[rp] Allégeance des nobles au Duc Thomas_sauveur

Marjolainne

la veille , Marjolainne avait fait aérer la grande salle , nettoyer les grandes cheminées. Balayer et lessiver les sols à la lavande .
En cette fin de mois de septembre le froid commençait â s'installait et donc dès le levé du soleil , les cheminées crépitait d un bon feu .
Elle avait demandé aux jardiniers de mettre le matin même de la cérémonie différent bouquet un peu de partout .

Des tonneaux de mirabelle avaient été sorti des caves pour rafraîchir les nobles et le duc ,

son parchemin sous la main la duchesse Marjolainne de RK , beauregard , héraut de lorraine ,entra et alla s asseoir attendant que le duc fasse son entrée

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Thomas_sauveur

Il y a des jours dans une vie qu'on oubliera jamais, la première danse, le premier soir au l'on à le droit de boire une gorgée de Mirabelle, puis la seconde, le jour l'on deviens un homme, celui ou on prend la vie d'un frère de religion, la première pipe fumé, la première relation intime, le jour ou l'on deviens Duc de Lorraine. Thomas était de ses hommes qui regardent leurs premières fois avec admiration et fierté, même si tout n'était pas parfait. Aujourd'hui était un jour particulière celui des allégeances et même-si il n'était pas un grand habitué de cette cérémonie il en connaissait les quelques principes, mais cela n'allait pas très loin. Cependant l'homme avait confiance au héraut de Lorraine pour le guider aussi, il sorti de son lit confiant et décida qu'un bain le détendrait.

Pendant que l'eau chaude relâchait ses muscles et que le savon emplissait ses narines, il pouvait apercevoir son domestique – Sebastian- préparer ses affaires. Heureusement la tenue n'allait guère poser de souci et il n'avait pas à paniquer à ce sujet, la Duchesse Cassandre c'était occupée de tout et ce fut avait générosité qu'elle habilla sa fille et lui-même. Thomas entra dans l'eau juste aux épaules et ferma les yeux, un instant, deux peut-être.

-Votre grâce, il est temps.
- Yes, a moment please.*

Thomas était sorti de son bain depuis quelques bonnes minutes et à présent devant un miroir regardait son reflet : Il y voyait un homme de taille respectable, à la fine silhouette, une tenue aux couleur rouge et noir, par touche de blanc légère. C'était parfait, quelques froufrous le laissait perplexe quant à la beauté du résulta final, mais il avait tout confiance aux choix fait. Prêt il était donc, prêt. Ses mains sans gant touchèrent le tissu et il fut étonné de sa douceur, frottant ses doigts contre ses paumes, il regarda les gants de cuir sur le lit et consenti à les abandonnée pour aujourd'hui. Ce fut ainsi qu'il déposa sur le lit d'Aelis une robe ainsi qu'une lettre et quitta le manoir en compagnie de son domestique, nul besoin d'hommes armés, il ne ce sentaient pas spécialement en insécurité au sein du Duché.

Son arrivé dans la salle qu'il voyait pour la première fois fut timide, il observa les blasons des quartes villes entre debout devant-lui, le siège, la grandeur de la salle d'un coin d’œil admiratif et les mains dans le dos s'approcha du héraut installé. Elle était très belle avouons-le et il l'admira quelques secondes avant de lui offrir un sourire sincère. Il n'avait encore jamais vu la Bailli ainsi et fut particulièrement surpris en positif, de plus son époux allait venir avait-elle annoncée aussi Thomas était heureux de faire sa connaissance plus tard dans la journée.

Marjolainne, vous êtes en beauté. Notons qu'il ne rajoute pas ''Aujourd'hui'' de craintes qu'elle pense que les autres jours, il la trouve moins belle. Timidement il se plaça à ses cotés et continu son observation de la salle. Il y a une odeur de lavande non ? Nous adorons la lavande... Nouveau sourire avant de lui glisser dans un murmure. Nous comptons sur vous pour veiller aux déroulements, nous ne sommes pas très ... habitué.

Petit aveu alors qu'il fait claquer ses bottes sur le sol et s'approche du trône au fond de la pièce, après le tapis rouge et or au couleur de la Lorraine, il ne s'installe pourtant pas encore et attend que le Héraut lui donne quelques explications nécessaire, nul ne sert d'avoir l'air de tout connaître quand cela n'est pas le cas et aujourd'hui Thomas l'avouait il ne savait pas comment cela allait ce passer..

* Traduction : Oui, un moment, s'il vous plaît.
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Cassandre_louna

" Miroir miroir dis-moi qui est la plus belle "

Il faut être toujours ivre. Tout est là : c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Cassandre était le genre de femme à faire une fixette totalement inexplicable sur la beauté, sur la vieillesse. Les gens lui écrivaient, souvent, pour avoir une robe, un conseil, un style, pour lui dire que son dernier vêtement était magnifique. Si elle vieillissait elle savait que cela n'aurait plus aucun sens, on ne peut pas être laide et représenter la mode, cela ne va nullement ensemble. C'est pour cela que le jour des allégeances, comme à chacune de ses sorties elle mit plusieurs heures à se préparer et presque autant d’heures à s'admirer devant le miroir pour être sûre que tout soit parfait.

Mais des fois elle se trouve laide, horrible, moche. Des fois comme le jour ou une plie de son drap s'était fait sur son visage et qu’elle ait cru à une ride, elle avait carrément envie de se pendre. Alors comment oublier ? Le vin, la mirabelle, la poésie ou la vertu, à sa guise. Mais elle s’enivrait.

Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, dans la solitude morne de sa chambre, elle venait à se réveiller, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, son regard perdu dans le vague, elle se fixa dans le miroir et se répétait pendant la nuit entière si il le faut "je suis la plus belle". Juste pour elle, juste pour qu'elle n'oublie jamais.

Cette journée-là, elle n'était pas en train de se convaincre de sa beauté, non elle était trop belle pour hésiter la dessus, mais elle essayait de se convaincre qu'elle ne serait pas froide et qu'elle ne ferait peur à personne, surtout pas à l'enfant du duc. La duchesse était une femme pas toujours gentille et sincère à tel point que la fille adoptive de Thomas la prenait pour une sorcière, mais vous verrez qu'aujourd’hui elle sera bonne avec autrui !
Repentie, elle essayait vraiment, pas de remarque pas de pique est-ce possible ? Oui ? Oui !

Il est tout de même arrivé que par moment son sang-froid ne fit qu'un tour et qu'elle soit désappointée. Et plutôt que d'aider elle préférait les voir frire sans compassion.
C'est vrai qu'elle a eu des plaintes, mais avec le nombre de bonnes actions qu'elle eut faites elle était une sainte pour les âmes comme elle, en perdition...

Ma fille est prête

Oui votre Grasce comme vous l'avez demandez

Bien

La duchesse descendit et salua sa fille qu'elle n'avait pas revue depuis des mois et des mois.

Bien le bon jour ma petite Catherine

Aucune réponse, mais à gage de retour elle eut droit à un énorme câlin de celle que certains appelait encore "la muette"
Elles s'installèrent dans le carrosse et avant que celui-ci quitte le domaine elle ajouta

Notre fille ne doit pas nous faire honte devant le duc, tu t'inclineras donc et tu essayeras de lui parler s'il s'intéresse à toi.

Une fois les leçons de moral faite, et après une bonne demi heure en voiture,la duchesse arriva, devant le regard éblouit de certain domestique regardant sa robe totalement en or, une robe couleur soleil...

Un pas puis deux puis trois aucune remarque était faite, cependant une fois devant la porte sa fille fut soudain prise d'une envie de petit coin (elle choisit bien ses moments celle la), c'est ainsi qu'elle se retrouva niaise, derrière la porte ou le duc se trouvait, attendant sa fille et sa nourrice partie au latrine avant de rentrer dans la salle des allégeances.
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Aelis.

La petite fille était revenue au manoir. Elle l'avait fuit pendant l'équivalence d'une bonne journée, fâchée envers son père et l'AUTRE. Elle avait donc erré un long moment dans le village, s'était cachée au fin fond d'une grange pour dormir, tentant de se cacher par moment, sans succès, de Sebastian qui la suivait comme son ombre.
Revenant donc au manoir, elle avait trouvé sur son lit au premier abord une robe. Splendide certes, mais une robe tout de même! Une légère grimace s'esquissa sur son visage. ELLE avait donc tout de même frappé... Sa main resta posée sur le rebord de la porte, incertaine. Avait-elle vraiment envie de rentrer finalement....? S'approchant lentement, elle aperçut un morceau de parchemin, posé sur l'ensemble.
La petite brune s'avança un peu plus encore et déchiffra le mot. Les allégeances...
Elle poursuivie sa lecture et grimaça en comprenant le pourquoi de la présence de la robe sur son lit.

Elle acceptait de venir près de son père pour ce moment important pour lui, mais... Lui imposer de porter cette robe?
L'enfant lâcha le parchemin qui voltigea doucement jusqu'au sol tandis qu'elle se débarbouillait un peu le visage et qu'elle glissait la brosse dans ses cheveux emmêlés. Faisant demi-tour elle dévala les escaliers avant de se retrouver nez à nez avec Sebastian. Aelis sentit son regard sur elle, le vit croiser les bras, a priori mécontent au vue de ses lèvres qui se pincèrent.
Soupirant, la fillette fit donc demi-tour et retourna dans sa chambre. Elle se changea avec mauvaise grâce et enfila la robe de Cassandre, de manière maladroite. Ne portant pas de robe en règle générale, elle ne savait pas se rendre "jolie".
Ses pas retournèrent plus lentement dans le hall d'entrée et cette fois elle n'adressa pas un regard pour le serviteur et se rendit dans la grande salle d'allégeance.

