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4 years later: Étrange arrivée

Marylune
Ce n'était pas l'arrivée en tant que telle qui était étrange, ni la robe, ni le carosse, c'était la personne.
Marylune de la Mirandole... mais que diable la Baronne d'Entrammes viendrait faire chez le blondinet? Cette visite était tout à fait inattendue et la rouquine n'arrivait parfois pas à y croire elle-même.

Elle était venue de par sa propre initiative et bien que cela soit son idée, d'étranges sensations envahissaient ses poumons. Elle n'aimait pas la raison de sa visite. Elle n'aimait pas ce qu'elle s'apprêtait à faire.
Elle allait marcher sur sa fierté et plonger dans la honte pour le bien-être de sa fille. Elle savait depuis la mort de son fiancé Gaelant que c'était ce qu'il y avait de mieux à faire pour Charlotte Ember, car il lui fallait un père. Elle n'avait toutefois pas eu le courage et encore moins le désir de faire ce qu'elle s'apprêtait à faire.

Son souffle s'évapora de ses lèvres alors qu'elle soupira dans le froid glacial de l'hiver. Là, devant la porte, Marylune avait l'impression d'avoir un pied dans la tombe. Et s'il refusait? Et s'il lui riait au nez? Il aurait tout à fait le droit après tout ce qu'elle lui avait fait endurer. Toutefois, quelque chose en elle lui laissait croire qu'il serait ravie.

Elle était venue seule et personne ne savait ce qu'elle s'apprêtait à faire. Pas même Eymerick, ni même Lynette. C'était suffisamment difficile pour elle comme ça. Elle n'avait pas besoin que quelqu'un lui demande comment ça s'était déroulé, surtout pas après un possible échec et/ou une humiliation. Elle ignorait ce qu'il en résulterait, jusqu'où elle aurait la force d'aller, mais elle devait foncer.


Marylune de la Mirandole, baronne d'Entrammes.
Je suis venue voir le vicomte d'Ambrières. C'est... important.

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Dimaro
Dormir, rêver, songer, se réveiller, transpirer, manger, couper, retranspirer, gâter, feindre, songer, tourner, virer, tomber, dormir, rêver ...

Qu'était devenu cette vie au pourtant remplie que le Vicomte avait eu tant de mal à construire.

Depuis le décès de sa femme il y a de cela une dizaine de mois déjà, ses enfants sous l'oeil vigilant, son écureuil sous la paume et son valet sous le fouet était devenu ses seules sources d'énergies ... Quoi que l'un pouvait l'épuiser, l'autre le contrarier ou bien le dernier le saouler ... Et vis versa repetita.

La routine s'installait de plus en plus, déplaisant à ce Divin Roy des Blonds connu pour ça folie excentrique. Ces fidèles attendaient tellement de lui, qu'il ne pouvait rester las sans réagir. Il lui fallait bien de quoi stimuler sa vie ... autre qu'une bonne rasade de noisette qu'il s'enfila machinalement.

Comment retrouver ce grain de folie d'atant qui l'animait. Comment rallumer la flamme blondissime qui faiblit dans l'esprit de Dimaro.

Comment briller dans la pénombre si l'on entrouvre pas sa porte à l'oeil curieux.

Rien arrivant par hasard, comme une lueur rouge à l'aube, un curieux, ou du moins une curieuse, surgit à point nommé.

Le blond tentait de peindre le lac au aurore sur les bords du ponton, la Mayenne au loin, tant que les petits monstres somnolaient. Quand Simon acxouru, pato comme à son usage.


Maitre, une venue à nos portes ...

Il fut surpris par le ton désolé de son valet, continuant de s'appliquer sur les reflets ocre.

Et ... Dis m'en plus, mon monde ne va pas s'arrêter pour sir peu !

Une venue tout de rose vétu votre Blondissime Altesse.


Ha ! Lynette est de passage à Mayenne alors ? dit-il tout sourire

Non ... Un rose que vous savez trop roux pour être bienvenu.

