Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >>

[RP ouvert à qui veut] Soldat, au rapport !

Liz52
Une surprise de taille ... Et un accueil glacial mais qui aurait pu etre pire. La fille de Killi qui les surprend main dans la main en train d'admirer la vue. Une inconnue, une fois de plus dans les bras de son père. Il est vrai que de prime abord ... il y a de quoi s'ennerver surtout quand son pere est réputé pour son libertinage.
Liz préfère les laisser s'exprimer et s'expliquer presque ne voulant pas en rajouter ou faire croire à la demoiselle qu'elle arrive ici en terrain conquis.
Certe elle a toute légitimité en tant que Dénéré d'etre là mais Annelyse ne le sait pas vraiment et au vu des éclairs que lui lance son regard, elle est pas dans un état de discussion sur le sujet.
Elle la salue tout de meme de la tete esquissant un sourire restraint. Il ne manquerait plus qu'elle croit qu'elle se moque d'elle ! Cette jeune femme est magnifique et a un tempérement de feu à prioris.
Encaissant les remarques et sous entendus sans broncher, Liz garde son sang froid. Elle accepte le bras de Killi et le suit dans le reste de la visite. A l'evocation de la visite de la chambre du Maitre, elle se raidit legerement.
Elle n'a toujours pas ouvert la bouche...elle bout à l'intérieur mais sait qu'il lui faut rester tranquille car apres tout, elle n'a rien fait de mal ... pas encore.

La petite chambre rose est vraiment jolie et effectivement correspond bien pour une enfant mais de là à la proposer à Annelyse, Killi exagère ! Là elle ne peut garde le silence.


- Mon cousin, votre idée fait offense à votre fille permettez moi de vous le dire. Vous avez là une jeune femme et pas une enfant. Elle a ses habitudes de vie en ses lieux et il n'est pas question qu'elle s'en prive à cause de ma présence. Je peux tout à fait regagner l'auberge à cheval. J'attendrai la venue de Chimera pour revenir vous saluer tout deux et nous aurons peut etre l'occasion de faire connaissance .

Elle avait tenté de s'adresser à Annelyse directement. En tant qu'adulte celle-ci n'avait pas besoin de l'aval de son père et au vu de son caractere elle passait surement outre
.
_________________
Annelyse
Le bras est saisi s'exécutant à le suivre tout en gardant un air non convaincu. La réponse de son père éveille en elle une certaine irritation n'appréciant pas vraiment qu'on pointe du doigt là où elle n'avait pas son mot à dire. Encore heureux qu'il veillait à ne pas qu'elle tombe sur ses partie de jambes en l'air, car ce serait la goutte d'eau de trop.


Arrivant dans cette chambre d'un poney rose le Grain de beauté s'offusqua par la proposition de son père. Elle le sonda alors, était-il sérieux ou réellement dénué de bons sens ? Avait-elle encore un air si candide? Oui. Mais avait-elle vraiment l'air d'une enfant ? Elle en doutait. A son âge bien des jeunes filles étaient mariées. Et même si elle ne souhaitait absolument pas se retrouver dans cette situation elle n'appréciait pas pour autant qu'on la prenne pour une gamine. Et cette phrase suscita chez elle une certaine exaspération, il lui fit honte et cela ne passait pas dans l'oreille d'une sourde.

Alors, oeil pour oeil, dent pour dent.

Annelyse laissa alors Liz reprendre Killijo, si cette dernière pensait gagner ses faveurs pour cette défense elle se mettait le doigt dans l'oeil. Elle était habituée à voir les tentatives des maîtresses de son père qui cherchait toute mielleuse à s'allier à elle pour ne pas se l'avoir sur le dos, mais en vain. Même si ce qu'elle disait était vrai, elle n'irait pas pour autant la lover dans son affection, pour l'instant du moins.

Et pendant que sa fameuse cousine s'exprimait sur la chose, Annelyse quant à elle prit place sur le bord du lit, ses mains venant prendre appuie légèrement penchée en arrière. Et là un sourire fin s'esquissa légèrement avec malice sur le coin de ses lèvres. Ignorant totalement le fait que Liz souhaitait reprendre la route pour se rendre dans une auberge.

- Je te rappel qu'il faut de la place pour ma mari aussi et je doute que le rose lui fasse tourner la tête. J'aime certes me lover contre lui, toute la nuit occupant ainsi peu de place, mais un plus grand lit ne serait pas indispensable tout de même.