Passant la porte d'entrée, elle vit Cassandre. Elle croisa un bras sur son épaule, mal à l'aise ne sachant comment se conduire face à elle. Son regard se posa sur la porte, derrière laquelle son père devait se trouver. Que devait-elle faire? Elle ne pouvait passer sans l'ignorer...Cassandre était magnifique et elle... Bah elle, elle semblait débraillée avec sa robe mal fermée et ses cheveux flottant sur ses épaules.

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Catherine_rose

Voilà l'enfant de retour en Lorraine et pour être honnête son seul souhait était de revoir son père, elle avait donc pris la peine de faire dicter à sa nourrice la missive :

Citation:

Papa,

C'est encore la nourrice qui écrit pour moi, moi j'écris trop mal mais je te ferais un beau dessin si tu veux ! Maman elle m'a autorisé à venir en Lorraine lui dire bonjour et aussi pour être présente à l'allégeance du Duc, j'espère que toi aussi tu seras présent, comme ça maman elle pourra me montrer c'est qui mon papa que j'ai oublié ! J'ai honte tu sais, mais je suis petite alors j'oublie vite !

Je te fais de gros bisous mon papa, je t'aime fort

Cathie

Une fois cela fait, elle chercha sa mère, longuement, mais dans le manoir il paraissait que l'amie de sa maman était au fond du trou et donc qu'il ne fallait pas faire de bruit, ça tombe bien c'est sa spécialité ne pas faire de bruit !
Il faut bien avouer qu'elle était tellement discrète, tellement silencieuse, qu'à part les nourrices et sa mère, personne n'avait remarqué sa présence. Puis vient le grand jour des allégeances, les rideaux furent tirés trop tôt pour ses yeux endormis et elle n'eut pas le temps de réaliser qu'elle se retrouva dans un bain avec trois domestiques pour la frotter partout sans rien oublier.
Sorti du bain, peignoir trop lourd pour elle, direction la commode où ses cheveux furent tirés en arrière, attaché, filet et pour finir à peine remise de se réveille trop rapide pour elle, des tonnes de tissus lui tombèrent dessus pour que sa robe soit mise : Ouf ! Elle était enfin prête !

Elle s'installa sur la petite chaise et table dans sa chambre pour reprendre un peu ses émotions en silence, quand la nourrice arriva avec le plateau du matin et dit

Mangez demoiselle Catherine, ensuite vous irez à la salle d'allégeance, c'est aujourd’hui, alors ne vous tachez pas...

La laissant à nouveau seule pour qu'elle puisse prendre son petit déjeuner l'enfant se demandait ou était son Jehan, car sans lui elle se sentait si seule... Heureusement son petit cheval en bois lui tenait compagnie.
Elle finit son déjeuner et ce fut le moment, de voir sa mère, enfin.

Citation:

Bien le bon jour ma petite Catherine

Elle se jeta dans ses bras, adieu les politesses et autres codes de la noblesse, sa mère lui avait manqué, trop, beaucoup trop. Elle aimerait tant lui dire comment le prince l'enfermait dans les geôles ou la battait, mais au final il y avait Jehan alors il ne valait mieux rien dire... La route se poursuivit avec les leçons habituelles de " la petite fille-modèle" et une fois sur place, une légère prise lui donna envie de faire pipi.

Alors que sa mère l'attendait devant l'entrée surement désappointée et que sa nourrice lui fit la leçon sur le chemin, elle n'avait envie que d'une chose : pipi !

Le soulagement, ouvrir les vannes et faire son pipi tranquille, sans personne qui fait la leçon pour une fois, un bonheur. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, elle retourna donc prés de sa mère quand elle vit la petite fille, elle s’arrêta à quelques pas inclinant la tête sur le côté, un léger gloussement et elle dit :

Maman, la petite fille veut un sous?

Oui, belle robe, mais pas attaché, les cheveux en pagaille, la jeune héritière croyait qu'il s’agissait d'une mendiante, l'intention était bonne au fond. Elle baissa très vite la tête, elle avait trop parlé et sa mère n'avait pas apprécié, un regard froid était posé sur la jeune héritière encore plus fort qu'une nuit d'hiver.
Elle s'enterra donc à nouveau dans son silence et attendit.

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--.sebastian.

Il fut des hommes qui rêvent de gloire, d'autres de victoire, il fut des hommes tenus, d'autres heureux, des grands hommes, tous. Pourtant dans leurs ombres se tenait toujours un valet, un homme qui met sa vie au service de la leurs, par passion, par besoin ou comme lui par reconnaissance d'une nuit atroce. Lorsqu'il avait connu Thomas, Sebastian était un soldat de ces gens qui tuent par ordres sans réfléchir, les deux s'étaient insultés, battus, ils échangèrent des mots, s'offrit des maux et aujourd'hui... Ils étaient rarement l'un sans l'autre, dans le silence tel que parfois Sebastian était oublié des amis de son maître, il n'était que l'ombre.

L'homme en voyant Aelis sortir avait ouvert des yeux rond comme deux plats de choucroute et courut après la petite, pas assez vite. Lorsqu'il arriva ce fut pour retrouver Cassandre, une petite fille très petite et la gamine. Ciel ! Il garda cet assurance qui fait de lui un parfait allié et remonta la robe correctement fermement, avant de nouer les liens des gestes assurés des femmes de compagnie.

Damoiselle, allons ... Vous êtes fagotée comme sac de farine.

Il était d'humeur légère comme souvent, ne jugeait pas constatait simplement. Une fois un nœud fait, l'homme attrapa ses cheveux et les disposa sur son épaule gauche dans une moue mi satisfait, mi désolé de ne pouvoir faire mieux, un noeud pour les relever tout de même un peu. Il tenait à Aelis comme il tenait aux gens proche de Thomas en règle général. Il avait passé la nuit à ses cotés et en passeraient sans doute d'autres, Sebastian obéissait comme un chien, fidèle, doux et attentionné. Lorsqu'il trouva le résulta plutôt correct. L'homme caressa sa joue et s'inclina bien bas, très très bas devant Aelis.

Nous sommes à vos ordres Damoiselle.

Et comme-ci tout était normal, il s'inclina devant Cassandre la toute petite fille qui était à ses cotés, mais ne parla pas, on ne parle pas à la noblesse qui ne vous invite pas à le faire, c'était une lois, un choix de vie. Puis franchement il n'avait rien à dire, il obéissait voilà tout Thomas avait dit : '' Suivez-là'' depuis il suivait et au prochain ordre il fera pareil. Sauf...oui sauf dans l'intimité d'une pièce close, là il était l'ami, ils jouaient semble aux cartes, parlaient de la situation à abordée et des choix à faire. Mais cela, personnes ne le savaient, ou si peu.

Scapin

Et une nouvelle cérémonie des allégeances était annoncée.
Passant sa tenue vert sapin de Lieutenant volant de la maréchaussée, glands dorés pendouilants aux épaulettes et bottes noires bien lustrée s'est comme cela qu'il allait se présenter ce matin.
Mais avant petit tour par les tavernes pour retrouver son sergent puis direction le marché de la capitale.

Tout cela lui semblait logique. Accrochant son épée, dernier regard vers la chauve souris qui était accrochée à une des poutres de sa modeste demeure de meunier.
Elle le regardait comme si elle l'implorait.
Secouant doucement la tête de gauche à droite avec un léger soupir

Pfffffff s'est bon tu peux venir avec, ...

Soufflant dans un petit tuyau de cuivre d'où aucun son n'en sorti mais l'animal avait compris, se mettant à tournoyer dans la pièce puis à disparaître par une des fenêtres ouvertes.

Dernière vérification d'usage afin de se rassurer que tout tenait bien.
Puis direction les tavernes

S'est d'un pas assuré qu'il sort de sa demeure à la recherche de son sergent volant et d'Alex certainement.
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Gens_de_gerardmer

Sepa était fatigué d'avoir tant voyagé avec ces guerres, qu'il décida d'envoyer un valet à sa place pour l'allégeance au Duc.
Prenant une plume et parchemin, le Borgne écrit alors son allégeance et la donna au valet pour qu'il se déplace au Castel.

Munit de la lettre, le Valet se présenta à la salle courrier à la main

Citation:

Par la grâce d'Aristote, nous, Sepa von Strass dict le Persévérant, humble Vicomte de Gérardmer en Lorraine,

à vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salutation.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),Pour nos Terres de Gérardmer.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Chlodwig Von Frayner, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous Sepa von Strass, humble Vicomte de Gérardmer en Lorraine, a écrit et ratifié,

à Vesoul, le 24 Septembre 1461

Ermina

Une nouvelle nuit à arpenter les remparts. Depuis qu'elle avait quitté Vaudémont elle s'ennuyait quelque peu. La blanche n'avait pas beaucoup dormi mais c'était sa routine. Toujours habillée de sa cape noire, son hermine lui tenant chaud sur le cou. Elle se dirigea alors vers la place du marché lorsqu'elle croisa son Lieutenant.

Il avait sortit sa tenue d'apparat. Tout de vert vêtu. Elle rit intérieurement. Où pouvait-il bien aller ainsi ?
Elle s'approcha de lui furtivement. Et arrivée à son niveau elle lui murmura à l'oreille

Alors mon Lieutenant on se fait beau pour qui ?
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Makcimus.

Longue avait été la Croisade contre le Fol en France et le Ritter avait du quitter sa Lorraine natale pour aller guerroyer pour Sa gloire.

Il était revenu depuis peu et n'avait eu encore le temps d'aller saluer ses amis. Il en verrait certainement certain en cette belle journée. Maintenant au Castel, il entra de sa lourde démarche en la salle.

La cérémonie des allégeances n'avait visiblement pas commencé. En époussetant d'un geste ample la cape blanche frappée de la croix noire, il parcouru d'un regard l'assistance...
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Scapin

Léger souffle chaud sur son oreille, s'écartant doucement . En temps normal il aurait sursauté mais là ne sachant pourquoi peut être la voix qu'il reconnu.
Beau dîtes vous?

