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[RP] Annonces Officielles

Ambroise.
Citation:



    Nous, Flavien-Charles, "Fenthick Ier", Galanodel,
    Divinus Favente Clemencius Romanorum Imperator Electus semper Augustus,



      A qui lira, ou se fera lire,




    "La main fut tendue. Elle ne fut pas saisie."


    La colère gronde à Nos frontières. La situation de Notre cousine France devient de plus en plus préoccupante au point de chercher querelle à ses propres vassaux. Le Roy de France est bien entendu maistre de ses frontières mais Nous nous étonnons que le Royaume semble chercher et encourager la guerre civile sur ses terres en malmenant des sujets aristotéliciens qui sont considérés, selon l'avant-dernier communiqué royal, comme des vendus à l'Église et à l'Empire.

    Nous sommes fier de Notre Foi aristotélicienne et d'avoir soutenu l'Église en lui accordant, par la voix de Notre vassale, agrément d'une armée sainte. Notre lien à l’Église reste plein et entier, et notre soutien sans faille, du fait de ce qui suit.

    L'offre de négociation déposée par Nos soins le vingtième de Décembre MCLDX n'a pas été accepté par Sa Majesté Eusaïas de Blanc-Combaz, Roy de France, à l'inverse de la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, qui s'est elle empressée d'y répondre par l'affirmative.
    En mettant en doute la neutralité de l'Empire à son propos, le Roy de France lui refuse le rôle de médiateur de sa propre initiative.
    C'est donc avec une tristesse non-feinte que Nous constatons la mauvaise foi de celui dont Nous refusons désormais de reconnaître le caractère royal.

    Le fol n'est point à même de gouverner, et le Roy de France a démontré, jusque dans sa dernière déclaration du jour d'hier, combien sa folie semblait s'épancher rapidement.
    Nous sommes compatissant. Un temps.

    Ou-est elle, l'offense contre des comportements cardinalices, lorsque que l'on insulte le Saint-Père de " pourvoyeur attitré aux croisières infernales" ?
    Quel-est il, celui qui prétend s'émanciper d'une inconstance, quand, se plaignant un jour des Princes d’Église, et seulement d'eux, se plaint le lendemain de Sa Sainteté le Pape Innocentius, et l'insulte ?
    Quel-est il, celui qui prétend se défendre des attaques d'une entité étatique, alors qu'il se prévaut lui-même comme apte à remplacer l’Église dans sa qualité d'écho de la quintessence divine ?

    Outrage, que celui qui se prend pour le Très-Haut, alors qu'il n'est que Roy, ne se souvienne de sa place, qu'il a pourtant convoité depuis bientôt un an, et pour laquelle il a mené une Fronde, impie, qui fut pourtant pardonnée.
    Outrage, que de prendre en otage un Royaume et ses milliers d'âmes pour le seul bénéfice de son propre orgueil, et de ses propres intérêts.
    Outrage, que d'obliger des âmes, à choisir entre leur terre et leur foi.

    Les désaccords sont naturels, la malveillance est vice. Et le mensonge est outrage.

    Le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae ne tolèrera pas une telle mascarade, une telle insulte faite aux bases de Notre Foi, de la Vraie Foi, et un tel pied de nez à tout ce qui fait la qualité d'un monarque. Tempérance, dignité, raison, sagesse & honneur.

    Par la présente, Nous rompons tout rapport diplomatique avec la Couronne Royale Française, ses Ministres & Représentants et ce, jusqu'à ce que la situation actuelle soit dénouée.
    Par la présente, Nous déclarons ne plus reconnaître comme monarques le triste Eusaïas de Blanc-Combaz, la Reine Consort, et leurs enfants, et leur refusons tout accès au territoire impérial, pour quelque raison que ce soit.

    Parce que les représentants de la Foi sont sacrés, parce que chacun le méritant à droit à la sécurité, Nous donnons asile à tout clerc et à tout sujet de France injustement inquiété par le Fol, en terre impériale.
    Parce que la défense des valeurs aristotéliciennes, de la Foi et de ses institutions est au cœur de Nos priorités, Nous réaffirmons Notre soutien au Saint-Père, et à l’Église Aristotélicienne Romaine, et les assurons de Notre pleine & sincère assistance en ces temps troublés.

    Au Peuple de France, pour qui Nous n'avons que compassion, Nous voulons assurer Notre peine quand à la situation dans laquelle il fut de force plongé.

    Nous prions, pour que celui qui se dit Roy revienne à la raison.


    Pour l'Empire, la Foi et l'Honneur,

    Pro Imperium !


    Donné à Strasbourg, le Onzième de Janvier MCLDXI,

    Sa Majesté Impériale,





_________________
Ambroise.
Citation:

          REMPART DE LA FOI FRANÇAISE

                Manifeste de Janvier


    Nous sommes Serviteurs de la France Éternelle.

    Officiers Royaux, membres besogneux de la Connétablie, de la Maison royale, du Secrétariat d'État et des autres institutions qui régissent notre Royaume millénaire, nous avons vu passer cent Régnants en chaque Province, vécu l'abdication de Lévan le Troisième, conseillé Feux Béatrice de Castelmaure, Nébisa de Malemort et Vonafred de Salmo Salar du mieux que nous le pouvions. À chaque transition entre ces règnes que le Très-Haut a voulu si courts, nous avons répondu présents sur tout sujet porté à notre connaissance. Notre bras et notre esprit n'ont jamais failli à défendre la Royauté contre qui voulait s'en faire un ennemi.

    Aristotéliciens fidèles, nous avons toujours servi par amour d'une Couronne bénie par Rome, auprès de Roys et de Reynes tirant leur force et leur légitimité du Sacre de Reims, célébration du divin dont l'importance se rappelle aux plus anciens depuis Feu Caedes et la première Fronde du nom. Nous avons pour intime conviction que l'unité française ne peut être réalisée hors de la Foi aristotélicienne et de ses représentants. Nous considérons toute tentative de s'en écarter comme l'acte d'ignorants à la vue courte ou pire, de malfaisants...

    Nous croyons à la valeur du pardon et nous avons cru, un temps, qu'Eusaias de Blanc-Combaz avait abjuré ses erreurs passées, son refus de reconnaître le sacre de Feu Vonafred, son engagement frénétique dans la violence ainsi que ses amitiés et ses convictions réformées. Nous avons cru à sa sincérité lorsqu'il affirmait encore à la veille de l'élection royale qu'il demandait pardon à l'Église, "puisqu'elle est la seule représentante de l'Etat Divin" selon ses dires. Nous ne voulions pas voir d'autres signes que les bons, ni entacher un début de règne par une suspicion déplacée.

    Anonymes par nécessité mais non moins libres d'exposer la sainte flamme qui nous anime, nous nous devons de faire un terrible et douloureux constat : nous avions tort.

    Par la Réforme, le Lys est flétri.

    Ainsi, il serait royal d'ordonner de sang froid l'assassinat d'un primat et d'un cardinal.
    Ainsi, il serait pieux de s'attribuer tous les pouvoirs des légitimes représentants de Dieu.
    Ainsi, il serait digne d'embrasser un jour l'Église pour mieux, le lendemain, la poignarder...