« Tu vois de quoi je veux parler non ?
Veux tu encore me sous estimer ? »

Son regard erra dans la chambre l'air de rien, faisant mine de l'admirer, sachant pertinemment que cette irrespect jouerait avec les nerfs de son coq de père.
_________________
Killijo_de_denere
Remontrance de sa cousine. Ah ben si elle prend sa défense, où va-t-on ? Il va ouvrir la bouche pour lui dire qu'il est hors de question qu'elle dorme ailleurs qu'ici, sa place est ici au même titre que celle d'Annelyse. La peste est allée s'installer sur ce lit qui pourtant, ne semblait point lui convenir.

Annelyse a écrit:
- Je te rappel qu'il faut de la place pour ma mari aussi et je doute que le rose lui fasse tourner la tête. J'aime certes me lover contre lui, toute la nuit occupant ainsi peu de place, mais un plus grand lit ne serait pas indispensable tout de même.


Il ne sait plus où donner de la tête, entre sa pauvre cousine qui veut fuir, effrayée par l'irruption d'une petite poulette furieuse et la poulette en question qui caquette sur son mariage qu'il n'accepte toujours pas. A donner envie de la faire voler pour rejoindre le bassin qu'ils regardaient à la fenêtre quand elle est arrivée. Il la fusille du regard. Il ne veut pas imaginer la scène.

L'avorton prend si peu de place qu'il arrivera bien à se caser ici. Fais à ton aise, ma fille, comme tu le fais toujours.

Le ton est sec, il n'appelle point de réponse. Il prend le bras de Liz, tentant de ne point trop la brusquer car elle n'a point à payer la colère qui monte contre sa fille. Dès qu'il entend parler de ce mariage maudit, il devient fou. Et voilà qu'elle le lui agite devant le nez comme un tissu rouge devant un taureau. Il gratte le sol, le coq, mais il ne s'est pas encore mis en position de combat. Il avance à grand pas, s'occupant à peine de vérifier si Liz réussit à le suivre et va ouvrir la chambre suivante.

La chambre bleue, regarde, elle est confortable.

Il cache mal son exaspération. Il respire plus fort, ses mains sont crispées.
_________________
Chez moi
RIP Killi
Liz52
L'ambiance est menacante et tendue entre le pere et la fille. C'est a celui qui caquettera le plus fort. Liz ayant trop bu, sent le sang lui monter au tempes et une migraine menacer. Elle ferme les yeux un instant. Ils s' affrontent à coup de mots et de reproches. Elle comprend quelque part la position de la demoiselle mais pour etre honnete, celle ci a manqué de se faire remuer les puces. Son pere veut essayer de réparer ses erreures mais il l'a visiblement trop "protégée".

Bon .. que faire ? L'idee de repartir à l'auberge à cette heure ne l'enchante pas.
Il l'entraine presque de force à la chambre suivante lui serrant le bras à lui en faire mal. C'en est trop !
Elle se degage fermement et les regarde tous les deux les yeux étincelants de colère.


- Non mais c'est pas bientot fini la petite classe ! Killi ta fille est une adulte et tu ne pourras pas toujours avoir droit de regard sur ses faits et gestes tu es bien placé pour savoir que vous avez le meme tempérament. Tu aurais fait quoi à sa place hein !

De se tourner vers la jeune femme

- Et vous jeune femme, certe votre pere est pas un model de fidélité, mais il vous aime et il est là ! Vous avez un père ! Vous devriez vois dire que meme si il est loin d'etre parfait, il est là. Je sais ce que c'est qu'etre illégitime, je le suis mais moi je n'ai plus la chance de pouvoir passer ma colere sur lui.

Elle les regarde tour à tour soupire et prends les escaliers pour rejoindre le salon...
L'acool s' est bien mais cela donne faim et les emotions aussi . Juste avant de descendre elle se retourne et leur demande

- Si on mangeait quelque chose ?
_________________
Killijo_de_denere
Killi n'a point vu la colère monter chez Liz, il était trop obnubilé par sa fille et la gestion de sa colère avec ce mariage et sa délectation de lui raconter comme l'autre mi-homme peut l'aimer. Il sent Liz s'agiter et lui échapper de la main et la regarde, médusé. Il en prend pour son grade, le mentor, elle l'habille de plusieurs étoiles. Jamais personne n'a jamais osé lui parler ainsi de sa manière d'éduquer sa fille. Chacun prend sa dose, pas de jaloux, elle en prend un pour taper sur l'autre. C'est à peine si elle ne va pas en envoyer un de chaque côté de la pièce, au coin. Comme des sales gosses qui passent leur temps à se battre pour un oui ou un non. Il reste muet, ne sachant ni comment le prendre, ni quoi dire pour ne pas prendre le retour. Il n'a pas vraiment envie d'avoir du rab. Il ne regarde point Annelyse non plus, pour ne point ajouter de l'huile sur le feu.