Regardant sa tenue
Bwhouaffffffff s'est pas très pratique et ca me gratte
Joignant le geste en se grattant le cou.

Pour notre nouveau Duc Sergent, allons il y a un nouveau conseil en place
Nous avons travail à fournir, je vous cherchais justement et s'est vous qui me trouvez.
Léger sourire en se penchant et parlant tout bas.
Vous m'espionnez avec votre Alex s'est cela?

Tout en se redressant voyant sa chauve souri les survoler
Il se passe quelque chose il me semble qu'une personne vient d'entrer dans le bâtiment des allégeances.
Pointant du doigt un encapuchonné vêtu de blanc et marqué d'une croix noire
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Hathor1

Très affectée par le décès brutal de ma soeur adorée, je me sens pas le courage d'affronter le monde en cette journée du 26 septembre.
Je charge mon valet de porter ma lettre à la salle de cérémonie et le prie de m'excuser auprès de Marjolaine

Citation:

Par la grâce d'Aristote, nous, Hathor de Réamont Kado'ch de la Tour de bois Forts, humble Baronne de Girecourt, Commandeur de l'Alérion Lorrain,

à vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salutation.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),Pour nos Terres de Girecourt,

Que si un conflit venait vous opposer vous, Chlodwig Von Frayner, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main.

Nous, Hathor de Réamont Kado'ch de la Tour de bois Forts, humble Baronne de Girecourt en Lorraine, a écrit et ratifié,

à Epinal le 26 Septembre 1461

Hathor de Réaumont Kado'ch
Baronne de Girecourt

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Ermina

Les allégeances du Duc vous dites ? Dit-elle en le toisant de haut en bas et rit lorsqu'il se gratta.

Bon... Encore une cérémonie... Un jour je devrais me trouver une tenue pour ces broutilles là...

Surprise par le ton de la confidence de son Lieutenant elle se pencha à nouveau vers son oreille.

Non mon Lieutenant, je rentrais juste de la tournée des tavernes dit-elle en rigolant et en lui faisant un clin d'oeil.

Puis elle regarda la direction qui lui indiquait son Lieutenant.

Qui peut-il bien être ? Sa tenue est bien inhabituelle...

Puis se mettant en marche vers la salle.

Allez Lieutenant ouvrez la marche. *en se tournant et en caressant son hermine* Vous croyez que si je porte Alex autour du cou on va me prendre pour une dame de la haute ?
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Sarah_elisabeth

Du orange! Sa mère lui avait fait parvenir une robe orange pour assister aux allégeances. Elle finissait certes le deuil officiel de son époux mais le chef de famille d'Acoma était décédé et son enterrement imminent... Elle n'allait tout de même pas paraitre en orange!

Sarah grommelant pris la route des boutiques d'artisans d'Epinal et entra dans l'une d'entre elles pour acheter quelques métrages d'un lourd velours perle. Revenant au manoir que lui avait prété sa tante pour séjourner durant sa présence en Lorraine, Sarah se mit au travail avec attention. Mesurer, tailler, coudre. Avoir vécu toute son enfance dans un couvent avait eu cet avantage qu'elle avait appris à mettre la main à la pate dans bien des domaines. Et si sa robe n'aurait pas la prestance et la touche inimitable de l'artiste qui avait confectionné la robe que Mère lui avait adressée, au moins obéirait elle à tous les critères de bienséance en vigueur.

Se glissant dans la robe douce et longiligne, elle se regarda longuement dans la glace. Cela conviendrait bien pour l'occasion. Les arabesques du tissu donnait un peu moins de rigueur à l'ensemble sans pour autant avoir à se parer du moindre bijou. La robe serait tout aussi adaptée aux funérailles de Niconoss...

C'est ainsi que le jour venu, Sarah vint se présenter au seuil de la salle des allégeances dans une robe toute en sobriété avec seule "fantaisie" à l'ouvrage, son épée d'apparat afin de pouvoir réagir si besoin. Et oui, même là, elle ne pouvait pas changer sa nature!

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Cassandre__louna

**Frou frou, frou frou par son jupon la femme**

Frou frou, frou frou de l'homme trouble l'âme
Frou frou, frou frou certainement la femme
Séduit surtout par son gentil frou frou

La femme ayant l'air d'un garçon
Ne fut jamais très attrayante
C'est le frou frou de son jupon
Qui la rend surtout excitante
Lorsque l'homme entend ce frou frou
C'est étonnant tout ce qu'il ose
Soudain il voit la vie en rose
Il s'électrise et il devient fou

Elle regarde la jeune Aelis puis reporta son regard qui devient plus froid à sa fille pour les mots qu’elle venait de prononcer.

Voyez-vous ma fille, il s’agit-là de la fille du duc de Lorraine, inutile de vous dire donc que vos propres ont été très inconvenants envers sa personne, elle s’approcha de la jeune souillon quand Sébastien arrive et géra la situation tel une matrone expérimenté.

Elle décida une fois que celui-ci ait finit d’ajouter sa touche personnelle en détachant de ses cheveux blonds sa barrette en forme de papillon ornait d’un émeraude et l’accrocha à ses cheveux. Elle regarda le domestique du duc et dit alors :

Je serai exactement dans la même situation qu’elle, si je n’avais aucune dame de chambre pour me vêtir.

Elle adressa un sourire à l’enfant lui caressant sa joue un instant avant de se redresser, regarder sa fille lui faisant un signe de tête l’air de lui dire « allons-y ». La duchesse passa un instant sa main dans ses longs cheveux blonds, qu’elle recoiffa légèrement après avoir enlevé sa barrette et emboita le pas vers la salle d’allégeances.

Les portes s’ouvrirent et le petit groupe fit son entrée. Avant d’être trop près de tous, Cassandre susurra à la jeune Aelis

Tu vois, en ce jour, je porte une robe couleur soleil, j’espère que cela te rappellera une histoire…

Elle se redressa ensuite et s’avança vers les quelques présents pour les saluer ne voulait pas déranger de suite le duc, c’est en se retournant qu’elle vit sa fille aînée.
Celle-ci ne portait pas la robe que sa mère lui fit confectionnée pour cette occasion, mais une robe grise qui n’en restait pas pour le moins très correct et sans aucune faille qu’elle n’aurait à lui reproche. Elle ne put cependant s’empêcher de penser un « oufff »

Marjolainne

marjolainne vit rentrer du monde et sourit . Puis elle se plongea dans les deux allégeance reçu et fit la grimace . Elle écrivit un petit mot a chacun et demanda à un valet de leur faire porter .
Elle se pencha vers le duc et lui dit
Votre grasce les deux allégeances sont irrecevable , ils se sont trompé dans le nom de votre grasce . Donc je viens de les refuser .ils devront en renvoyer une autre ..
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Sabifax

Rédigé à la va-vite, puis glissé autour de son pigeon préféré, les allégeances du Vicomte se posèrent dans un battement d'aile à coté de Marjolaine.

Salutations.

Par la présente, nous, Sabifax de Beauregard, Vicomte d'Arches, Baron de Wiesviller,Seigneur d'Essegney et Commandeur de l'Alérion Lorrain. reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, duc de Lorraine par la volonté du peuple.

Nous vous jurons respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium).

Si un conflit venait vous opposer à un tiers, nous prendrions faits et cause pour vous et mettrions notre épée au service de la Lorraine.

Sabifax de Beauregard,
le 21 septembre 1461, à Vaudemont

Ersinn

Nul pigeon pour envoyer cette allégeance, seulement un laquet qui irait délivrer en main propre, soit au Héraut, soit au Duc, le serment du Warenghien. Avec patience, il attendit qu'on le soulage de son parchemin, qui une fois descellé révélait les écritures suivantes.

Citation:

De Nous, Ersinn de Warenghien, dict L'Intransigeant, Vicomte de Vigy, Seigneur d'Aingeray et d'Ogéviller,
Au Duc de Lorraine,
Salutations.

Par la présente, nous vous reconnaissons comme notre suzerain,

Nous vous devons désormais respect, aide et conseil pour nos terres de Vigy et d'Aingeray,

Si un conflit venait vous opposer vous à un tiers, nous jurons de prendre cause pour vous.

Scellé à Vigy, le vingt et un septembre de l'an mil quatre cent soixante et un.

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Makcimus.

Bon... Apres avoir salué quelques connaissances et le moment venue le Ritter Teutonique s'approcha du Duc. Il posa genoux a terre et de sa voix rocailleuse... Au nom de l'Ordre Teutonique, moi, Makcimus., Ritter (chevalier) de l'Ordre Teutonique, Landmeister de Briey vous reconnaissons comme légitime Duc de Lorraine par la grâce des urnes et vous prêtons allégeance pour nos terres de Briey.

Nous vous assurons de notre soutien, et reconnaissons vous devoir aide (auxilium), respect (obsequium) et conseils (consilium).
Si par malheur, conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, duc de Lorraine, à un tiers, nous prendrions cause pour vous, nous le jurons.

Un court instant, le temps d'une inspiration... Déclarons également que notre allégeance lige va au Saint Père et a la Très Sainte Église Aristotélicienne. Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à Son Église, nous prendrions de suite fait et cause pour elle.

Puisse le Tout Puissant vous guider pour le bien de la Lorraine !!

Et le chevalier Teutonique de rester sur place sans bouger le regard en celui du Duc...
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Thomas_sauveur

C'est partis ! Thomas regarda Marjolainne et approuva pour les deux courriers qui malheureusement n'avait pas le bon nom, il en fut même légèrement amusé comme quoi parfois on ce perdait dans les Ducs n'est-ce pas. S'approchant de l'endroit ou il devait s'installer celui-ci prit place et commença par les courriers.

Aucun souci Marjolainne, faîte donc, nous allons nous occupez des autres en attendant.

Citation:

A Vous, Monseigneur Sabifax de Beauregard , Vicomte d'Arches, Baron de Wiesviller, Seigneur d'Essegney ,

Puis il fit venir à lui le laquet de Ersinn et après avoir lu son courrier répondit également.