    Six semaines seulement pour faire une abomination des préliminaires d'un règne qui, en l'absence de sacre, n'a même pas commencé. De déclaration en déclaration, l'horreur nous a saisis, redoublée au quotidien par la calomnie anticléricale et les mensonges servis aux vassaux les plus faciles à berner. Nous voyons là l'œuvre du Malin, qui ne s'est pas contenté d'Eusaias pour détruire tout ce qu'Aristote nous enseigne et diviser ce que nous nous échinons à unifier depuis des années. Car ses démons ont d'autres noms, jusqu'au sommet de l'État.

    Reyne, d'après elle. Agnès de Saint Just, dicte Gnia. De sainte, elle n'a que le nom tant elle a collectionné les excommunications. De la justice, elle ne connaît que la corruption. Plusieurs d'entre nous ont subi ses assauts et ses promesses avant l'élection royale : ici, un titre, là, une fonction. Cette politique s'est curieusement inversée depuis peu : ici, une menace de destitution, là, l'annonce d'une révocation.

    Dauphin. Sancte, l'homme qui tenta de faire tomber Montauban la Belle dans les affres de la Réforme avant de s'en faire chasser sous la clameur des Guyennois protégeant leur Église. La prétendue victoire d'Eusaias dans les urnes est d'abord la sienne, tant il acheta de voix en puisant dans un butin fabuleux constitué par ses rapines et celles du Lion de Juda.

    Homme de main. Falco de Cartel, brigand et meurtrier, nommé "Mignon royal", sa troupe déclarée compagnie royale et autorisée à massacrer les pèlerins errants sur toutes les terres de France.

    Tous appliquent un plan méticuleusement défini par les ennemis de la Foi, véritables ennemis de la Couronne. Ce plan consiste à utiliser tous les instruments permis par le pouvoir pour détourner les Fidèles de leur Dieu et, s'il le faut, les faire combattre entre eux. Écarté de plus en plus clairement du droit féodal et du droit romain, le Royaume court à la ruine, à la division et à sa propre fin.

    Mais ce n'est pas encore la fin.

    Français, bats-toi pour ta Foi !

    Sa Sainteté le Pape a parlé.

    Tu ne le sais pas, nous t'en informons : celle qui se dit Reyne a ordonné l'occupation militaire de toutes les capitales épiscopales de France afin d'y installer la Mort et l'Hérésie par le fer de ses soldats. Tu le sais peut-être déjà, nous te le confirmons : les Saintes Armées sont en route pour terrasser la Bête immonde et on dénombre déjà plusieurs provinces qui, comme la Bourgogne, ont décidé de se mobiliser contre l'Impie. Il ne nous appartient certes pas d'organiser cette Sainte Croisade, car nous ne prétendons pas imiter ce que nous dénonçons en nous substituant à Rome dans l'accomplissement de la Volonté Divine.

    Cependant :

    - Qu'il soit su que nous nous tenons prêts à lui apporter toute l'aide qu'elle nécessitera et à coordonner l'effort temporel que chacun peut faire sien pour en finir avec le Corrupteur. Rome peut compter sur nous pour préparer dans l'ombre de Paris ce qui jaillira bientôt sur son pavé, enfin débarrassé de la lie réformée.

    - Nous nous tenons à disposition du peuple français afin d'éclaircir les mensonges qui ne cessent d'être propagés contre la Foi et ses représentants. Nous répondrons à leurs interrogations quant au soulèvement des Fidèles en France et dans l'Europe entière, et les mettrons en relation avec les personnes compétentes pour ordonner leur participation. Nos colleurs d'affiche feront office d'intermédiaires.

    - Nous appelons l'ensemble des Ducs et des Comtes du Royaume à tout mettre en oeuvre pour faciliter la purification du pays et à organiser collectivement la succession de l'Imposteur sur le Trône. Le Royaume ne sera pas sauvé de l'Enfer par quelques sourcils inquiets entre deux jeux de salon. Nous avons aujourd'hui pour devoir de communier si nous voulons retrouver notre unité...

    Car nous sommes le Rempart de la Foi contre l'Impie, le dernier lien entre Rome et Paris.

    Pour Dieu, l'Église et la France !



_________________
Ambroise.
Citation:


Du Ritter (chevalier) Makcimus de Kersak, Hochmeister (Grand Maître) de l'Ordre Teutonique, Commandeur de l'armée "Deus Manum Ducit"

Aux armées privées et traîtresses présentes dans l'enceinte de Dijon.
A toute ceux qui liront ou se feront lire.


Nous vous remercions de votre intérêt porté à notre présence ici lieu. Nous tenons à vous informer que l’Église Aristotélicienne est Universelle et représente tous les royaumes. C’est le même cas de notre armée sainte, peu importe la bannière qu’elle porte. Nous prenons le temps de vous rappeler, que ce n’est pas la première fois que notre armée sainte vient en aide au Duché de Bourgogne. En effet, nous étions présents lors du conflit du printemps dernier pour restaurer le pouvoir légitime et aider à reprendre le village de Cosne pour le remettre à nouveau dans le giron de la Bourgogne.

C’est toujours dans le même état d’esprit que nous sommes ici. Non pas pour verser le sang bourguignon, mais pour venir en aide à la population qui a exprimé au moyen de son vote son désir de rester fidèle à ses principes aristotéliciens, qui les sauvegardent de la tyrannie. Nous vous rappelons que vous ne représentez nullement l’autorité légale ou légitime du Duché de Bourgogne, comme le démontre clairement le résultat des votes, ainsi que la reconnaissance par le conseil élu de sa Grâce Alexandre908.

Nous remarquons aussi que les deux armées présentes à Dijon sont des armées privées et non au service de la Bourgogne. Toute attaque ne pourra être considérée que de votre propre initiative, démontrant votre peu de respect envers toute la population bourguignonne et en ses représentants légitiment élus, ce qui peut constituer un acte de Haute Trahison envers le Duché de Bourgogne.

Comme il ne s’agit que de votre désir personnel d’interférer dans la politique choisie par la population, représentée par ce conseil légitime, cela ne peut être considéré que comme une provocation honteuse et insensée contre le Duché de Bourgogne, l'Eglise, et les Ordres Militaro-Religieux présents, qu'on ne pourrait soupçonner de malfaisance envers une ville aristotélicienne, sous peine de prouver sa mauvaise foi et sa malhonnêteté. Si le sang doit couler, la faute relèvera entièrement des mauvais actes de la minorité de traîtres fanatisés par les murmures du Sans Nom, et ces fautifs en seront les seules victimes.

Sachez que notre sainte armée ne considère personne comme son ennemi.


Fait en Dijon le neuvième jour de l'an de grâce MCDLXI
Makcimus de Kersak


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Ambroise.
Apparemment, si les Cardinaux étaient pourris et des rats, le Pape était fou. Ne restait plus que le Roy comme seul personnage en France apte à interpréter le message du divin... Et c'est ainsi que certains prenaient les armes et justifiaient de passer outre, encore une fois, la décision des Bourguignons exprimée par les urnes...

Son évêque l'ayant chargé d'une autre annonce, le bedeau se rendit donc en gargote bourguignonne, comme à son habitude. Et les habitudes étaient manifestement forcées par un groupuscule d'hérétiques bourguignons...


Citation:



De l'hérésie, de la Bourgogne, du Royaume de France.
Condamnations, soutiens & prière au Très-Haut.