Il perd en général peu l'usage de la parole, mais ce soir, il ne sait quoi dire. Elle se dirige vers l'escalier, elle va certainement s'enfuir à l'auberge. Entre la rencontre avec sa fille alors qu'elle avait peur de faire mauvaise impression vis à vis de la famille, dans les bras du libertin de la famille et les disputes incessantes du père et de la fille... Elle est servie pour sa soirée de rencontre familiale. Il va se précipiter pour la rattraper, ne voulant point qu'elle s'enfuit. Si Chimera devait apprendre cette soirée, elle risquerait de lui faire elle aussi un sermon de derrière les fagots. Il va l'appeler, le bras en avant quand elle leur demande


- Si on mangeait quelque chose ?

Cette jeune fille est surprenante. Elle les aurait bien fessés pour leur mauvais comportement, et voilà que maintenant, elle veut manger. Il entraîne Annelyse en la prenant par le bras sans lui laisser le temps de réagir. Il lui marmonne de faire au moins un effort pour ce soir. Pas pour lui, pour sa cousine. Et pour Chimera. Ils la suivent dans l'escalier pour arriver dans la salle. Killi en profite pour prendre le bras de Liz et se retrouve naturellement au milieu des deux jeunes filles. Il hèle un valet pour qu'il leur apporte du vin frais et qu'il ramène de nouveaux pâtés, du pain et des viandes. Il regarde Liz avec un sourire.

La colère t'a creusée, ma jolie ?
_________________
Chez moi
RIP Killi
Annelyse
Ça va chier des bulles carré !

Non mais elle n'en croyait pas ses yeux l'Angevine. Le sourcil arqué et le regard fixe en direction de la poissonnière faiseuse de leçon. Elles ne se connaissent depuis quelques minutes à peine et la voilà déjà qui se permet de la reprendre sur sa façon d'être.
Sur ce point elle avait tout faux la dite cousine, car il en fallait bien moins que ça à la brune afin qu'elle se renfrogne et qu'elle sorte les crocs.

- Vous n'avez pas cette chance ? Alors laissez moi profiter de la mienne. Exprima t-elle froidement tout en se levant. De plus je ne vous permet pas de juger mon comportement, je vous connais à peine et vous pensez déjà me connaitre ? N'y rêvez pas et n'y comptez pas.

Tolérance zéro, fallait pas lui rentrer dans le lard comme ça encore moins dés le début.
Advienne que pourra.

- Oui mangez, et par la même occasion étouffez vous avec.

C'était quoi cette blague ? Annelyse les regarda successivement dépitée, le comportement de son père l’agaçait constamment dés qu'il était en compagnie d'un de ces jupons qu'il souhaitait lever. C'est pourquoi elle tourna les talons et préféra quitter cette maison.
_________________
Killijo_de_denere
Et voilà... Ca, c'est fait.

Killi regarda sa fille qui explosait à son tour. Deux tempéraments pareils dans une même pièce, que voulez-vous, ça ne peut point donner autre résultat. Il n'eut point le temps de modérer sa fille, pas plus qu'il n'avait pu modérer la cousine, d'ailleurs. Quelle soirée, mes aïeux... Deux femmes qui voulaient montrer laquelle hurle le plus fort, mais impossible de corriger l'une ou l'autre à la manière traditionnelle. Il se leva quand sa fille partit, faisant un sourire contrit à Liz. Il fallait bien s'en douter. Il lui fit une bise sur le front.

Mange un morceau, j'arrive.

Il partit à grands pas chercher sa fille. D'ordinaire, il tentait de lui faire comprendre les choses déjà, même s'il était compliqué de la convaincre que celle-ci n'était qu'une amie ou que réellement, les choses seraient différentes cette fois-ci. Et elle ne se trompait point. Mais pour Liz... Une cousine qu'il voulait présenter à la famille, pour UNE fois qu'il n'avait point l'intention de l'allonger quelque part pour l'éduquer. Enfin si, il compte bien l'éduquer, mais sur la manière de se protéger des hommes, ne point s'attacher et en souffrir comme elle l'a déjà fait. Juste s'amuser, profiter de la vie, tout en préservant sa réputation. Toutes ces choses qu'il aurait pu apprendre aussi à sa fille, mais qu'il lui cacherait car il ne pouvait supporter l'idée qu'un homme la regarde comme une femme. Il tenta de la rejoindre à grands pas pour la rattraper.