Citation:

A Vous, Ersinn de Warenghien, dict L'Intransigeant, Vicomte de Vigy, Seigneur d'Aingeray et d'Ogéviller,

Lorsque arriva Makcimus, il l'écouta et lui sourit un brin intimité, c'est que cet homme n'était pas n'importe qui non plus. Thomas une fois qu'il eu fini s'approcher pour le relever et lui accorda une accolade chose rare chez le Talleyrand. Une fois que ce fut fait, il le regarda et dit

Nous, Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorrain nous vous accordons à vous Ritter de L'ordre Teutonique, Landemeister de Briey, protection, justice et subsistance. Nous vous remercions de votre allégeance.

Il le lâche tout de même et penche la tête sur le coté ravi de faire sa connaissance en cet endroit.
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Makcimus.

L'attente ne fut pas longue et les articulations de Makcimus ne s'en porteraient pas plus mal.

Le Teutonique répondit au sourire du Duc et il lui donna sans aucune retenue l'accolade.
Il ne connaissait pas l'homme et il avait été éloigné très longtemps de la Lorraine pour pouvoir se faire une idée aussi vite. Mais, l'humilié et le respect qui semblait ressortir chez le nouveau Duc était rassurant.

Le Duc parla en le regardant dans les yeux et d'une voix décidée, ce qui conforta Makcimus dans son idée et l'homme sans aucun doute était bien en ses chausses.
La Lorrraine méritait des Ducs et Duchesses fort en caractère mais aussi capable de compromis et de prise de décisions. Il ne doutait pas que Thomas_Sauveur de Talleyrand serait capable de cela.

Aussi le Teutonique inclina le tête, signifiant au Duc qu'il était satisfait de leurs "échanges"... Pas besoin de plus... Il recula et laissa place.
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Marjolainne

marjolainne donna deux nouveaux parchemins .

Citation:

Saint-Claude, 21 septembre 1461

À Sa Grasce Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine
De Son Altesse Jade de Sparte d'Avila,

Nos plus sincères salutations,

N'ayant pas compris ce que le héraut de Lorraine dans sa missive voulait signifier par "sur la gargotte lorraine forum 1 des rr", nous vous écrivons directement.

Par la présente, nous, Jade de Sparte d'Avila, pour nos terres de Baccarat, jurons fidèlement obsequium, auxilium et consilium à la Lorraine et à son Duc.

Toutefois, si un conflit venait à opposer la Lorraine à la Lotharingie ou à l'Empire, nous prendrions de suite fait et cause pour ces dernières, notre prime allégeance allant à l'Empire.

Nous souhaitons paix et prospérité au Duché de Lorraine.

Respectueusement

Jade de Sparte d'Avila
Duchesse Impériale de Salzbourg
Duchesse de Pompey
Baronne Royale de Rouvroy
Dame d'Autrey-lès-Gray, de Baccarat et de Châtenois

Faict à Saint Claude, le vingt-unième jour de septembre de l'an de Grasce MCDLXI.

Citation:

Moi, Yarwelh de Lacombe, baronne de Tennengau et dame de Fraize vous salue.

Par la présente, je reconnais Thomas Sauveur de Talleyrand, duc de Lorraine par la grasce des urnes.
Par notre fief de Fraize, nous avons pour devoir respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium) envers les lorrains, la Lorraine et son suzerain.
Si un conflit venait vous opposer à un tiers, je jure que je prendrais cause pour vous.

Toutefois, étant baronne de Tennengau et que les dites terres sont sises sur le duché de Salzbourg, ma prime allégeance va à ma suzeraine Jade de Sparte, duchesse impériale de Salzbourg et maistre de la forteresse de Hohensalzburg.

De fait, si un conflit venait à vos opposer à elle, je prendrais faits et causes pour elle. De mesme, mon aide et mes conseils lui seront prioritaires et plus favorables.

Moi, Yarwelh de Lacombe, baronne de Tennengau et dame de Fraize, à écrit et ratifié le vingt huitieme jour du mois de septembre de l'an de Grasce 1461.

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Ellebasi

Profitant d'un moment de calme quand elle eut fini d'envoyer les directives pour les bénévoles, elle songe à la Lorraine , beaucoup de choses ce passe en ce moment le danger n'est pas encore écarté seul le très haut sait de quoi sera fait demain.

La soirée était bien avancée, elle ne s'était pas rendu compte du temps qui avait passé perdu dans ses pensées, elle devait se dépêcher de se changer et aller faire son allégeance de son beau-frère.

Ella arriva enfin à la cérémonie d'allégeance de son beau-frere Thomas et vit pleins de monde qu'elle salua en se dirigeant vers le trône et attendit que Makcimus finisse de faire l'allégeance et lui sourit contente de son retour de mission.

Elle s'approcha de l'estrade et mettant un genou à terre lui déclara haut et fort : :

-Par la grâce d'Aristote, nous, Ellebasi d'Acoma de la fiole Ebréchée, Baronne de Grostenquin en Lorraine,

A vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand,, Duc de Lorraine par la grâce des urnes, vous reconnaissons comme légitime Duc de Lorraine et vous prêtons allégeance pour nos terres de Grostenquin.
Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium) si il est dû, il faut tenir compte que mes charges cléricales ne me permettent aucunement de porter les armes, ni plus que d'être intégré à une armée, à moins que celle-ci ne fut sainte.
Que si un conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand,, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Enfin, que ma prime allégeance va à l'Eglise Aristotélicienne, de par mon état de diacre . Et dès lors, que si un conflit devait vous opposer à elle, ma cause rejoindrait invariablement celle de l'Immortelle Cité.
Recevez, votre Grâce, mes bénédictions apostoliques pour que votre règne soit calme et profitable au bon peuple lorrain,

Ella releva la tête à son souverain et attendit pour qu'elle puise disposer pour que les autres vienne à leur tour.

Armael

Profitant de son séjour en Lorraine le premier depuis des années elle avait décidé de venir prester sur place son allégeance plutôt que d'envoyer comme d'habitude son fidèle pigeon.

Elle avait donc pris soin de se préparer correctement et, malgré le deuil de son amie, avait revêtu une des tenues de sa couleur préférée qu'elle avait emportée avec elle de Dole .

Elle pénétra dans la salle des allégeances ou se trouvait déjà assez bien de monde .
Ellebasi étant en train de prester son allégeance elle attendit légèrement en retrait que son tour vienne

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Palogar

Les allégeances...
Il n'était pas question de rater la cérémonie bien évidemment. Encore moins cette fois-ci que les précédentes : sa fille devait être présente !
Depuis que Cassandre et lui étaient séparés, il n'avait eu que peu, bien trop peu d'occasions, de voir Catherine Rose.
Il n'était donc pas question de la manquer. Il pensait à ses retrouvailles depuis quelques semaines, depuis qu'il avait reçu un courrier de la main de sa fille lui annonçant sa venue en Lorraine. Enfin, le courrier avait été écrit par la dame de compagnie qui s'occupait d'elle évidemment, mais le dessin qui accompagnait la lettre était bien de sa fille.
Elle ne l'avait donc pas oublié et cette pensée seule lui était d'un grand réconfort.
Après la disparition de Floche, cette pensée heureuse était vraiment la bienvenue.

Il se présenta donc à la salle des cérémonies avec une unique pensée en tête : voir sa fille, et peut-être Cassandre aussi...

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Scapin

Hé oui qu'il était tout beau malgré qu'il n'aimait pas trop cette tenue.
Regardant vers le bâtiment, il semblait que du monde arrivait, la populace ne semblait pas très nombreuse une fois de plus mais il y aurait buffet après.
Entrainant son Sergent avec lui s'est à grand pas qu'ils arrivèrent prêt des portes.

S'écartant un peu pour laisser passer la noblesse et les serviteurs qui apportaient vélins.

Se tournant vers le Sergent
Ici on ne devrait pas déranger soyons vigilent, il paraît que des brigands rodent en Lorraine. Ayons l'œil à tout
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Palogar

Un signe de tête appréciateur aux hommes qui assurent le service d'ordre.

Bonjour Lieutenant. Je vois que vos hommes sont bien en place.

Lui-même ayant quelque fois été d'astreinte lors de cérémonies, il sait combien il est difficile de rester aux aguets alors que les invités s'amusent.
Bon d'un autre côté les allégeances ne sont pas connues pour être une fête très populaire...
Maintenant qu'il y réfléchissait, il ne se rappelait même pas qu'on est proposé de la mirabelle à l'une de celles auxquelles il avait assisté.

Une fois dans la salle, il se met de côté pour ne pas gêner celles et ceux qui vont prêter serment. Lui ira après. Il la balaie la salle du regard.
Il ne tarde pas à remarquer la chevelure blonde de Cassandre.
Elle est toujours aussi belle bien sûr.

Il s'approche dans sa direction. La petite fille à ses côtés. Est-ce bien elle ?
Ne l'ayant pas vu depuis plusieurs mois, il hésite un peu...
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Gens_de_gerardmer

Ayant renvoyé le refus de l'allégeance, Sepa reprit la plume pour refaire le tout en bon et dû forme

Citation:

Par la grâce d'Aristote, nous, Sepa von Strass dict le Persévérant, humble Vicomte de Gérardmer en Lorraine,

à vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salutation.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),Pour nos Terres de Gérardmer.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Nous Sepa von Strass, humble Vicomte de Gérardmer en Lorraine, a écrit et ratifié,

à Vesoul, le 06 Octobre 1461

Le pigeon s'envola pour arriver à la salle d'allégeance.

Thomas_sauveur

Thomas regarde le Ritter et recule pour retourner s'installer tout en le libérant donc a ses autres obligations sachant bien qu'ils auraient le loisir de ce parler encore de nombreuses fois. Il prend les parchemins tendu par la Héraut et griffonne quelques mots, imposant le sceau de la Lorraine et lui rendant les parchemins afin qu'elle s'en occupe et les ranges ou ils doivent être.