« Chaque Aristotélicien incarne l'espoir ; et l'espoir est ce qui maintient la paix, la foi & l'amour. »
Onzième méditation de Saint Barnabé



À l'attention des pourtant si fidèles et pieux Bourguignons,
Aux paroissiens du diocèse de Nevers,
À qui de droit,



Seigneur.
Notre plus haut souverain.
Notre allégeance la plus forte.
Notre serment le plus sincère.


Les répétitions, les argumentations sans fin, les vérités pourtant bafouées sont sans utilité face à l'ignorance, la bêtise, la faiblesse, la couardise.
Aucun rappel des plus simplistes de Dogme & Droit Canon ne sera donc prononcé sur la situation bourguignonne.
Toutefois, le silence n'est pas suffisant pour condamner l'hérésie.
Toutefois, la vraie Foy n'est pas suffisante face aux armes apostates.
Ainsi donc, il est évident que la prise du Château de Dijon par les armes d'hommes et de femmes soumis à un Roy-élu qualifié d'Anti-Roy par Sa Sainteté le Pape est vivement condamnée !
Ainsi donc, il est évident que le mensonge et l'insulte propagés par des égarés, envers la Très Sainte Église aristotélicienne, ses représentants & à la face même de Sa Sainteté le Pape, sont vivement condamnés !
Et ainsi donc, nous enjoignons de tout cœur ceux qui, la vraie Foy au corps, encore à même de discerner le bon chemin de celui menant vers l'Enfer lunaire, à remplir les rangs des Saintes Armées et à les soutenir.

Il nous faut combattre l'ignorance, la bêtise, la faiblesse & la couardise. L'hérésie.

Nous ne citerons point. Nul besoin. Car les perdus se reconnaîtront au plus profond de leur être, même s'ils le nieront en public. Ils s'entêteront durant leur vie tournée vers la futilité du matériel. Mais ils se morfondront à l'heure du Jugement. Et ils souffriront l'éternité sur l'Enfer lunaire.

Seigneur.
Accordez-nous le soin de baptiser.
Accordez-nous le soin de marier.
Accordez-nous le soin de mener les âmes à vos côtés.
Accordez-nous le soin de célébrer en votre honneur.
Mais accordez-nous aussi le soin d'identifier et de combattre les hérésies, où qu'elles soient, depuis la plus humble des masures jusqu'au trône royal.


Un Aristotélicien n'est aristotélicien que s'il adhère totalement et sans sélection aux doctrines de l'Église aristotélicienne, Dogme & Droit Canon. Un Aristotélicien n'est donc aristotélicien que s'il accepte que l'Église Aristotélicienne est la Seule, Unique et Légitime Institution du Tout Puissant & qu'elle est Seule détentrice de la Vérité Divine et de la Vraie Foi. Un Aristotélicien n'est donc aristotélicien que s'il reconnaît en les clercs, prêtres & prélats les seuls représentants du Très-Haut en ce monde et les seuls à même d'interpréter Son message.

Trois pourprés ne sont pas trois rumeurs infondées. La Curie n'est pas trois pourprés. Et l'Eglise aristotélicienne n'est pas la Curie.
Le Primat poursuivi et jeté en geôles n'est pas pourpré, les évêques de France associés à un "traître" Primat en l'AEF ne sont pas Curie, les clercs du terrain ne sont pas des représentants d'une prétendue gangrène.
Pourtant, ils sont tous unis, car l'Eglise aristotélicienne est Une.

Il est humain, et faible, de préférer généraliser la gangrène à une institution entière.
Plutôt qu'à sa propre personne.
Plutôt qu'à un Duc.
Plutôt qu'à un Roy-élu capable de vous retirer sur un caprice humain, et faible, un honneur, un nom, une terre, mais pas la Foy.
Lorsqu'un insulte et remet en question la mission propre à un ministre de l'Eglise, qu'il soit Pape, pourpré ou de bure, il insulte et remet en question l'Eglise dans son ensemble ; sa Fidélité, sa Foy & sa Force.

Seigneur.
Pardonnez-leur.
Pardonnez la Bourgogne.
Pardonnez le Royaume de France.



Scellé de ma main au palais épiscopal de Nevers,
Le douzième jour du mois nouveau de l’an de grâce mil quatre cent soixante et un.


Monseigneur Fitz
Non pourpré
Premier Vice-Primat de France
Évêque de Nevers
Seigneur d'Imphy



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Ambroise.
Citation:



    Eusaias Super Anathemus Pugna Haeresis



    Par sa bulle du 5 janvier, Sa Sainteté le Pape Innocent VIII, notre Très Saint Père, représentant du Très-Haut sur Terre, a reconnu officiellement Eusaias de Blanc-Combas comme Anti-Roy et Sicaire démoniaque au service du Sans-Nom, lui déniant tout droit à régner sur le peuple aristotélicien du Très Aristotélicien Royaume de France.

    Par conséquent, la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine se refuse à reconnaitre à Eusaias de Blanc-Combaz un quelconque pouvoir et ne reconnait aucune de ses décisions ni aucun de ses actes comme ayant une quelconque valeur. De fait, tout aristotélicien ayant un devoir contractuel, quel qu'il soit, avec Eusaias, s'en trouve désormais libéré. A contrario, toute personne lui apportant son concours le fera de sa propre volonté en se mettant en situation de parjure envers son serment de baptême.

    La Sainte Eglise Aristotélicienne regrette profondément qu'a aucun moment, Eusaias n'ait accepté de saisir la main de multiples fois tendu par l'Eglise, et qu'il ait préféré s'enfermer dans une spirale d'attaques contre l'aristotélisme, se rendant par là indigne du rang qu'il prétendait avoir.

    Non content d'avoir été excommunié pour son comportement à l'encontre du Roy Sacré Vonafred de Salmo Salar, Eusais le fol a choisi de s'associer à l'hérétique Falco, réformé et brigand notoire dont la liste des exactions n'est plus à faire.

    Non content d'avoir fait mettre aux fers le Primat de France, le pieux et pacifique Navigius de Carrenza, et d'avoir fait menacer de mort le doyen des cardinaux, Son Éminence Aaron de Nagan, il a pris la décision d'autoriser les hérésies en royaume de France tout en prétendant usurper les prérogatives de l’Église.

    Eusaias s'est ainsi rendu a nos grand dam coupable à la fois d'excommunication, d'apostasie, de schisme et d'hérésie.

    En ce jour, alors qu'a nouveau le Saint Père lui proposait d'abjurer ses fautes, Eusaias a décidé d'ajouter à cette longue liste le fait de répandre la mort envers ceux qu'il considérait prétendument comme ses sujets - en s'attaquant au peuple bourguignon qui à choisi, à travers son Duc légitime Alexandre Olund, de refuser de prêter allégeance à un anti-roy mécréant - et son intention de se faire sacrer de manière illégale par quelques sbires illégitimes.

    Il devient donc évident qu'Eusaias n'a jamais eu l'intention de discuter avec les représentants de l'Eglise, comme en témoigne son refus d'accepter la médiation proposée par l'Empereur du Saint Empire Romain Germanique, et que son intention est d'apporter l'hérésie en Royaume de France. Il est désormais du devoir de l'Eglise de protéger les aristotéliciens.