Annelyse, ma chérie, je sais que les apparences sont contre moi, une fois de plus, mais je n'ai point l'intention d'ajouter Liz à mon tableau de chasse. Elle est une de nos cousines, elle fait partie de la famille. Chimera me les accrocherait en boucle d'oreilles si elle apprenait que je l'ai touchée.

Il lui prit le bras.


Reviens et reste avec nous, nous passons si peu de temps ensemble.
_________________
Chez moi
RIP Killi
Annelyse
Et voilà qu'à peine sortit son père n'en démordit pas la rattrapant afin de se justifier. Ne comprenait-il pas qu'elle ne désirait plus rien ?
Qu'elle ne souhaitait plus l'entendre lui rabacher toujours la même chose, la même histoire qui se répétait sans cesse. N'y avait-il que lui pour se rendre compte de sa façon d'être ?
Elle l'écoute sans pour autant prendre la peine de le regarder. Les apparences étaient contre lui, oh si peu... Puis voilà qu'il parle de son "tableau de chasse" elle était dépitée. Elle avait envie de lui hurler sa colère.

Alors qu'il lui prend le bras en lui demandant de revenir en leur compagnie, elle s'en détache aussitôt, il en était hors de question.

Si on passe si peu de temps ensemble c'est justement pour ce genre de situation!

Ses mains se posèrent sur ses tempes comme pour lui éviter d'entendre quoi que ce soit de plus de sa part. Elle n'en peut plus de sa relation avec lui et tente de retenir ses paroles mais la difficulté est là et c'est dans un grognement qu'elle ré-enchaine.

Je n'en peux plus ! Je n'en peux plus de ta vie, de toutes ses femmes, de tout ce que tu dis, je n'en peux de t'entendre parler qu'il faut se méfier des hommes, de ton vouloir à mettre en garde chaque mijaurée que tu croises afin de mieux la dévergonder toi-même ! Je n'en peux plus de tout ça !!
Cesse de te vouloir le bon samaritain que tu n'es pas et arrêtes de me prendre pour une cruche ! Oh et à titre d'information, tous les hommes ne sont pas tous comme toi et j'aurais même envie de dire que tu es en tête de liste des hommes à éviter pour l'honneur de ta famille !
Combien de femmes as tu engrossé ? Ne cesseras-tu jamais ? Le pire c'est que tu te plais dans tes désillusions avec cette fameuse cousine et tu oses me faire croire le contraire. J'en ai assez de te parler de toute manière, n'en rajoute pas, ne me dis plus rien. Je rentre à l'auberge rejoindre mon mari.


Joignant une main qui se dresse entre eux afin qu'il n'en dise pas plus où qu'il ne la touche. Lui rappeler par la même occasion l'histoire de son faux mariage avec Henri afin de piquer davantage là où ça fait mal et de tourner les talons, à nouveaux ne voulant plus rien entendre qui pourrait aggraver la situation.
Dés qu'elle se retrouvait avec son père elle n'arrivait plus à se contrôler, trop de mal en elle qui le rendait insupportable.
_________________
Killijo_de_denere
Elle était fâchée contre lui, une fois de plus. Et pourtant... Il était un homme à femmes, certes, il aimait les voir chavirer en sa présence et quémander un peu d'attention ou plus, cela devenait même une seconde nature, si bien que, même sans le vouloir, il les attirait. Sa fille ne le supportait plus, il ne pouvait rien y faire. Il pouvait modérer sa nature de coq, mais il ne pouvait contenir l'attirance que les femmes avaient pour lui. Il pouvait se contenter de ne point y répondre.En sa présence. Car lorsqu'elles n'étaient point là, il n'y avait point de raison qu'il se prive de quelques moments de plaisir partagé.

Il la laissa partir sans lui répondre. Bien sûr que certains hommes pouvaient être sérieux et engagés envers une seule femme, bien sûr qu'ils pouvaient rester fidèle à cette unique, comme il avait vu son père le devenir pour sa mère, mais les autres étaient si nombreux... Il tenterait de lui parler une autre fois. Il ne voulait point ramasser les morceaux lorsque son coeur serait brisé et tuer l'infâme qui l'avait fait.

Il retourna vers la cuisine où se trouvait Liz. Ils allaient manger ensemble et il lui montrerait une chambre où elle pourrait dormir et il la raccompagnerait le lendemain chez elle. En espérant qu'elle ne s'arrêterait point uniquement à cette première triste rencontre.

_________________
Chez moi
RIP Killi
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)