Xalta
Un étrange frisson la parcourt quand il prononce le même mot que celui qui lui a traversé la tête durant une fraction de seconde. Puis il reprend son discours et peu à peu il change d'orientation. Les sensations qu'il décrit, celles qu'il a ressentie à l'annonce de la mort de son frère sont les mêmes que celles qu'elle a éprouvé trop souvent. Chacun de ses morts avaient emporté avec eux un morceau de son cur et de son âme. Celles qui l'avaient plus marquées étaient les disparitions de Molly et de Belgarion. Un léger soupir filtre entre ses lèvres. Un silence, la figure du jeune homme se transforme, ses yeux deviennent trop brillant de larmes contenues, il renifle. Spontanément elle a un geste tendre envers lui, elle lui caresse la joue, comme elle le ferait pour un proche malheureux. Il accuse le coup d'une vérité qui vient de le submerger. Elle lui adresse un sourire empreint de compassion et d'empathie.
Son récit bifurque sur une histoire d'A. qui explique pourquoi il n'avait pas souhaite se rendre auprès de cette famille qui était pourtant sienne. Une relation secrète, pas si secrète si les amis de la femme étaient au courant. Une impression qu'il avait été joué par cette femme. Possible ou pas. Rien n'est jamais simple surtout quand il s'agit de relations hommes-femmes. Parce que oui forcement, une relation dissimulée aux yeux de tous elle avait eu, elle avait aussi en ce moment mais sans sentiment cette fois-ci , la première avait mal tournée.Une vraie catastrophe. Mais qui désormais appartenait au passé. Avec le recul, elle se reprochait d'avoir mal agi mais c'est le passé.
Il poursuit, elle demeure concentrée sur ses paroles, elle ne parle pas, elle n'est que le réceptacle de sa vie passée. Un coffret comme l'avait dit Feodor, un jeune homme qui s'était confié à elle dans les jardins d'Amboise. Elle reçoit, n'émet pas de jugement. Pas simple car tout individu est porté naturellement à le faire. Et puis, là, son récit fait écho chez elle. Il lève une main, elle plisse le nez. Veut-il lui signifier la fin de l'entretien ? Non, il reprend et un sourire joyeux, du moins c'est ainsi qu'elle le perçoit éclaire les traits de l'Italien. Une joie mesquine que de se réjouir du malheur de quelqu'un mais si compréhensible. Si humain.
Non ce n'est pas bien, mais nous sommes tous enclins à le faire, cela fait partie de notre nature imparfaite. Une impression que la vie nous a vengé, c'est peut-être vrai, peut-être pas. Mais le hasard donne souvent naissance à d'étranges circonstances.
Avez-vous revu cette femme ?
Et votre famille, ce qu'il en reste avez-vous essayé d'entrer en contact ?
_________________
Deuil.
bannière en adéquation à venir.
Son récit bifurque sur une histoire d'A. qui explique pourquoi il n'avait pas souhaite se rendre auprès de cette famille qui était pourtant sienne. Une relation secrète, pas si secrète si les amis de la femme étaient au courant. Une impression qu'il avait été joué par cette femme. Possible ou pas. Rien n'est jamais simple surtout quand il s'agit de relations hommes-femmes. Parce que oui forcement, une relation dissimulée aux yeux de tous elle avait eu, elle avait aussi en ce moment mais sans sentiment cette fois-ci , la première avait mal tournée.Une vraie catastrophe. Mais qui désormais appartenait au passé. Avec le recul, elle se reprochait d'avoir mal agi mais c'est le passé.
Il poursuit, elle demeure concentrée sur ses paroles, elle ne parle pas, elle n'est que le réceptacle de sa vie passée. Un coffret comme l'avait dit Feodor, un jeune homme qui s'était confié à elle dans les jardins d'Amboise. Elle reçoit, n'émet pas de jugement. Pas simple car tout individu est porté naturellement à le faire. Et puis, là, son récit fait écho chez elle. Il lève une main, elle plisse le nez. Veut-il lui signifier la fin de l'entretien ? Non, il reprend et un sourire joyeux, du moins c'est ainsi qu'elle le perçoit éclaire les traits de l'Italien. Une joie mesquine que de se réjouir du malheur de quelqu'un mais si compréhensible. Si humain.
Non ce n'est pas bien, mais nous sommes tous enclins à le faire, cela fait partie de notre nature imparfaite. Une impression que la vie nous a vengé, c'est peut-être vrai, peut-être pas. Mais le hasard donne souvent naissance à d'étranges circonstances.
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Et votre famille, ce qu'il en reste avez-vous essayé d'entrer en contact ?
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