    Aussi, dans la continuité de l'annonce de notre Très Saint Père et en réponse à l'ensemble ces actes, la Sainte Église Aristotélicienne se voit contrainte de frapper en ce jour Eusaias de Blanc-Combas d'anathème. L'anathème est l'excommunication dite «majeure», excluant l’intéressé de manière définitive tant de l’Église militante, d’ici-bas, que du corps mystique de l’Église, à savoir de l’Église Triomphante, auprès de Dieu.

    Qu'il soit su que toute personne se mettant au service actif ou passif du Sicaire démoniaque où lui prêtant quelconque serment sera ipso facto frappé d'excommunication. Nous invitions d'ailleurs les personnes en plein doute quant à la meilleure marche à suivre à prendre contact avec leur évêque ou l’administration ecclésiastique.

    Nous appelons en ce jour tous les aristotéliciens de France à s'unir et se rassembler afin de lutter, par tous les moyens à leur disposition, y compris par les armes, contre l'Anti-roi, dans le cadre de la Guerre Sainte visant à empêcher définitivement cet individu de nuire. Le faux règne d'Eusaias le fol ne durera qu'un temps, là ou l’Église, elle, est éternelle.

    Dans les tout prochains jours, la Sainte Église Aristotélicienne et Romaine annoncera les prochaines initiatives visant à soutenir les Justes contre les affres de la Bête Sans Nom.



    Ad Majorem Dei Gloriam



    Fait et scellé à Rome, le XII jour du premier mois de l'an de grâce MCDLXI de notre Seigneur.



    Pour le collège des Cardinaux,
    Raniero Borgia dict "Quarion", Cardinal Camerlingue.

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Ambroise.
Citation:
                          Ils vous diront...



Bourguignons, Bourguignonnes, levez-vous !


Voici à présent plusieurs jours que la Régence Illégitime de Bourgogne est entrée, arme au poing et en armure à l'intérieur du Castel Ducal. Ils vous diront avoir fait cela calmement, ils vous diront avoir frappé par nécessité..

Ils ne vous diront jamais s'être opposés à ce que vous avez pu exprimer par les urnes !

Car c'est ce qu'ils ont toujours fait et feront toujours. Ces êstres qui régissent la Bourgogne ne jurent que par des règles qu'ils détournent eux mêmes, de la règle la plus banale à la plus fondamentale.

Pourquoi se sont-ils opposés à nostre Règne et à la pérennité de la Bourgogne en l'amenant à pareille scission ? Ils vous diront que c'est parce que nous n'avions point de légitimité et que nous étions placé en position d'usurpateur en ayant fait annonce nous proclamant Duc de Bourgogne et en usant des sceaux de la Province. Ils vous mentiront alors. Car pour cela il faut reconnaître le Roy.
Or de Roy il n'y a pas, car de Roy il ne peut y avoir sans sacre. Je ne reconnais point cet Anti-Roy comme étant celui de France et appelle tous ceux, manipulés, confondus ou hésitant encore, à ne pas le reconnaître. Cet homme à été jugé d'Anathème, en cela il ne serait qu'un Guide vers le Sans-Nom pour vos âmes.

Si ils se sont opposés à nostre Règne c'est pour garder un contrôle plein et entier sur la Bourgogne, son avenir, le vostre ! Ils le brident, le limitent et vous font croire en des règles qu'ils ne respectent pas eux mêmes !

La règle usitée contre nous à vos yeux ? La voici.

Citation:
Tout feudataire ne remplissant pas ses devoirs d'hommage et d'allégeance dans les quatre jours suivant sa reconnaissance par son Conseil Ducal ou Comtal, et prétendant néanmoins aux titres de Duc, Comte, Gouverneur ou Régent, se rendra coupable des délits d'Usurpation de Titre et de Haute Trahison, et verra invalidées toutes les décisions qu'il aurait pu prendre durant cette période d'usurpation.


Or cet Anti-Roy qu'ils considèrent comme le leur n'a toujours pas reçu leurs hommages. Ils sont donc coupables des mêmes délits que ceux dont ils nous affublent, et en sont d'autant plus coupables qu'ils reconnaissent ce Roy comme tel et auraient donc dû lui prêter allégeance. Ne les croyez donc point, toutes leurs annonces n'ont point de valeurs, elles sont caduques avant même d'être affichées si l'on suit les règles qu'ils énoncent.
Ils vous diront alors que la Pairie les as reconnu. Le Onze de notre Premier Mois de l'an de Grâce quatorze cent. Les trois premières annonces datent elles du Dix. Une des nombreuses entorses aux règles sur lesquelles ils s'appuient.
Tout comme il serait regrettable de ne pas parler du cumul du Maire de Dijon devenu également Commissaire au Commerce en échange de sa traîtrise envers le conseil ducal légitime.

Ils vous diront vouloir le bien de la Bourgogne. Ils chasseront les Maires que vous avez élu au seul motif qu'ils leur tiendront tête, pour mieux placer leurs poulains. Ils renverront les Douaniers qui protègent vos villes pour la simple et unique raison que ces courageux maréchaux auront pris position pour un gouvernement légitime.

Et plus que tout.. Ils vous diront vouloir vostre liberté, pour vous condamner au joug d'un Anti-Roy aux lubies plus folles les unes que les austres. Un jour ils vous enverront alors au front, affronter les Royaumes qui s'opposent à l'Anti-Roy. L'Anjou, le Saint-Empire Germanique, l'Eglyse Aristotélicienne.

A tous ceux qui, par crédulité, par hésitation ou bien le plus involontairement du monde car cela se présentait à eux, ont rejoint les armées illégitimes. Faites demi-tour. Quittez ces armées qui ne veulent que le Pouvoir mais en aucun cas le bien de la Bourgogne. Il est encore temps.
A tous ceux, qui ont cru suivre la bonne voie pour ensuite se rendre compte de la folie du Conseil illégitime, je vous enjoint ce jour de revenir dans le droit chemin. Rejoignez vos villes, vos foyers. Vos familles ont besoin de vous, vos villes ont besoin de vous. ar sans ville la Bourgogne n'est rien qu'un nom, pas un Duché. Or ces avares de pouvoir vous mènent à cela. Une Bourgogne sans ville pour suivre leur tête.

Pour la Bourgogne, Pour les Bourguignons !


Alexandre Olund, Duc de Bourgogne.


















_________________
Ambroise.
Citation:



    Autun, le 13 Januaris de l’an de grasce MCDLXI.


    Chères Autunoises et Chers Autunois,

    Dans la nuit du 8 ou 9 janvier de l’an de grâce 1461, Sa Grâce Alexandre Olund et son conseil ducal bourguignon légitimement élu par les urnes a été renversé par Aryanha, la dame de Chenôve, Angélyque de la Mirandole, Duchesse de Charolais et leurs armées. Elles ont investi la salle du conseil pour en chasser les conseillers ducaux, que vous Autunois, avez élus. Cette sédition infâme fait suite à la déconvenue du parti BOUM suite à leur défaite aux élections ducales, mais aussi parce qu’ils s’opposent à l’Eglise Aristotélicienne et soutiennent l’hérétique excommunié Eusaias de Blanc-Combaz, prétendu Roy de France non Sacré.

