit.

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Cesar_louis
C'est en effet souvent bien là le défaut des prêcheurs. Quoique nul ne soit contraint de les écouter.

Et de sourire. Car si son interlocuteur avait moins l'air d'un benêt que son oncle, force était de constater qu'il était heureux. Heureux de sa vie, heureux de sa condition. Oui, le roux souriait, mais doucement.
Clignant des yeux, il reprit.


Maître. Une telle dénomination ne compte guère parmi celles que j'ai pu apprendre, et c'est pourquoi, en l'occurrence, je vous nommerais de même puisque vous semblez y associer un sens singulier. Alors non, Maître, je ne suis pas un créancier de Crussol, et je n'ai pas non plus le plaisir de vous évoquer avec la Maire d'Uzès. Gracieuse, je vous le concède.
Votre nom, Maître Adelphe, disais-je, je l'entends par l'entremise de votre père. D'où les échos positifs, vous comprenez.
Aimelina
Oula. Tacitus qui donne – à bon escient – une leçon de préséance nobiliaire, et bim, une Narbonnaise qui prend la mouche. Et qui part. Bon.
La Linèta n'avait pas l'impression d'avoir requis des courbettes, et même, elle mettait la main à la pâte de cette animation. Mais les mécomprenants sont partout !
Elle se contenta donc de hausser les épaules au départ de la donzelle et de demander au seigneur de Termes :


Vous approuvez donc mon processus ? Dans quel délai dois-je vous envoyer une liste ? Il faut un peu de temps pour solliciter les Languedociens... En même temps que la liste des candidates ? Ainsi, les deux votes se feront en parallèle ?*

À César-Louis :

Bonjour, messire. C'est vrai que de prime abord, elle ne l'avait pas salué. Il le faut pourtant, car je crois comprendre que le règlement du concours prévoit une désignation des candidates par le maire de leur ville.

Et entendant son échange avec son promis :

Il convient de l'appeler "Seigneur", car il est noble titré. On n'appelle Maître que les artisans, ou Mestre, puisque nous sommes en Languedoc. Regard appuyé à son Adelphe qui renâclait toujours à se plier à la langue locale. Quant aux roturiers qui ne sont pas même artisans ou de quelque importance dans la société... On ne les appelle pas. Juste leur nom.

*Jusqu'au 10 juin 2014 pour récolter les suggestions
Puis vote pendant la présentation des demoiselles
Et choix définitif par le CLE et la Comtesse avant désignation finale de la lauréate ?

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Tacitus_dc
Il s'entendrait bien avec l'Empereur. Un jeune homme qui semble avoir une tête sur les épaules. Ça fait changement. Quand il est question du Patron qui fait louange de son fils, là il est médusé. Le Patron aura fait louange de Adelphe à tout le monde? Évidemment, ce n'est pas tant surprenant que le Patron louange chacun de ses enfants. Avec raison d'ailleurs, mais d'une façon plus insistante que bien d'autres.

Mais ce n'est pas le plus important. En fait, de par sa position, Tacitus, tout comme le diacre aide le curé, serviteur ou partisan du Très-Haut, il veut aider Aimelina dans la tâche qu'elle vient de se donner. Dans la cosmogonie de ce personnage, Skip est l'avatar de Dieu sur Terre. Olivièr Cristòl est l'équivalent du fils de Dieu, Constance est la Grande Prêtresse, Donà Ariana est l'épouse de Dieu et Adelphe en est le prophète! Aimelina est donc la promise, mais aussi, d'une certaine façon, liée a Dieu Sur Terre. C'est donc, pour lui, comme s'il aidait Dieu en aidant Aimelina. Tout comme le servant de messe qui épaule le curé pendant un baptême pour le présenter au Très-Haut.

Souriant donc, il annonce à la suzeraine du Patron.


Si en quoi que ce soit je peux vous être utile Donà, comme toujours, je serai là.

Il n'a pas besoin d'en dire plus. Tacitus étant toujours là, quoi qu'il arrive, le Patron est en congé avec Donà Ariana, les terres et le Domaine sont en ordre, il peut bien s'amuser un peu aussi et faire quelque chose, n'importe quoi, pour aider. C'est ce que d'autre appel une soumission absolue, ou la famille! Dans tous les cas, Tacitus est un serviteur dévoué. Et il le restera aussi longtemps que le Patron lui permettra de vivre.
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"Sempre pel Asombralh"
Adelphe_remiremont
Finalement, il commençait à s'ennuyer. Tout tournait à la conversation de salon, où l'inculture se cachait souvent sous une couche de pseudo connaissance. Soudainement il regrettait ses livres, leur silence, leur discrétion qui faisait tout leur charme.

Bâillement étouffé d'une main voulue discrète. Sa belle répond et montre qu'elle est loin de n'être qu'une oie, et lui de reprendre sur un autre terrain.