Ses nerfs s'entrechoquèrent au songe de ses idées. Et comme pour se convaincre du contraire, il questionna avec insistance, barbouillant par la meme occasion son valet de jaune.

MA QUI ? Non e possibile tale incompetenza !! Aunom du Très-Blond Simon, soit plus explicite !

La Baronne de la Mirandole votre grandeur.

Quoi! Que vient-elle faire ici ? Elle est armée ? Elle a un panier de pomme empoisonné sous le bras ?

Je euh ... sais po ... Elle patiente à l'entrée près des écuries. Elle a juste dit que ... c'était "important".

Arr scrouic ...
Réfléchissant un instant, Dimaro plissa les yeux se tapotant le menton de l'index avant de reprendre plus serreinement.

Bien. Edgar, va en vitesse à l'écurie, code C ! Scrapi scrouxe couic .. Capiche !
Simon, fait la entrer et installe la baronne dans le salon des trophées, celui avec la tête de loup au dessus de la cheminée. Je vous retrouve après...


Il sourit malicieusement avant de prendre ses cartiers, avide de savoir le pourquoi d'une telle venue.
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Marylune
Il avait accepté de la recevoir et tandis que Simon la guidait vers un salon, elle se demandait pourquoi il ne l'avait pas laisser geler dehors ou bien renvoyer chez elle. Soit il était curieux, soit il gardait espoir concernant sa fille. Bien. C'était bon signe.

Une fois dans le salon, la rouquine ne put s'empêcher de rire doucement. Bien sûr, il devait accueillir son ancienne flamme dans un salon décoré de trophés pour bien lui faire savoir qu'il réussissait dans la vie. La Mirandole était bien placée pour savoir que c'était illusoire. Il avait besoin de prouver quelque chose, rien de plus.

Alors, il doit être désespéré, se dit-elle. Il est en deuil et il ne sert à rien, car personne n'entend parler de lui en Maine. Ce sera facile.

Dans l'attente, Marylune s'installa dans un fauteuil confortable et jeta un rapide coup d'oeil à la tête de loup. Vraiment, Dimaro avait changé depuis le temps, car il lui semblait que ce n'était pas dans ses goûts de l'époque.

La baronne ouvrit son sac à main et en sortit un document important qu'elle relut pour faire passer le temps.

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Dimaro
Le blondinet pris son temps pour arriver jusqu'à ses quartiers, les mains encore jaunes de peinture. Il était impératif pour lui de se savoir magnifique et présentable. On ne recevait pas une dame en tablier ... quoi que ...

Et même si cette damoiselle fut la Rousse qui n'en méritait pas plus, le Campiglio avait des principes et une éducation fortement encrés sur le paraître noblement. L'avis de la baronne sur sa coupe ou le pli de sa chemise lui importait autant que le nombre de tour que faisait la queue d'un cochon en Bourgogne. C'est à dire qu'il en avait cure. Soit dit en passant cela lui ferait une belle jambe.

Tout en se préparant il se remémora les pire cauchemars que Dimaro avait vécu de part cette fille et de surcroit sa famille. Un cousin Mirandole sadique qui l'avait séquestré et torturé pendant plusieurs jours , sans que jamais le blond n'eu cédé. Il s'était pourtant fiancé, croyant la cause juste et réciproque ... S'il avait su que des cornes lui montraient à la tête pendant ce temps, il aurait très vite coupé court à ces atrocités. Pourquoi avoir défendu une femme qui émietta son cœur une fois le défi surmonté. Pire, celle-ci même en qui il avait eu confiance ... Et qui l'avait trahi avec son meilleur ennemi.

Il lui en avait voulu plus que de raison. Certes une animosité pouvait perdurer encore aujourd'hui. Néanmoins, le deuil de cette relation avait passé, mais celui d'une fille perdue était resté gravé dans son âme.

