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[RP]Inquiétude~Quand une gitane désemparée cherche sa soeur!

--Bekel




Devy s'était interposé, Bekel en fut heureux, non pas qu'il n'avait plus aucune virilité,
mais cela prouvait une fois de plus l'attachement du petit de sa fille a lui et si la belle tenebreuse n'avait encore était la a faire une tirade de sa vie personnelle,
il en aurait pris son ptit fillot dans les bras.

Mais la belle diablesse ,aprés lui avoir fait miroiter le desir,
ensuite attiser sa haine,arrivait maintenant a le rendre mélancolique ,
lui savait cequ'était une vie sans famille, et la rager avec laquelle cette petite revenait a la charge,
suffisait a lui prouver son amour pour l'autre blonde.

Muet, ainsi que Dévy pendant qu'elle tentait de s'expliquer, Bekel s'imposa, contre toute attente ,face a son petit fils.

Le clin d'oeil de la gitane a son intention avait aboutti.Il lui répondit d'un sourire, un sourire paternel, que sa propre fille n'avait jamais pu voir,et regarda Dévy dans les yeux.


-Tu dois l'aider....amène la a sa soeur,se fuir éternellement ne résoudra rien,et l'temps passe..plus vite qu'on croit...la ptite blonde t'en voudra ptetre au depart, mais faut le faire...comme tu as fait pour moi..et..et ta mère.

Il regarda les deux jeunes gens, et se retira,l'air plus garve et vieux que jamais,la belle brune avait tout retourner chez lui, de ses sens a ses emotions et il se dit que quelque part pour tout faire ressortir ainsi elle devait etre magique.
Demain, demain c'était décidé,il descendrait a la ville, dire a sa fille pardon, pardon de n'avoir été qu'un homme, pour partir vers le trés haut serein.
Bysance
A partir du moment ou Cassandre avait rejoint l'épi, s'asseyant face a elle, elle ne vit plus que le fantome de Dagaran, cette façon si naturelle de repousser sa meche rebelle de son front,ses sous entendu sur une ventuel touche avec la crepiere...
Non seulement il avait les traits physique mais aussi des similitudes de caractere a premiere vue.

Bysance le devorer des yeux,
et cette maniere craquante de pencher la tete pour la regarder dans les yeux....
elle sourit quand il dit qu'elle et Attia ne se ressemblaient pas.


-Ma soeur ne me ressemble pas, et vous etes la réplique vivante de Dagaran..Attia ne vous l'a t'elle pas dit?c'est vraiment...étrange.


D'etre avec lui replongeait l'épi dans ses jours heureux,
et elle revoyait aussi la Attia d'avant,
celle qui n'etait jamais parti loin d'elle,
celle qui n'aurait jamais fait le choix de s'eloigner d'elle...

Elle rit de bon coeur lorsqu'il compare Attia a un oiseau et elle meme a un ane, certes elle savait avoir des ressemblances avec dagui,
mais elle lui expliqua qu'elle avait le poil moins poussiereux que lui et un tantinet plus doux.

Puis le ton gentillet de la conversation prit une autre allure, la curiosité l'emporté, il lui dit qu'attia était en ville et lui demanda clairement pourquoi elle était seule.

Aucune envie de se confier sur ses choses a lui, juste envie d'oublier le pourquoi, c'était si bien parti! il avait réussi a la faire sourire en pensant a Attia, sourire ,se souvenir et..avoir faim.

Bysance était décidé a profiter de ce sursaut de vie en elle, de joie.Elle haussa les epaules comme pour chasser les dernieres questions et acceuilla les crepes, ravie.
Sa main frola celle du jeune homme en se ruant vers le plat,
et c'est les yeux dans les siens, qu'elle devora les crepes.

Elle fut vite rassasié,
des jours de jeune avaient eu raison de son estomac et il ne devait guère etre plus gros que celui d'un nouveau né.


-Je reve d'une sieste a l'ombre d'un grand chene.....

Le ton était une invitation,seul un besoin de tendresse la guider, et avoir presque dagran pres d'elle et ne pas sentir la chaleur de bras réconfortant lui était impensable. Doucement elle osa poser une main sur les siennes,caressant le dos de celles ci du bout des doigts.