Ne croyez pas ce qu'il dit. Certains parents habillent leur progéniture de tous les attributs, alors que celle-ci n'en possède aucun. Mon père fait partie de ces gens. Il voit toujours trop de bien dans ceux qu'il fréquente. Et puis, il est trop bavard.

Sourire, toujours, même après le regard insistant de sa fiancée. Il n'en a pas fini avec l'Empereur.


Je n'utilise jamais mon nom de baptême pour me présenter. Si vous voulez que je continue à vous répondre, je vous suggère de ne plus l'utiliser.


Tirade terminée. Son esprit est déjà occupé ailleurs. Qu'est-ce que son père a bien pu raconter sur lui à de sombres inconnus ?

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Sylven
Sylven laisse les hommes à leurs échanges. Ce n'est pas qu'il n'y trouve aucun intérêt, encore que, mais il n'y voit pas bien le rapport avec ce qui les amène ici. C'est donc tout naturellement qu'il se tourne vers la dame qui souhaite s'occuper du nom que l'on donnera à l'heureuse élue.

J'approuve votre processus oui, aujourd'hui comme hier. Je m'en suis d'ailleurs expliqué. Il ne s'agit pas là de céder à une quelconque pression mais bien d'apporter un surplus d'implication de la population dans une animation qui se veut conviviale. C'en était du moins ce que j'avais souhaité à l'origine de ma démarche.

Il ne s'épancherait pas plus sur le sujet, préférant passer désormais au concret.

Vos suggestions pour le 10 ? Oui, ce me semble une bonne idée avec un vote à suivre pendant les élections elles-mêmes. Le choix définitif interviendra donc en dernier lieu juste avant de décerner officiellement le titre. Pour moi c'est parfait, je vais néanmoins me rapprocher de notre Comtesse pour connaître son avis autant que ses disponibilités.

Voilà qui était dit. Il sourit en guise de conclusion et se prépara à envoyer les courriers aux maires afin de savoir où ils en étaient.

Ok pour moi donc.

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Cesar_louis
Non.

Car, à la manière dont les ânes font hi-han, César dénie de la tête.

Vous ne comprenez pas, Vicomtesse. Je tentais de faire comprendre à votre promis, sans doute étais-je trop sibyllin, que la notion de préséance nobiliaire lui était inconnue. Manifestement, tout au moins. Car vous conviendrez que nommer un fils & héritier de Duc "Maître" est fortement inopportun. Mais je ne lui en tiens pas rigueur, et il est vrai que je ne porterai pas telle affaire devant la justice héraldique.

Hochement de tête. Le présent échange confortait le roux dans ses préjugés : un bâtard que son père n'avait même pas daigné reconnaître représentait ce qu'il y avait de plus vulgaire. En vérité, il les haïssait peut-être davantage encore que les parvenus. Lui ne faisait que commencer.

Ce n'est pas cela, non. C'est de votre père dont j'ai des échos, non de vous, et c'est pourquoi je parlais de votre nom plutôt que de votre prénom. Quoique j'aie dû faire erreur : vous ne portez pas le sien. Aussi, que je vous nomme Seigneur vous conviendrait-il davantage ? Je m'en voudrais que vous ne me répondiez plus.

Le pire était sans doute que le jeune homme appréciait la verve du Remiremont, mais en l'espèce, sans réellement savoir pour quelle raison, il avait décidé de se montrer désagréable.
Adelphe_remiremont
Parlons franc, parlons clair, décidément cela devenait lassant.

Pour vous nommer comme il aurait dû, Messire, encore aurait-il fallu que vous vous présentiez comme il se devait. Or, les deux fois où j'ai eu l'occasion de vous rencontrer, vous ne fîtes que vous annoncer sous le nom de César. Je ne suis pas sorcier, et votre qualité n'est en rien inscrite sur votre front.

Sourire, encore, toujours !

Cela dit, je ne doute pas que vous puissiez accepter mes plus plates excuses pour ce manquement au vivre noblement. Cela fait partie des attributs des grands de ce monde, la mansuétude.


Regard vers son oncle et il revient à l'héritier.

Je ne porte pas le nom de mon père, en effet. Je ne suis qu'un bâtard parmi tant d'autres.

Sourire plus appuyé, comme si cela pouvait le toucher maintenant. Il ne sait ce que cherche l'Empereur, mais il perdra sa mise. Lui qui est légitime, il n'a aucune idée de ce qu'endure un bâtard dès qu'il nait. Cela forge les cœurs et les âmes. Si la chance est avec lui, il oublie et pardonne, dans le cas inverse, l'être est détruit, il n'en reste rien.

Je ne suis que Remiremont et c'est sous ce nom que l'on me connait. Gardez vos Seigneurs pour d'autres.


Le sarcasme avec lui n'est jamais loin, il s'en amuse, comme toujours !