Un brin de toilette et deux coup de peigne plus tard, après avoir fait patienter son hôte de longues minutes - un brin revancharde - il surgit discrètement, zieutant la Mirandole rosée la crinière sur le papier.


Si c'est tes dettes que tu relis, c'est que tu es tombée bien bas pour venir ici, Mary !
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Marylune
Si c'est tes dettes que tu relis, c'est que tu es tombée bien bas pour venir ici, Mary !

Elle ne l'avait pas entendu arriver et se retourna avec un sourire en réponse à sa réplique idiote.

Tu t'inquiètes pour moi? How cute!

Puis, elle lui tendit le document qu'elle avait entre les mains: Le registre familial de la famille Mirandole.

Il y a une erreur dans ce document et, si tu veux bien, je te permet de la corriger.

Il n'avait pas besoin de chercher, il le savait. Le nom du père n'était pas le bon.

Tu as le droit de dénoncer Vaxilart si ça peut t'aider dans tes démarches. Il est l'auteur de cette fraude et... je ne peux plus vivre dans le mensonge.

Et comme il se faisait vieux et absent, elle sentait qu'elle avait un peu de pouvoir sur sa vie contrairement à l'époque, où son cousin décidait tout pour elle comme le tyran qu'il était. Marylune avait beaucoup changé depuis qu'il n'avait plus d'emprise sur elle.

Elle était douce et sincère envers celui qu'elle avait trompé, ce qui la surprenait elle-même. Mais comment faire autrement quand on vient dans les intérêts de sa fille? Avant que Dimaro n'ouvre la bouche, elle lança, comme si le blondinet gagnait quelque chose qu'il lui faisait mal d'avouer:


Elle est blonde, maintenant...
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Dimaro
L'effet de surprise était en ça faveur. Il fit le tour du petit salon pour faire face à la rouquine. Restant debout, accoudé à son fauteuil tel un maitre sur son domaine.

Tu t'inquiètes pour moi? How cute!

Ciulte ? Enfin tu te rends compte du Culte que l'on voue pour ma blondeur !

Je suis d'autant plus heureux de savoir que Charlotte ai les mêmes atouts !


Dit-il en tirant ses fossettes jusqu'à esquisser un demi-sourire en voyant le vélin tendu devant lui.
Il repris son sérieux en voyant l’écusson Mirandole cousu en tête du papier. Le nom de Vaxilart lui était tout aussi insupportable qu'à l'époque ... Bien qu'il avait fait de gros efforts lors du mariage de celui-ci et de Lynette.

En effet, il ne s'attendait pas à ce coup de théâtre. Le rideau s'ouvrait à nouveau sur des vengeance qu'il pensait enfouies. Mais les choses allaient dans le bon sens finalement ... Et le plat qu'on lui proposait semblait être assez froid pour enfin le déguster ... Un vrai dessert pour celui qui avait subi tant d'infamie de la part de cette famille.

Le Campiglio se remémora chaque mots qu'il avait pu confier au cousin dans l'ombre de ses vils actions. Les flashs de cette vie consumée lui nourissait à nouveau l'esprit quand bien même toutes ces phrases se concrétisaient ...
"Je récupérerait tout, mon honneur, mon héritage, mon sang, un jour viendra ou tu regrettera !" lui avait-il dit en partant des geôles de Saint-Fargeau. Un peu plus tard, lorsqu'il maria Vaxilart à sa sœur de cœur, Erwelyn, le blond lui avait susurrer avec assurance avant qu'il dise ce fameux oui "Aujourd'hui tu signe le commencement de ta perte !" ...
Et c'est ce qu'il avait fait, non sans le savoir bien entendu ... Malgré les apparences, Dimaro n'en restait pas moins fin stratège. Alcoolique, extravagant, même fou, ces adjectifs lui servait de pare-feu pour arriver à ses fins.