-Merci, vous avez raison je n'ai jamais manger de si bonnes crepes.
_________________
--Cassandre


La petite blondinette fait a nouveau un rapprochement entre lui et ce Dagaran qu'il ne connait pas. Non Attia ne lui a pas parlé de ce jeune homme qui semble lui ressembler. Il soupire intérieurement, il n'a pas beaucoup parlé avec Attia, certainement moins qu'avec sa blonde sœur qu'il regarde a présent mordre dans las crêpes.
Aussi affamé qu'elle, épuisé par une nuit mouvementée entre les hanches d'une énième souris, c'est avec plaisir qu'il mange les divines crêpes de son admiratrice bretonne.
De temps a autre il lève les yeux sur la blonde, observe son regard brillant alors qu'elle semble déborder a nouveau d'énergie. Il avait apprécié son rire, rassurant quand a son état, et puis elle avait bien eu raison de ne pas lui répondre, elle avait certainement ses raisons et il ne voulait pas l'enquiquiner.
Le frôlement de main ne lui avait pas échappé, son regard avait suivi le trajet de la main fine et blanche, un sourire amusé aux lèvres. La blonde cachait peut être également une femme pleine d'une sensualité naïve et attendrissante. Il sourit a nouveau, les yeux de la blonde brillant dans les siens.
Elle arrêta de manger bien plus tôt que lui. Il leva les yeux au ciel. Ah ces souris a toujours manger sur le bout de doigts. Il n'aimait pas gâcher et c'est avec un certain dévouement qu'il entrepris de terminer l'assiette de crêpes avant de sentir lui même son estomac tendu a bloc.
Il sourit en se tâtant doucement le ventre.


- Heureusement que je ne viens pas ici tous les jours... il sourit. C'est un secret... Il se penche doucement en avant et lui chuchote. La vieille me met toujours deux ou trois crêpes supplémentaires...

Il se redresse et rit avant de se gratter doucement l'arrière du crane, réflexe imbécile qu'il avait lorsqu'il se sentait bête. La blonde ne se moque pas, il sourit et l'écoute lui exposer ses envies. Une sieste sous un arbre hein... Il sourit. Il sent ses doigts frais venir lui caresser la main. Légèrement surpris il hausse un sourcil avant de lui sourire en coin amusé par son audace. Décidément la jeune blonde se révélait pleine de surprises.
Sans réfléchir il retourne sa main et saisit ses doigts entre les siens les serrant doucement alors qu'elle le remercie.
Il se penche doucement vers elle et d'une voix basse et douce il lui répond.


- Je remercierai la matrone, ses crêpes sont un vrai délice oui... je crois qu'elle sera ravie de vous revoir pas ici...

Un rose fort ravissant ravivait les joues de la blonde et ses lèvres n'étaient plus les pétales fanés qu'il avait découvert quelques instants plus tôt, mais brillaient d'une vie nouvelle. Il sourit en constatant que la blondinette était bien plus mignonne une fois rassasiée et détendue. Il la dévisagea longuement. Très mince, elle devait pas beaucoup manger, mais cela se réglerait vite se dit il pour lui même.
Sa faiblesse masculine porta son regard a sa poitrine qu'il devine menue a travers l'étoffe de son corsage. Il sourit discrètement, il aimait bien les seins fermes comme des pommes et doux comme des pèches. Il sourit en coin et porte un regard nonchalant a l'extérieur par la fenêtre pour ne pas gêner la jeune fille de son regard de mâle a l'affut.
Il se penche a nouveau vers sa blonde interlocutrice, ses doigts toujours emmêlés aux siens.


- A vrai dire avant de vous trouver, ou plutôt avant que votre cher âne ne vienne braire a la mort dans cette forêt, je m'apprêtais a piquer un petit somme...Avec le ventre plein, cela devient même une nécessité!

Il rit et dans un geste leste il extirpe de sa poche quelques écus qu'il dépose sur la table.

- on y va ?

Il fait un signe de tête a la blonde ne lâchant pas sa main, qu'il trouvait agréablement tiède dans la sienne.
--Devy





Sans doute que meme sans l'intervention de bekel,Devy aurait retourner sa veste.Il ne l'avait pas laisser paraitre, mais cette fille l'avait toucher lui aussi.Elle s'était emportée, ,était partie, et avait eu le cran de revenir face a deux hommes ,avouer qu'elle s'y etait mal prise, et dévoilant ainsi l'amour qu'elle porter a Bysance.Devy en était maintenant convaincu, cette jolie rebelle devait aimer trés fort bysance, et il trouvait que c'etait une force d'avouer d'aimer encore le sujet de discorde des deux filles.
d'Aprés bysance,elle meme n'aimait plus l'homme, elle se sentait juste trahie de ne pas avoir été choisie par sa soeur.Aprés la croire ou pas n'avait pas était la question, il avait eté la pour la consoler et etre une oreille attentive.