    L’enjeu des dernières élections ducales fût le choix de la Foy Aristotélicienne défendu par le parti DRAGIBUS et BN contre l’hérésie présentée par les partis BOUM et BNP. Rappelons que l’Apostat Duchesse Angélyque de la Mirandole a été frappé d’interdit par l’Inquisition Aristotélicienne pour soutenir l’Anti-Roy, comme le nomme Sa Sainteté le Pape.

    Même si de foy Aristotélicienne, en tant que Maire, j’espérais pouvoir gérer la ville en y préservant la paix et la tranquillité. Mais suite aux diverses pressions et oppressions du conseil hérétique, je ne peux que le dénoncer en vous informant de leurs agissements. Il a été demandé aux Maires et aux membres des Forces de l’Ordre, de choisir entre défendre sa Foy pour l’Eglise ou renier le sacrement de leur baptême pour soutenir le Roy dans sa réforme de l’Eglise. Toute personne ne soutenant pas leurs agissements sont tout bonnement limogés et pour certains même traduit en justice pour Haute Trahison. Le Père Aegon, actuel Maire de Chalon, fut le premier à en faire les frais. Dernier fait en date, j’ai été moi-même menacé par le conseil hérétique de procès pour Haute-Trahison pour ne pas avoir affiché leurs annonces de propagandes à la haine.

    C’est dans ces conditions de tyrannie, ne pouvant plus commercer avec le duché que je demande à tous les habitants de rester solidaires devant l’adversité. Je tenterai aux mieux de continuer à fournir le marché en diverses denrées, afin que tous les Autunois puissent continuer à vivre paisiblement dans leur ville. Parce que vous n’avez pas à subir les guerres de pouvoir des grands de ce monde.

    Dès lors, l’impôt ducal ne sera plus prélevé à Autun tant que le conseil hérétique sera à la tête du duché. Toute armée hérétique lui verra fermé les portes de la ville, capitale du Diocèse épiscopal d’Autun, garante de la Foy Aristotélicienne. Que tous les volontaires bénévoles désireux de protéger leur ville, rejoigne ma lance. Des informations supplémentaires vous seront communiquées en tant voulu pour assurer la défense. Toute personne désireuse de se battre pour sa liberté et pour Dieu, peut rejoindre les Saintes Armées à Dijon. Vous pouvez sans plus attendre écrire à Duc légitime de Bourgogne, Sa Grâce Alexandre [IG : Alexandre908] ou son capitaine, le Vicomte Miguaël Enguerrand [IG : Miguael_enguerrand]

    Et récemment, la Sainte Église Aristotélicienne a frappé d'Anathème l’Anti-Roy Eusaias de Blanc-Combaz, et ne le reconnait pas comme Roy de françoys. Cela veut dire qu’aucune de ses décisions ni aucun de ses actes n’ont une quelconque valeur. Et cela est également valable pour le conseil hérétique illégitime de notre cher duché de Bourgogne. De ce fait, tout Aristotélicien ayant un devoir contractuel, quel qu'il soit, avec Eusaias, s'en trouve désormais libéré. A contrario, toute personne lui apportant son concours le fera de sa propre volonté en se mettant en situation de parjure envers son serment de baptême.

    Dans les prochains jours, les Saintes Armées viendront nous délivrer du joug du despotisme et de l’hérésie. En attendant, prions ensemble le Très-Haut pour qu’il nous accorde sa miséricorde et nous donne le courage à lutter contre les envoyés du Sans Nom.

    En outre, qu’il soit su que la Municipalité d’Autun s’unit aux villes de Chalon et Tonnerre, et leur ouvre les routes commerciales.

    Parce que l’Eglise est une et indivisible, notre Foy et notre Amitié Aristotélicienne triomphera toujours du malin ! Que les âmes impies soient repoussées !


    Vade Retro Eusaias,

    Ad Majorem Dei Gloriam,


    Frère Ambroise,
    Maire et Diacre d’Autun.




_________________
Ambroise.
Citation:



    Appel à la croisade contre Eusaias pour sauver la France.



    A l'universalité des fidèles,
    Aux Justes du Royaume de France,


    Le Mal rôde en Royaume de France. La Bête Sans Nom a investi le Louvre et s'apprête à faire subir ses affres à la France. Mais il n'est nul Mal qui soit de taille à s'attaquer aux Enfants du Très-Haut, bercés dans Sa lumière.

    L'annonce de notre Très Saint Père, Sa Sainteté le Pape Innocent le Huitième, reconnaissant un Sicaire démoniaque en la personne d'Eusaias dict le fol, Anti-roi, implique pour la Sainte Eglise de considérer le trône de France comme vacant.
    Par conséquent, la Sainte Eglise a pris la décision de reconnaître Son Altesse Namaycush de Salmo Salar, Prince de Pontoise et Général français, comme représentant du Royaume de France, en sa qualité de frère de feu Sa Majesté le Roy Sacré Louis Vonafred Salmo Salar, dernier Roy légitime du Royaume de France, dans l'attente de la désignation d'un nouveau souverain.

    Il apparaît désormais clairement que la multiplication des méfaits commis par Eusaias le fol s'apparente à une tentative de la Créature Sans-Nom de s'emparer du Très Aristotélicien Royaume de France en y plaçant l'un de ses Sicaires démoniaques. Il est devenu incontestable que le seul et unique but d'Eusaias le fol était d'éloigner les pieux aristotéliciens de leur foy afin de vouer leur âme à l'Enfer lunaire, comme en témoignent les mesures prises par Eusaias dans le but d'empêcher les clercs d'exercer leur ministère. Il est évident qu'une réaction s'impose afin d'assurer la protection des clercs et des fidèles aristotéliciens qui est aujourd'hui plus que jamais menacée.

    Aussi, la Très Sainte Eglise Aristotélicienne a pris la décision de nommer le Prince Namaycush de Salmo Salar au rang de Commandeur laïc des croisés. Nous demandons à celui-ci de prendre la tête de la croisade contre Eusais le fol, visant à l'empêcher de porter atteinte et nuisance aux aristotéliciens français dans le légitime exercice de leur foy, et d'assurer leur protection, puisque la vie de tout ceux qui ont refusé de renier l'Eglise est menacée.

    Par conséquent, nous appelons solennellement les Ducs et Comtes régnants des provinces françaises, les Pairs de France, et les Grands Officiers de la Couronne, à continuer d'exercer leurs fonctions loin de l'influence néfaste d'Eusaias le fol. Servir la Couronne et le Royaume de France s'oppose nécessairement à servir la personne d'un Anti-Roi excommunié, schismatique, et meurtrier, qui a déjà largement prouvé plus qu'il n'en faut sa folie.
    L'Eglise Aristotélicienne comprend et pardonne ceux qui ont voulu jusqu'à présent tenir leur rôle pour servir le Royaume et les fidèles français en devant s'incliner devant une créature du Sans-Nom, mais cette heure est maintenant définitivement révolue. Aussi, nous appelons tout les Justes à se rassembler et s'unir pour participer à la lutte visant à sauver le Royaume de France du Sans-Nom.

    En ce jour, le Royaume de France connait une épreuve qui testera la force de sa foy et son courage. Le Mal n'a besoin, pour prospérer, que de l'inaction des gens de Bien. Que tout les français aient bien conscience en ces heures sombres que les méfaits d'Eusaias le fol ne seront que de courte durée.