Ne voulant dévoiler plus qu'il n'en faut, du moins pour le moment, il releva juste la tête vers Marylune avec ce sourire habituel qu'il arbore. Elle devait tout de même savoir ... Il choisit donc de montrer quelques pièces de son échiquier avant que le Roy Mirandole ne tombe.


Marylune ... Insistant sur son prénom en inspirant, marquant une pause solennelle.

Pense-tu que j'aurai attendu sans rien faire ta venu, comptant que Vaxilart sur son lit de mort soit rongé par le regret pour avouer le crime qu'il m'a fait ?

Je vais t'avouer une chose ... Te souviens tu du mariage de ton cousin ? J'officiais ... A contre cœur, mais j'ai accepté de faire ce geste. Pour Lynette certes, mais dans un intérêt tout autant personnel ...

Ce jour là, en signant l'acte de mariage, il m'accordait bien plus qu'une signature ... il a signé également un aveu ... Ivre qu'il était, il n'a rien vu venir.


Il marqua à nouveau une pause, pesant les mots qu'il lui confiait.

Mais, je ne laisse rien au hasard .. Et un aveu de sa part n'est pour moi pas suffisant pour retrouver cette légitimité auprès de celle que vous m'avez ôtée !

Et ta présence apporte la clé qu'il me manquait. Mais je songe déjà que tu devais t'en douter en venant jusqu'ici.

Alors soyons franc, que cherche tu ?


Il se posa dans le fauteuil vis-à-vis d'icelle, se servant un verre de noisette comme on se sert une tasse de thé, dans le calme et la dignité. Seul son regard émeraude enflammée montrait une certaine droiture.
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Marylune
Avec la même expression qu'un joueur de poker, Dimaro se mit à expliquer des éléments qu'elle ne comprit qu'à moitié, parce que bien incomplets, malheureusement. On aurait dit qu'il cuisinait une vengeance quelconque dans un délire un peu trop grand depuis très longtemps. Il faut dire, aussi, que la baronne n'avait jamais eu l'occasion de connaître l'existence de cette fameuse salle de torture qui hantait tant le blond. Par contre, elle avait eu connaissance du feu que Lynette avait mis dans une chambre dont la porte était verrouillée, mais ça, c'était une toute autre histoire.

Alors soyons franc, que cherches-tu ?

Sa question la fit légèrement tiquer, car elle ne cherchait rien du tout qui puisse déplaire au blondinet. Non, elle avait été tout à fait honnête, sinon qu'elle assurait les arrières de sa fille, au cas où un malheur la frapperait, volontairement ou non, car l'idée lui avait trotté quelques fois dans la tête.

À te donner des responsabilités. Tu pourras faire les démarches seul maintenant. Tu as entre les mains le document à corriger et tu as les aveux du coupable, dis-tu. Ça me prouvera que tu veux vraiment ta fille. La voie vers Phylogène est toute tracée.

Charlotte Ember n'hériterait de rien, car illégitime, mais au moins, elle aurait un père. Et ne parlons pas de légimitiser l'enfant, car la rousse avait trop d'orgueil et le blond trop de rancunes. Et si on mettait sur la table un quelconque semblant d'amitié, ces deux-là avaient encore beaucoup de chemins à faire. Ils n'avaient jamais pris la peine de se parler et la haine avait grandit sur du vide.

La baronne soupira et posa ses yeux sur la décoration, sans vraiment la regarder.


Il faut que tu saches que si ce n'avait été de Gaelant, de son vicomté surtout, Charlotte aurait disparue...

Elle marqua une pause parce que c'était un sujet sensible. L'idée de la perdre, son imagination débordante à penser au pire scénario. Elle souffla, puis repris.

Te rappelles-tu de ce que je t'ai dit ce jour-là, sur les marches de l'église?