Devy leva lentement les mains au ciel, hors de question pour lui de montrer qu'elle l'avait complétement fait changer d'avis.


-Bon!!!!! si pépé dit qu'il le faut.....je suis votre homme!
Aprés tout,une fois l'abces crevé on vous retrouvera plus dans les parages a jouer de la pointe de la dague!
et se retournant vers la bicoque,.....et pépé Bekel pourra ne plus avoir peur pour ses carreaux!

Devy s'approcha d'elle précautionnément, histoire qu'elle se rende bien compte qu'il etait amical.

-Mais d'abord damoiselle Attia,nous allons soigné ces vilaines blessure qui abime votre minois....et surtout votre main.

Avant toute protestation, il prit la main entaillée dans la sienne et regarda la plaie.Il se dit qu'elle ne faisait vraiment pas semblant la bougresse!

-avant la nuit,si elle n'a pas decider autre chose entre temps,vous serez pres de votre soeur...

Il l'attira a l'interieur de la chaumiere ou le vieux dormait déja pour laver les blessure proprement et bander la main de la jeune femme.
Attia.
Elle a tourné les talons et de la manche essuie son visage, lasse. Un voix, celle du vieux. Elle tend l'oreille, puis se retourne doucement un léger sourire aux lèvres. Ses yeux se portent sur devy, sans trop en attendre grand chose. Son regard s'il exprimait quelque chose devait exprimer de l'espoir, espoir qu'il comprenne enfin qu'elle avait besoin de retrouver sa Bysance, sa sœur chérie, trop longtemps éloignée d'elle.
Elle l'écouta parler un sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle regarda le vieux se retirer en lui souriant franchement, les prunelles brillantes.
Elle ne sait si c'est a lui ou aux propres sentiments de devy qu'elle devait se retournement, mais elle s'en fichait un peu, il l'aiderait et c'est tout ce qui comptait.
Une énième larme, cette fois de joie coula au coin de ses yeux avant que d'un nouveau revers de la main elle ne l'essuie.


Elle regarda le Devy s'approcher et sourit a la prudence qu'il mettait dans chacun de ses pas. Elle lui sourit, comme une bête apprivoisée, fatiguée de se débattre dans la cage de sa peine. Elle n'avait aucun mot, et peut être serait il mieux si elle ne disait rien. Elle laisserait parler ses yeux et son sourire.

Il lui saisit la main et elle grimaca doucement.


-Mais d'abord damoiselle Attia,nous allons soigné ces vilaines blessure qui abime votre minois....et surtout votre main.

Ce n'est pas bien joli a voir, mais cette blessure l'avait secourue, l'avait physiquement ramenée a l'essentiel et tout comme la blessure dans son coeur elle finirait par cicatriser. Pour cela elle avait seulement besoin de tendresse et cet homme dans ses gestes n'en manquait pas.
Elle rosit doucement de honte d'abord d'avoir si mal jugé ce jeune homme. Après tout il ne lui avait rien fait de mal, a part essayer de se rapprocher d'elle. Elle leva les yeux sur son visage concentré sur sa blessure et lui trouva un air plein de sollicitude qui vit a nouveau briller ses yeux.
Toujours aucun mot...


-avant la nuit,si elle n'a pas décidé autre chose entre temps,vous serez près de votre sœur...

Elle sourit a nouveau, il fallait qu'elle parle, qu'elle dise quelque chose, mais pourquoi restait elle muette... Elle entrouvrit les levres. Mais tout ce qui en sortit fut un faible...

- Merci...