Citation:

A vous, Son Altesse Jade de Sparte d'Avila,

Citation:

A vous, Yarwelh de Lacombe,

Il porta son regard sur la salle et découvrit sa Belle-soeur un geste l'invitant à le rejoindre et le Duc écouta son serment avec un sourire en coin, Dieu que c'était spéciale de la voir là devant lui à dire ses mots. Comme-ci il avait besoin de cela pour savoir que Ella lui apporterait aide, mais les règles sont les règles n'est-ce pas ? Il se lève donc et lui fait face.

Nous Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine annonçons vous avoir entendu vous Ellebasi d'Acoma de la fiole Ebréchée, Baronne de Grostenquin en Lorraine. Merci de votre allégeance que nous savons sincère. En échange nous vous accordons, protection, justice et subsistance pour vos terres de Grostenquin en Lorraine.

Et sans attendre il s'avança pour lui faire une accolade bien moins timide, mais après tout avec sa belle-soeur n'est-ce pas choses normal ? Il la sert donc contre lui, frappe son dos et la relâche avec un fin sourire aux lèvres.

Merci Ella, te voir me fait plaisir.

Et déjà il regarde la prochaine noble qui s'avance une femme de bleu vêtue. Mais avant encore un courrier.

Citation:

A vous, Monseigneur Sepa von Strass dict le Persévérant,

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Armael

Ellebasi avait fini de prester son allégeance et donc elle s'avança dès que le Duc eut finit avec les parchemins et fit la révérence.

Moi, Armael de Beauregard, Baronne de Gondreville, vous reconnais Thomas_sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Je vous jure aujourd'hui respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Je vous jure également que si un conflit éclate entre votre personne et un tiers, je vous défendrais avec conviction.

Que je ne puisse enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre. Si cependant j'osais le tenter, que je sache que j'encouerais l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes

Qu’Aristote nous aide et vous guide dans cette tâche.

Elle attendit ensuite de pouvoir se relever et ainsi laisser la place aux suivants
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Caoimhim

Citation:

Par la grâce d'Aristote, nous, Caoimhim O'Sullivan, humble Baron de Dombasle et seigneur de Reclonville en Lorraine,

à vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salutation.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),Pour nos Terres de Dombasle.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par l'impression de notre sceau.

Nous Caoimhim O'Sullivan, humble Baron de Dombasle et seigneur de Reclonville en Lorraine, a écrit et ratifié,

à Dombasle, le 08 Octobre 1461

Marjolainne

Citation:

A Thomas Sauveur de Talleyrand, duc de Lorraine, par l'intermédiaire de Marjolaine de Réaumont Kado'ch, héraut de Lorraine.

Votre Grâce,

Je vous reconnais comme duc légitime de Lorraine pour le temps que durera votre mandat.
Par conséquent, je vous promets aide, conseil et fidélité pour mes terres vassales à la Lorraine : la vicomté de Baudricourt & la baronnie de Thuillières.

Par ailleurs, je déclare vous faire hommage en marche, & par-là reconnaître l'égale dignité en rang de nos terres, en tant que je suis duc de Bolchen, allégeant à l'Empereur.

L'On vous veille.

SAR Charlemagne de Castelmaure-Frayner.

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Brynden

Le messager aux armes de la Duchesse de Remiremont fit son entrée dans la salle afin que de remettre l'allégeance de sa maîtresse qui ne pouvait malheureusement se déplacer en personne

Citation:

De Nous, Cecilia von Wittelsbach-Frayner, Duchesse de Remiremont, Vicomtesse de Charmes, Baronne de Ribiers, de Deuilly, de Rambervillers & de Viviers, Dame de Cambo, d'Oelleville et d'Ernonheid, Ecuyère de l'Alérion Lorrain, Présidente de la Chambre des Nobles de Lorraine,
A Sa Grasce Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

Par la présente lettre, nous vous reconnaissons vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, comme suzerain pour nos terres de Charmes, de Deuilly, de Rambervillers & de Viviers. Que nous vous devons désormais obsequium, consilium et auxilium.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Déclarons également que de par nos terres de Remiremont, nous reconnaissons l'égalité de nos rangs et que notre allégeance lige va à l'Empire et ainsi à Sa Très Gracieuse Majesté l'Empereur. Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui, nous prendrions de suite fait et cause pour lui.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons signé de notre main et apposé notre sceau à cette présente missive.

Rédigé à l'Hôtel de la Marmotte, le XX ième jour du mois de septembre de l'an de grâce MCDLXI,

Thomas_sauveur

Il regarde cette femme qu'il n'as jamais vu Armael ce nomme-t-elle et l'homme lui offre un sourire doux avant de l'écouter. Armael ce nom lui parlait, elle fut celle qui lui avait écrit, ravi de mettre un visage sur un nom. Thomas se lève et s'approche d'elle pour la prendre elle aussi dans ses bras. Il est doux, une accolade chaste et pourtant sincère, il l'enlace quelques précieuse seconde et reculent enfin annonce.

Nous Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine annonçons vous avoir entendu vous Armael de Beauregard, Baronne de Gondreville . Merci de votre allégeance que nous savons sincère. En échange nous vous accordons, protection, justice et subsistance pour vos terres de Gondreville.

Il l'observe puis reçois trois courrier qui lui empêche d'accorder plus de temps à la Baronne, un sourire cependant et une légèrement moue boudeuse avant que l'homme passe au courrier.

Citation:

A vous, Caoimhim O'Sullivan, Baron de Dombasle et seigneur de Reclonville en Lorraine

Citation:

A vous, Votre Altesse Royale Charlemagne de Castelmaure-Frayner.

Citation:

A vous, Votre Grâce Cecilia von Wittelsbach-Frayner

Confiant les trois courriers à son domestique afin d'apporter réponse, il leva enfin les yeux sur la salle et reconnue sa fille en compagnie d'une femme de jaune vêtu. Léger sourire a Aelis en robe et il agita la main pour lui dire bonjour, heureux de la voir là.
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Catalina_constance

Elle avait reçu plusieurs courriers, dont l'un qui ne lui avait réellement pas donné ensuite l'envie de se déplacer quand bien même le duc fut un proche, ses deux filles ainées étaient morte... oui morte...

Citation:

De Nous, Catalina Constance Marianne de Volpilhat, Duchesse de Salm et de Piémont, Vicomtesse de Gex,
A Sa Grasce Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

Vous reconnaissons comme duc légitime de Lorraine et vous rendons hommage.
Et déclarons que de par nos terres de Salm, nous reconnaissons l'égalité de nos rangs et que notre allégeance lige va à l'Empire et ainsi à Sa Très Gracieuse Majesté l'Empereur. Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui, nous prendrions de suite fait et cause pour lui.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons signé de notre main et apposé notre sceau à cette présente missive.

Rédigé à Salm, le mois de septembre de l'an de grâce 1461,

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Catherine_rose

***Papa ne t'en va pas***

Nuit tu me fais peur
Nuit tu n'en finis pas
Comme un voleur
Il est parti sans moi
Papa si tu pensais un peu à moi

Où tu vas, quand tu t'en vas d'ici
J'arrive pas à vivre sans toi
Avec la femme de ta vie, vie, vie
Papa fais pas d' conneries
Quand on s'aime on s'en va pas
Et il faut rentrer la nuit ....

La mini blonde regardait les gens, elle sortait peu, et il fallait dire que depuis qu'elle était chez le prince elle n'avait pas eu trop l'occasion de faire de grandes sorties, ou du moins de rencontrer autant de noble d'un coup.
Elle regarda le visage de sa mère qui semblait comme figé et c'est à ce moment-là qu’une nourrice, jamais très loin, s'approcha pour susurrer à l'enfant dans son oreille " tu vois le sire la bas, c'est lui ton papa" .

Catherine ouvrit de gros yeux étonnés cherchant l'espace de quelques secondes l'homme que la domestique désignait avant de poser ses yeux dessus. Sa tête pencha sur le côté et ses yeux clairs ne le lâchaient pas.
C'était donc lui, son père, c'est vrai que sa mère avait dit que c'était un super héro, du coup la mini blonde avait eu tendance à imaginer son père tel un géant de 3 mètres de haut aussi musclé que cent hommes réunis, il était bien loin de tout ça mais il semblait super fort quand même et cela suffisait amplement à la future héritière.

Puis au final qu'il soit fort, petit, grand, vieux, beau ou moche elle s'en fou, il reste son papa ! Aux yeux de Catherine il sera toujours le plus beau, le plus fort, le plus musclé : le meilleur quoi !
Elle s’avança donc accélérant rapidement jusqu’à devant lui et une fois en face en face elle lui sourit avant de lui poser la question fatidique :

Pa...pa?

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Armael

Après s'être relevée et avoir reçu l'accolade ce qui la surprit sur le moment mais la coutume était respectée cette fois puis avoir entendu la confirmation de son allégeance elle fit une courte révérence en souriant puis rejoignit les autres personnes présentes adressant un petit sourire aux rares personnes présentes qu elle connaissait encore , laissant ainsi la place aux suivants.
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_barberine_

En principe elle chargeait son intendante MarieSol de transmette son allégeance, mais puisqu'elle était sur ses terres lorraines pour un court passage, il était plus convenable de se présenter en personne, ou presque, pour remplir son devoir.

Elle avait traîné un peu dans toute la ville, puis finalement était arrivée à bon port, et attendu son tour, un peu étonnée de ce qui se passait dans cette salle.

Elle n'était pas habituée à y voir de jeunes enfants, mais si ça convenait au Duc, ça lui allait très bien.