La femme qu'elle était devenue, car elle avait beaucoup changé, se retourna après avoir cligné des yeux pour dissimuler le reflet mirroitant qui s'était créé. S'en souvenait-il de cette dernière fois où ils avaient été réunis? Où elle avait voulu rompre, car elle était enceinte? Et que, lui, naïf comme tous les jeunes romantiques, avait cru l'amour plus fort que tout?
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Dimaro
Le Vicomte sur ses gardes, même si il ne laissait rien paraitre, fut étonné de la réponse que lui accordait Marylune.
Il hésitait entre méfiance et confiance.
Pourquoi la rousse qui d'antan lui avait retirée ce bien précieux de sa chaire, lui octroyait aujourd'hui, quatre ans après, ce qui de droit lui revenait ... sans contre partie apparente.
Dimaro n'était pas né du dernier lapin de 6 semaines ... Il avait vite apprit que toutes démarches, de surcroit d'une femme, étaient alimentées par un intéressement logique et humain en soi.

Il ne releva pas plus la remarque suivante. Gaelant ou pas, il lui aurait été impensable de laisser à l'abandon sa fille, même si les Mirandole n'eus été de cet avis.

Un léger silence laissant planer le doute s'installa quelques secondes avant que Marylune le questionna à son tour.


Te rappelles-tu de ce que je t'ai dit ce jour-là, sur les marches de l'église?

Et là ... C'est le drame. Piqué en plein dans son point faible ... la mémoire d'un blond, tantôt sélective, tantôt à revenir quand il en avait cure, mais jamais quand il en avait besoin. Pour sa défense cela faisait plus de quatre ans quand même !

Il fallait gagner du temps ... Utiliser son talent de diplomate pour répondre en normand. C'était un des atouts que le Blond avait développé pour palier à cette carence cérébrale. Le secret de la supériorité des blonds sur les autres capillarités résidait en leurs capacité à se montrer intelligent avec un seul neurone. Exercice difficile pour sûr. Et si l'on réfléchit avec un peu de recule, proportionnellement, l'efficacité d'un neurone blond est sans égal.

Et l'éclair nerveux se fit après une bonne rasade de noisette.


Bien sur que je m'en rappelle !

Comment oublier la crise exponentielle subite quand aux maux de complaisances que tu as osé me traduire devant la maison du Très-Haut !

A ça, je m'en souviens aisément, comme la vache sais le nombre de ses tâches sans même compter sur ses doigts !

Oserai tu me rappeler la même chose aujourd'hui ? Ou as tu un jour eu ne serais-ce qu'un soupçons de remords ?


Il se retint de sourire tant son neurone surchauffait, tirant sur ses zygomatiques par défaut. Oui, l'éternel sourire du Campiglio ne relevait pas toujours de sa joie de vivre, mais également d'une capillarité dont le Roy qu'il fut devait entretenir à chaque instant.
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Marylune
Marylune resta silencieuse et de glace l'espace d'un instant. Il parlait de crise et de complaisance avec des mots beaucoup trop recherchés. Il ne s'en souvenait pas et voulait le masquer avec un joli vocabulaire et des allusions étranges avec Marguerite. Après avoir été choquée par un tel oubli, elle soupira.

Ce jour-là, j'ai voulu mettre fin à nos aventures, je t'ai appris que j'étais enceinte et que Vaxilart allait m'envoyer dans un couvent pour y accoucher dans le secret et il aurait fait tuer... well, you know.

Suite à ça, elle était passée rapidement à autre chose et, comble du bonheur, le nouvel amour était noble, de quoi sauver la situation. Une bonne inspiration et elle passa à autre chose.

Pour ce qui est des remords, tu n'as pas lu le paragraphe qui t'étais destiné pendant la guerre? Cesse de faire comme si j'avais toujours été glaciale envers toi. J'ai toujours voulu ce qu'il y a de mieux pour Charlotte. Et puis, tu étais diacre. Et gueux.
Et figures-toi que si tu n'étais pas devenu un ivrogne, nous aurions peut-être eu cette discussion quelques années plus tôt!


Oui, elle lui en voulait d'avoir tant changé.

Voilà, c'est tout. Nul besoin de me reconduire, je connais le chemin vers la sortie.
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