Tres vite étouffer par un petit sanglot refoulé.
Elle lui sourit se laissant doucement entrainer dans la cabane du vieux. Et toujours en silence elle le regarda laver sa main, les sourcils un peu froncés sous l'effet des picotements et avec précaution il lui banda sa blessure.
Elle le regarda le cœur soudainement battant.
On prenait soin d'elle... Ce sentiment de sécurité lui avait tant manqué, et elle se rendait a quel point il était vital de se sentir protégé et de sentir qu'on prenait soin d'elle. Elle pensa a son épi. Oui il fallait qu'elle la retrouve, pour a nouveau prendre soin d'elle, lui montrer qu'elle était la et cette fois pour de bon. Sa petite excursion libre sur les chemins de la vie lui avaient apporté son lot de joies et de leçons, a présent elle savait ce qui était essentiel.
Elle posa sa main intacte sur celle du jeune homme, le regardant dans les yeux. cette fois elle parlerait d'une voix intelligible qui exprimerait ce qu'elle ressentait.

- Je vous demande pardon... Et je vous remercie du fond du coeur... devy...

Ceci était la première étape vers le pardon ultime, restait que sa sœur lui pardonne, et qu'elle se pardonne a elle même, avant de repartir une nouvelle fois sur les sentiers battus de la vie ou elle grandirait encore un peu.

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Bysance
Le sourire aux levres,Bysance s'était levée pour suivre l'homme,
un bien etre l'avait envahie .
Le jeune homme était partant pour une pause a l'ombre d'un arbre et il était pour elle a cet instant l'etre ideal pour lui donner la tendresse dont elle manquait.
Dagui certes n'etait pas avard de calin ,mais parfois les mains d'un homme sur nos hanches,
ses yeux dans notre corsage nous revele femme..femme que nous avions perdu de vue et pourtant, l'essence meme de tout ce que nous sommes.

ils se tenaient la main sur les petits sentiers, tel deux amoureux eternels,tels deux amants depuis toujours.
Il guidait,elle suivait docile, sachant que l'accord etait tacite.
Contre toute attente,Bysance bifurqua au milieu d'un sentier escarpé,vers un terrain valloné car la bas,un peu plus loin,
elle savait qu'il se trouvait un magnifique saule pleureur,
dont les lianes descendants tel une cascade certe sur le sol,
masquaient totalement le tronc et formaient un cocon dans lequel il ferait bon se lover.
On entendait les sabots de Dagui sur le gravier des sentiers qui suivait derriere, habitué aux frasques de sa maitresse.

Le vent laissait onduler sous son souffle doux la masse verte et feuillue, et quand bysance passa le rideau luxuriant, elle fixa cassandre dans les yeux,combien de fois n'avait elle pas rever de retrouver les bras de dagaran?
elle savait bien que cet homme etait quelqun d'autre, mais il avait en plus de ressembler a Dag,
cette chose que tous n'ont pas qui attirait irrésistiblement l'épi a lui.

Malgré ses airs de jeune fille fragile et meme parfois prude dont elle aimer jouer pour eloigner les hommes qui ne l'interesser guere,
l'épi n'etait pas des plus farouche face a un homme,elle avait appris a se servir des hommes gadjos comme eux aimaient venir se servir dans les camps rrom,l'appat devenant alors le predateur.
Mais face a lui c'était different, c'etait pour elle tout naturel,
de connaitre mieux cet homme,de gouter peut etre la saveur de sa peau, et de le laisser a sa guise gouter la sienne,
pour une complicité surement ephemere, mais tellement vrai.



-Seriez vous d'avis que notre sieste se fasse ici?le tapis de mousse est confortable....

Elle tenter de se retenir, de lui cacher qu'elle esperait un retour en arriere dans sa vie,
qu'elle allait se jeter dans ses bras comme des retrouvailles dans ceux de celui qu'elle avait a jamais perdu.

lentement, presque timidement,
elle passa ses bras autour du cou du jeune homme et ferma les yeux ,
la bouche offerte , attendant que lui vienne y joindre les siennes.