    Que Dieu sauve la France du Sans-Nom.


    Fait et scellé à Rome, le XIV jour du premier mois de l'an de grâce MCDLXI de notre Seigneur.




    Pour le collège des Cardinaux,
    Raniero Borgia dict "Quarion", Cardinal Camerlingue.

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Ambroise.
Citation:
                          L'on vous affame !



Bourguignons, Bourguignonnes, levez-vous !

Ce jour c'est avec surprise que nous avons observé un cortège de gardes de la Régence se diriger vers la Mine Dijonnaise. Quel ne fût pas nostre surprise de constater que cette dernière a été condamnée ! Pourquoi ? Par Qui ?

Souvenez vous, Mai 1460. La Régence BOUMiste déjà illégitime à l'époque avait usé du même subterfuge. Son but ? Vous obliger à aller aux seules offres disponibles, la maréchaussée et la milice. Ils vous affament pour que vous alliez leur servir de première ligne !

Allez à la cueillette, allez aux champs.

Condamnons la Régence ! Qui affame la Bourgogne, qui met en péril ses frontières en ne défendant plus les villes qui s'opposent à leurs idées.
Condamnons la Régence ! Qui vide les caisses du Duché financé par vos impôts pour défendre leur hérésie et leur trahison de la Bourgogne.
Condamnons la Régence ! Qui ferme ses mines pour vous pousser à défendre leurs perfides intérêts.

Bourguignons, ne soutenez pas ces hommes et femmes qui ne veulent que s'enrichir, gagner des titres et se placer au dessus de vous ! Ne vous associez pas à ces hérétiques qui osent s'attacher à un Anathème. Ces hérétiques qui brident la parole de l'Eglyse en Bourgogne !

Pour la Bourgogne, Pour les Bourguignons !


Alexandre Olund, Duc de Bourgogne.



Citation:
                          La Bourgogne Saigne !



Bourguignons, Bourguignonnes, levez-vous !

Ce jour la Bourgogne Saigne ! Et ce sang qui est sur le sol à l'entrée de Dijon est bien celui de deux Bourguignons. Mansart et Telemaque. Leur crime ? Avoir soutenu leurs convictions. Avoir cru en une Bourgogne sans Dictateur, en une Bourgogne qui ne ment pas.

Et la Bourgogne pleure. De voir la cupidité et la perfidie de ceux qui se proclament Régents !

Nous, Alexandre Olund, Duc Légitime de Bourgogne, condamnons ouvertement cet acte innommable que fut l'attaque de deux Frères de Sangs.
La Régence se prévalait qu'elle ne ferait pas couler de son propre chef le Sang Bourguignon, voici à présent preuve de ses mensonges !

Qu'il soit su, que suite à nostre précédent appel à quitter les armées de la Régence nostre prévention prend fin ! Que toute personne défendant ces hérétiques, ces Fratricides n'auront nuls clémence de nostre part ! La Bourgogne ne saurait plier face aux caprices de pouvoir d'une bande de parvenus !

Pour la Bourgogne, Pour les Bourguignons !


Alexandre Olund, Duc de Bourgogne.


_________________
Ambroise.
Citation:
A vous, Aryanha Farnèse, Dame de Chenôve, Autoproclamée Régente de Bourgogne,

Faisons ce pli pour vous assurer le soutien à notre époux, Alexandre Olund, Seigneur de Giry et de Bonnencontre, et que vous avez chassé du trône où les Bouguignons l'ont placé par leur voix et en toute légitimité.

Vous avancez je ne sais quelle raison obscure pour justifier votre acte mais le seul que je vois, ce n'est qu'une soif de pouvoir à la défaite mauvaise. Les Bourguignons avaient, en toute connaissance de cause, élu
le parti que mon époux représente. Vous les privez donc de leurs voix, de leurs pensées, de leurs idées, de leurs droits.

De par cet acte, vous êtes la seule et unique responsable de la tournure qu'à prit la Bourgogne, à savoir la diriger lentement vers une guerre certaine. Hier vous criiez haut et fort que vos armées ne verseraient pas une goute de sang sauf contraint et forcés. Est ce contraint et forcés que l'armée de la Vache Folle III dirigée par l'Ex Duchesse de La Mirandolle, que vous avez attaqué deux pauvres hommes qui se dirigeaient vers la capitale ? Vous déclarez la guerre vous même. Allez vous attaquer par les armes tous ceux qui irons à votre encontre ? J'ose espérer que non car sinon, la femme pleurera son époux, l'enfant pleurera son père...Aurais je droit au même sort si je désire rallier une autre ville de Bourgogne ? Suis je condamnée à rester à Joinville par peur de me faire attaquer par vous ou vos armées sous prétexte que je suis l'épouse de celui que vous avez chassé du trône que vous avez tant convoité et obtenu par la force ? Avez vous listé dans vos armées tous ceux qui osent aller à votre encontre ?

Vous clamez à qui veut l'entendre que vous étiez désireuse de libérer la Bourgogne d'un Duc qui, parce qu'il n'y eu d'allégeances, risquait de voir les armées Royales pénétrer en nos terres. Hors, vous ne la libérez pas, vous l'enfoncez vers le chaos.

De par cet acte, des hommes et des femmes ont vu leur amitié brisée, des
couples se sont cassés car des positions furent prises. Vous qui vous dites bonne Aristotélicienne, où est l'amour là dedans ? Où est la Foy, la vrai ?

Vous avez détruit bien plus que vous ne le pensez Madame et je ne peux le cautionner. Il fut un temps où l'amitié nous liait vous et moi mais à cette époque, je vous pensais dotée d'un coeur.
Je salue le courage de tous ceux qui osent se rebeller, qui osent dire "NON, Nous ne voulons pas de votre dictature...", je respecte ceux qui, parce qu'ils ont des convictions autres que les votres, se défendent pour garder leur indépendance. Hors, vous les en privez. Vous chassez les douaniers laissant les villes sans surveillances et sous prétexte qu'ils ont assumé leur choix, vous excluez de VOTRE Conseil ceux qui osent vous tenir tête, vous promettez procès à tous ceux qui refusent de vous suivre dans votre orgueil démesuré. Je pense que votre pseudo procureur et votre pseudo juge auront fort à faire dans les jours à venir. Et durant ce temps, combien de procès, de vrais procès contre de vrai brigands, ont été lancé ? Aucun...sans doute avez vous bien mieux à faire en chassant vos détracteurs.

J'espère que vous retrouverez la raison et reconnaitrez que vous êtes la seule et unique responsable de l'état de la Bourgogne et que si, votre
soif de pouvoir n'avait pas dominé, la guerre ne serait pas au porte de la capitale. Prenez vos responsabilités, il en est encore temps...

Je prierais pour cela.

Fait à Joinville,
le 15 Janvier l'an de Grâce 1461



Dame de Giry et de Bonnencontre.

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Ambroise.
Citation:





    Du Conseil Ducal de Savoie,
    Au peuple Savoyard, à nos ambassadeurs, aux sujets français, à tous ceux qui liront ou se feront lire,
    Salut.



    Nous, Marc Antoine di Leostilla, Duc de Savoie, voulons faire un point sur la position de la Savoie vis-à-vis de la dernière annonce de Sa Majesté Impériale Flavien Charles Galanodel.