Personne ne s'avançant plus, elle se dirige vers le Duc et , plongeant dans une profonde révérence, elle prononce les paroles consacrées :

Moi, Barberine de Sevillano, humble Vicomtesse de Dun, Dame de Florange, vous reconnais Thomas_sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Je vous jure aujourd'hui respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Je vous jure également que si un conflit éclate entre votre personne et un tiers, je vous défendrais avec conviction.

Que je ne puisse enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre. Si cependant j'osais le tenter, que je sache que j'encourrais l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes

Qu’Aristote nous aide et vous guide dans cette tâche.

Restant inclinée devant le Duc de Lorraine, elle attend le moment de se relever et de laisser la place

Palogar

Alors que les allégeances continuaient - Palogar remarqua du coin de l'oeil celles de ses amies Armael et Barberine -, son attention restait tourné vers cette petite fille.
Elle se retourna enfin suite à quelques paroles échangées avec sa dame de compagnie.
Pas d'erreur. Il s'agissait bien de Catherine Rose. Il en était sûr maintenant qu'il voyait son petit visage.

Catherine_Rose a écrit:

Pa...pa?

Un sourire franc se dessina sur son visage. Il s'accroupit pour se mettre à sa hauteur et ouvrit les bras, l'invitant à le rejoindre.

Il était bien conscient qu'il se donnait ainsi en spectacle devant le Duc et la noblesse lorraine. Mais bon... C'était sa fille et il ne l'avait plus revue depuis ... bien trop longtemps !
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Thomas_sauveur

Il écrit trois nouveaux courriers, ayant faire un erreur, comme quoi tout arrive malheureusement.

Citation:

A Son Altesse Royal , Charlemagne de Castelmaure-Frayner.

Citation:

A Sa Grâce ,Cecilia von Wittelsbach-Frayner,

Citation:

A Sa Grâce , Catalina Constance Marianne de Volpilhat

Puis fixant la nouvelle arrivée, il se lève et l'écouta pour comme tout les autres lui accordée une accolade chaleureuse et lui répondre.

Nous Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine, déclarons vous avoir entendu vous Barberine de Sevillano,Vicomtesse de Dun, Dame de Florange, et vous accordée protection, justice et subsistance pour vos terres de Dun et de Florange. Tant que votre serment sera inviolé. Merci à vous.

Il la lâche et lui offre un sourire timide en penchant la tête, ravi de la voir.
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Catherine_rose

Un père, qu'est-ce qu'un père ? Il paraît qu'un père c'est une personne qui connaît tout de nous avons même que nous nous connaissions nous-même, il paraît qu'un père lit dans le regard de sa fille comme dans un livre de recettes, il paraît qu'un père c'est bien.
Pour être honnête je suis sure que la plupart d'entres vous souris en pensant à leur père, pour ma part je fais partie de l'autre moitié, celle qui ne sourit pas, celle qui ne connaît pas son père.
Un papa c'est tellement de chose que je ne connais pas, que je peux comprendre la souffrance, la joie et l'interrogation de Catherine à cet instant.
Si je revoyais mon père un jour, je ferais quoi . Lui sauter dans les bras, lui cracher des insultes pour tous les moments manqués, pour toutes les fois où j'ai eu le coeur brisé et où il n'était pas là ou bien, l'ignorer, tout simplement...
Catherine a plus de chance, elle est plus jeune, moins le temps de réfléchir à cela à 5 ans, à cet âge-là on profite on est content... Parfois moi aussi j'aimerais encore avoir cinq ans.

Les yeux clairs de la mini blonde regardèrent l'homme plein de puissance, il se mettait à genoux devant elle, elle inclina la tête sur le côté d'un air interrogateur en le scrutant tel un animal sauvage. Se mettre à genoux, sa mère lui avait toujours appris que se mettre à genoux était signe de faiblesse, alors pourquoi faisait-il cela devant elle ?
Elle s'approcha et le voyant les bras ouverts alla s'agripper dessus pour qu'il la porte.
La future duchesse n'était pas genre à parler, elle était plutôt du genre muet avec les inconnus, et pour l'instant c'est ce qu'il était, un père inconnu.

Valet_de_bambou

Le valet de Bambou vint apporter un courrier.

Citation:

A vous Thomas Sauveur de Talleyrand , duc de Lorraine par la voie des urnes .
Salut,

Nous,
Bambou de Réaumont Kado’ch Von Strass dite « la discrète », Duchesse de Neufchâteau, Vicomtesse d’Ancerville sur Meuse, Dame de Charny et Commandeur de l’alérion lorrain.

Vous reconnaissons vous, Thomas Sauveur de Talleyrand , comme étant le duc de Lorraine légitime, Nous vous prêtons allégeance et reconnaissons par la même notre état de vassalité.

Vous prêtons également allégeance pour nos terres d’Ancerville sur Meuse et vous promettons, à vous notre suzerain ,obsequium, auxilium et consilium en tous temps et en tous lieux.

Déclarons également que par nos terres de Neufchâteau, notre allégeance lige va, comme elle l'a toujours été, à notre empereur.

Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui,, nous prendrions de suite fait et cause pour lui.

Pour que la provenance de cette missive ne puisse être mise en cause, nous l'avons scellée par l'impression de notre sceau et la confions à notre maître d’hôtel en qui nous avons toute confiance en le chargeant de la remettre au héraut .

Fait sur les routes
le 17ème jour du 10ème mois de l'an grâce 1461

Aelis.

Aelis s'était faite rattrapée et rhabillée correctement par Sebastian. Le rouge était monté aux joues de la fillette lorsqu'une autre enfant, la fille de Cassandre?, l'avait prise pour une mendiante.
Elle n'avait rien dit, mais ses poings s'étaient un peu plus refermés. Cassandre lui avait ensuite glissé une pince dans ses cheveux, orné d'un papillon. Puis il avait fallu entrer et elle se trouvait à présent aux côtés de son père, mourant d'ennui. Ce dernier ne cessait de serrer des gens inconnus dans ses bras et d'écrire de longs courriers. Baillant discrètement derrière sa main, elle se demandait quand tout cela allait se terminer. Son regard se promenait dans la salle, rêvant plutôt d'une longue promenade en compagnie unique de son père.
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Piotr_alexander

Ayant un peu peur d'être maladroit en venant en personne, il préféra envoyer son pigeon le plus vaillant chargé de la missive suivante au Duc ainsi qu'au Héraut. L'écriture était bien liée...une écriture de diplomate quoi !

Citation:

De Nous, Frère Pjotr Alexander de Sévillano, Régent de la Baronnie de Chembley et Seigneur de Puxieux,
A Vous, Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine, élu par le Peuple Lorrain.

Nos Hommages,

C'est en l'absence de notre Parrain et ami le Père Uriel de Réaumont Kado'Ch que nous tenons à vous reconnaître en son nom comme étant le duc de Lorraine légitime, et pour ses terres de Chembley, comme notre suzerain légitime.

Pour ces terres, nous vous prêtons allégeance et vous promettons Obsequium, Auxilium et Consilium durant toute la durée de votre mandat.

Pour que l'authenticité de cette missive vous soit assurée, nous l'avons scellée de notre main.

Rédigé à Epinal, le 17 Octobre 1461.

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Pjotr-Alexander de Sévillano Adams de Mélincourt,
Baron de Chambley.

_barberine_

Elle avait reçu l'accolade du Duc pour signifier qu'il acceptait son allégeance.

Cela faisait bien longtemps qu ce n'étai pas arrivé, mais il était important que les coutumes perdurent.

En souriant gracieusement elle esquisse une nouvelle révérence, et retourne à sa place.

Apercevant Palogar elle lui sourit, intriguée par la jolie petite fille blonde qui accaparait son attention.

Hathor1

Très affectée par le décès brutal de ma soeur adorée, je me sens pas le courage d'affronter le monde.
Je charge mon valet de porter ma lettre à la salle de cérémonie et le prie de m'excuser auprès de Marjolaine

Citation:

Par la grâce d'Aristote, nous, Hathor de Réamont Kado'ch de la Tour de bois Forts, humble Baronne de Girecourt, Commandeur de l'Alérion Lorrain,

à vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

salutation.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),Pour nos Terres de Girecourt,

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main.

Nous, Hathor de Réamont Kado'ch de la Tour de bois Forts, humble Baronne de Girecourt en Lorraine, a écrit et ratifié, à Epinal le 17 octobre 1461

Hathor de Réaumont Kado'ch
Baronne de Girecourt

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Promether

Étant dans l'incapacité de se présenter aux allégeances en personne, Promether fut contraint de formuler son serment sur un morceau de parchemin, qu'il finit par enroulé autour d'une patte d'un pigeon. C'est ainsi que qu'un nouveau courrier fut apporté au Duc.

Citation:

Courrier adressé à Sa Grâce

Thomas Sauveur de Talleyrand

,
Duc de Lorraine.

De, nous,

Promether Von Strass De Reaumont Kado'ch

,
Seigneur de Charny.

Mes sincères salutations.

Par la grâce d'Aristote, nous, Promether Von Strass De Reaumont Kado'ch, Seigneur de Charny, nous vous reconnaissons comme suzerain, vous, Sa Grâce Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes. Nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Que si un conflit venait vous opposer vous, Sa Grâce Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre les propos que nous venions de tenir, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau. Qu'Aristote en soit témoin.

Faict quelque part en Lorraine, en ce 21 Septembre de l'an 1461.

Elendra.

Citation:

À vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

De moi, Elendra d'Acoma Dame de Clémery II

Bonjour.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),Pour nos Terres de Clémery.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par l'impression de notre sceau.

LNdra

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Palogar

Le temps s'était arrêté. Allait-elle le rejoindre ?
Plus d'un an depuis qu'il ne l'avait vu. Une longue année...
Elle hésitait, le regardait alors qu'il s'était mis à sa hauteur et puis finalement se décida et s'avança vers lui.
Il la prit dans ses bras et se releva. Il l'embrassa et resta un moment sa tête contre celle de la blondinette et lui chuchote quelques mots :

Ma chérie. Que tu es belle ! Le portrait de ta mère.