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--Cassandre


La main dans la sienne elle le suivait.
Au détour d'un sentier, la main dans la sienne, c'est lui qui la suivait.
Elle menait le jeu, telle une fée de la forêt l'emmenant découvrir son royaume merveilleux.
Il sourit. La petite fée blonde le mène a son paradis luxuriant, verdoyant et embaumant d'air frais.
L'endroit , il ne le connait pas, il doit avouer qu'il est beau et qu'il s'en dégage une sérénité étrange.
Il regarde la jeune blonde et il se sent comme pris au piège d'une merveilleuse créature, qui l'a entrainé sans qu'il s'en rende compte dans son repaire.
Il rit doucement, décidément son esprit était fertile d'imagination.
Elle le regarde et lui parle. s'il est d'accord pour que la sieste se fasse la ? Pour sur qu'il était d'accord.
Il opine du chef et la regarde le visage légèrement baissé comme pour scruter les intentions de la belle qui le regarde d'un air nostalgique et tendre.
Il la regarde s'approcher de lui. Il sourit, la confiance de prédatrice a laissé place a une certaine timidité qui la fait joliment rosir alors qu'elle passe ses mains autour de son cou.
Il hausse un sourcil. Pas qu'il n'aimait pas se retrouver dans des endroits idylliques en compagnie de charmantes créatures, mais celle la le prenait pour un amour perdu. Il n'était pas sur qu'elle voyait en lui Cassandre, et pourtant il était Cassandre.
Il la regarde dans les yeux.


- Bysance... je ne suis pas...

Elle ferme les yeux et ses lèvres se rapprochent. Ses lèvres... il les regarde... Son cœur bat plus fort. Comment lui dire... Il n'est qu'un homme après tout... Non mais il ne veut pas profiter...
Une de ses mains vient se caler a l'arrière de sa nuque, sentant sous ses doigts la fine chevelure blonde tandis que son autre main se glisse entre leur corps pour venir effleurer du bout des doigts son menton, puis ses lèvres... ses lèvres de velours, ses lèvres gorgées de vie... ses lèvres qu'il avait déjà découvertes... ses lèvres...
Il n'est qu'un homme, et c'est dans la faiblesse de son genre qu'il abandonne ses lèvres de ses doigts pour l'attirer doucement par la nuque, collant ses lèvres aux siennes, sa langue allant a la rencontre de celle avide de la blonde.
Le baiser se fait lent et tendre, de sa main il lui chatouille la nuque, de son autre il l'attire par la hanche sentant contre lui la chaleur de son corps.
Ne pas trop se coller a elle... il n'est qu'un homme... Il pourrait penser a autre chose, a plus...
Mais en dépit de l'attirance qu'elle a pour lui, Il n'est pas celui qu'elle est en train d'embrasser, ce fantôme qu'elle retrouve dans son regard. Il en soupire intérieurement.
Presque a contrecœur il dessoude leurs lèvres plongeant immédiatement un regard brulant dans le sien.
Ne pas réveiller ses instincts... Il ne veut pas avoir a la fuir, a l'abandonner...
Il préfère tempérer les choses. Il lui sourit et la serre doucement contre lui l'air de rien.


- Il n'était pas question d'une sieste petite fée blonde ?

Sa voix s'est faite presque comme un murmure, pleine d'une tendresse que la blonde lui inspirait et dont il ne voulait profiter outre mesure.
--Devy






- Je vous demande pardon... Et je vous remercie du fond du coeur... devy...


Un sourire sincere soulevait l'ourlet de la bouche de Devy,il pressa doucement la main saine d'Attia,chaleureusement.

-Chut....je comprend...je crois.

Tout en parlant,il sorti de sa poche son mouchoir blanc,comme si la beauté du visage de la gitane ne saurait supporter les linges pourtant assez propres du Bekel.D'abord il fit mine de secher les larmes tres dicretes de la jeune femme,puis il mouilla la pointe du mouchoir,et entreprit de degager le front souillé de sang sur lequel des cheveux se collaient.
Ses gestes étaient tendre,il caressa la joue de la jeune femme avant de tamponner ses levres charnues.Sentant que son geste pouvait gener la jeune femme,alors qu'il n'était qu'amical,il se recula.

-Si vous vous sentez prete,nous allons y aller,vous avez une monture ou je descend au village en chercher une?
Attia.
Devy sourit et serre sa main dans la sienne. Elle lui sourit également, continuant a observer ses traits. Le jeune homme avait du être très choqué de sa réaction de tout a l'heure pour être sorti de ses gonds et montrer un face qui ne devait pas etre la sienne.
Elle sourit présentant son visage a ses soins, quelque peu gênée d'apparaitre si abimée, épave de ses errements émotionnels.
La gitane grimace doucement, faut dire que ça picote quand même les égratignures.
Le mouchoir a l'étoffe douce parcourt son front, ses lèvres, et ses doigts sur ses joues semblent hésitants. Elle ferma doucement les yeux comme pour apprécier le moment quand le jeune homme se recula.
Elle sourit. Il devait avoir peur qu'elle s'emporte encore.
Elle réouvrit les yeux arrangeant au passage quelques mèches brunes sur son visage.