Il parait que la vanité est un vilain défaut.

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Cesar_louis
Ahahahah !

Mansuétude, le mot est donc lâché. Du reste, la première fois que nous nous sommes rencontrés, je vous ai nommé Monsieur de Remiremont. Alors effectivement, je gardais - et garde toujours - mes seigneurs pour d'autres.

"Parmi tant d'autres" fit hausser un sourcil. Trop ? César-Louis aimait croire ses préjugés, un temps on peut dire qu'il se plaisait à les considérer comme éminemment vrais. Mais plus aujourd'hui, car paradoxalement, les Languedociens, êtres détestés lors de la première confrontation du roux avec l'un d'eux, lui avaient fait entendre un certain nombre de choses.
Mais en l'occurrence, l'occasion était trop belle. Ceux qui se croyaient alors qu'ils n'étaient pas.


Il paraît, oui. Le fait d'être péremptoire, également, et il paraît là aussi, que je le suis. Avant tout, il semble convenir que je me présente : César-Louis est mon prénom, César-Louis Mattei de Leslur-Dénéré est mon nom de baptême, et vous devriez le savoir. Car, voyez-vous, je sais le vôtre, je sais que vous vous nommez Remiremont, et ça n'a rien à voir avec une quelconque bâtardise sans le moindre intérêt. Non. Je le sais parce que j'aime à me renseigner sur ceux que je rencontre. Et vous ne faîtes pas de même, manifestement.
Oh, sans aucun doute me répondrez-vous qu'encore faut-il que vos rencontres suscitent quelques sentiments chez vous, et je vous rappellerai votre maxime s'agissant de la vanité. Pour y revenir, d'ailleurs, n'oubliez guère que l'on ne rabroue uniquement lorsque l'on a les moyens de le faire...


Et le Leslur-Dénéré ponctua d'un sourire se voulant amical. Si, si.
Spohia
Spohia arrive en retard,il sourit et pense a m'dame panthére il commence a la copier .


Bonjour a tous je me présente Spohia maire d'alais,pour notre ville je serais juge et Gadoue sera notre beautés , celle qui aura nos couleurs pour le concours.
Gadoue
Gadoue s'avance vers le maire et le salue grandement .

Et Gadoue d'Alais c'est moi ! Enchantée à tous . Je me présente donc à vous pour ce concours et représenter ma merveilleuse ville d'Alais . Dit ' elle avec un sourire carnassier .


On me dit toujours que je suis Accueillante, aidante, amusante appliquée dans ce que j'entreprends très accessible et astucieuse ! Très attentionnée je n'hésite pas à venir de l'avant car j'aime l'aventure .



Gadoue regarde les conditions à remplir et le règlement , il lui restait 6 jours pour faire cela ! Au boulot ! Il n'y a pas que Maille qui vaille ! Gadoue fait tout !
Tacitus_dc
À écouter le jeune César, il comprend enfin de quoi il parle. Il parle du Duc de Remiremont et de la Duchesse de Remiremont. Les parents de Tempérance d'Amily, la suzeraine de Adelphe Del Casalièr, dit Remiremont. Voyons, c'est évident! Mieux vaux rétablir le tout avant que Adelphe décide de frapper le pauvre égaré.

Mestre César, il y a méprise! Senher Remiremont se nomme ainsi parce qu'il a grandit à l'Abbaye de Remiremont. Il est le fils de Skip Lo Casalièr, qui lui est vassal de Donà Aimelina de Sìarr, ici présente. Mon neveu n'a aucun lien de parenté avec les Duc de Remiremont.

Et question de bien faire comprendre.

Quant à la bâtardise, mestre, je vous suggère de retirer sur le champs vos propos. Comme vous le dit, mestre, on ne rabroue que lorsqu'on en à les moyens! Vous vous adressez à deux nobles, contrairement à vous qui êtes roturier, n'en déplaise à votre nom.

Soyons claire une bonne fois pour toute.

Senher Adelphe Del Casalièr, dit Remiremont, est même le vassal de Donà Tempérance d'Amily. Si vous dite vous informer sur les gens, il est évident que vous avez été mal informé.

C'est qu'il à beaucoup parlé en fait sur ce coup là. Dire que ce César, finalement, semble assez prompt a juger sans connaître! Il pense avoir eu une information juste, mais visiblement, son informateur ne savait pas plus que lui de qui il s'agissait. Pauvre... pauvre jeune homme égaré qui pense tout savoir sur tout le monde alors qu'il use de son nom, dont l'opinion du Silencieux sur ce nom n'a rien de très flatteur, pour faire valoir un point qui n'a pas même lieu d'être.

Oui. Pauvre égaré.

Pour sa part, son sourire qu'il offre à ce Dégénéré... non, Dénéré... est emplis de mépris.

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"Sempre pel Asombralh"
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