Il adressa un regard à Cassandre restée à l'écart pour leur permettre ces retrouvailles.
Puis écartant un peu son visage pour mieux la voir :

Je n'arrêtais pas de penser à toi et je te découvre encore plus belle que dans mes rêves.

Une petite pause. Il est dans la salle des allégeances avec de nombreux membres de la noblesse autour de lui.
Il croise d'ailleurs le regard de Barberine et lui rend son sourire.

Tu sais que j'ai une petite surprise qui t'attend. Tu n'as pas oublié que je t'avais promis une surprise au moins ? reprend-il à l'adresse de sa fille.
Mais avant...

Il la repose doucement à terre et l'embrasse sur le front.

Attends-moi un instant veux-tu. Je n'en n'ai pour très longtemps.

Laissant sa fille en lui ayant sourit d'un sourire franc et rassurant au préalable, il se dirige vers le trône et se met à genou devant le Duc.

Moi, Palogar de Reaumont Kado'ch, seigneur de Creuë et de Cirey sur Vezouze, vous reconnais Thomas_sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Je vous jure aujourd'hui respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),

Je vous jure également que si un conflit éclate entre votre personne et un tiers, je vous défendrais avec conviction.

Je jure ici de ne jamais enfreindre ce serment, ou aller à son encontre.
Si cependant j'osais le tenter, que je sache que j’entourerais l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes

Qu’Aristote vous aide et vous guide dans la tâche qui est la vôtre.
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Thomas_sauveur

Les courriers arrivaient à bon rythme et Thomas répondait à ceux-ci tout en ne laissant pas les gens dans la salle seul. Lorsqu'il reçu courrier de Bambou, celui-ci était déjà bien plus à l'aise qu'au début de la journée.

Citation:

A Sa Grâce Bambou de Réaumont Kado’ch Von Strass dite « la discrète »,

Citation:

A vous, Pjotr Alexander de Sévillano, Régent de la Baronnie de Chembley

Citation:

A vous, Hathor de Réamont Kado'ch de la Tour de bois Forts,

Citation:

A vous, Promether Von Strass De Reaumont Kado'ch ,

Citation:

A vous, Elendra d'Acoma ,

Une fois le tas de parchemins scellé, il les déposa sur le bureau du Héraut de Lorraine et se leva pour dégourdir ses jambes, mais voyant Palogar arrivée le Duc sourit et attendit qu'il fasse son serment avant de boire un peu de Mirabelle. Ce fut donc un Thomas totalement à l'écoute qui fixa l'homme. La fin du serment fait, il l'aida à se relever et lui accorda pour tout les autres l’accolade franche et viril, mais tout de même aimable.

Nous Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine, annonçons vous avoir entendu vous Palogar de Reaumont Kado'ch. Nous vous jurons donc protection, justice et subsistance pour vos terres de Creuë et de Cirey sur Vezouze, tant que votre serment restera inviolé Merci de vous être déplacé pour l’allégeance Palogar.

Allez retrouver cette charmante enfant qui ne semble attendre que vous, votre fille ? Elle est très belle.

Thomas sourit et le lâcha reculant d'un pas pour poser sa main sur l'épaule d'Aelis.

Alors comment va notre fille ? Vous semblez endormit au possible.
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Constance_de_cleves

Constance n'était vraiment pas en avance. Elle avait du mal à se remettre de son dernier voyage un peu forcé.
Elle arriva donc très en retard, pratiquement persuadée qu'elle serait la dernière arrivée.

Elle salua toutes les personnes présentes et s'installa un peu en retrait au niveau de Palogar. Elle décida d'attendre que le Duc lui fasse signe d'avancer. Elle ne voulait pas passer devant quelqu'un et elle ne savait pas si quelqu'un attendait aussi.
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Thomas_sauveur

Thomas auprès d'Aelis vis l’arrivée de Constance, il sourit lui l'invita à avancer dans geste simple de la main. Souriant, détendu et bien heureux de pouvoir bientôt se reposer un peu, le Duc observa tout de même sa robe qu'il trouva très bien faite.

Venez Constance, votre robe est très belle. Cela vous va à ravir.
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Einskaldir

Les corbeaux volaient en tout sens pour la noblesse, ces temps-ci...
Le mien parvint enfin à la charmante Héraut de Lorraine, tenant à sa patte un vélin aux proportions humbles, pratiquement recouvert dans son entièreté par le sceau rouge frappé du blason au deux lunes-clefs.

Citation:

Nous, Einskaldir Ruhnenson de Toul,
Seigneur de Barthélémon-les-Bauzémont,
Sénéchal de l'Ost Lorrain,
Commandeur de l'Ordre du mérite de l'Alérion Lorrain.

A vous, Vostre Grasce Thomas Sauveur de Talleyrand, Noble Duc de Lorraine par la grâce des urnes, nous tenons en ce jour à vous prêter une indéfectible allégeance.

Nous vous jurons obsequium en vertu de notre rang, auxilium en vertu de notre état de sénéchal des armées lorraines et consilium en vertu de notre noblesse et de notre attachement à vostre personne.

Nous le jurons au Duché de Lorraine, et à son légitime duc, Vostre Grasce Thomas Sauveur de Talleyrand, envers qui va notre prime allégeance, et nous jurons de les garder de tout ennemi extérieur ou intérieur, au péril de notre vie.

Par conséquent, si un conflit venait à nous opposer, nous prendrions de suite fait et cause pour lui.

Quel le Ciel nous garde et nous aide à œuvrer pour le bien !

Puisse vostre Grasce nous pardonner pour l'arrivée tardive de notre missive d'allégeance. Retard, non pas par omission ou par négligence envers nos nobles devoirs, mais en raison de mon serment de sénéchal envers vous, qui me retient pour l'heure en mission pour le bien de la Lorraine.

Escrit et scellé en Lorraine, le vingtième jour du mois d'octobre de l'an de grasce mil quatre cent soixante-et-un.

Marjolainne

les pigeons n arrêtaient pas de se poser sur son écritoire heureusement que c était bientôt fini .

Idril_de_sparte a écrit:

Citation:

De nous, Idril de la Fiole Ebréchée, Baronne de Mercy-le-Haut par mariage
A vous, Thomas Sauveur de Talleyrand , Duc de Lorraine.

Par la présente, et au nom de mon époux Noa de la Fiole Ebréchée baron de Mercy-le-Haut, vous reconnaissons comme Duc légitime de Lorraine élu par les urnes, et vous devons désormais obsequium, auxilium et consiliu, pour la baronnie de Mercy-le-Haut.

Rédigé à Montmirail
Idril de la Fiole Ebréchée
Baronne de Mercy-le-Haut
Dame de Dampierre et de Nommay

Calyce a écrit:

Citation:

Nous, Calyce de Dénéré Malines, Baronne de Beaulieu en Argonne, reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand,Duc de Lorraine.

Nous jurons le respect(obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium).

Si un conflit venait vous opposer à un tiers, nous prendrions faits et cause pour vous et mettrions notre épée au service de la Lorraine.

Calyce de Dénéré Malines
le 25 septembre à Angers

Citation:

Nous, Ethan_von_valendras ,Duc de Noviant-aux-Près ,Seigneur d'Abaucourt

Vous reconnaissons, Thomas_Sauveur de Talleyrand ,comme étant le duc de Lorraine légitime,
Vous rendons ainsi hommage et reconnaissons par là même l'égalité de la dignité de nos rangs.
Vous prêtons également allégeance pour nos terres d' Abaucourt et vous promettons, à vous nostre suzerain,obsequium, auxilium et consilium en tous temps et en tous lieux.

Déclarons également que par nos terres de Noviant-aux-Près , nostre allégeance lige va, à notre Empereur .
Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui , nous prendrions de suite fait et cause pour lui.
Si un conflit venait à vous opposer à n'importe quel tiers, alors nostre personne se rangera à vos côtés

Fait le 21 septembre 1461
Ethan_von_valendras
( sceau en confection)

.

Citation:

A sa Grasce Thomas_Sauveur de Talleyrand , Duc de Lorraine

De nous Telya d'Harlegnan, Duchesse de Chaligny,

Par la présente, nous vous reconnaissons, vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand , Duc de Lorraine par la grâce des urnes, vous rendons hommage tout en reconnaissant l'égalité de la dignité de nos rangs.

Nous déclarons notre allégeance lige à notre Empereur, par conséquent, si un conflit venait vous opposer à lui, nous prendrions de suite fait et cause pour lui. Si un conflit venait à vous opposer à n'importe quel autre tiers, alors notre personne se rangerait avec fierté à vos côtés.

Fait à pau le 21 septembre de l'an 1461
Signé et scellé de nostre main

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Palogar

Oui n'est-ce pas ? - répondit-il au Duc avec un regard empreint de fierté vers Catherine Rose.

Il le salua avant de reculer pour laisser la place à Constance à qui il adressa un sourire.

Puis il revint aux côtés de sa fille.

Tu vois, je n'ai pas été long...
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Constance_de_cleves

Le geste du Duc ne se fit pas attendre très longtemps.
Elle rendit le sourire à Palogar en prenant sa place.

Les joues de la Vicomtesse rosirent légèrement au compliment du Duc. Elle était un peu gênée. Elle lâcha un simple "merci" en posant un genou à terre.

Par la grâce d'Aristote,

Nous, Constance de Clèves, humble Vicomtesse de La Fère, Dame de Maintenay en Artois, Dame de Vavincourt et de Montigny en Lorraine,

Nous reconnaissons comme suzerain vous, Votre Grasce Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

Nous vous promettons respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium),
Si un conflit venait vous opposer vous, Votre Grasce Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine notre suzerain, à un tiers nous jurons que nous prendrions cause pour vous et que nous défendrions vos terres sur notre vie, notre foi.