-Si vous vous sentez prête,nous allons y aller,vous avez une monture ou je descend au village en chercher une?

Elle le regarde, il va enfin la conduire a sa sœur. Elle hoche la tête.

- Mon cheval Abyss se trouve pas loin dans la plaine, il paît sans doute près de la rivière comme a son habitude... Allons le chercher et trouvons bysance...

Son cœur bat d'un ton empli d'espoir. Sa chère sœur presque a portée.

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Bysance
-Il n'était pas question d'une sieste petite fée blonde ?


Le baiser échangé avait mélé mille sentiments contradictoires en l'épi.
Cet homme embrassait bigrement bien et Bysance avait vu l'homme que pourtant elle voulait effacé pour mieux voir Dagaran.
Mais le proprietaire de ce corp ne l'entendait pas de cette oreille.
Meme Dagaran ne saurait le deposseder de lui meme.
Il avait l'habitude d'avoir des donzelles entre ses bras,
sa façon de mouler le corp de l'épi au sien ne tromper pas.
C'était donc les bras ballants, privé d'une tendresse coquine que l'épi le regardait,
une malice dans les yeux qu'elle n'aurait jamais penser retrouvé
.

-Une sieste oui....Bysance haussa les epaules,
trop faible et pas a son avantage pour en demander plus au jeune homme .

Elle se coucha dans la mousse épaisse,
au pied de l'arbre et appuyée sur ses coudes elle attendi qu'il la rejoigne.
IL s'installa prés d'elle,
pas assez collant au gout de la blonde et celle -ci appuya sa tete sur le torse du jeune homme,
comme un animal quémandant quelques caresses.

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--Devy



Ils avaient suivi le lit de la riviere,laissant le vieux Bekel se reposait et cherchant la monture d'Attia.
Devy vit un magnifique étalon noir coursait le vent dans la plaine, avec une fougue nerveuse et pleine de grace.


-C'est lui Abyss? magnifique....

La belle gitane avait acquiecé,et a leur approche, l'étalon était venu de lui meme a elle.

-Waouh !! Bysance son ane qui a tout d'un meilleur ami pour elle,vous votre cheval...c'est un don de famille d'etre ami avec les animaux?

Dévy n'en revenait pas, il la regardait domptait si facilement l'animal si libre et nerveux auparavent, et quand il fut pret, c'est naturellement quelle le laissa prendre les reines, s'asseyant derriere lui.
Le bel étalon se laissa mener facilement meme si devy etait sur que si la belle qui le tenait par les hanches n'etait pas elle meme sur la monture, se serait une autre histoire.

Ils firent la route presque silencieusement, leurs corps se rapprochant ou s'éloignant au grés des chemins qu'empruntait le cheval.Le soleil était presque bas quand Devy sourit en voyant le vago rouge.


-Nous y sommes.....
--Cassandre


La blonde bat en retraite et il sourit. Elle a un petit air boudeur qui lui donne un air bigrement ravissant. Il sourit amusé en la regardant s'allonger les coudes posés contre la mousse les yeux levés sur lui.
Il se penche et s'allonge doucement a coté d'elle les bras sous le tête les yeux plantés dans le rideau de feuilles, un coin de l'œil regardant la blonde qui se rapproche l'air de rien jusqu'à venir pose sa tête contre son torse.
Elle est marrante la petite il déplie les mains et la rapproche de lui. Après tout si tout ce dont elle avait besoin c'était de tendresse...
Il la serre contre lui, caressant doucement sa chevelure de ses doigt, les enroulant dans les mèches blondes. Ses yeux se penchant doucement et découvrent le corps de la petite fée joliment lové contre le sien, dévoila les courbes de ses hanches soulignées par l'étoffe légère qui la recouvre.
Il sourit, elle est mignonne et dégage une sensualité toute innocente. Ses doigts sans qu'il s'en rende compte abandonnent ses boucles blondes et se promènent a présent sur la peau de son visage jusqu'à ses lèvres qu'il reconnait du bout des doigts, les caressant doucement. Quelle douceur, quelle sensualité...
La blonde voulait beaucoup plus que de la tendresse, mais il avait réussi a calmer ses ardeurs, mais a présent il se sentait tenté, trop tenté...
Il déglutit doucement baissant les yeux vers la fée qui a présent le regarde de son petit air implorant. Ses yeux vont de ceux de l'épi a la courbe de ses hanches, au creux de sa petite poitrine qu'il arrive a voir pressée a l'intérieur du corsage.
La faiblesse est toute masculine et la chaleur communiquée par le corps frêle de la petite fée blonde contre lui réveille en lui un désir tout masculin qu'une nuit d'amour n'avait visiblement pas calmé.
Ses doigts se saisissent une nouvelle fois du menton de la blonde pour doucement l'attirer a lui, le démon de sa conscience ayant pris l'ascendant sur l'ange.