    Nous annonçons, que la Savoie se tient en total accord avec l'Empire et avec les déclarations du Saint Empereur.

    Qu'en conséquence, le duché souverain de Savoie ne traitera désormais plus avec les provinces fidèles à l'anti-roi Eusaias de Blanc-Combaz. Nous, chef suprême, ordonnons à Son Excellence Adrian de Montjoie von Frayner Sevillano, notre Chancelier, de retirer tous nos ambassadeurs des chancelleries vouées au pouvoir royal français. Nous sommons également les émissaires de toutes les provinces loyales au roi de France de quitter notre chancellerie savoyarde et notre duché d'eux-mêmes, sans quoi, passé un délai de vingt-quatre heures, ils seront remis aux frontières manu militari.

    Nous ne pouvons tolérer de tels agissements au-delà de l'Empire, contre Notre Sainte Mère l'Eglise Aristotélicienne Romaine.

    Qu'il soit su, que cette présente annonce n'entend pas les provinces qui résistent aux forces de l'anti-roi, auxquelles nous apportons tout notre soutien. S'il ne peut être armé, il s'envole vers Dieu lors de nos ferventes prières.

    Les ambassadeurs de ces Résistances seront toujours les bienvenus en notre chancellerie. La Savoie se fait également terre d'accueil pour tous les sujets français et tous les clercs, dénigrés, rejetés et maltraités par les forces royales. Tout royaliste qui revendiquera sa cause en notre duché, sera reconduit à notre frontière.

    Ainsi nous parlons. Avec la tyrannie qui martyrise son Peuple, nous ne pouvons avoir aucun lien, exceptés l'inimitié et la protection des plus faibles.


    Pour la Savoie !

    Fait le 14 janvier 1461,
    Au palais des ducs de Savoie.


Ambroise.
Citation:


Des Hautes Autorités Comtales d'Armagnac et Comminges,
Des Hautes Autorités Comtales du Béarn,
Des Hautes Autorités Ducales de Gascogne,


Qu'il soit su que nous ne saurions continuer à promettre aide à la Couronne de France, car même si elle tente vainement de faire croire qu'elle n'est pas l'instigatrice de la situation qui déchire actuellement le Royaume de France, elle ne fait rien de plus que se mentir à elle-même. Nous ne saurions que trop rappeler à la soi-disant Majesté que s'il est si aristotélicien qu'il le dit, le mensonge et le déni sont deux péchés qui ne permettent pas d'accéder au Paradis Solaire. Il s'agit pourtant bien là de la hantise de tout membre de la grande famille aristotélicienne dont nous faisons partie.

Qu'il soit su également que nous ne saurions continuer à promettre fidélité à la Couronne de France, celle-ci n'ayant de toute façon aucune légitimité sur les Terres de France. Celui se faisant appeler Roy n'ayant pas été Sacré, pourquoi un régnant n'ayant pas prêté allégeance ne serait pas officiellement reconnu régnant, tandis qu'un Roy qui n'aurait pas officiellement reçu son Sacrement serait officiellement reconnu Roy ? Nous rappelons que les lois héraldiques de France nous obligent à rendre hommage à un "Très Aristotélicien Souverain", or s'il n'a pas été sacré, ledit souverain ne peut se targuer d'être Très Aristotélicien. Adoncques, nous sommes en accord avec notre droit le plus strict, celui de respecter les lois héraldiques de France.

Qu'il soit su aussi que nous ne saurions continuer à promettre conseil à la Couronne de France, celle-ci ne prenant de toute façon pas le temps d'en demander. Les Grands Feudataires du Royaume n'ont jamais été interrogés concernant leur ressenti sur cette crise qui était en train de s'abattre sur les Terres de France. Les décisions ont été prises en un comité que nous imaginons plus que réduit, composé de personnes aux idées bien arrêtées sur la religion aristotélicienne. Nous ne pouvons que déplorer le manque de prise en compte de l'avis du peuple français avant de faire éclater cette situation devenue critique et sans retour possible.

Ainsi, par cette annonce, les régnants d'Armagnac et Comminges, du Béarn, et de Gascogne, ne se reconnaissent plus vassaux du Royaume de France et déclarent de facto la séparation des Provinces de l'Armagnac et Comminges, du Béarn et de la Gascogne dudit Royaume de France. Nos trois provinces se disent prêtes à accueillir toutes les Saintes Armées sur leur territoire et à leur accorder le gite autant de temps que cela sera nécessaire. Nous invitons les autres provinces de France à prendre part à la Croisade contre le Sans Nom, car nous ne saurions que trop rappeler à tous que la religion fut, est et sera toujours là pour vous guider sur le chemin de la vertu. Tandis que les Souverains passent et trépassent, l'Eglise Aristotélicienne, elle, demeure.

Puisse le Très Haut veiller sur les hommes, les femmes et les enfants du Royaume de France, puisse-t-Il les aider à suivre le chemin de la vertu.


Rédigé le quinze janvier de l'an de grâce mille quatre cent soixante et un, par Sa Grâce Rozenn Caillavet, Duchesse de Gascogne et contresigné par Sa Grandeur Riwenn de Castel Vilar, Comte d'Armagnac et Comminges et Sa Grandeur Azilize d'Herbauge, Comtesse du Béarn.






Azilize d'Herbauge
Comtesse du Béarn



S.G.RCVLD


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Maistre_de_ceremonie
Citation:






    Y a pas de bonbon dans le boeuf bourguignon !



    De Nous, Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Salutations.



    Depuis des années, la Bourgogne est province vassale de la Couronne de France, et les Régnants élus prêtent allégeances au Roy de France, garant de l'unité du Royaume, pour porter fièrement et légitimement la couronne de Duc de Bourgogne.
    La quatre janvier dernier, Alexandre Olund [IG :Alexandre908] a été reconnu Régnant de Bourgogne par les membres du Conseil ducal élu quelques jours plutôt. Ce dernier disposait alors de quatre jours pour se présenter devant le Roy de France et lui prêter allégeance.
    Chose qu'il n'a pas fait. De plus, il s'est octroyé le droit de sceller des annonces au nom de la Bourgogne, et a prétendu au titre de Duc de Bourgogne. Comme le stipule les Lois héraldiques royales :

    Lois héraldiques royales a écrit:
    Tout feudataire ne remplissant pas ses devoirs d'hommage et d'allégeance dans les quatre jours suivant sa reconnaissance par son Conseil Ducal ou Comtal, et prétendant néanmoins aux titres de Duc, Comte, Gouverneur ou Régent, se rendra coupable des délits d'Usurpation de Titre et de Haute Trahison, et verra invalidées toutes les décisions qu'il aurait pu prendre durant cette période d'usurpation.


    En conséquence de quoi, nous déclarons toutes les décisions prises par l'usurpateur Alexandre Olund, nulles et non avenues.

