Melusine34
Après avoir aidé Andaine avec les chevaux, Mélusine alla vérifier ses armes. Ses ? Cest un bien grand mot, son équipement se limitant à son épée, sa fidèle Fontfroide, une dague courte, la première quelle eu forgé et son bouclier. Malgré tout leur entretien occupa la flamande un bon moment : ne dit on pas que tout bon artisan a de bons outils ?
Assise en tailleur sous sa tente, elle sortit son épée du fourreau. A laide dun bout de toile de jute imbibée dalcool blanc elle essuya la lame afin dôter toute les impuretés. Elle déposa ensuite précautionneusement un peu de sable fin sur celle-ci et avec un autre chiffon de jute mais sec cette fois ci, la poli. Débarrassée ensuite des résidus de sable la lame reçu enfin quelques gouttes dhuile étalée en couche fine et régulière qui protégerait son métal. La dague subit le même traitement. Hélas pour la forgeronne son bouclier étant de bois elle ne put faire grand chose mais vérifia tout de même que le cuir qui le recouvrait était toujours tendu et en bon état et que le bois navait pas subi de trop grands dommages.
Une fois son équipement vérifié et entretenu, laspirante sortit de sa tente prendre ses ordres. Mains quelque peu graisseuses, manches retroussées et quelque peu échevelée (enfin disons juste que ses macarons nétaient plus alors aussi stricts qua laccoutumée, la faute à la toile de tente pas tendue assez haute pour lui permettre dy tenir assise sans que le haut de son crane ne la frôle). Bref cest dans une tenue moins soignée que dordinaire que Mélusine croisa Azzera et son compagnon. Salut de la tête et une fraction d e seconde de réflexion avant quelle ne se rende comte de ce que cela signifiait : Saian ! Saian voyageait avec sa sur ! Adoncques il devait être là lui aussi !
Les yeux en alerte elle scruta les environs avides de découvrir sa silhouette se détacher dans la clairière. Là un peu à lécart et discret comme dhabitude en pareilles circonstances. Le sourire retrouvé la jeune flamande sempressa daller le retrouver et, car il le faudrait daller lui annoncer quils aller devoir laisser les Blanches pour rentrer plus tôt que prévu en Flandres.
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Assise en tailleur sous sa tente, elle sortit son épée du fourreau. A laide dun bout de toile de jute imbibée dalcool blanc elle essuya la lame afin dôter toute les impuretés. Elle déposa ensuite précautionneusement un peu de sable fin sur celle-ci et avec un autre chiffon de jute mais sec cette fois ci, la poli. Débarrassée ensuite des résidus de sable la lame reçu enfin quelques gouttes dhuile étalée en couche fine et régulière qui protégerait son métal. La dague subit le même traitement. Hélas pour la forgeronne son bouclier étant de bois elle ne put faire grand chose mais vérifia tout de même que le cuir qui le recouvrait était toujours tendu et en bon état et que le bois navait pas subi de trop grands dommages.
Une fois son équipement vérifié et entretenu, laspirante sortit de sa tente prendre ses ordres. Mains quelque peu graisseuses, manches retroussées et quelque peu échevelée (enfin disons juste que ses macarons nétaient plus alors aussi stricts qua laccoutumée, la faute à la toile de tente pas tendue assez haute pour lui permettre dy tenir assise sans que le haut de son crane ne la frôle). Bref cest dans une tenue moins soignée que dordinaire que Mélusine croisa Azzera et son compagnon. Salut de la tête et une fraction d e seconde de réflexion avant quelle ne se rende comte de ce que cela signifiait : Saian ! Saian voyageait avec sa sur ! Adoncques il devait être là lui aussi !
Les yeux en alerte elle scruta les environs avides de découvrir sa silhouette se détacher dans la clairière. Là un peu à lécart et discret comme dhabitude en pareilles circonstances. Le sourire retrouvé la jeune flamande sempressa daller le retrouver et, car il le faudrait daller lui annoncer quils aller devoir laisser les Blanches pour rentrer plus tôt que prévu en Flandres.
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