- Humm, Faire la sieste s'avère difficile dans ses conditions...

Il lui vole un léger baiser.

- Je crois que craque complètement ...

D'un léger mouvement il la fait basculer, se plantant au dessus d'elle, calé sur un coude. Sa main déplace quelques boucles blondes de son visage avec de glisser doucement sur son nez, ses lèvres, son cou qu'il chatouille doucement jusqu'à la naissance de sa poitrine a la quelle il arrête des doigts curieux.
Il sourit plaignant sa propre faiblesse de ne point résister aux yeux brillants de la blondinette.
Ses lèvres viennent caresser son cou alors qu'une main friponne vient se promener sur son fin corsage tirant doucement sur les lacets lui tardant de recueillir dans sa paume ces jolis fruits gorgé de vie.
Apercevant les courbes délicates sans avoir défait tout le corsage, il les taquine de son souffle, puis plonge ses yeux dans ceux de la blonde tandis que la main friponne repart a l'attaque de son mince jupon qu'elle replie pour pouvoir atteindre la peau de ses cuisses fuselées se contentant de les effleurer délicatement.

Il la regarde a nouveau un regain de voix de l'ange de sa conscience, les femmes qu'il avait fréquenté ces derniers temps attendaient encore de ses nouvelles, pourrait il supporter de s'attacher a la blonde ne serait ce que le temps de l'aider... Et elle n'était pas n'importe quelle blonde... la sœur de...
Le démon pourtant parlait dans les yeux brillants de désir du bel épi., dans le corps débordant d'une sensualité et d'une sensibilité a fleur de peau .. Il la regarde la main parcourant doucement sa peau...


- bysance...


--Devy




Le vago était vide,ni bysance, ni l'ane de celle ci était a porté de vue.Dévy souria a Attia comme pour la rassurer et il se mit a siffler comme un enfant en faisant quelques pas autour du vago.
Bientot,on entendit le braiement si familier de dagui, persuadé d'avoir la carotte qui accompagnait toujours ce sifflement.


-Il est la alors elle n'est pas loin!..enfin vous devez le savoir....


Sans attendre de réponse,Dévy poussa ses investigations un peu plus loin,il regarda au pied du grand chene ou l'épi etait souvent, personne....
Puis son regard se porta sur le saule un peu plus loin.Il décida d'aller voir par la, si elle n'y etait pas elle serait sans doute a la riviere a prendre de l'eau, l'heure devenait tardive.

[/i]-Bysance!!!!!! bysance!!!!!!!!bys....oh pardon..je ..je...