    Suite à cette usurpation et trahison, l'armée de la Veuve Noire menée par nos soins a investi le Château et a évincé l'usurpateur et son Conseil ducal par la même occasion.
    Nous avons alors constitué un nouveau Conseil ducal dont voici la composition
    :

      Régente : Aryanha de Farnese

      Capitaine : Didier de Naphield, dict "Dnapo"
      Prévôt : Adriah de la Croix de Bramafan
      Connétable : Arthur_pendragon

      Procureur : Athos de la Bronze, dict Olivier1er
      Juge : Charles Dubois

      Commissaire au Commerce : Trisken
      Bailli : Margot d'Euphor Pendragon, dicte Miss.
      Commissaire aux Mines : Theodomir Idris Geoffroy de Hennfield

      Porte-Parole : Antonio Licors

      Conseillers sans fonction : Niall de Rivien & Téo.


    Cette dernière, issue du Conseil ducal précédent, n'a cessé d'insulter, de diffamer et de perturber le bon fonctionnement du nouveau Conseil ducal. C'est pourquoi nous annonçons son exclusion de la Salle du Conseil ducal. Il n'y a de place que pour les discussions sérieuses et constructives qui permettront de reconstruire la Bourgogne. Elle conserve néanmoins sa charge de Conseiller.

    Que le Très-Haut protège la Bourgogne des usurpateurs et des marauds !


    Rédigé par Antonio Licors, Seigneur de Fraize, Porte-Parole ;
    Signé et scellé par Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne ;
    Le dixième jour du mois de janvier de l'an 1461 à Dijon, capitale du Duché de Bourgogne.











































Citation:






    La main de la Régente conduit la Bourgogne



    De Nous, Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Salutations.



    Qu'il soit su que l'armée "Deus Manum Ducit" dirigée par une étrangère n'est pas la bienvenue en terre bourguignonne, et encore moins à Dijon. Nous tenons à souligner la perte de l’agrément Franc-Comtois qui montre bien que cette armée agit seule dans le seul but de faire couler du sang bourguignon.
    Qu'aucun Duc de Bourgogne légitime n'a demandé la venue de cette armée, et que la précédente annonce de l'usurpateur Alexandre Olund autorisant la présence de cette armée en Bourgogne est nulle et non avenue.
    C'est pour cela que nous exigeons la dislocation de l'armée "Deus Manum Ducit" avant le couché du soleil, sinon quoi les noms des nobles présents dans cette armée seront communiqués au Roy de France, et les membres de cette armée seront tous accusés de Trahison envers le Duché de Bourgogne.
    Nous demandons aux Maires des villes de Bourgogne de retirer cette armée de leur registre immédiatement.

    Chacun chez soi et les moutons seront bien gardés.

    Que le Très-Haut protège la Bourgogne des usurpateurs et des marauds !


    Rédigé par Antonio Licors, Seigneur de Fraize, Porte-Parole ;
    Signé et scellé par Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne ;
    Le dixième jour du mois de janvier de l'an 1461 à Dijon, capitale du Duché de Bourgogne.








Citation:






    Les animaux sont nos amis !



    De Nous, Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Salutations.



    Qu'il soit su que les armées "La Veuve Noire" dirigée par nos soins, et "La Vache Folle III" dirigée par la Duchesse Angelyque de la Mirandole ont reçu l'agrément bourguignon.
    Aussi nous demandons à tous les Maires des villes bourguignonnes de bien vouloir ajouter ces deux armées à leur registre, si cela n'est pas encore fait.

    Que le Très-Haut protège la Bourgogne et ses fidèles !


    Rédigé par Antonio Licors, Seigneur de Fraize, Porte-Parole ;
    Signé et scellé par Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne ;
    Le dixième jour du mois de janvier de l'an 1461 à Dijon, capitale du Duché de Bourgogne.





Maistre_de_ceremonie
Citation:






    Finis les mensonges, les calomnies, et la traitrise !



    De Nous, Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne,

    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Aux fidèles et loyaux bourguignons,
    Salutations.



    Qu'il soit su que la Régence mise en place suite à la prise de pouvoir par la Veuve Noire que nous dirigeons, a été validée et reconnue par la Très Noble Assemblée des Pairs de France. (Voir l'annonce sur le panneau prévu à cet effet)
    Nous sommes attendus à Paris où nous prêterons allégeances au Roy de France au nom de la Bourgogne.
    Nous tenons à insister sur la façon dont s'est déroulée la prise de pouvoir par notre armée car des mensonges sont clamés par certains traitres.

    Qu'il soit entendu et su, qu'aucun bourguignon n'a été tué ni même gravement blessé par notre armée qui était déjà dans la capitale et qui par conséquent n'a pas eu à forcer l'entrée. Les membres de la Veuve Noire sont entrées dans le Château et ont certes employé la force pour déloger le précédent Conseil ducal de l'usurpateur Alexandre Olund. Malgré quelques accrochages et quelques coups échangés des deux côtés, aucune personne n'a été gravement blessée.

    Enfin, qu'il soit su que dès à présent, nous déclarons Alexandre Olund traitre à la Bourgogne, et qu'il en sera de même pour toute personne qui le suivra dans sa folie et sa haine.

    Que les bourguignons aient confiance en la Régence qui ne vendra jamais la Bourgogne et mettra tout en oeuvre pour la protéger.

    La Bourgogne garde sa foy aristotélicienne et restera province vassale du Royaume de France !

    Que le Très-Haut protège la Bourgogne des usurpateurs et des marauds !


    Rédigé par Antonio Licors, Seigneur de Fraize, Porte-Parole ;
    Signé et scellé par Aryanha Farnese, Régente de Bourgogne ;
    Le douzième jour du mois de janvier de l'an 1461 à Dijon, capitale du Duché de Bourgogne.





Maistre_de_ceremonie
Citation:







                  Maréchaussée de Bourgogne






    A tous ceux qui la présente annonce liront ou feront lire,
    Salutations.


    Faisons connaître les effectifs de nos forces de Maréchaussée ainsi que vérifiés et établis par nostre Prévost des Maréchaux, dame Adriah de la Croix de Bramafan:
    • Confirmons la destitution du Chef-Maréchal/Douanier de Chalon Dame Lionix pour trahison ;
    • Confirmons la destitution du Chef-Maréchal/Douanier de Joinville Dame Lana_ pour trahison.


    En conséquence de ces présents effectifs, nous tenons à spécifier certaines choses:
    • En ces heures troubles à la Bourgogne, nous rappelons que le Duché n'a pas a défendre les villes qui se refusent à suivre le Conseil de Régence ;

      Que les Dames Lionix et Lana_, ainsi destituées, le sont uniquement par rapport à leur comportement vis-à-vis du Conseil de Régence ;

      Que le Duché est conscient que la défense doit être gardée mais que les Maires ont fait le choix de ne point suivre le Conseil de Régence et que donc, ils en assumeront les conséquences vis-à-vis de leurs Mairies ;

      Que les Défenses de Chalon, Tonnerre, Joinville et d'Autun sont suspendues. Nous gageons que les Maires reviennent à la raison et s'en excusent publiquement. Nous serions ainsi prêtes a remettre la Maréchaussée en place dans leur ville et ainsi les protéger.



    Qu'il en soit ainsi par nostre volonté,
    Pour le bien de la Bourgogne et de nos sujets
    Faict le 13 janvier de l'An de Grasce 1461 au Palais des Ducs de Bourgogne,
    d'après les renseignements de dame Adriah de la Croix de Bramafan, Prévost des Maréchaux de Bourgogne
    Pour Sa Grasce la régente de Bourgogne

    Signé et scellé par icelle





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