Nous promettons également de vous révéler le nom de l'atelier et de l'artiste qui a confectionné notre robe si cela vous intéresse.

La brune avait enfin repris ses esprits.
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Huther_de_beauregard

J'entrais à mon tour dans cette salle que mon épouse Marjolainne avait soigneusement aménagé.
Je m’adressait au Duc.

Code:

De nous, Huther_de_beauregard par mariage
A vous, Thomas Sauveur de Talleyrand , Duc de Lorraine.

Par la présente, et au nom de mon épouse Marjolainne de Reaumont_kado'ch de Beauregard
Duchesse de Ligny , Vicomtesse de Fontenoy -le-Chateau , , Dame du Pont_Saint_Vincent et de villers lès Luxeuil ,intendante du duché de herbéviller de la seigneurie de Laneuvelote et de celle de Ménil la tour ,Commandeur de l'Alérion Lorrain,

Vous reconnaissons, Thomas_Sauveur de Talleyrand ,comme étant le Duc de Lorraine légitime,
Vous rendons ainsi hommage et reconnaissons par là même l'égalité de la dignité de nos rangs.
Vous prêtons également allégeance pour les terres de Fontenoy le château et l intendante de Laneuvelote et Ménil la tour et vous promettons, à vous nostre suzerain,obsequium, auxilium et consilium en tous temps et en tous lieux.

Déclarons également que par les terres de Ligny en barrois et l intendance de herbéviller nostre allégeance lige va, à notre Empereur .
Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui , nous prendrions de suite fait et cause pour lui.
Si un conflit venait à vous opposer à n'importe quel tiers, alors nostre personne se rangera à vos côtés

Thomas_sauveur

Il l'écouta dans la lassitude de la tâche pourtant importante et soudainement ouvrit de gros yeux et éclata de rire franc et réellement amusé. Tiens voilà de quoi le mettre d’excellente humeur, il secoue la tête se mordille la lèvre inférieur et répond tranquillement à la dernière phrase pour commencer.

Nous acceptons de connaître le nom de l'artiste. Mais aussi et surtout. Il lui tendit la main l'aider à se relever et lui accorda à elle également l'accolade, une accolade franche et sans gêne à présent totalement dans son rôle et habitué du fait. Il la regarde et déclare:

Nous, Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par les urnes, nous vous avons entendu vous Constance de Clèves, et vous jurons protection, justice et subsistance pour vos terres de Vavincourt et de Montigny en Lorraine, tant que votre serment restera inviolé. Nous vous remercions de vous être déplacé et d'avoir choisi pareil toilette.

Il la relâche, penche la tête amusé et lui accorde un discret clin d’œil gage d'une taquinerie qui lui fait du bien et marque d'une bonne note la fin proche de ses allégeances. Le Duc attiré par les parchemins arrivé en nombres ce penche vers Constance et murmura:

Pardonnez-nous, mais nous devons répondre... Nous serions ravi de discuter avec vous de cette robe après.

Et attrapant sa plume, répondit donc.

Citation:

A vous, Einskaldir Ruhnenson ,

Citation:

A vous, Idril de la Fiole Ebréchée,

Citation:

A vous, Calyce de Dénéré Malines,

Citation:

A vous, Ethan_von_valendras,

Citation:

A vous, Telya d'Harlegnan,

Souriant il tendit le tout à qui de droit et se lève une nouvelle fois pour prendre un verre de Mirabelle tranquillement.
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Marjolainne

marjolainne sourit à l arrivée de son mari , elle savait que pour lui c était la première fois qu il venait faire allégeance .
Quand il eu fini elle lui fit un petit clin d œil pour lui montrer que ce n'était pas si difficile que ça , elle espérait que le duc ne tarderait pas à lui répondre car la journée se finissait et elle aimerait bien rentrer au domaine .
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Thomas_sauveur

Thomas regarda l'homme devant-lui et le héraut pas très loin. Il eut un instant d'étonnement et fini par froncé les sourcils.

Nous acceptons les allégeances des époux , épouses lorsque leurs conjoints sont malade ou mourant, dans l'incapacité d'écrire. Mais votre femme est à quelques mètres derrière vous, aussi nous vous demanderions de faire allégeances pour vos terres et votre épouse viendra elle-même faire allégeances pour les siennes.
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Marjolainne

Marjolainne regarda le duc et sourit , elle lui expliquerait plus tard un petit truc mais bon comme elle était fatiguée elle lui donna son allégeance .

de nous , Marjolainne de Reaumont_kado'ch de Beauregard
Duchesse de Ligny , Vicomtesse de Fontenoy -le-Chateau , , Dame du Pont_Saint_Vincent et de villers lès Luxeuil ,intendante du duché de herbéviller de la seigneurie de Laneuvelote et de celle de Ménil la tour ,Commandeur de l'Alérion Lorrain,

Vous reconnaissons, Thomas_Sauveur de Talleyrand ,comme étant le Duc de Lorraine légitime,
Vous rendons ainsi hommage et reconnaissons par là même l'égalité de la dignité de nos rangs.
Vous prêtons également allégeance pour les terres de Fontenoy le château et l intendante de Laneuvelote et Ménil la tour et vous promettons, à vous nostre suzerain,obsequium, auxilium et consilium en tous temps et en tous lieux.

Déclarons également que par les terres de Ligny en barrois et l intendance de herbéviller nostre allégeance lige va, à notre Empereur .
Par conséquent, si un conflit venait à vous opposer à lui , nous prendrions de suite fait et cause pour lui.
Si un conflit venait à vous opposer à n'importe quel tiers, alors nostre personne se rangera à vos côtés

Elle espéra qu il lui répondrait vite comme ça elle pourrait saluer tout les nobles et rentrer en fin chez elle .
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Necker

Citation:

Par la grâce d'Aristote, nous, Clootaire de Réamont Kado'ch, Vicomte de Laimont en sursis.

à vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes,

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium), pour nos Terres de Laimont,

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main.

Nous, Clootaire de Réamont Kado'ch, écrit et ratifié, à Nancy le 17 octobre 1461

Clootaire de Réaumont Kado'ch
Vicomte de Laimont

Retour sur le jeu après plusieurs mois d'absence.

Marjolainne

marjolainne reçu un parchemin de Clootaire et fronça les sourcils .
elle se tourna vers le duc et le chuchota .

votre grasce vous ne pouvez accepter cet allégeance car le vicomte Clootaire est en procès héraldique et donc sa vicomté est suspendu jusqu au délibéré des juges.
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Thomas_sauveur

Thomas regarda Marjolainne devant-lui et préféra cela, il écouta le même serment que son époux observant cependant un courrier ce poser sur le bureau au nom de Clootaire. Il promis de répondre dès que possible et reposa sur regard sur Marjolainne.

Nous Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par les urnes, annonçons vous avoir entendu et vous jurons protection, justice et subsistance pour vos terres de Fontenoy le château et l intendante de Laneuvelote et Ménil la tour, tant que votre serment restera inviolé. Pour vos terres de Ligny en barrois et l intendance de herbéviller , nous vous retournons l'hommage, gage de l'égale dignité de nos rangs.

La fixant il hésite un court instant entre un baiser vassalique vu que celle-ci estime toujours qu'il s'acharne sur elle et une accolade, optent pour l’accolade cependant, il le relâcha peu de temps après et répondit à Clootaire.

Citation:

A Monseigneur Clootaire de Réamont Kado'ch, Vicomte de Laimont en sursis.

[RP édité par {Latraviata} pour changer la date de la lettre du 21 septembre en 17 octobre sur la demande du joueur @thomas]
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Catherine_rose

Citation:

Tu vois, je n'ai pas été long...

En effet il n'avait pas menti, ce ne fut pas long, elle ne l'avait pas lâche des yeux d'ailleurs, de peur qu'il disparaisse. Pour être honnête elle n'avait même pas eu le cran de cligner des yeux, une demi seconde aurait peut être suffit pour ne plus le voir à nouveau durant un long moment, alors prenons aucun risque hein !

Elle regarda le duc intrigué, il fallait avouer que sa couronne était jolie et qu'elle brille beaucoup, Catherine aime quand ca brille, car les enfants aiment ce qu'il ne faut pas toucher...
Elle regarda à nouveau son père et lui accorda cette fois un sourire en hochant la tête, prenant soin de parler le moins possible, comme toujours, elle se blotti dans ses bras, à nouveau, sauf que cette fois ci, ce fut elle qui fit le premier pas

Silanie

La jeune femme, sortie récemment de retraite, s'occupait de mettre à jour ses affaires. Notamment, les devoirs nobliaux. Elle écrivit donc une lettre au Duc de Lorraine.

Citation:

A Sa Grace Thomas Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine
De Silanie, Vicomtesse de Domremy-la-Canne, Dame de Castiglione,

Salutations,

Étant sortie du couvent ce 28 Octobre 1461, nous n'avons guère put vous présenter nos hommages. Nous rattrapons ce défaut sur l'heure par ce pli.

Par la présente, nous reconnaissons comme suzerain vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine par la grâce des urnes.

Que nous vous devons désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium), pour nos Terres de Domremy-la-Canne,

Que si un conflit venait vous opposer vous, Thomas_Sauveur de Talleyrand, Duc de Lorraine, notre suzerain, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre serment obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main.

Nous, Silanie, écrit et ratifié, à Épinal, le 1er Novembre 1461

Silanie
Vicomtesse de Domremy-la-Canne,
Dame de Castiglione.

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Marjolainne

rp fini depuis mon allégeance

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Thomas_sauveur

Citation:

A vous, Monseigneur Clootaire de Réamont Kado'ch, Vicomte de Laimont

Citation:

A vous, Monseigneur Silanie

Verrou sur demande.
{Clo}

[RP édité par {Latraviata} pour changer la date de la lettre à Clootaire, du 21 septembre en 17 octobre sur la demande du joueur @thomas]
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[rp] Allégeance des nobles au Duc Thomas_sauveur