Aurelien_de_dhoye
Soleil qui pointe son nez , lance qui passe les portes de Murat , bienvenue en Auvergne , terre de fertilité d'un commerce dont le jeune angevin espérait . Les premier pas dans la citée , c'était juste pour se faire un coup d'il du coin , charmant , rien à dire la dessus , un marché plutôt bien géré , fallait avouer que la France été tombé dans un parfait bourbier économique , dont les marchés et donc les marchands souffraient atrocement.
Il quitta ses amis encore tous rassemblé autour de la naine qui avait mené de son le groupe , Aurélien ne faisant que suivre avec le sien , qui avait déjà pas mal à porter sur lui avec les stock de bois , et même une barque à tirer. Pov' cheval quand même ...
Bon les gens j'vous laisse ... faut que j'aille faire du commerce sur la place du marché.
Il laisse le groupement d'angevin en plan pour se mettre en route pour son boulot , car oui , Aurélien était marchand ambulant professionnel , conseiller ducal par instant , quand le besoin s'en faisait sentir , mais avant tout grand marchand , digne des plus grands Lombards de ce temps. Il arriva donc au marché , faut dire qu'il est déjà bien alimenté , mais quel ne fut pas la surprise lorsqu'il vit le prix du bois plutôt haut pour une ville forestière , c'est à cet instant qu'il compris que la ville était dirigé par un homme intelligent qui ne cassait pas les prix de sa matière première.
Il se prit un coin du marché , pas de solde à payer ici comme en Orléans , d'ailleurs à propos de loi , le gamin n'en avait pas encore vue . Surement faudrait-il passer à la mairie , ... ouai mais pas le temps , les réponses des bourgmestres sont toujours trop longue pour empocher quoi que se soit , il décida donc de mettre en vente ses produits et si jamais les autorités local n'étaient pas satisfaites , ben il aurait toujours l'occasion de voir le maire de la dite ville. Ainsi donc il disposa ses stock à revendre et commença à haranguer la foule.
Oyez ! Oyez ! Brave paysan , connestable de Noble , marchand assidu ... Moi le grand marchand angevin , propose produit frais , matière première à vous.
Il jeta un il sur ce qui lui restait , plus grand chose à vrai dire , il avait déjà liquidé pour plusieurs centaines d'écus durant les premier jour de son voyage.
Je vends séant une vingtaine de bon fruit juteux , origine contrôlé , pur produit poitevin pour la modique somme de dix écus et quarante denier ... venez les voir , ils sont majestueux.
Si vos besoin se base sur des matières premières , ici se vends bois à quatre cent trente-cinq deniers ... et aussi une douzaine de belle peau qui feront de superbe braies pour votre homme mesdames.
A vous boucher , à vous éleveur , il reste encore une demi-douzaine de couteau à tout juste quinze écus à acquérir au plus vite
Ceci était les produits directement disponible sur le marché sans autre concession aucune. Tout à chacun pouvait acheter ses produits comme bon lui semblait , mais bien sur comme tout marchand , il avait des petits stock cachés pour le marché noir des tavernes ...
Et pis si vous désirez aut' chose ... j'ai des barques , des miches de pain à prix cassé , et jeux de cartes pour des parties enflammés de ramponneau ... tout ceci disponible uniquement sur commande mes braves .
Il était bon marchand et faut dire qu'il savait y faire dans l'art de vendre , ,et même d'acheter , et surtout le troc , plus grande invention des commerçant dans l'art de plumer les petits acheteurs et se remplir les poches entre commerçants.
Je procède aussi aux rachats de légumes à moins neuf cinquante , ainsi que de maïs à deux quatre-vingt dix ...
Et pis ... si jamais vous manquez d'argent ... le troc peut se négocier mes bons gens.
Voila que sa magnifique publicité était faites , il ne manquait plus que la réussite de cette journée de travail intensif , espérant empocher assez d''écus pour pouvoir financer un nouveau voyage vers un autre comté.
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Un jour, à la taverne, Aurélien a commandé un steak. Et le steak a obéi.
Il quitta ses amis encore tous rassemblé autour de la naine qui avait mené de son le groupe , Aurélien ne faisant que suivre avec le sien , qui avait déjà pas mal à porter sur lui avec les stock de bois , et même une barque à tirer. Pov' cheval quand même ...
Bon les gens j'vous laisse ... faut que j'aille faire du commerce sur la place du marché.
Il laisse le groupement d'angevin en plan pour se mettre en route pour son boulot , car oui , Aurélien était marchand ambulant professionnel , conseiller ducal par instant , quand le besoin s'en faisait sentir , mais avant tout grand marchand , digne des plus grands Lombards de ce temps. Il arriva donc au marché , faut dire qu'il est déjà bien alimenté , mais quel ne fut pas la surprise lorsqu'il vit le prix du bois plutôt haut pour une ville forestière , c'est à cet instant qu'il compris que la ville était dirigé par un homme intelligent qui ne cassait pas les prix de sa matière première.
Il se prit un coin du marché , pas de solde à payer ici comme en Orléans , d'ailleurs à propos de loi , le gamin n'en avait pas encore vue . Surement faudrait-il passer à la mairie , ... ouai mais pas le temps , les réponses des bourgmestres sont toujours trop longue pour empocher quoi que se soit , il décida donc de mettre en vente ses produits et si jamais les autorités local n'étaient pas satisfaites , ben il aurait toujours l'occasion de voir le maire de la dite ville. Ainsi donc il disposa ses stock à revendre et commença à haranguer la foule.
Oyez ! Oyez ! Brave paysan , connestable de Noble , marchand assidu ... Moi le grand marchand angevin , propose produit frais , matière première à vous.
Il jeta un il sur ce qui lui restait , plus grand chose à vrai dire , il avait déjà liquidé pour plusieurs centaines d'écus durant les premier jour de son voyage.
Je vends séant une vingtaine de bon fruit juteux , origine contrôlé , pur produit poitevin pour la modique somme de dix écus et quarante denier ... venez les voir , ils sont majestueux.
Si vos besoin se base sur des matières premières , ici se vends bois à quatre cent trente-cinq deniers ... et aussi une douzaine de belle peau qui feront de superbe braies pour votre homme mesdames.
A vous boucher , à vous éleveur , il reste encore une demi-douzaine de couteau à tout juste quinze écus à acquérir au plus vite
Ceci était les produits directement disponible sur le marché sans autre concession aucune. Tout à chacun pouvait acheter ses produits comme bon lui semblait , mais bien sur comme tout marchand , il avait des petits stock cachés pour le marché noir des tavernes ...
Et pis si vous désirez aut' chose ... j'ai des barques , des miches de pain à prix cassé , et jeux de cartes pour des parties enflammés de ramponneau ... tout ceci disponible uniquement sur commande mes braves .
Il était bon marchand et faut dire qu'il savait y faire dans l'art de vendre , ,et même d'acheter , et surtout le troc , plus grande invention des commerçant dans l'art de plumer les petits acheteurs et se remplir les poches entre commerçants.
Je procède aussi aux rachats de légumes à moins neuf cinquante , ainsi que de maïs à deux quatre-vingt dix ...
Et pis ... si jamais vous manquez d'argent ... le troc peut se négocier mes bons gens.
Voila que sa magnifique publicité était faites , il ne manquait plus que la réussite de cette journée de travail intensif , espérant empocher assez d''écus pour pouvoir financer un nouveau voyage vers un autre comté.
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Un jour, à la taverne, Aurélien a commandé un steak. Et le steak a obéi.