[i]Devy avait retrouvé l'épi...qui n'était pas comme il se l'imaginait seule.Il ne savait comment réagir,déboussoler par cette decouverte qui lui donner un vif pincement au coeur.Le Dévy découvrait sa jalousie.Il resta la, prés des branches tombantes, n'osant plus porter les yeux derriere celles -ci et regardant la belle Attia d'un air hébété, incapable de lui dire ce qu'il venait de voir.
Attia.
Avec devy ils avaient suivi la rivière jusqu'à trouver Abyss, le cheval noir dont elle était particulièrement fière. Il avait raison, Bysance avait son âne, et elle avait son cheval, a chacune son animal, a chacune le tempérament qui allait avec.
Elle s'approcha de la fière monture, lui flattant l'encolure, recueillant des hennissements satisfait. Elle sourit. Abyss lui ressemblait bien plus qu'on ne pouvait penser.
D'un geste réflexe elle saisit la rêne prête a monter, puis posa un regard sur devy.
Hum en d'autres temps elle n'aurait laissé personne d'autre qu'elle monter la bête. Mais elle était plutôt mal en point et au final c'est lui qui connaissait le chemin. Il avait eu l'intelligence de rester en retrait, ce qui la fit sourire quand elle reposa le pied par terre pour lui faire signe de la tête de venir monter le bel étalon. Il l'aida ensuite a monter et ses naturellement qu'elle accrocha ses mains a ses hanches, collant un peu son corps au sien , un sourire aux lèvres. Il dégageait une certaine sensualité le devy a cheval. Elle sourit. Son cœur bondissait a chaque instant, enfin si près de l'épi. Appréhension et hâte se mêlaient en elle. Enfin le voila, le vago rouge...
Ils descendent de cheval et elle court au vago si familier, qui avait abrité bien des histoires, bien des aventures... Le vago a la peinture un peu écaillée par endroits... Le vago et point de bysance...
Pas loin la forêt, pas loin la rivière qui traçait son cours. Un regard lancé a devy, et maintenant ? Il siffle, elle sourit, des braiment se font entendre.


-Il est la alors elle n'est pas loin!..enfin vous devez le savoir....

Elle hoche la tête. Il cherche et elle le suit. Elle n'est jamais beaucoup venue par la, préférant l'odeur sucrée des vergers a celle plus suave et amère des forêts.
L'endroit était agréable et l'épi devait se sentir bien la. Elle se prit a regarder autour d'elle oubliant un peu devy, occupée a observer la nature. Elle se heurta alors a lui perdue dans sa contemplation avant d'ouvrir de grands yeux en le regardant blême . Elle ne l'avait pas entendu, peut etre avait il appelé l'épi... Elle jetta un coup d'oeil en arriere. Un saule, masqué par un épais rideau de feuilles.
Elle fronce les sourcils et le regarde.


- Qu'est ce qui vous arrive? Elle est la bysance?

Aucune réponse du jeune homme. Elle s'impatiente, est agacée.

- Raaa mais...

Elle a le souffle court. Et si elle était... Toute seule... Sans personne pour prendre soin d'elle... Et si elle s'était laissé mourir, dans ce linceul naturel... Dans ce petit paradis perdu... Non elle chasse cette idée de sa tête,la terreur faisant battre son coeur plus vite.

- Poussez vous!

Le geste est brusque. Elle ecarte le jeune homme d'une main et s'élance vers le rideau vert dans lequel elle pénètre d'un coup.

- Byby!

...

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Bysance
Quelle sensation délicieuse de sentir un corp d'homme contre le sien,
des doigts caressant délicatement la chevelure éparpillées sur la mousse.
Bysance sourit sans le montrer trop fort,
la sieste se presente divine, et hors de question que cela s'arrete,
rien de tel pour reprendre gout a la vie de se lover dans les bras d'un tendre et bel inconnu.
Le gaillard sait y faire,des frissons envahiossent la peau de l'épi,
le désir,d'abord de n'obtenir qu'un bel elan de tendresse,
se fait plus intense,
et Bysance imagine déja leur corp entremélés et soudés en un seul pour un pur moment d'extase.
Habile, elle rend les caresses,elle se fait doucereuse et le laisse mener la danse .


- bysance...

-Cassandre....

Elle avait sourit en disant son prénom,
pour qu'il soit sur quelle est avec lui qu'elle était a cet instant et non avec Dagaran.

Puis son coeur bondit,pas d'etre tomber a jamais sous le charme de Cassandre,
quoi que les caresses de celui ci avaient réussi a le faire,
mais d'entendre Dévy..oui c'était bien Dévy que voulait t'il?

holalala la posture das laquelle elle était n'était pas idéal pour revoir le jeune homme.
Bysance regardait Cassandre, un peu paniquée quand le jeune homme fit son entrée.
Juste le temps de comprendre que c'était Dévy,pas le temps de prendre une posture plus gentillette.

La tete qu'il avait fait voulait tout dire,il était géné et étonné.
Bysance lança a nouveau des regards a Cassandre qui ne devait pas tout comprendre, comme elle d'ailleurs.

elle tentait de remettre de l'ordre dans ses boucles blondes ,
pour aller voir Dévy quand une nouvelle irruption derriere le rideau vert la laissa sans voix.


-Attia...
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